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Celia Khetas



Identité de votre personnage

Race : Humaine
Nom : Khetas
Prénom : Celia
Surnom : /
Date de naissance : 25/12/1742
Age réel : 20 ans
Age en apparence : 20 ans
Lieu de naissance : Aldaria (Mais elle ne le sait pas)
Lieu de vie : Délimar
Rang social : Petit Peuple
Poste/emploi : Serveuse/Danseuse

Caractéristiques (Cliquez ici pour les compétences)



Force physique : Moyen
Agilité : Bon
Furtivité : Moyen
Réflexes : Bon
Endurance : Bon
Résistance : Moyen

Force mentale : Moyen
Perception : Bon
Intelligence : Bon
Beauté/charisme : Moyen
Navigation : Médiocre
Magie : Très bon

Epée : Médiocre
Dague et poignards : Moyen
Armes d'hast : Médiocre
Armes contondantes : Bon
Hache : Médiocre
Fouet : Médiocre
Art du lancer : Médiocre
Bouclier  : Médiocre
Armes de trait : Médiocre
Mains nues/pugilat : Médiocre
Equitation : Moyen
Dressage : Faible


Equipement


Arme principale : Magie

Autres objets : Celia possède une clé qu'elle a depuis toujours. Une clé qu'elle garde autour de son cou, dont le poignet ressemble à un dragon en or. Ce bijou n'a rien de magique, on peut seulement penser que ceux qui l'ont construit adorent tout simplement les dragons.
Image




Description physique



La beauté a toujours été un point de vue subjective. Tous les hommes sont beaux et toutes les femmes sont belles. Le reste n’était qu’une question de goût. Peut-être que vous trouverez Celia magnifique ou tout simplement laide. Mais, il est vrai que son métier l’oblige à être séduisante et bien maquillé. Sachez juste qu’elle prend soin d’elle et qu’elle entretient une bonne hygiène de vie. Elle n’est pas à plaindre.

Celia est une brune aux magnifiques cheveux mi-long dont elle a l’habitude de laisser détacher. Des cheveux qu’elle prend soin de bien les coiffer pour son métier de danseuse. Elle aurait bien voulu se coiffer d’une queue de cheval, mais son patron lui dit que les cheveux détachés et longs rendent sa danse plus sexy et que cela attire les clients. En revanche, son supérieur lui reproche la couleur de ses yeux marrons. Il aurait préféré qu’ils soient bleus pour percer le cœur des hommes rien qu’avec son regard. Par contre, sa voix... Son chant enchante quiconque l'entend... A moins si vous n'aimez pas quelqu'un chanter.

Celia est une femme dont la peau lisse est de couleur blanche, mesurant 1m68 pour 59 kg. Je vous l’avais dit, elle entretient son corps pour être parfaite sur scène. Elle ne devait pas être grosse, mais pas trop maigre non plus. Elle est plutôt entre les deux : ses bras et ses jambes sont fins, elle ne possède aucun bidon et la taille de sa poitrine est dans la moyenne des filles de son âge. Des tatouages ? Elle en a aucun car cela défigurer sa jolie peau selon son patron. Cependant, elle possède une tâche de naissance derrière son épaule gauche ressemble à une sorte d’étoile filante qu’elle cache avec ses cheveux.

Concernant sa tenue vestimentaire, Celia n’a pas de préférence en particulier. Elle aime porter autant les robes que des pantalons. Sinon, elle ne peut que s’offrir des vêtements de bon marché, mais qui ne soit pas trop cher, n’étant pas riche non plus.



Description mentale



L’un des premiers mots qui vient quand on pense à Celia, cela serait sans doute la curiosité. Inutile de vous définir ce que c’est, mais autant le faire : sa soif de connaissance n’est jamais étanchée. Donc, ne vous étonnez pas de la voir plonger dans un bouquin et d’être déconnecter de la réalité. Les livres, c’est sa passion. Si vous souhaitez lui faire plaisir, offrez-lui-s’en ou une bibliothèque si vous êtes riche. Mais, ce qui lui plait dans les livres, ce n’est pas seulement le savoir qui en regorge. C’est aussi les histoires qui la fait voyager à travers le monde, réel ou imaginaire. C’est sans doute sa curiosité qui lui donne l’envie de vivre des aventures, de voyager dans les différents archipels.
Si vous vous demandez d’où provient cette curiosité, c’est sûrement dû à son amnésie. En effet, Celia ne se rappelle pas sa vraie famille, ni son lieu de naissance. Ses premiers souvenirs remontent au jour où les villageois l’ont retrouvé dans la forêt, quand elle avait 9 ans.

Après les livres, ce que Celia aime par-dessus tout, c’est la magie. Depuis ses 9 ans, elle pratique la magie. Pourquoi ? Impossible de l’expliquer. La magie est au fond d’elle depuis toujours, comme tous les êtres humains me dira-t-on. Mais là, on parle de l’envie de la pratiquer et de l’amour qu’elle a envers elle. Car la magie fait partie d’elle, comme le chant et la danse.

Celia est, en premier lieu, une personne sympathique. Elle a un bon fond et ne souhaite jamais le malheur des autres, même pour ses pires ennemis. Elle refusera de faire couler le sang, quoi qui arrive. Mais, ce n’est pas comme si elle est une pro-pacifiste et qu’elle serait choquée face à toute forme de violence. Bien au contraire. La violence ne la gêne pas, juste qu’elle ne désire pas faire couler du sang avec une arme. En revanche, cela ne la dérange pas de donner un coup de poing ou une gifle à quelqu’un qui la pousse à bout.  Car oui, Celia possède un certain tempérament uni de son entêtement qui fait d’elle une jeune femme fatiguant pour les impatients.

Elle possède aussi un certain sens de l’honneur. Quand elle est redevable à quelqu’un, elle fera tout pour payer sa dette. Jamais ne elle planterait son entourage derrière le dos. La lâcheté ne fait pas partie de son vocabulaire. Son fort tempérament la rend courageuse face au danger. Même si elle n’a aucune chance, elle tente d’utiliser son intelligence pour se tirer d’affaire. Car oui, Celia est une fille beaucoup plus maligne qu’on ne le pense. La lecture des nombreux livres l’a sans doute appris quelques astuces manuelles, comme crocheter une serrure.

Niveau social… Celia n’est pas timide. Juste réservée. Elle ne parle jamais pour ne rien dire. Mais, ses paroles peuvent bien être aussi tranchantes qu’une épée. Son sarcasme est bien sa seule arme verbale face aux reproches et aux critiques d’autrui. Cependant, je vous rappelle qu’elle demeure une personne sympathique donc elle ne sera pas insultante dès la première rencontre. Elle sera plutôt respectueuse, gentille. Si vous arrivez à être proche d’elle, vous verrez qu’elle ne manque pas d’humour et qu’elle aime profiter de la vie. A cause des guerres de l’ancien continent, Celia vit dans l’optique qu’il faut justement profiter de ces moments de joie et de paix.

Une dernière chose à savoir sur Celia : on ne l’achète pas avec de l’argent. Elle prend en compte à moitié le rang social d’autrui. Bien sûr, si elle a affaire à une personne ayant un rang supérieur à la sienne, elle respectera les règles sociales et les coutumes. En revanche, elle n’aimera jamais quelqu’un pour son rang ou son argent. Car oui, un de ces rêves est de trouver l’amour. Peut-être parce qu’elle est en manque… Son second rêve, et elle le vit même si les conditions ne sont pas à la hauteur de ses attentes, c’est d’être une danseuse. Toujours à cause des livres, elle aime la danse. Malheureusement, elle doit faire des compromis. Ayant conscience que beaucoup de personne n’ont pas la possibilité de réaliser leur rêve, Celia décide de perdre sa liberté pour danser comme elle le souhaite.

Alignement : Celia préfère la paix à la guerre donc si elle s'opposerait à tout type de conflit. Pour le moment, elle vit sa vie sans se soucier des politiques et des autres races (sans être raciste).




Histoire




Il était une fois, un couple issu de la noblesse vivait heureux avec leurs enfants. Mais, un jour, leur conseillé, qui était censé être leur plus fidèle sujet, monta un plan pour prendre leur richesse et leur rang. Alors que la benjamine de la famille devait aller rendre visite à de la famille à Gloria, le conseillé engagea une bande de criminel pour l'assassiner. Durant l'attaque, les gardes du corps succomba à leurs blessures. Au moment où ils allaient en finir avec la petite fille, un traite parmi eux la protégea. Ce dernier était contre l'idée d'ôter la vie à une fillette innocente. Après avoir tuer les siens, le bandit vit l'enfant traumatisé. Entendant l'arrivé de villageois dans la forêt, il employa la magie pour effacer la mémoire de la petite princesse, afin de la protéger du conseillé de sa famille.
Aujourd'hui encore, cette enfant est, aux yeux de tous, mortes par une attaque de bandit. Que cela était sur le coup de la malchance. Ne pouvant pas supporter la perte de sa cadette, la mère noble se suicida. Durant les mois qui suivit, les autres enfants périssent, soit par accident, soit par maladie. Croyant que sa famille était maudite et ayant peur pour son héritage, le père se laissa emporter par la maladie et écrivit un testament où il léguait tous ses biens et son rang à son conseiller.

Mais ce que le conseiller ignorait, c'était que la famille noble possédait un trésor scellé. Et que celle qui détenait la clé était la plus jeune fille de la famille, qui était pour lui morte. La clé ayant disparu, il continuait de chercher un moyen d'atteindre ce trésor familial, pensant que cela lui donnerait plus de richesse et plus de pouvoir.


Dans les livres que je lisais depuis ma tendre enfance, j’appris qu’il ne fallait pas se noyer dans le passé, car nul ne pouvait le changer. Que l’oubli faisait partie de la vie. Qu’il était la plus haute des vengeances. Qu’il valait mieux que le souvenir. Qu’il était un refuge. Mais, surtout, que l’oubli était une seconde mort.

Est-ce que cela voulait dire que j’étais morte ? Pourtant, je suis bien vivante. Sinon, je ne serais pas là pour vous conter mon histoire. Du moins, ce dont je me rappelle.

1750. On m’avait trouvé toute seule dans la forêt lorsque j’avais 9 ans. Le seul bien que je possédasse, en dehors de mes vêtements, était un collier dont je ne me séparais jamais. Ce collier, qui avait l’air d’être très couteux, était un indice sur mes origines. Alors, même quand un marchand ou un voyageur voulait me l’acheter, je le refusais tout net. Mais ce collier demeurait un mystère. Il s’agissait d’une clé en or avec un dragon. Si les clés ouvraient des serrures, alors j’aurais bien voulu que la mienne ouvre la porte de mon passé.
Vous l’aurez compris. Cette année était importante pour mon existence. Les villageois qui m’avaient trouvé m’avaient emmené dans leur petit village. Un village calme et paisible. Mais, ennuyeux. Il ne s’y passait jamais rien. Et encore moins dans l’orphelinat où je vivais avec d’autres enfants.

Je trouvais refuge dans les livres de la petite bibliothèque du village. Dans chaque bouquin, les personnages vivaient d’incroyables aventures qui me faisaient rêver. Je lisais surtout les histoires de princesse sauvée par un prince charmant et dont l’histoire se finissait par une danse. Cela venait sans doute de là mon rêve de devenir danseuse, et aussi de n’aimer qu’un seul homme. De plus, les livres n’étaient pas seulement riches de bonnes histoires imaginaires, mais aussi de beaucoup de savoir qu’on ne m’apprenait pas à l’orphelinat. C’était comme si je voyageais dans le monde entier sans bouger de mon lit. Malheureusement, tout le village me trouvait bizarre. Ils n’aimaient pas trop mon intérêt pour les bouquins. Ils étaient plus sur le travail manuel qu’intellectuel. On désirait que je me focalise sur la cuisine, le linge, le ménage…C’était un village assez sexisme. Et le pire, c’était que les villageois ne savaient même ce que signifiait ce mot. Mais c’était les livres et leurs savoirs qui avaient fait de moi ce que je suis devenue. Je me rappelle ce jour où le bibliothécaire, dont l’esprit était bien plus ouvert que les autres habitants du village, m’avait confié un grimoire bondé de formule magique. Grâce à cet ouvrage, j’apprenais les bases de la magie et passais mon temps à m’améliorer. Cela déplaisait aux villageois de me voir pratiquer la magie, mais ils ne m’avaient jamais empêché de m’entrainer.

Bref je menais une vie paisible. Mais, malheureusement, cela n’avait duré que pendant un an.

L’année suivante marqua le début des hostilités. Les vampires commençaient à attaquer les villages. Le mien n’était pas épargné. Je me rappelle de cette nuit affreuse où tout le monde criait de peur, des vampires qui se délectaient de notre frayeur et de notre sang. Beaucoup avaient perdu la vie, y compris certains enfants de l’orphelinat et… le bibliothécaire. Nous avions dû abandonner le village et nous cacher dans la forêt. Je n’avais pris qu’avec moi mon grimoire magique. Je le gardais précieusement en souvenir de l’homme qui m’avait permis de voyager depuis mon lit et à allumer une petite flamme sur mon doigt.
Quelques jours plus tard, les survivants et moi-même arrivâmes à la ville la plus proche : Gloria. Par chance, nous, les orphelins, pûmes rejoindre l’orphelinat de la ville qui était bien plus grande et avait plus de moyen que celui où j’avais vécu.  C’était devenu notre refuge. Mais, l’époque où l’on mangeait à notre faim était révolue, car la famine nous condamnait. Et cela ne s’était guère amélioré durant les années suivantes. La guerre avait éclaté entre les vampires et les humains. C’était pour cette raison, qu’à l’époque, la petite fille que j’étais avait peur des vampires. Je ne cessais de faire des cauchemars qui ressassaient la nuit où mon village avait été attaqué. J’avais vu la mort de mes propres yeux. Bien que les adultes tentassent de me rassurer, rien ne changeait à mon traumatisme.
Et le pire arriva en 1753. J’avais 11 ans quand les Almaréens fut arrivés dans nos terres. Vous connaissez cette tragédie, donc inutile de vous le rappeler. Mais, bien que les Almaréens traquaient sans relâche les vampires, qui avaient attaqué nos villages et pris de nombreuse vie humaine, je ne pouvais pas leur pardonner de m’avoir privé de ce que j’avais de plus cher au monde : la magie. Fort heureusement, j’avais pu cacher mon grimoire magique lorsqu’ils avaient fouillé l’orphelinat. Je continuais mon apprentissage, tout en restant discrète. La magie était devenue mon secret.

Mais mon secret n’avait pas tenu indéfiniment. L’une des orphelines, Nina, m’avait surprise à pratiquer la magie. Elle accepta de ne rien dire, à condition que je devienne son amie. Oui, les autres enfants se moquaient d’elle, pour une raison que j’ignorais. J’étais tellement absorbée par mon apprentissage que je ne prêtais pas attention aux autres orphelins. Mais, j’appris à connaitre Nina. A ma grande surprise, elle avait une passion pour la danse. Depuis, elle m’apprit à danser. Je mangeais avec elle à table, je la défendais des autres… Nous étions devenues très proche. Nina était l’amie que je n’avais eu dans mon village. Je lui confiais mes interrogations sur mes origines. Je voulais savoir qui j’étais réellement et d’où je venais. Si j’avais une famille qui m’attendais, quelque part, dans ces terres… Est-ce qu’ils aimaient eux aussi les livres ? Est-ce qu’ils pratiquaient la magie ? Et cette clé que je possédais depuis qu’on m’avait retrouvé dans la forêt… Bien qu’elle ne semblât pas magique, je l’avais aussi caché aux Almaréens par peur que l’on me le confisque. Quelle serrure pouvait-elle ouvrir ?

Il s'était passé bien du temps depuis mon arrivé à Gloria.  La vie là-bas était devenue de plus en plus insupportable. A cause du Tyran Blanc. Bien qu'au fond de mon cœur, j'étais au côté de la déesse, je n'étais qu'une adolescente orpheline. Je ne pouvais pas fuir la domination de ce tyran. Du moins, pas toute seule. J'avais essayé de convaincre Nina, mais elle avait trop peur pour quitter l'orphelinat. Elle me disait que si nous voulions survivre, nous devions faire exactement ce que les adultes voulaient qu'on fasse. Les autres orphelins étaient d'accord avec elle. On devait donc lui obéir, même si, au fond, je priais les déesses qu'un miracle se produisait pour anéantir ce monstre. Ce fut mes pires années de ma vie.

Plusieurs années passèrent. En 1759, Ambarhùna connu enfin la paix après plusieurs années de guerre. Le Tyran Blanc avait disparu. Tout comme les déesses. Nous étions tous livrés à nous même.
J’avais 17 ans. J’étais devenue trop vielle pour rester à l’orphelinat. On m’avait donc trouvé un travail dans un village situé entre Gloria et Caladon. On voulait que je devienne une fermière. Et par-dessus le marché, je devais me séparer de Nina. Elle qui m’avait appris à chanter et à danser. Elle m’avait même conseillé d’aller voir les Baptistrel pour les rejoindre et perfectionner ma maîtrise en la magie. Malheureusement, mes mains étaient liées et je pris la première charrette qui me conduisit à ce village.
Je vous avoue que je m’attendais à être reçu par des fermiers aigris et très conservateur, mais pas du tout. La ferme se trouvait juste à côté du village et tout le monde avait l’esprit très ouvert. On m’avait accueilli très chaleureusement. Je devais travailler pour un vieil homme, que j’appelais Papi, dont le cœur était tellement rempli de bonté qu’il n’y avait plus de place pour des vices. Il y avait de la bienveillance en lui. Il m’apprit à m’occuper de la ferme, des animaux et à monter à cheval. J’appris plus tard que le vieil homme était un chevalier retraité désirant vivre à la campagne. Il avait complimenté ma maîtrise en la magie, mais avait précisé que je devais savoir me défendre sans elle. L’Histoire nous avait appris que la magie pouvait disparaître à tout moment. A la base, j’avais appris à le contrôler par pur curiosité enfantine, mais il avait raison. Avec tous les récents événements, personne n’était en sécurité dans ce monde. Alors j’acceptai sa proposition de entrainement au combat physique.
Avant d’être chevalier, le vieil homme avait vécu dans un cirque. Sa famille en possédait un et parcourait le continent afin de divertir la population. Il m’apprit donc à me servir des armes contondantes. Vous vous demandez sans doute pourquoi il ne m’avait appris à manier l’épée ? Tout simplement parce que j’avais émis le souhait de seulement me défendre, non blesser ou tuer quelqu’un. Cependant, il arriva à me convaincre d’apprendre à manier une dague, pour au moins faire peur aux bandits. D'ailleurs, il m'enseigna des sorts bien plus puissants que ceux que mon grimoire possédait.

Mise à part tout cela, j’étais heureuse dans cette ferme. Et les villageois ne me jugeaient pas sur mes goûts et mes passions. S’il y avait un défaut, c’était bien sûr ce Don Juan de Kratos. Kratos était un homme méprisant, orgueilleux et égocentrique. Sa beauté, sa musculature et sa richesse faisait tomber les jeunes femmes, sauf moi. Je rejetais sans cesse ses avances, mais il se trouvait très têtu à mon regard. Il était tellement insignifiant pour moi que je ne m’attarderai pas davantage sur cette personne.

Tout était parfait dans ma vie. En revanche, j’avais le sentiment que j’étais maudite…

15 Aout 1759. A Caladon, il y avait des festivités qui s’organisaient. Papi y était allé pour retrouver des amis. Du moins, c’était ce qu’il prétendait. Je pensais qu’il avait voulu voir une dame dont il faisait la cour, mais qu’il n’avait pas voulu me le dire. Malheureusement, je ne le saurais jamais. Pendant qu’il était allé à Caladon, moi j’étais restée à la ferme pour m’occuper des animaux et des fruits. Quelque jour plus tard, j’appris qu’il eut un attentat là-bas et que Papi n’y avait pas survécu. J’étais seule. Seule pour de bon, livrée à moi-même. Kratos profita de cette tragédie pour me demander ma main. Sous la colère et la tristesse, je le giflai violemment et le sommai à me laisser tranquille. Chose qui le déplu….
Pendant plusieurs jours, je restais seule dans la ferme. Certains villageois venaient me rendre visite pour tenter de me réconforter et de partager ma souffrance, mais rien ne changeait. Papi était parti et n’allait jamais revenir. Je lui écrivis une chanson pour lui faire hommage que je chantai lors de ces funérailles. À la suite de cela, je décidais de reprendre la ferme au nom de sa mémoire.

La suite, vous devez sans doute la connaitre. Ambarhùna était sans-dessus-dessous. Presqu’un an après la mort de Papi, tout le monde devait quitter le continent pour notre survie. A cause des Chimères. Bien qu’il y eût plusieurs batailles contre eux, si nous restions à Ambarhùna, nous étions perdus. L’idée de laisser tomber la ferme de Papi me rendait furieuse, mais j’étais sûre qu’il aurait voulu que je continue à vivre. Pour la première fois de ma vie, je pris le large avec tout le monde, dans l’espoir d’une vie meilleure…

1762. J’avais 20 ans. Je vivais à Delimar, ayant vu une opportunité de réaliser un de mes rêves d’enfances : devenir danseuse. Mais, étant une pratiquante de la magie, je devais payer une taxe supplémentaire. Donc, le jour, j’étais serveuse dans une taverne et la nuit je dansais pour les soldats. Ma vie ne pouvait pas être pire à première vue, mais… Le propriétaire de la taverne où je travaillais le jour comme de nuit n’était autre que Kratos. Il me faisait bien comprendre que j’étais sa chose. Mon rêve avait un prix, mais… j’étais prête à l’abandonner pour ma liberté.



Liens



Papi : Chevalier retraité devenu fermier ayant engagé Celia lorsqu'elle avait 17 ans. C'est lui qui lui a apprit à combattre avec des armes. Malheureusement, le 15 Aout 1759, il est mort lors des festivités de Caladon.

Nina : Amie d'enfance que Celia a perdu de vue à 17 ans, lorsqu'elle a quitté l'orphelinat de Gloria pour devenir fermière. Nina a gardé le secret de Celia, à savoir que cette dernière pratiquait la magie en cachette lorsque les Almaréens étaient au pouvoir. Avec Celia, elles passaient du temps à danser et chanter.

Kratos : Jeune homme venant de famille aisé ayant vécu dans le village où Celia vivait en tant que fermière. Arrogant et égocentrique, Kratos pensait pouvoir user de sa beauté et de sa richesse pour séduire la jeune fille, mais ce fut un échec. Aujourd'hui, il est propriétaire d'une des plus grande taverne à succès de Delimar où travaille Celia en tant que danseuse et chanteuse.



Derrière l'écran



Petite présentation : Que dire de moi ? A part que j'ai 22 ans, que j'écris un roman et... que je suis plein d'amour ♥

Particularités rp ? : Aucun, à part que j'emploie la première personne du singulier

Rythme RP ? (Une réponse RP dans les 7 jours est attendue) : Cela dépend de l'IRL, mais je réponds le plus rapidement possible en général si je suis bien inspirée

Comment avez vous découvert le forum ? : Top Site

Avez vous signé le règlement ? : (Clic!) Bien sûr Smile



descriptionCélia Khetas EmptyRe: Célia Khetas

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Liste des RPs


   
Liste des RPs rangé par ordre chronologique
   

   

Novembre 1762


   
Danse ma donzelle, danse ! [Pv Erdrack - En cours
Alors qu'elle travaille dans une taverne à Délimar en tant que serveuse le jour et danseuse la nuit, Celia fait la rencontre d'Erdrak. Voyant qu'elle est mal traité par son patron, le Loup Solitaire propose à la brune de rejoindre sa guilde, La Meute.

Pour une clé dragon ! [Pv Artane] -  En cours
A Caladon, Celia se fait voler son collier, la seule chose qui lui reste de sa famille d'origine. Elle fait la rencontre d'un homme moustachu...

   


Décembre 1762


   
...
   


Janvier 1763


   
[Intrigue] La route du bayou - En cours
[Pv Arak - Erdrak - Demens - Janga]
Celia fait partie d'une étrange expédition avec La Meute et des pirates...

   




Dernière édition par Celia Khetas le Mer 18 Juil 2018 - 23:56, édité 1 fois

descriptionCélia Khetas EmptyRe: Célia Khetas

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Inventaire de Celia


 
 

Objet de départ



Collier clé dragon:
Image
Une clé que Celia garde autour de son cou, dont le poignet ressemble à un dragon en or. Ce bijou n'a rien de magique, on peut seulement penser que ceux qui l'ont construit adorent tout simplement les dragons.


 

Objet acheté à la boutique



Diadème Elfique : 100 pièces d'or
Provenance elfique
Diadème d'argent orné de pierres précieuses, ressemblant à un entrelacement de lierres. Permet à son porteur de se concentrer plus facilement pour mieux user de sa magie.
Glyphe : Concentration – soutien
 

descriptionCélia Khetas EmptyRe: Célia Khetas

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