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Amozäbel Lÿrargent



Identité de votre personnage

Race : Sainnûr
Nom : Lÿrargent
Prénom : Amozäbel
Surnom : /
Date de naissance : 1509
Age réel : 253 ans
Age en apparence : 24 ans
Lieu de naissance : Ambarhùna
Lieu de vie : Endëaerumë
Rang social : Petit peuple
Poste/emploi : Commandant des Rôdeurs

Caractéristiques (Cliquez ici pour les compétences)



Force physique : Bon
Agilité : Maître
Furtivité : Bon
Réflexes : Bon
Endurance : Moyen
Résistance : Bon

Force mentale : Bon
Perception : Très bon
Intelligence : Bon
Beauté/charisme : Très bon
Navigation : Très faible
Magie : Très faible

Epée : Médiocre
Dague et poignards : Moyen
Armes d'hast : Médiocre
Armes contondantes : Médiocre
Hache : Médiocre
Fouet : Médiocre
Art du lancer : Moyen
Bouclier  : Médiocre
Armes de trait : Très bon
Mains nues/pugilat : Médiocre
Equitation : Moyen
Dressage : Faible


Equipement


Arme principale : Illindÿr : Arc qu’Amozäbel fit fabriquer sur mesure, il est devenu au fil du temps et des batailles son plus fidèle compagnon. Il fut glyphé avec un glyphe de Trajectoire précise.

Autres objets : Une dague, ainsi qu’une armure de rôdeur légère.




Description physique



« Tous en rang pour le Commandant ! »

Je ne prends même pas la peine de terminer mon assiette en entendant ces quelques mots. Récupérant mon arc, je me rue à toute vitesse vers la ligne de rôdeurs commençant à se former proche des portes de la caserne. Je me fige alors, bien droit, tandis que peu à peu un silence de plomb s’abat dans la pièce. Finalement, tel un spectre, le Commandant Lÿrargent apparait dans l’encadrement de la porte. Pendant une fraction de seconde, je sens ma respiration se bloquer, tandis que d’un geste quasi-mécanique et en parfait harmonie avec mes compagnons, je salue l’officier progressant à pas lents face à nous, nous dévisageant un à un avec attention. Depuis mon arrivée, c’est la première fois que j’ai l’occasion de le voir en chair et en os, et, je dois bien l’avouer, il y a de quoi être impressionné…

La première chose que je pus remarquer à son arrivée, c’est sa silhouette élancée, quasiment filiforme, d’où je puis distinguer quelques muscles secs, discrets mais bien présents. Son teint, d’une pâleur extrême, vient parfaitement s’accorder avec la blanche pureté de sa chevelure raide et lisse, descendante jusqu’au niveau de ses épaules. A mesure qu’il défile devant notre rangée, son visage se dessine sous mes yeux, tel un mirage devenant réalité. Faisant parfaitement honneur à notre race, ses traits sont d’une finesse à frôler la perfection, son visage semblant avoir été savamment taillé dans le marbre par un artiste des plus talentueux. Cette beauté naturelle pourrait attirer bien des vices, mais bien au contraire, la plupart préfèrent la fuir du regard à la vue de l’expression affichée par le Commandant.

L’air parfaitement neutre, inexpressif, réhaussé d’une dureté quasiment hostile dans le regard qu’il affiche, m’arrache un frémissement imperceptible. Il s’agit du visage parfaitement calculé d’un officier ne souhaitant faire transparaître que l’autorité et l’ordre. Certains de mes camarades m’en avaient déjà parler. Cette expression, le Commandant Lÿrargent la gardait continuellement, son regard semblant vous transpercer de part en part chaque fois qu’il le pose sur vous… Et cette impression, je la ressens au moment même où je croise ses prunelles gris-argentées. Je ne peux m’en détacher, semblant comme aspiré dans ce jugement silencieux, me sentant soudainement à nue face à cet échange quasiment mystique. Puis, lorsque finalement l’elfe continue sa route, je sens ma respiration revenir peu à peu, cette dernière s’étant naturellement coupée durant le bref échange de regard. J’étais presque soulagé qu’il ne m’ait pas adressé la parole.

Tandis qu’il s’éloigne de moi, un détail que je n’avais jusqu’alors aucunement remarqué me saute aux yeux. De fines arabesques cuivrées couvrent le dos de ses mains, semblant remonter tout le long de son bras, invisibles à ma vue, couvertes par sa tunique. Je me rappelle soudainement de cette caractéristique spécifique aux Sainnûr, et le Commandant Lÿrargent n’y échappait donc pas. Une pensée s’insinue peu à peu dans mon esprit, tandis que mon officier direct poursuit son chemin d’une démarche gracile et silencieuse : peu importe à qui il s’adressait, Lÿrargent devait laisser un souvenir marquant à ses interlocuteurs, avec une impression de grâce et d’autorité omniprésente dans le moindre de ses gestes.


Description mentale



Strict. Froid. Arrogant. Acharné. Exemplaire.

Tant de termes souvent usés par ses pairs pour décrire Amozäbel. Des analyses de surface pour la plupart, des opinions toutes faites pour certains, des suppositions en lien avec son passé pour d’autres. Peu de gens ont déjà réussi à percer le masque imperméable de son visage inexpressif. Qui peut donc être le Commandant Lÿrargent ? Un mari aimant, un officier intransigeant, un père de famille exemplaire, un second compétent ? Ou alors, un savant mélange de tout cela ?

Il est bien plus que cela. Contrairement à d’autres officiers, Amozäbel a commencé son ascension militaire au plus bas de l’échelle, jusqu’à atteindre l’excellence, de par un travail acharné. Dans n’importe quelle tâche, il offre toujours une énergie à toute épreuve, un travail exemplaire, tâchant de faire de son mieux dans toutes les actions qu’il entreprend, que cela soit d’un point de vue militaire ou privé. Jamais il ne laissera un menu détail de côté, et c’est grâce à cela qu’au court de sa vie, il put peu à peu gravir les échelons jusqu’au poste tant envié de Commandant des Rôdeurs, devenant un symbole de réussite pour ses pairs, qui n’avaient cessé au départ de le rabaisser à son rang initial de membre de petit peuple.

Cela, Amozäbel ne l’a jamais oublié. Au fond de lui, il garde toujours cette même rancœur envers cette société elfique trop perméable. Effet indirect de ce sentiment, un autre s’est développé en lui peu à peu : l’arrogance. Il sait qu’il ne doit ce rôle à personne d’autre qu’à lui-même, et que jamais personne ne pourra lui retirer tout ce qu’il a pu accomplir jusqu’à aujourd’hui. Cependant, le jeune Commandant reste conscient de ses capacités, et sait qu’il lui reste encore beaucoup à apprendre avant de devenir un officier idéal. Ainsi, il restera acharné à la tâche, tâchant de donner le meilleur de lui-même chaque jour, surtout depuis que le général Ataliel lui ait accordé sa confiance.

C’est de par ses qualités militaires qu’il fut remarqué par cette dernière. Strict, à la limite de la sévérité, Amozäbel apprécie les choses carrées et précises, ne laissant jamais un seul détail au hasard pour toujours garder le plein contrôle de la situation, quelle qu’elle soit. De nombreuses fois il put démontrer sa vivacité d’esprit et son esprit tactique exemplaire, bien que parfois un peu trop pragmatique. Il excelle également dans l’art du combat, maniant son arc avec une aisance des plus impressionnantes.

Cependant, tous ces traits ne suffisent pas pour être un officier exemplaire. Son poste de Commandant nécessite aujourd’hui de sa part une écoute raffermie de ses troupes, mais également une transmission de savoir et de sagesse à ses soldats moins expérimentés. Ces qualités, Amozäbel ne les maitrisent pas encore tout à fait. Cependant, il fera tout pour parvenir à satisfaire les espoirs et les attentent qu’a placé le général Ataliel en lui. Gare à ne pas tomber dans des travers trop attirants pour y parvenir cependant… Le chemin de la facilité peut parfois être des plus alléchants, mais également des plus dangereux.

Enfin, sa récente transformation en Sainnûr a été pour lui un évènement des plus marquants. Sa nouvelle affiliation lui offre une chance de se démarquer un peu plus de ses pairs, et l’empli d’une fierté sans borne. Une seule idée le tracasse cependant. Lÿrargent a en effet du mal à s’imaginer de la même race que les Shédims, aussi continue-t-il de leur vouer une certaine méfiance.

Alignement : Loyal-neutre. Amozäbel est un elfe des plus loyaux à sa cause, qui, pour lui, passera nettement avec tout le reste. Cependant, il reste tout de même quelqu’un de pragmatique.

Proposition d'esprits-lié : Loup, niveau 3




Histoire




Notre histoire début en l’an 1509, sur l’antique continent d’Ambarhùna, dans une humble famille elfe, issue du petit peuple elfique. Cela faisait déjà plus de trois siècles que le dernier dragon s’était éteint. Peu à peu, le flot de magie se tarissait. Mais la paix, elle, semblait durable, éternelle, et la vie écoulait son lent fleuve tranquille parmi les peuplades du vieux continent. C’est un soir, dans ce contexte des plus enviables et clames, qu’un jeune elfe allait naître dans l’humble famille Lÿrargent.

Ce soir-là, Amozäbel débutait sa tumultueuse vie.

Le jeune garçon était plein d’entrain et de joie de vivre. Il avait cet ardent désir de tout savoir, de tout découvrir, et d’en apprendre toujours plus sur le monde qui l’entourait. Son enfance fut bercée par la quiétude des histoires de dragons et par la simple vie de la famille. Mais, rapidement, la réalité de la société hiérarchisée elfique lui sauta au visage. Il était membre du petit peuple, et pour la plupart des nobles, il valait mieux que ces derniers gardent une existence humble et sans histoire. Une existence tranquille. Mais ce n’était pas ce que désirait Amozäbel. Son esprit était empli de rêves. Chaque jour, il sortait et observait les patrouilles de garde passer dans leurs armures rutilantes. Un véritable modèle pour lui. Qu’à cela ne tienne, même si le monde entier allait s’y opposer, il viserait les étoiles, quitte à retomber sur la lune s’il échoue. Bien entendu, beaucoup tentèrent de le rappeler à l’ordre. Son père, en premier lieu, de peur que les ambitions de son fils ne finissent par leur attirer des ennuis. Mais Amozäbel n’en démordait pas pour autant. Il avait prit une décision, il gravirait les échelons de la société coûte que coûte, peu importe qui se mettrait sur son chemin pour l’en empêcher.

C’est ainsi qu’en l’an 1661, alors que le garçon venait de passer le cap de sa 152ème année, qu’il fit la connaissance de la belle Siel. L’elfe, d’un âge semblable au sien, était la toute jeune héritière d’une famille noble. La jeune femme était destinée à un mariage de force avec un bon parti de la noblesse elfique, qui devrait couvrir de gloire sa famille. Cependant, et malgré les menaces du père de la demoiselles, les deux jeunes tourtereaux se rapprochèrent lentement l’un de l’autre, au point de se déclarer mutuellement leur flamme. Mais la jeune femme était enfermée dans ce mariage de force, et par aucun moyen elle ne pourrait s’en tirer grâce à des moyens courants. Aussi Amozäbel parvint à la convaincre de partir avec lui, loin de leur peuple, pour vivre leur amour en solitaire. Après de longues semaines de délibération, Siel accepta finalement la proposition du jeune homme, et tous deux disparurent du royaume, échappant à la colère de leurs familles et de leurs pairs.

Pendant de longues années, le couple put faire exploser leur amour et faire s’épanouir leurs relations, découvrant le monde au fil des routes et des mers, allant toujours plus loin pour découvrir de nouvelles terres, de nouvelles villes et de nouveaux horizons.

Mais, toutes les plus belles histoires ont une fin.

Au fond de lui, Amozäbel savait pertinemment qu’il ne pourrait plus fuir éternellement son peuple. Siel se languissait de leurs terres, et leur voyage touchait peu à peu à son terme. Aussi prirent-ils la décision de retourner auprès de leur peuple. Pour Siel, cela signifiait finalement faire face à sa famille, et reprendre ce qui lui revenait de droit. Pour Amozäbel… il allait devoir faire face à sa famille également, mais d'un tout autre point de vue. Son père, ayant toujours désiré vivre une vie des plus modestes et paisibles, s'était retrouvé sous les feux des projecteurs après les petites manigances de son fils. Et, rapidement, ce fut la rancœur de la famille Adanedhel qui était venue s'ajouter sur les épaules du pauvre couple. Ainsi, Amozäbel fut rejeté de ses proches, et fut contraint de trouver un lieu de vie pour lui et sa nouvelle femme, qui de son côté, avait réussi à amadouer son chef de famille. Les choses étaient ainsi bien différentes en comparaison au jour de son départ. Mais une chose était restée intacte pendant tout le long de son périple : son ardent désir de prouver sa valeur. Il allait accomplir le rêve qu’il avait tant effleuré lorsqu’il était enfant. Il allait montrer à tous ces prétentieux qu’il pourrait gravir les échelons seul. Ainsi, il s’engagea dans l’armée elfique.

Il fut rapidement accepté par ses camarades, faisant preuve de force, de courage et de détermination. Il excellait dans le tir à l’arc, et parvenait sans mal à vaincre ses compagnons à n’importe quel test d’agilité. Il gravit ainsi peu à peu les échelons militaires, sous le regard empli de fierté de sa compagne, qui pour sa part s’occupait dors et déjà de leur premier né, Naïniel. Mais, au fil des année, la magie se tarissait de plus en plus, et le peuple elfique commençait à sentir l’ombre de la mort planer au-dessus de leur tête.

Mais il restait encore de l’espoir. En l’an 1750, la nouvelle de la découverte de nouveaux œufs de dragons se répandit comme une trainée de poudre à travers tout le continent. Cependant, Amozäbel n’était pas totalement dupe. Il savait qu’un tel bouleversement dans les équilibres de puissances ne pourrait conduire qu’à un désastre. Et c’est exactement ce qui arriva. La même année, alors que les œufs venaient tout juste d’éclore, les vampires sortirent de leur cachette et fondirent sur l’empire. Amozäbel, de par son comportement exemplaire, fut alors choisi pour intégrer les rangs des Rôdeurs, sous le commandement d’Orfraie Ataliel. Pendant trois longues années, il combattit sans relâche les vampires, sans se douter à un seul moment que la réelle menace ne viendrait pas des terres, mais bien de la mer.

En l’an 1753, les Almaréens accostèrent sur les côtes d’Ambarhùna. Ils fondèrent à une vitesse fulgurante sur les royaumes humains, forçant les elfes à se regrouper et à se protéger dans leurs royaumes magiques. Amozäbel assiste aux massacres, impuissant face à un ennemi d’une telle ampleur. Pour le moment, son peuple restait à l’abris… Mais pour combien de temps ? Il fut décidé d’organiser une rencontre entre les vampires, les humains et les elfes, afin de forger une alliance contre cette vague destructrice. Le Rôdeur n’aimait pas vraiment l’idée de s’allier avec les vampires, mais jamais il n’aurait remis en cause les décisions de ses dirigeants. Aussi, lorsqu’on les avertit que les défenses magiques du royaume étaient tombées, et que le domaine Baptistral était attaqué, Amozäbel n’hésita pas une seule seconde à se joindre à ses compagnons pour foncer au secours de la délégation. Après une âpre bataille, Néant fut finalement vaincu, et son armée repoussée au-delà des frontières elfiques. Mais, la guerre…

La guerre ne meurt jamais.

Les forces restantes des Almaréens, en déroute, se replièrent vers les restes de l’empire et s’allièrent à Fabius Kohan, nouvel empereur autoproclamé. Le peuple humain se scinda en deux, et Amozäbel se joignit à la résistance pour poursuivre le combat contre leur ennemi héréditaire. Peu de temps après, ce fut l’exode du peuple elfe, forcé de rejoindre le reste de la Rebellion après l’empoisonnement de leurs terres. Amozäbel sentait une colère sourde envahir peu à peu son cœur. Néant était allé trop loin. Ce fut à l’aube de l’été que tout se joua, dans la tristement connue bataille de l’Aube Rouge. Amozäbel combattit aux côtés de ses frères et sœurs avec courage, ne fléchissant en aucun moment face à l’ennemi, même lors de la trahison des vampires. Il se battit sans relâche, abattant quiconque se mettait sur sa route, jusqu’à ce que finalement, le silence retombe sur le champ de bataille. Ils avaient vaincu, Néant avait été repoussé. Mais à quel prix ?

Les cadavres d’hommes, d’elfes et de vampires s’entremêlaient partout dans un véritable charnier gigantesque. Amozäbel avait perdu beaucoup de camarades au cours de la bataille, et désormais, il était temps de pleurer les morts. Mais combien de temps de répit allaient ils avoir ?

La réponse ne tarda pas à s’imposer d’elle-même. Le Tyran Blanc fut éveillé. Entre temps, et après la capture du général elfique au cours de la bataille de l'Aube Rouge, le général Ataliel avait reprit les commandes des forces elfiques restantes. Sous son impulsion et son ordre, les méandres de l'autrefois toute-puissante armée se mit en marche en direction du désert d'Esfelia dans l'espoir de trouver un abris pour leur peuple. Les troupes chevauchèrent à travers tout le pays, et le voyage fut long et approuvant. Mais, finalement, ils atteignirent leur destination tant rêvée, et se préparèrent alors immédiatement à faire face au Tyran Blanc, en commençant par reforger l'épée de légende censée pouvoir lui faire courber l'échine. Amozäbel participa activement à la quête des fragments de l’arme, et au cours de la bataille du désert d’Esfelia, il sortit finalement vainqueur face à cet ennemi qui semblait pourtant immortel. C’était terminé. A quel prix ? Celui des Dieux. Une fin tragique, mais qui offrirait la paix aux peuples mortels. Les elfes partirent vers les montagnes de l’est, tentant de reconstruire lentement leur civilisation.

Mais la paix n’est qu’un pâle reflet éphémère dans ce monde. Les Chimères fondirent sur le contient, massacrant tout sur leur passage. Amozäbel, au côté des Rôdeurs, se jeta corps et âme dans cette lutte acharnée semblant perdue d’avance. Peu à peu, chaque peuple fut repoussé, au grand désespoir d’Amozäbel refusant d’admettre une possible défaite. Mais, lorsque les dernières cités tombèrent, il dut se résoudre à faire un choix : pour protéger sa famille, il fuirait avec le reste de son peuple à bord des embarcations, abandonnant face à cet ennemi mortel. Pour la première fois de sa vie, le Rôdeur dut admettre sa défaite.

Un amer sentiment de rancœur s’instaura au fond de son âme, l’envie de vengeance le tiraillant de toute part au cours de cette traversée qui lui sembla interminable. Quand ils posèrent finalement pied à terre, un profond sentiment de soulagement l’envahit. Sa famille et son peuple étaient en sécurité.

Rapidement, il se mit au travail, œuvrant pour reconstruire une nouvelle cité elfique. Peu de temps après, en l’an 1762, ses actes de bravoure et son comportement exemplaire furent finalement récompensées : la Générale des Rôdeurs, Orfraie Ataliel, le choisit pour le seconder à la tête du groupe.

Commandant des Rôdeurs. Il avait finalement atteint son objectif. Ce nouveau rôle l’emplissait de fierté, bien qu’il savait au fond de lui qu’il devrait redoubler d’efforts à l’avenir pour satisfaire les espérances de sa supérieure. Peu de temps après, il devint un immaculé. Ce changement bouleversa son existence, mais il s’habitua rapidement à son nouveau statut le permettant de se démarquer un peu plus des autres, et l’emplissant en un sens de fierté. Désormais, l’avenir s’annonçait des plus radieux pour lui.




Liens



Siel Adanedhel : Son épouse, la femme de sa vie. Elle est de plus noble lignage que lui et il est plutôt fier d'avoir réussi à lui "passer la bague au doigt". Il l'aime comme un fou.

Naïniel Adanedhel : Son fils, l'autre joyaux de sa vie. Amozäbel fut père très tôt et noua un lien fort avec sa progéniture pour qui il donnerait tout. Gare à ne pas le décevoir, en revanche, car c'est aussi un père intransigeant.

Sa petite-fille : Amozäbel a bénéficié du boom de la natalité elfique à l'installation des siens sur Keet-Tiamat. Il est donc un très jeune grand père, heureux de cette chance.

Orfraie Ataliel : Générale des Rôdeurs et Princesse des Elfes, Orfraie est la supérieure direct de Amozäbel. Malgré des caractères opposés en plusieurs points, lui et Orfraie s'entendent bien - elle fut la seule vampire dont il ne se méfia jamais - et travaillent bien ensemble. Outre ses capacités, c'est pour cette raison qu'Orfraie lui offrit le poste de commandant des rôdeurs, faisant de lui le numéro deux de ce groupe d'élite. Ils ne sont pas assez proches pour se dire amis mais se côtoient avec plaisir. Amozäbel l'envie pour son statut de dragonnière. Cela pourrait même se muer en jalousie...

Firindal : Le jeune dragon est le Lié d'Orfraie, raison pour laquelle Amozäbel a déjà rencontré Firindal et le cotoie plus souvent que la moyenne. Ils ne se connaissent pas vraiment, mais le commandant lui voue le respect qu'il se doit.

La couronne Elfique : La fidélité envers le peuple et la couronne est l'une des qualités recherchée chez un Rôdeurs. Amozäbel n'y échappe pas et malgré une certaine rancoeur envers cette société où il est si difficile d'évoluer, il donnerait sa vie pour les siens.


Derrière l'écran



Petite présentation : Salutations ! Bon, la plupart d’entre vous me connaissent déjà du discord, mais je vais tout de même me présenter ! Very Happy On me connait sous le pseudo de Fanrod, j’ai 18 ans, j’suis suisse, et ça va faire maintenant presque 8 ans que je fais du jdr papier, 6 ans du roleplay, et 5 ans du roleplay forum ! J’suis passé par pas mal de forums post-apo et SF, principalement, et aujourd’hui me voilà !

Particularités rp ? : Pas vraiment, non, je suis assez polyvalent en matière de roleplay !

Rythme RP ? (Une réponse RP dans les 7 jours est attendue) : Bien entendu, je respecterai le minimum d’une réponse par semaine, mais j’essaie la plupart du temps de répondre dans la journée si j’ai assez de temps !

Comment avez vous découvert le forum ? : Grâce à votre partenariat avec Atlantis Insurrection, forum sur lequel je suis déjà depuis quelques années !

Avez vous signé le règlement ? : (Clic!)



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Dernière édition par Amozäbel Lÿrargent le Ven 29 Juin 2018 - 21:04, édité 2 fois

descriptionAmozäbel Lÿrargent [TERMINEE] EmptyRe: Amozäbel Lÿrargent [TERMINEE]

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Hello o/ Me voici pour la correction de ta fiche ! Let's go !

Compétences :
Selon la fiche predef, la compétence d'arme de trait doit être à Très bon et la dague à Moyen. Je t'autorise à garder l'art du lancer car il n'est pas vraiment une arme. Tu dois baisser le pugilat à Médiocre. Le dressage et l'équitation ne rentrent pas en ligne de compte, tu peux donc les passer à Moyen si tu le souhaites. À noter que toutes ces caractéristiques peuvent évoluer au fil du RP.

Enfin, baisse la furtivité et les réflexe à bon.

Équipement : Tu peux glypher un objet si tu le désires.

Description Physique : Rien à redire, c'est bon !
Description Mentale : Idem Smile

Histoire :

Pour Amozäbel… cela ne changeait pas grand-chose.


En fait, si. En fuyant son peuple ainsi, Amo a sans aucun doute placé sa famille sous les feux des projecteurs. La famille de Siel leur a peut-être cherché des problèmes... Bref, ça n'a pas été si simple ! Raconte nous en quoi.

Avec un groupe de Rôdeur, Amozäbel parvint à rejoindre avec sa famille le camp des Dieux juste à temps, devenant un Protégé


Pas vraiment. Dans la fiche d'Orfraie il est écrit qu'elle prend les commandes de toutes l'armées elfique suite à la bataille de l'Aube Rouge (le général de la dite armée étant capturé) puis elle conduit donc cette armée + les Rôdeurs jusqu'au désert. Ce fut une longue chevauchée à travers tout le pays.

Voilà ! C'est tout Smile Tu as 4 jours pour effectuer les modif.

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Corrections effectuées !

descriptionAmozäbel Lÿrargent [TERMINEE] EmptyRe: Amozäbel Lÿrargent [TERMINEE]

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Bienvenue sur tes nouvelles terres Invité

Tu as été choisi(e) par l'esprit-lié du Loup dont tu as  atteint le niveau 3. Tes compétences ont été validées, tu pourras les faire évoluer tout au long de ton aventure.

Tu peux aussi adresser tes questions ici

Bonne chance pour cette nouvelle aventure qui s'offre à toi !

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