4 juillet 1762
La Meute revenait d'une mission sur l'île glacée de … et les Loups avait accueilli avec une grande joie et un grand soulagement le retour sur la terre ferme et non gelée de Calastin. Bien qu'étant bien entraînés et préparés à intervenir sur tous types de terrains et climats, cela ne changeait en rien leur état d'humains qui préféreraient les températures tempérées et le soleil plutôt que le blizzard. La neige, ça allait bien deux minutes pas deux semaines.
Les explorateurs avait fait route vers leur quartier général aussitôt débarqué. La petite maison au milieu des autres bicoques dans la ville en construction ne payait pas de mine. Mais elle était prêté par leur mystérieux mécène en attendant la construction de leur vraie caserne. De toute façon, la taille de la guilde ne dépendait pas plus pour l'instant. Les hommes et les femmes étaient occupés la plupart du temps sur le terrain et la maison abritait sans difficulté les quelques Renards chargés de la gestion de leur groupe de plus en plus vaste. Les unités en visite se contentaient de camper un peu plus loin.
Ce coup-ci, Erdrak avait bien décidé de laisser une permission à ses hommes. Les Loups l’avaient bien méritée et de toute manière, ils étaient trop fatigués pour repartir tout de suite. Ils leur faillaient du divertissement et penser à autre chose, se détendre, autant que possible, sans pour autant tomber dans les défauts des autres compagnies, à savoir l’excès. Erdrak resterait au camp avec une poignée d’hommes qui changeront régulièrement, pour ne pas laisser le campement désert.
Installé debout devant la table au milieu de sa tente, le Loup Solitaire regardait les cartes qu’ils venaient de dessiner et celles faites récemment par les Aigles. La tente n’était pas particulièrement riche en ameublement. Une grande table en bois simple, faîte de plusieurs petits carrés, imbriqués les uns dans les autres pour faire une surface relativement plane., un lit près d’un poêle à bois, quelques chaises, mais rien de massifs. Tout était fonctionnel, remplaçable, démontable et transportable aisément.
Un Loup vint lui signaler qu’un inconnu était à l’entrée du camp et souhaitait entrer. Erdrak demanda donc à ce qu’on l’amène.
La Meute revenait d'une mission sur l'île glacée de … et les Loups avait accueilli avec une grande joie et un grand soulagement le retour sur la terre ferme et non gelée de Calastin. Bien qu'étant bien entraînés et préparés à intervenir sur tous types de terrains et climats, cela ne changeait en rien leur état d'humains qui préféreraient les températures tempérées et le soleil plutôt que le blizzard. La neige, ça allait bien deux minutes pas deux semaines.
Les explorateurs avait fait route vers leur quartier général aussitôt débarqué. La petite maison au milieu des autres bicoques dans la ville en construction ne payait pas de mine. Mais elle était prêté par leur mystérieux mécène en attendant la construction de leur vraie caserne. De toute façon, la taille de la guilde ne dépendait pas plus pour l'instant. Les hommes et les femmes étaient occupés la plupart du temps sur le terrain et la maison abritait sans difficulté les quelques Renards chargés de la gestion de leur groupe de plus en plus vaste. Les unités en visite se contentaient de camper un peu plus loin.
Ce coup-ci, Erdrak avait bien décidé de laisser une permission à ses hommes. Les Loups l’avaient bien méritée et de toute manière, ils étaient trop fatigués pour repartir tout de suite. Ils leur faillaient du divertissement et penser à autre chose, se détendre, autant que possible, sans pour autant tomber dans les défauts des autres compagnies, à savoir l’excès. Erdrak resterait au camp avec une poignée d’hommes qui changeront régulièrement, pour ne pas laisser le campement désert.
Installé debout devant la table au milieu de sa tente, le Loup Solitaire regardait les cartes qu’ils venaient de dessiner et celles faites récemment par les Aigles. La tente n’était pas particulièrement riche en ameublement. Une grande table en bois simple, faîte de plusieurs petits carrés, imbriqués les uns dans les autres pour faire une surface relativement plane., un lit près d’un poêle à bois, quelques chaises, mais rien de massifs. Tout était fonctionnel, remplaçable, démontable et transportable aisément.
Un Loup vint lui signaler qu’un inconnu était à l’entrée du camp et souhaitait entrer. Erdrak demanda donc à ce qu’on l’amène.