La nuit du 5 au 6 septembre, 1762.
Lorsqu'ils arrivèrent tout deux vers le domaine, l'elfe se sentait soudainement très las, comme rentrer chez soi après une longue journée de labeur, elle savait qu'ici elle ne risquait rien et ne serait pas seule et ça la rassurait, elle sentait mieux les choses ici. Elle fut rapidement séparée de son sauveur, par trois femmes, qui l'emmenèrent dans une pièce un peu à part.
- Nous te la rendrons quand elle sera un peu plus présentable.
- Mais !.. Ilyanth.. La plainte de l'azurée fut vaine.
À peine était-elle arrivée qu'on l'avait privé de son arme - presque la moitié de son âme -, rien était plus normal dans le domaine, de son armure - sans laquelle elle se sentait nue -, et pratiquement on l'avait jeter dans une pièce puis dans un bain dans le but de la dépoussiérer un peu, la chance était que les personnes ce chargeant de son triste sort étaient des personnes qu'elle avait connu, notamment venant de la famille de son époux, il y a longtemps de vieux amis ainsi on pouvait dire.
L'elfe tentait vainement de se plaindre du sort qu'elle subissait, mais, on ne lui laissait pas l'occasion de placer plus d'une plainte rapidement coupée par l'eau qu'on lui versait sur la tête. Certes, elle était plutôt déshydratée, pas au point d'accepter d'être noyée.
- M'aurais-tu conduit dans un piège ? Suivit d'une sorte de gargouillement étouffé, elle semblait néanmoins plutôt prompte à en rire vu sa réaction, oubliant un instant sa pudeur naturelle, pendant que les trois femmes gloussaient en arrière-plan en lui disant d'arrêter de se plaindre.
Elle ignorait s'il était capable de l'entendre, mais elle n'en doutait pas vraiment, bien qu'une tenture préservât la pudeur d'Ithrinn. Suivit d'une sorte de gargouillement étouffé, elle semblait néanmoins plutôt prompte à en rire vu sa réaction, oubliant un instant sa pudeur naturelle, pendant que les trois femmes gloussaient en arrière-plan en lui disant d'arrêter de se plaindre.
Il fallut un certain moment pour rendre à la vagabonde un peu de son air noble, et une fois qu'elle fut plus présentable et dans des atours moins guerrier, les femmes poussèrent dehors la malheureuse elfe qui n'avait plus grand chose à voir avec celle qui avait été trouvée dans la forêt.. Puisque cette dernière arborait à présent une robe légère blanche, qui montrait sans doute plus de peu qu'elle n'en avait jamais montrer et ses cheveux noirs étaient attachés en une tresse sur son côté gauche. Elle semblait néanmoins parfaitement gênée, jetant un regard si vexé qu'il en paraissait presque enfantin aux femmes qui s'éloignaient avec ses anciens vêtements. Elle confiait néanmoins son ressenti à l'elfe :
- Je me sens ridicule. Rougissant et évitant le moindre regard.
Elle n'était pas à l'aise et plus encore quand elle remarquait certaines de ses cicatrices qu'elle avait oublier ou fil des années, hormis l'immense cicatrice qui barrait son cou, comme un souvenir amer.
Lorsqu'ils arrivèrent tout deux vers le domaine, l'elfe se sentait soudainement très las, comme rentrer chez soi après une longue journée de labeur, elle savait qu'ici elle ne risquait rien et ne serait pas seule et ça la rassurait, elle sentait mieux les choses ici. Elle fut rapidement séparée de son sauveur, par trois femmes, qui l'emmenèrent dans une pièce un peu à part.
- Nous te la rendrons quand elle sera un peu plus présentable.
- Mais !.. Ilyanth.. La plainte de l'azurée fut vaine.
À peine était-elle arrivée qu'on l'avait privé de son arme - presque la moitié de son âme -, rien était plus normal dans le domaine, de son armure - sans laquelle elle se sentait nue -, et pratiquement on l'avait jeter dans une pièce puis dans un bain dans le but de la dépoussiérer un peu, la chance était que les personnes ce chargeant de son triste sort étaient des personnes qu'elle avait connu, notamment venant de la famille de son époux, il y a longtemps de vieux amis ainsi on pouvait dire.
L'elfe tentait vainement de se plaindre du sort qu'elle subissait, mais, on ne lui laissait pas l'occasion de placer plus d'une plainte rapidement coupée par l'eau qu'on lui versait sur la tête. Certes, elle était plutôt déshydratée, pas au point d'accepter d'être noyée.
- M'aurais-tu conduit dans un piège ? Suivit d'une sorte de gargouillement étouffé, elle semblait néanmoins plutôt prompte à en rire vu sa réaction, oubliant un instant sa pudeur naturelle, pendant que les trois femmes gloussaient en arrière-plan en lui disant d'arrêter de se plaindre.
Elle ignorait s'il était capable de l'entendre, mais elle n'en doutait pas vraiment, bien qu'une tenture préservât la pudeur d'Ithrinn. Suivit d'une sorte de gargouillement étouffé, elle semblait néanmoins plutôt prompte à en rire vu sa réaction, oubliant un instant sa pudeur naturelle, pendant que les trois femmes gloussaient en arrière-plan en lui disant d'arrêter de se plaindre.
Il fallut un certain moment pour rendre à la vagabonde un peu de son air noble, et une fois qu'elle fut plus présentable et dans des atours moins guerrier, les femmes poussèrent dehors la malheureuse elfe qui n'avait plus grand chose à voir avec celle qui avait été trouvée dans la forêt.. Puisque cette dernière arborait à présent une robe légère blanche, qui montrait sans doute plus de peu qu'elle n'en avait jamais montrer et ses cheveux noirs étaient attachés en une tresse sur son côté gauche. Elle semblait néanmoins parfaitement gênée, jetant un regard si vexé qu'il en paraissait presque enfantin aux femmes qui s'éloignaient avec ses anciens vêtements. Elle confiait néanmoins son ressenti à l'elfe :
- Je me sens ridicule. Rougissant et évitant le moindre regard.
Elle n'était pas à l'aise et plus encore quand elle remarquait certaines de ses cicatrices qu'elle avait oublier ou fil des années, hormis l'immense cicatrice qui barrait son cou, comme un souvenir amer.