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Le pouvoir politique - La Loi Officielle



Le Royaume Sélénien n’a pas qu'un roi à sa tête, mais toute une structure de seigneurs (ducs et comtes notamment) et d'autres officiels (notamment les Maîtres, agissant comme des ministres pour le Roi) qui rendent tous des comptes à la Couronne.

Le Royaume possède aussi une armée puissante que ce soit par le nombre, l'équipement ou même les compétences. Une mobilisation très rapide du peuple est possible dans les cas où cette armée professionnelle ne suffit pas.


Mode de Gouvernement


Le Royaume Sélénien est un système impérial se basant sur l’hégémonie d’une lignée impériale, les Kohan. Le Royaume est donc gouverné par un Roi, une autorité suprême qui ne répond de ses actes à personne. Lui et sa famille vivent à Sélénia et sont placés au-dessus de tout, recevant les hommages et gouvernant les villes les plus développées, ainsi que beaucoup de villages plus humbles. C’est le Roi qui décide de tout, que ce soit par lui-même ou au travers de ses représentants. Tous lui rendent des comptes.

Représentants du Roi, les ducs et grands seigneurs se chargent des villes les plus étendues et font partie du Conseil du souverain, qui comprend également les hauts dignitaires, tels que l’intendant, les généraux, les amiraux… Ils aident à la prise de décision et font état de leurs avancées et de leurs décisions par grands thèmes. Ils forment également le noyau de la Cour royale, tout en en ayant chacun une, de moindre importance.

La noblesse dispose du petit-peuple, qui est à son service, mais entretient une relation plus harmonieuse avec la bourgeoisie, qui forme l’élan économique de la nation.


Le pouvoir politique et son fonctionnement actuel


Le pouvoir est essentiellement détenu, comme dit plus haut, par le Roi mais aussi par la noblesse, d’une façon non négligeable. Au sein du Royaume Sélénien, la hiérarchie sociale a une importance primordiale.

Les classes sociales sont assez imperméables, au sens où il est souvent difficile de s’élever vers les strates de la noblesse, qu’elle soit haute ou petite, car l’individu qui le désire est très souvent mal vu et dédaigné : un parvenu. Il existe toutefois des cas d’ascension sociale importante, souvent au sein de l’armée, mais parfois en dehors de celle-ci.

Les libertés sont souvent égales au rang social. Les nobles pourront toujours se permettre plus de libertés que le bas peuple, même s’il y a des lois incontournables qui s’appliquent à tous.

Le Conseil Impérial et la Cour sont souvent composés de nobles, voire de quelques rares bourgeois qu’un noble aura pris sous son aile et sa protection, au vu de leurs talents particuliers.

En principe, le Roi est le décideur final à propos de toutes les lois dans le Royaume. Seulement, si celui-ci dispose en principe de ce pouvoir absolu, la réalité et les récents événements politiques ont fait que ce principe tend de plus en plus à ne pas être appliqué :

Avec la scission de l’Empire entre Fabius et Korentin Kohan, et récemment la sécession de l’Alliance des Cités Libres, les seigneurs et membres du Conseil du Roi ont progressivement gagné une influence de taille. Ainsi, une décision royale mal vue ou non soutenue peut mettre le Roi en situation très difficile. Les différentes seigneuries disposant d’armées privées et pour la plupart d’une influence assez grande sur le petit peuple qu’ils administrent directement, il est généralement assez mal vu de prendre des décisions qui ne plairaient pas aux gérants des différents territoires, mais aussi aux Maîtres très influents.


Divers courants politiques existent au sein de la Cour, dont voici les plus importants :

  • Les Royalistes conservateurs : ils soutiennent le système royal, et au sein de ce système ils soutiennent la lignée des Kohan. Ce courant s’était scindé, il fut un temps, en deux partis : les pro-Korentin et les pro-Fabiusiens. Toutefois la lignée de ce dernier semblant se retirer de toute prétention au pouvoir, et face à la perte d’influence des Kohan d’une façon générale, les royalistes pro-Kohan ont jugé plus judicieux de s'unir à nouveau.

  • Les Royalistes libéraux : ils soutiennent le système royal, mais ne soutiennent plus la lignée Kohan (même si parfois ce manque de soutien n’est pas déclaré ouvertement). La lignée Kohan étant de plus en plus critiquée, ils sentent le vent tourner, et ne veulent pas être pris dans la chute potentielle de leur ancien Empereur. Ils soutiennent donc un changement quant aux modalités de désignation du Roi, qui ne se baseraient plus sur cette lignée… Ils souhaitent en clair conserver ce système qui protège leurs intérêts et leur pouvoir, mais se détachent des Kohan, devenus un sujet trop à controverses.

  • Les Evolutionnistes libéraux, très minoritaires : ils ne soutiennent plus la lignée des Kohan, devenue pour eux trop controversée, et ils ne soutiennent plus non plus le système impérialiste, devenu selon eux désuet. Changer de lignée royale signifie pour eux changer de système, tout simplement. Ils aspirent à un autre système plus juste, et moins équivoque. Au sein de ce groupe toutefois, le consensus quant à ce nouveau système n’est pas clairement établi. Monarchie constitutionnelle avec partage des pouvoirs, mais sous quelle lignée, Oligarchie constitutionnelle, Démocratie, les idées fusent et sont confuses.


Vous l’aurez compris, la Cour est le lieu du pouvoir, et surtout un véritable plateau de jeu, où chacun tente de bouger ses pions, que ce soit par cupidité, par protectionnisme ou par idéalisme.

A ces jeux de pouvoirs actuels à la Cour, il est bon d’ajouter le poids du peuple qui résonne de plus en plus. La guerre de sécession ayant profondément divisé, suivie de la très mauvaise gestion des deniers publics, ont peu à peu plongé le peuple dans un état de colère et de famine criant, menant à plusieurs révoltes de celui-ci.

Ainsi, si le pouvoir du Roi est en principe absolu, celui-ci ne tient en réalité qu’à un fil aujourd’hui.


Protocoles


Le Royaume Sélénien se base sur un système impérial, où l’appartenance sociale a une grande importance. Il est donc régi par des codes bien définis entre les différentes castes, qu’il vaut mieux bien connaître pour ne pas froisser les susceptibilités de certains.

Voici les protocoles de la Cour :


  • Le roi et la reine : tous se prosternent devant eux à l'exception des invités d'autres races, des gardes en service et des membres de la famille royale. On sort à reculons des pièces où ils se trouvent. Ils ne s'inclinent devant personne.

  • Les membres de la famille royale : ils posent un genou à terre devant l’Empereur et sa femme. Tout le monde pose un genou à terre devant eux, ils se saluent entre eux en s'inclinant.

  • Les autres nobles : ils se prosternent devant l’Empereur, posent un genou à terre devant les membres de la famille royale, ils se saluent entre eux en s'inclinant devant un membre de rang supérieur ou égale.




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Société



Territoire et Organisation : le Royaume Sélénien


Les humains se sont installés sur l’île de Calastin, où ils se sont divisés en deux royaumes : l’Alliance des Cités Libres et le Royaume Sélénien régi par les Kohan.

L’influence du Royaume Sélénien s’étend sur toute la partie nord de l’île jusqu’aux environs du lac d’émeraude. En Calastin, la terre est peu fertile, mais suffisante pour l’élevage largement favorisé par la faune riche et abondante. Mais derrière cette faible fertilité se cachent dans le sol de nombreux filons de minerais.

Cette faction accueille toutes les races, sauf les Graärh qui sont des denrées rares.


Patriotisme



Blason :


Devise du Royaume Sélénien :
Le royaume peut être mis à genoux, mais jamais vaincu et toujours victorieux il sera.
Merci à Alford pour cette devise

Hymne du Royaume Sélénien :
Vive la liberté
Qui fait notre fierté,
Vive notre nation
Pour laquelle nous combattrons.

Loué soit l'Empereur,
Notre protecteur,
Loué soit son règne,
Apportant prospérité à son domaine.

La tradition est notre mère,
Qui rend notre nation fière.
Le droit est notre père,
Qui protège l'humanité entière.

Vive la liberté,
Qui fait notre fierté.
Vive notre nation,
Pour laquelle nous combattrons.

Qu'importe la mort,
Tant que le royaume est fort.
Qu'importe la difficulté,
Si cela apporte la prospérité.

Au nom du peuple nous vivrons,
Au nom du royaume nous nous battrons,
Au nom du roi nous bâtirons,
Pour eux trois nous vaincrons.

Vive la liberté,
Qui fait notre fierté.
Vive notre nation,
Pour laquelle nous combattrons.

Que terrorisés soient nos ennemis,
Car jamais nous ne laisserons tort impuni.
Que respectés soient nos alliés,
Car une main tendue nous savons honorer.

Merci à Alford pour cette hymne


Lois en vigueur


Liberté de circulation et de résidence :
Chacun possède la liberté de circuler et de résider où il le souhaite à l’intérieur du pays. Les étrangers sont également libres d’y circuler et de s’y installer, à la condition qu’ils respectent les lois et les protocoles en vigueur et ne représentent pas de menace pour la sécurité des citoyens ou du Royaume.


L’interdiction de discrimination :
Les Elfes et les Vampires résidant sur le territoire disposent des mêmes droits et des mêmes devoirs que les humains, et nul ne peut être discriminé sur base de son appartenance raciale.

Une exception à cette règle est faite pour les Vampires du Clan Elusis, qui sont désormais interdits de séjour sur le territoire du Royaume.


L’incorporation à l’armée :
L’incorporation se fait sur base volontaire, et tout citoyen, âgé de 16 ans, peut décider de s’engager dans l’armée afin de servir la patrie. Les différents corps d’armée sont ouverts aussi bien aux hommes qu’aux femmes (même si elles se font rares dans l’armée), et la montée en grade dépend des faits d’armes et des états de service.


La Justice :

  • Nul n’est autorisé à se faire justice soi-même et des poursuites judiciaires pourront être attentées envers quiconque s’y risquerait.

  • Nul ne peut être condamné sans avoir bénéficié au préalable d’un procès équitable.

  • Les jugements seront rendus par des juges et auront lieu au palais de justice. Les personnes qui le souhaitent sont libres d’assister à l’audience, sous réserve qu’elles ne perturbent pas le bon déroulement du procès.

  • Les peines encourues en cas de condamnation vont de l’amende, des travaux d’intérêt général, à des peines d’emprisonnement plus ou moins sévères pouvant aller jusqu’à la perpétuité. La peine de mort, quant à elle, n’est requise que dans les cas les plus extrêmes.

  • Le meurtre, les agressions physiques, le vol, le viol, l’escroquerie et la corruption sont considérés comme des crimes et peuvent être passibles de poursuites judiciaires.

  • Il est possible de déposer une plainte dans un poste de garde et de demander justice et réparation si l’on estime avoir été lésé.

  • L’Empereur possède la possibilité de gracier un condamné ou de commuer une peine.


Sécurité et criminalité :

  • Les citoyens ayant un comportement suspect peuvent être interpelés par des représentants des forces de l’ordre en exercice.

  • Un individu pris sur le fait, ou envers qui pèsent de lourdes suspicions, peut être conduit jusqu’à un poste de garde et maintenu en détention préventive pendant une durée limitée, en attente d’éclaircissements ou de son procès.

  • Le refus d’obtempérer à un représentant des forces de l’ordre constitue un délit et peut représenter une circonstance aggravante lors d’un jugement.

  • Les criminels en fuite font l’objet d’un mandat d’arrêt de la part des autorités et peuvent voir leur tête mise à prix.


Audience avec le souverain :
Le souverain ayant à cœur d’être à l’écoute de son peuple organise régulièrement des audiences dans son palais, pendant lesquelles les citoyens peuvent attirer son attention sur des problématiques sociétales ou environnementales, voire suggérer certaines réformes. Durant cette entrevue, il est d’usage de s’incliner et de s’adresser à l’Empereur en employant les termes « votre Majesté » ou « votre Altesse ».


Anoblissement :
L’Empereur dispose de la prérogative d’anoblir un citoyen selon son bon vouloir ; cependant, cet honneur sera exclusivement réservé aux personnes ayant contribué au rayonnement du Royaume ou œuvré pour la patrie.


La piraterie :
Tous les anciens pirates possédant une lettre de marque de la couronne sont appelés à entrer dans l'armée sous peine de perdre les faveurs et d'être déclarés hors la loi. La piraterie est interdite et punie de mort.


Esclavage :

  • Le Royaume pratique une politique abolitionniste en matière d’esclavage et nul n’est autorisé à le pratiquer.

  • La possession et la vente d’esclaves sont passibles de poursuites judiciaires.

  • L’asile politique est accordé aux esclaves en fuite qui, une fois la frontière passée, sont considérés comme des individus libres.


Le lien :
Toute personne liée à un Dragon, ainsi que son Dragon-Lié, est interdite de séjour à Selenia. Tous ceux décidant de braver cette règle seront punis de morts.



Loi de succession


En matière de succession, le peuple humain au sein du Royaume respecte et utilise la loi connue sous le nom de "primogéniture masculine". Voici les applications strictes de cette loi :

  • A la mort du suzerain en place, son premier fils hérite de tous les titres, de toutes les terres et de tous les pouvoirs que possédait son père.

  • Les titres qui ont été éventuellement distribués par l'ancien suzerain reviennent de droit à son fils (exemple : comté et duché) qui peut décider de les réaccorder à la même famille, de les distribuer à d'autres ou même de les supprimer purement et simplement. Ainsi chaque génération au pouvoir est en mesure de choisir ses vassaux.

  • Dans le cas où le suzerain n'aurait engendré aucun fils, le pouvoir retombe sur le frère cadet de celui-ci et sur ses propres fils.

  • Dans le cas extrême où il n'existerait plus aucun héritier mâle, le pouvoir retombe sur les femmes. D'abord la fille ainée du suzerain venant de disparaitre, puis ses cadettes, les tantes et les cousines (idem que pour les hommes donc), à la différence près que leur règne ne peut en aucun cas durer et qu'elles se doivent de redonner le pouvoir à leur premier fils le jour de ses 15 ans. A noter que le mariage qu'elle ferait alors nécessairement avec un homme ne portant pas le nom de Kohan serait "Matrimonial", c'est à dire que l'enfant à naître porterait le nom de la mère.

  • A noter que dans tous les cas, un(e) prince(sse) Kohan ne peut hériter avant ses 15 ans. Un régent peut-être nommé pour tenir les rênes du royaume jusqu'à ce qu'il/elle soit en âge de régner.



La famille


Le modèle familial dans le Royaume Sélénien est celui d’une famille de type patriarcal : c’est le père qui dirige la famille, puis les membres masculins de la famille dans l’ordre de prétention.

C’est le père qui prend les décisions et celles-ci sont irréfutables, que le reste de la famille les approuve ou non. C’est également lui qui pourvoit aux besoins des siens la majorité du temps. Lorsqu’il n’est plus là, ce sont ses frères qui prennent le relais, ou s’il n’y en a aucun, le fils aîné, qui le représente alors.

La mère est secondaire, bien qu’ayant un rôle important : c’est elle qui veille à la tenue de la maison, à la santé de son époux et de ses enfants. Dans les familles bourgeoises, c’est également souvent elle qui tient les cordons de la bourse et s’occupe de gérer les dépenses. Chez les nobles, elle a le titre de maîtresse de maison et organise les festivités, les déjeuners et autres mondanités et peut être membre de la Cour ducale ou royale.

On retrouve ce sectarisme également au sein du rapport au travail. Dans le Royaume Sélénien, certains métiers sont uniquement masculins, d’autres uniquement féminins, et quelques uns sont mixtes. Il est rare par exemple de trouver une femme soldate au sein de ce royaume.

Malgré cette hiérarchisation plutôt fermée, les sentiments familiaux et l’affection sont bel et bien présents, surtout chez les petites gens. Même si au sein de la noblesse, de par l’éducation et les conventions de la Cour, ils sont parfois peu montrés.

La différence d’éducation entre les strates sociales est bien marquée dans le Royaume Sélénien. L’accès à une bonne culture sera plus rare et difficile, voire improbable, pour les gens du bas-peuple. De même l’héritage de l’activité familiale a une importance majeure et un changement d’activité peut se révéler tout aussi difficile qu’un changement de caste sociale.



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