NERIHANA ELMHELAÜRA
HAYDA

Identité et caractéristiques

  • Race : Elfe des Cendres

  • Sexe : Femelle

  • Surnom : Nerihana ou Neri', "Riri" par les enfants

  • Date de naissance : 16 mars de 1543

  • Âge réel : 221 ans

  • Age en apparence : 20 ans

  • Lieu de naissance : Ancien Royaume Elfique, Ambarhùna

  • Lieu de vie : Caladon, Calastin.

  • Rang social : Bourgeoise (Née Noble)

  • Poste/Emploi : Enchanteresse, joaillère





    Caractéristiques physiques
  • Force : Faible

  • Endurance : Bonne

  • Coordination (agilité/réflexe) : Très bonne

  • Furtivité : Moyen

  • Perception : Bonne




    Caractéristiques mentales
  • Force mentale : Très bonne

  • Education : Très bonne

  • Charisme : Bon

  • Intuition : Moyenne

  • Espérance/chance : Moyen




    Résistances
  • Résistance physique : Bonne

  • Résistance magique : Très bonne




    Compétences
  • Magie : Maître

  • Expertise :

  • Arme 1 : Dague et poignard: Moyen

  • Arme 2 : Armes de trait: Très bon

  • Habileté : Maître

  • Navigation : Médiocre

  • Equitation : Moyen

  • Dressage : Médiocre




    Bonus
  • Bonus : Force Mentale (ELFE DES CENDRES), Perception (MARCHE NOIR)





Équipements

- Un collier avec une chaîne légère dorée, au bout de la chaîne, le pendentif d'une pierre d'émeraude taillée assez grossièrement. Cette dernière est entourée de deux petites boules d'argent, sûrement pour l'aspect décoratif. Ce bijoux est le premier que la jeune Elmhelaüra a créé lorsqu'elle apprenait les rudiments de la bijouterie avec son grand-père. Elle s’en sert de clef pour ouvrir le coffre d’objets précieux de sa boutique.
Glyphe: Accès, Permet l’accès à un objet (boîte) appartenant au porteur. Fait office de « clef ». L’objet ne s’ouvre que sur présentation du glyphe.


- Un arc en bois de mélèze portant de nombreuses gravures qualitatives. Il a été créé par Aldebäran Hayda, le grand-père de la jeune elfe, et offert à son fils Alanäan lorsque celui-ci a été promu rôdeur dans l’ancien empire elfique. La jeune elfe a ramassé cet arc qui a survécu à de nombreuses guerres, lorsque son père est décédé.
Glyphes: Grande portée, Portée de l’arme doublée grâce au vent qui l’accompagne.
Rayon solaire, Concentre la lumière à partir d’une source préexistante (soleil, feu, glyphe de lumière, spirite lampyre, etc) et la modèle comme un carreau. Ce projectile provoque des brûlures à la victime touchée en plus de la blessure initiale.



- Un bijoux de tête constitué d’une chaîne en or et de trois disques dorés, celui du centre étant plus large que les deux autres. Il est sans aucun doute de composition elfique et date d’Ambarhùna, il appartenait à sa grand-mère Zahlhamelina O’Hana, une noble.


Description physique

Sa bouille est d’un pâle naturel, à croire que les rayons du soleil sont incapables de lui offrir une teinte plus rosée. Ses sourcils fins et bien dessinés sont aussi blancs et argentés que le sont ses très longs cheveux épais, ces derniers étant souvent ornés de petits bijoux dorés. Son regard souvent absent et pourtant perçant est caractérisé par ses yeux d’un sombre vert olive, de ses pupilles toujours un peu plus dilatées que la normale.
Au centre de cette jolie petite face immaculée, un petit nez délicat et pourtant dépourvu de tout odorat trône, dessous, ses lèvres épaisses, charnues mais petites, sont toujours maquillées d’un rouge cerise et dessinent naturellement un air triste, souvent remplacé par un petit sourire charmeur et chaleureux.
Soutenant cette petite tête, un corps fin et élancé, tout aussi blanc que sa face et pourtant orné de petites tâches cendrées, qu’elle veille à cacher de par ses vêtements. Ainsi, ses tenues sont toujours raffinées et délicates, veillant à ne jamais trop en dévoiler. Avec ceci, elle porte toujours des bijoux dorés, souvent en parure, bien que le collier ne soit jamais assorti, ce dernier contrastant par une qualité moindre malgré la présence d’une émeraude.


Description psychologique

Au travail, la jeune elfe est très accueillante, elle est apaisante de par sa douceur et sa patience, bien qu’elle soit parfois un peu lente. Son charisme naturel la rend séduisante et facilite le contact avec ses clients, qui repartent en dépensant souvent plus que ce qu’ils n’avaient prévu. Elle est confiante et cultivée, elle connaît son sujet et semble on ne peut plus fiable, ce qui fait d’elle une bonne commerçante.

Indépendante, la jeune elfe est plutôt solitaire, ayant perdu les personnes avec qui elle était le plus proche. Ceci dit, cela ne fait pas d’elle une personne renfermée, elle est même plutôt extravertie, n’hésitant pas à aller parler ou demander son chemin quand elle se perd.

Et se perdre, cela lui arrive souvent, car malgré qu’elle soit si enjouée et charmante, la jeune elfe garde des séquelles de son passé. Elle est souvent distraite, confuse, il peut lui arriver de perdre ses mots ou de se perdre tout court, dans des visions qui lui apparaissent aléatoirement. Elle est aussi désordonnée, si ses clients voyaient son atelier, ils seraient probablement inquiets pour les bijoux ou les glyphes qu’ils lui confient, mais malgré tout, elle s’y retrouve mieux que personne dans ce qui semble être un bazar.

La jeune elfe est très passive, elle ne fait que rarement des choix importants, elle a plutôt tendance à se faire porter par les évènements et à accepter son sort tel qu’il est. Elle est d’ailleurs très pacifique, bien qu’elle sache se battre, elle n’utilisera ses connaissances que pour se défendre quand elle ne pourra plus esquiver.

Malgré cette passivité, elle possède des convictions, elle est loyale envers sa race, envers les elfes avant tout. Nerihana peut aussi souvent prendre des décisions impulsives, quand elle doit prendre une décision qui n’implique qu’elle, la demoiselle n’hésite pas et va rapidement de l’avant.
Elle est aussi très superficielle, aimant les belles choses raffinées, tout en étant charitable, n’hésitant pas à offrir aux personnes qui sont dans le besoin, quand elle en a la possibilité.

- Idées d’esprits-liés:
Vanesse, cafard, bernique, saumon, lamentin ou élan (ou autre, ce ne sont que des idées)


Histoire en Détails

Son enfance

Fils du couple bourgeois Hayda composé d’un artisan et d’une fonctionnaire, Alanäan a pourtant choisi la voie des armes. Il s’engage dans l’armée régulière où il rencontre Asadora O’Hana, une fille de noble, dont il tombe fou amoureux. Il ne reste cependant pas longtemps soldat avec elle puisqu’il est muté chez les rôdeurs, ayant été remarqué pour ses capacités impressionnantes.
N’ayant plus que sa mère, une érudite, celle-ci pousse sa fille Asadora à épouser Alanäan puisqu’avec le temps, la demoiselle est tombée sous son charme.
Ils finissent par se marier après quelques années et un peu plus tard, décident de fonder une famille, et c’est ainsi que vint au monde Nerihana Elmheläura née Hayda.
Prénom composé, les parents n’ont en réalité pas sû se décider et, à la vue de leur petite, ont décidé de lui attribuer les deux noms.
Le couple s’est occupé de la petite elfe jusqu’à ses vingt ans avant de reléguer son éducation aux grands-parents, tous deux trop occupés.
La jeune fille a donc passé la majorité de son temps entre Zahlhamelina, sa grand-mère veuve qui passait son temps à lui apprendre les manières nobles et à lui apprendre à repérer les beaux objets, et ses grands-parents paternels, Aldebäaran un artisan bijoutier et Selfira, une fonctionnaire.
Même si elle s’est souvent sentie seule, Elmhelaüra adorait apprendre de ses aînés et pour une elfe, ses capacités d’apprentissage, mais surtout sa mémoire, étaient alors remarquables.

Elle fait la connaissance ainsi de Kyla qui devint sa meilleure amie et qui dans sa gentillesse, l’emmenait parfois chez elle, quand Elmhelaüra voulait s’éloigner un peu. La demoiselle s’entendait tout aussi bien avec les parents de son amie, Siel et Vex’Hylia Aërendhyl.

A ses 100 ans, les parents de la petite Elmhelaüra ont voulu renforcer le côté noble un peu fragile de la lignée et on marié la demoiselle à un noble soldat appelé Elwäar Rigel. N’ayant pas son mot à dire, la jeune fille trouva du réconfort dans cette famille qui lui avait offert, par moments, la chaleur d’un vrai foyer.
Ce mariage ne fut cependant pas une si grande malédiction pour la demoiselle, son époux étant un soldat fort aimable et délicat. Lui non plus n’avait pas envie de ce mariage et finalement, ils ont passé leurs cinquante premières années plus comme de très bons amis que comme un couple. Pendant ces cinquante années, la demoiselle avait appris, auprès de ses parents et d’Elwäar, l’art de se battre, ou du moins de se défendre.
Très peu douée au combat, elle est plus douée dans l’esquive, bien qu’elle se débrouille au tir à l’arc, à de très longues distances, là où elle n’avait pas le moindre stress à l’idée de se faire prendre.

Mais après autant d’années à côtoyer ce jeune Elwäar, les sentiments de Nerihana Elmhelaüra n’étaient pas restés platoniques, elle commençait à l’aimer et à partir de ce moment, le timing décida qu’aucune faveur ne serait offerte à la jeune elfe.

Alors qu’elle voulait déclarer ses sentiments, une annonce surprend tout le continent. Des oeufs dragons, un retour de la magie. Les parents d’Elmhelaüra la força à apprendre cette magie, à la manier avec excellence. Du côté de son amant, ce dernier devait faire face à la reprise des guerres. Par chance, si l’on pouvait dire ainsi, ce sont les humains qui furent davantage touchés par les vampires, mais c’était sans compter l’alliance de l’empire elfique aux humains.

Elmhelaüra se retrouva seule, ses parents et son amant devant protéger l’empire tandis qu’elle se devait de manier à la perfection les arts magiques.


La bataille de l'Aube Rouge

Elmhelaüra avait dû quitter sa forêt à cause des miasmes, n’ayant pas beaucoup de choix, elle est amenée, avec ses parents, à rejoindre la rébellion à Aigue Royale. Là-bas, elle participe contre l’assaut des Almaréens, elle est en défense et s’occupe plus d’éloigner et de les blesser que de les tuer, cela étant contre ses principes. A ce moment-là, Elmhelaüra était encore pleine de vivacité, elle voulait venger son royaume attaqué, elle avait la rage de vivre. Lors de l’attaque des Almaréens, la  maîtrise de la magie de la jeune elfe n’étant pas encore optimale, elle choisit de se défendre avec ce que lui ont appris ses parents, le tir à l’arc. Ce fut une dure bataille et sans la fuite de Néant, ils n’auraient jamais eu de chance, à partir de ce jour-là, Elmhelaüra pensa qu’elle aurait dû mourir, son destin la menait à la mort à ce moment même et pourtant, elle l’a déjouée. Est-ce qu’elle vivait donc maintenant en roue libre ? Hors du destin, plus rien ne lui était prévu ? En tout cas, c’est comme ça qu’elle voyait les choses et au fond, cela lui procura un petit sentiment de liberté.


La Théocracie

Sous la Théocracie, Elmhelaüra est fatiguée, les précédentes batailles lui ont prouvé qu’elle n’était pas faite pour ça. Alors elle tente de vivre sous le régime de la théocratie, elle s’en sort bien au début, elle a juste tenté de ne rien dire de travers, elle travaille comme serveuse. Elle fait de son mieux pour sourire aux ennemis et essaie d’apporter son soutien aux plus pauvres et autres dans le besoin. Mais Elmhelaüra à cette époque, n’a rien à voir avec l’actuelle. Elle est fougueuse et s’exprime fort, alors un jour, dans son café où elle était serveuse, quelqu’un a proféré des mots dépassant les limites de la jeune femme à propos du peuple elfique. Et là, c’était la goutte de trop, sous l’impulsion, la serveuse a voulu lui faire recracher ses insultes, elle commence alors à s’exprimer fortement sur le Tyran blanc, le descendant en disant qu’il ne valait pas mieux qu’un verre parce qu’au moins eux, sont bons pour les écosystèmes bien que moches. Mais à peine cette première phrase sortie, elle avait sentit les regards lourds sur elle, elle sentait qu’elle était finie, alors elle se lâcha, elle lâcha tout ce qu’elle gardait au plus profond. Un vrai show pour les clients, ceux d’accord tentaient de masquer leurs sourires avec une bière et d’autres s'offusquaient, certains faisant semblant.
Mais le petit spectacle qu’offrait Elmhelaüra ne dura pas bien longtemps, quel établissement de beuverie officiel n’était pas sous surveillance à ce moment-là ?
Après son discours, Elmhelaüra se vit approcher par deux officiers qui ne passèrent pas leur temps à lui expliquer ce qui l’attendait, elle le savait, et tout le monde le savait. Elle se fit calme quand on la fit sortir de l’établissement, l’échoppe était tout aussi calme.
D’ailleurs, à partir de ce moment là, la jeune elfe commença à être silencieuse, à l’en croire muette, parce qu’elle savait qu’elle était au bord de la mort, et que si elle se défendait pendant qu’on la violait, si elle se défendait pendant qu’on la battait, c’était la fin.
Pendant ces années de prison, elle se demandait souvent pourquoi vivre, seuls ses parents et les souvenirs de son époux la faisaient tenir. Elle n’était plus que l’ombre d’elle-même, comme toutes les personnes présentes dans cette prison.
Heureusement, Elmhelaüra n’était pas vraiment seule là-bas, il y avait bien quelques autres elfes avec qui se serrer les coudes, contre d’autres qui étaient prêts à tout pour survivre, sans penser à autrui.


Une reconstruction à une vie normale est-elle possible ?

Quiconque connaissait Elmhelaüra dans son enfance ne pouvait nier qu’il y avait une différence. Où était passée la jeune fille pleine de joie, avide de connaissance et énergique ? Malgré que les dernières années passées auprès de sa famille étaient moins heureuses pour Nerihana Elmhelaüra que les premières, elle avait tout de même meilleure mine auparavant qu’à son retour de Morneflamme.
Et pourtant, personne n’avait remarqué une grande différence, personne ne savait qu’elle avait été dans cette terrible prison, prison étant sur le nouveau domaine elfique. Prison dont la jeune elfe était toujours proche, comme une ombre pour lui rappeler ce qu’elle y avait vécu.
Mais sa famille ne savait pas qu’elle y avait séjourné, personne ne lui avait demandé alors pourquoi le dire ? Ils pensaient s'être simplement perdus de vue, qu'elle avait réussi à s'en sortir par ses propres moyens sous la Théocratie ou qu'ils ne s'étaient juste pas retrouvés à la rebellion.
Elmhelaüra ne tirait aucune fierté de son séjour dans cette horrible prison et ne ressentait pas les besoins d’en parler, elle ne voulait pas recenser les évènements, elle voulait juste faire comme si de rien n’était, alors les laissa penser comme bon leur sembla.

Ses parents ont très vite replongé leur progéniture dans l’art de la magie, à peine retrouvée, ne se souciant que de très peu de la période de séparation qu’ils ont pu vivre. Ils n’étaient bizarrement pas étrangers pour autant, les repas de famille sont de nouveau chaleureux, chacun parle de sa journée, même si la reconstruction de l’empire elfique n’était pas de tout repos.
Ceci dit, si Alanäan et Asadora faisaient les aveugles, ce n’était pas le cas d’Aldebäran, le grand-père de la petite Elmhelaüra, avec qui elle avait passé la plupart de son enfance. Rien ne pouvait lui échapper, mais il avait aussi remarqué qu’elle n’en parlerait pas, alors il fit de son mieux pour rendre la vie de la jeune fille plus intéressante. Il faisait des petites balades en forêt avec elle, racontant son vécu, ils discutaient plantes, métaux, bijoux et autres. Lorsque le vieil elfe propose à Elmhelaüra du thé, elle ne savait qu’il avait des propriétés calmantes, il travaillait dans l’ombre pour aider la jeune elfe. Elle qui faisait de son mieux pour reprendre du poids, ayant plus que maigri, elle qui tentait de fuir ses cauchemars, ses souvenirs. Comme si tout n’avait été qu’un mauvais moment. Après tout, un mauvais moment n'est rien qu’un moment qui est mauvais, n’est-ce pas ?


La fin d’une famille, et du monde ?

28 mars 1760.
Cela faisait déjà presque un an, à deux jours près, qu’Elmhelaüra avait perdu sa mère et Alanäan sa femme. Il ne restait plus qu’un pauvre veuf et sa fille, tentant au mieux de vivre malgré la menace pesant sur eux, malgré les chimères. La jeune femme n’aimait pas particulièrement se battre, encore moins depuis qu’elle maîtrisait un peu plus la magie. Malheureusement, cette dernière était inutile contre les chimères, alors il lui fallait se défendre du mieux qu’elle le pouvait. Elmhelaüra et son père n’avaient eu d’autre choix que d’aller aux portes d’Estëllin même s’ils savaient que la fin était proche.
Et elle pouvait ne l’être plus pour Alanäan, en effet, lorsque les chimères finirent par arriver, c’était la grande guerre, et elle était perdue d'avance, le rôdeur perdit la vie, tué par l’une des chimères qu’il combattait à ce moment là. Cette nuit funeste, Elmhelaüra se retrouva seule et rendit les armes. Elle ne croyait plus en une victoire, elle était prête à se laisser emporter par son destin, par la mort. Mais cette nuit ne fut pas sa dernière, destin ou chance, en tout cas, la dragonne et ses éclairs permis aux elfes ayant encore de la volonté de mettre fin à ces chimères. Pour ce soir en tout cas.  
Personne n’était stupide, il fallait partir de cette Terre, encore, encore perdre son chez-soi. Elmhelaüra commença à croire que la paix n’était plus possible, et elle ne fut pas au bout de ses peines.



Keet-Tiamat


Toujours aussi seule, Elmhelaüra est pourtant accompagnée, ou plutôt, elle suit les autres elfes jusqu’à Keet-Tiamat où ils décident de refonder le royaume Elfique. Aidant un peu à mettre la main à la pâte, la jeune femme se tenait pourtant un peu plus loin de toute l’agitation, elle faisait encore son deuil. Ce n'étaient pas ces longs moments sur les flots qui avaient réussi à apaiser son cœur meurtri.
Alors la jeune elfe s’était installée près du fleuve et avec le temps, elle décida de faire quelques expérimentations non reportées sur ce dernier, par pur curiosité. Une fois le royaume mis sur pied, Elmhelaüra décida d’y travailler, dans la joaillerie, ayant tout appris de son grand-père dans son enfance. Elle apprend, travaille les nouveaux métaux, les pierres et tout ce qui pourrait avoir de la valeur sur ce nouveau continent. C’est à cette période qu’elle commence à mêler magie et bijoux.
Chaque jour qui passe, Elmhelaüra se balade en ville, elle prend même un autre travail de serveuse le soir, dans le but de revoir son époux, qu’elle ne sait mort. C’est cet espoir qui lui permet de retrouver le sourire, mais aussi et surtout une nouvelle connaissance.
Elle fait amie avec une autre elfe serveuse appelée Farhan et réapprend à vivre correctement malgré ses traumatismes de Morneflamme qui lui reviennent par moments.
C’est quand elle commence enfin à repenser à vivre normalement que tout bascule de nouveau lors d’une petite balade vers la forêt au cratère… Quand soudainement, alors qu’elle était à la recherche de plantes qui pourraient lui permettre de dormir, tout devint noir et… Plus rien.



L’Exil dans le désert

Depuis la mort de Farhan, la demoiselle est instable, dès qu’elle cherche un souvenir dans sa mémoire il lui arrive de revoir des personnes déchiquetées, des chimères, d’horribles visions lui apparaissent de manières aléatoire et elle peut même confondre une personne avec une chimère. Elle est incapable de vivre entourée de tant de monde et décide donc de simplement partir, n’ayant de toute manière plus la moindre relation dans ce royaume.
La jeune femme prend alors des vivres et se rend dans le désert, là où elle pouvait être assurée de ne croiser que ses visions.
Après plusieurs jours de marche, la jeune elfe tombe sur une oasis qui lui semble être le parfait endroit pour se poser. Elle met un moment avant de mettre sur pied un abri digne de ce nom, à vivre de manière digne mais peu importait, au point où elle en était.
Elle se satisfait de cette solitude, méditant contre ses bribes de visions de chimères, contre ses visions qui la hantent, vivant une nouvelle vie de chasse, de survie dans son petit havre de paix.
Après quelques semaines, Elmhelaüra a sa première visite, un jeune humain répondant au nom de Tobold. Celui-ci, visiblement un habitué du désert, aida la jeune elfe à s’en sortir un peu plus. Il revint quelques fois pour lui apporter des provisions ou tout simplement pour voir si l’argentée s’en sortait.

Au bout d’une année, Emhelaüra eût sa première visite, en avril 1964, c’est un duo d’enfants elfes qui viennent chercher refuge auprès d’elle. C’est ainsi que la demoiselle s’improvise grande-soeur, mère, tutrice ou peu importe, mais en tout cas, elle devait s’en occuper maintenant, hors de question de les laisser errer seuls. Alors elle commence à davantage avoir besoin de cette aide fournie par Tobold, ayant bien plus de bouches à nourrir.
Mais elle n’aura pas que ces deux petits à s’occuper, bien loin de là, au fil des semaines, d’autres elfes cherchaient refuge chez elle. Elle ne leur demanda jamais pourquoi et ils n’en dirent jamais rien, elle les accepta juste.
Cette petite famille était au final ce qu’il y eût de mieux pour l’argentée, ainsi, elle était capable de penser à quelqu’un d’autre, c’était son moyen de soigner ses blessures.
Malgré tout, Emhelaüra n’était pas pour autant devenue saine, loin de là, ses nuits ne sont jamais vraiment reposantes, sans parler de ses visions d’horreur qui sont toujours présentes. Simplement, elle n’avait plus de raisons de trop s’y fier, ni d’écouter ces voix d’horreurs qui lui rappellent ce qu’elle a vécu ou fait. Parce que d’autres voix ont besoin d’elle, et qu’elles sont bien plus importantes.

Pendant les quelques semaines avec ce monde, presque une vingtaine en juillet, Elmhelaüra en a profité pour leur apprendre quelques rudiments. Ne pouvant pas fabriquer des arcs sur mesure, elle a aidé ces jeunes elfes à la pratique de leur flux élémentaire ainsi que des rudiments de défense, l’esquive étant l’une des meilleures qualités de l’argentée.

En fin juillet, la demoiselle reçoit une nouvelle visite, mais cette fois-ci, ce n’était pas d’autres elfes qui cherchaient refuge après quelque jours dans un désert aride, non, c’était un petit groupe d’expédition.

Aldaron, cette âme qu’elle avait connue autrefois comme un elfe, qu’elle avait connue dans une prison où ils auraient dû y laisser leur vie, où Elmhelaüra a perdu la majorité de son être, lui était désormais un vampire.
Ce dernier lui apprit donc tout ce qu’elle avait loupé, alors que la jeune femme espérait un retour à la normal et réintégrer le royaume Elfique, la voilà qui apprends la chute du royaume, la mort du Roi… Il lui aura fallu un petit temps avant de pouvoir se remettre de l’information.
Elle n’avait définitivement plus rien ? Plus de racines, plus de quoi s’accrocher, il ne lui restait désormais que… Non, rien, plus rien.
Mais alors qu’elle commençait à devenir pessimiste, le vampire lui offrit une nouvelle perspective, c’était l’occasion pour Nerihana Elmhelaüra de devenir quelqu’un d’autre, de se reconstruire elle aussi. Il lui fit même part de ses intentions, celles de former un royaume où les vampires, les immaculés, les elfes sauvés, où tout le monde vivrait ensemble.

Mais la jeune femme ne pouvait balayer ses convictions d’un revers de la main, elle était toujours une elfe et voulait rester digne, trouvant cette nouvelle idée comme un véritable blasphème. Cependant, elle ne pouvait nier que cette idée sauverait beaucoup de monde, beaucoup de ces elfes qui étaient autrefois ses camarades. Alors elle laissa la garde de ces enfants à Aldaron, elle savait que c’était le meilleur pour eux, mais refusa de les suivre.

Ce n’est pas pour autant que le vampire laissa à l’abandon Elmhelaüra, il lui proposa de s’installer à Caladon, une ville loin de tout ça, où tous les peuples sont acceptés, une ville où elle pourrait recommencer de zéro, avec ses capacités d’enchanteresse ou même en joaillerie, elle pouvait largement réussir.
Aldaron lui propose même de prendre son ancienne cabane, dans un arbre, de quoi s’installer ainsi que l’insertion dans un réseau appelé “Marché Noir”.
Cette idée de nouvelle vie commença à plaire à Elmhelaüra, qui accepta ces propositions et demanda une faveur, qu’on l’appelle désormais Nerihana. Le prénom d’Elmhelaüra n’était qu’un souvenir du royaume elfique, quand elle était encore une noble magicienne travaillant pour eux. Nerihana, ce prénom là reflétait plus son côté terre à terre, ce côté de la jeune elfe qui voit l’âme avant la race, les actions avant tout préjugé.


Aujourd’hui

Elle vit depuis quelque temps à Caladon où elle s’est installée dans une cabane dans un arbre, en dehors de la ville, qu’elle a pu acquérir grâce à Aldaron. La jeune elfe a aussi acquis une boutique, elle a commencé à faire des enchantements, créant des glyphes sur-mesure à partir des objets qu’on lui apporte, ou à partir des bijoux de sa confection. Possédant un atelier dans sa boutique et un autre chez elle, l’une de ses activités principales en dehors du boulot est de créer d’autres bijoux avec des pierres qu’elle a acquis sur les marchés. Parce que bien qu’elle vive un peu en dehors de la ville, elle apprécie se balader, sortir et découvrir de nouvelles personnes.


Les moments forts

- 1754: Exil vers Aigue-Royale pour rejoindre la rébellion
Bataille de l’Aube Rouge: a rejoint l’armée de la Rébellion à ce moment là
- 1755: Tyran Blanc, sous la théocracie, elle n’a pas réussi à fuir la domination et, trois mois plus tard, après s’être faite repérée dans une échoppe à Gloria, elle est envoyée à Morneflamme.
- 1757: Libération de la demoiselle par la mort du Tyran Blanc et décès des Déesse: Déni de la part de Elmhelaüra qui croit toujours en leur présence. Elle part en 1758 rejoindre les autres elfes dans les montagnes du Nord-Est pour reconstruire le royaume.
- 1759: La demoiselle retrouve ses parents et reconstruit sa vie autour de la magie. Le 30 mars, la jeune fille perd sa mère qui meurt, cette dernière participant à l’escouade envoyée pour éliminer la menace de la tentative d’assassinat du prince vampirique.
- 1760: L’Obélisque était un grand espoir pour tous mais c’était finalement vain.
28 Mars: Attaque aux portes d’Estëllin, Elmhelaüra venait tout juste de retrouver son père là-bas et il meurt finalement devant elle, en la sauvant d’une chimère, dans la bataille.
- Août 1761: Keet-Tiamat est cédée aux Elfes. Réinstallation plus ou moins tranquille, elle se fait une amie appelée Farhan et réapprend à vivre correctement malgré ses traumatismes de Morneflamme qui lui reviennent par moments.
- Février 1762: Lors d’une balade dans la forêt, elle tombe soudainement dans le coma.
- Avril 1763: Sortie du coma, elle se retrouve face à Farhan qui lui offre un sourire radieux avant de mourir devant ses yeux. Cette dernière venait de la sauver d’une chimère qui la contrôlait depuis un peu plus d’un an maintenant.
- Fin avril 1763-Août 1764: Depuis que les chimères sont parties, Elmhelaüra n’a pas réussi à réintégrer la vie civile. Elle a décidé de s’exiler dans le désert.
Retrouvée par Aldaron et la troupe de l’expédition cherchant des survivants, elle est amenée sur Calastin et Aldaron la recrute pour ses talents d’enchanteresse au nom du marché noir.


Histoire - Questionnaire


Questions générales
Elles se décomposent en questions concernant les événements du vieux continent, et d'autres concernant les événements sur l'archipel.

  • Sur le vieux continent :

    • Pro-vampire, elfe ou humain ?
      Pro-Elfe

    • Lors de l'invasion almaréenne, étiez vous dans l'Alliance Fabius Kohan & Almaréen ou dans la Rébellion ?
      Dans la Rébellion, elle s'est battue à Aigue-Royale.

    • Face aux miasmes du Néant, avez-vous combattu ou fui ?
      Elle a fui, comme l'ont fait ses parents.

    • A l'ère du Tyran Blanc, Théocratie ou Protectorat ?
      Sous la théocratie, peu de temps avant de finir emprisonnée.

    • Avez-vous été à Morneflamme ?
      Oui, malheureusement.

    • Avez-vous été possédé par une chimère ?
      Oui, pendant un an.


  • Sur l'archipel :

    • L'archipel est un endroit à la fois splendide et plein de dangers : au(x)quel(s) votre personnage a-t-il été confronté, de près ou de loin, volontairement ou non) ? (Couronne de Cendres, Licornes, Ekkynopyre, séisme, monstres marins, etc..):
      Non, pas encore.

    • Pro ou anti-lien ?
      Neutre mais si on la force à faire un choix, elle dira pro-lien

    • Lors de l'ultime bataille contre les chimère, vous étiez... :
      Dans le coma, à cause d'une chimère justement.

    • En quoi avez-vous foi ? (Néant, les 7 déesses, les Esprits Liés, Origine, rien...) :
      Les Sept Déesses et les esprits liés

    • Votre/vos ambition(s), votre/vos projet(s) ?
      Elle a toujours espoir de revoir un jour son époux, Elwäar. De se stabiliser et de faire de nouvelles connaissances. Elle a aussi pour ambition et pour rêve d’un jour voir passer entre ses doigts un artéfact draconique, et de le lier pour en faire une glyphe.

    • Un avis sur la magie ?
      Très intéressée, elle est curieuse et aime la mettre en pratique au quotidien, dans les limites des lois bien-sûr.

    • Un avis sur les autres races ?
      Elle porte un véritable amour pour les elfes qu’elle considère au-dessus de tous, même des immaculés. Elle a une certaine méfiance pour ces derniers et aussi pour les vampires, mais ne va pas pour autant les détester. Ceci dit, Nerihana sait différencier la personne, son âme, de sa race, ainsi, elle ne portera pas de préjugés sur les personnes qu’elle rencontre.





Questions de Faction Alliance des Cités Libres
Cette partie contient des questions spécifiques à votre faction. Pour rappel, toutes les informations sur les factions se trouvent dans la section Factions.


  • Votre Cité préférée ?
    Endëaerumë et Caladon, son nouveau lieu de vie depuis peu.

  • Lors du soulèvement contre la Couronne Kohan ou étiez-vous ?
    Probablement sa période d’exil dans le désert de Keet-Tiamat.

  • Pro ou anti Kohan ?
    Neutre.

  • Pluriéthnique ou monoethnique ?
    Monoéthnique, Nerihana a toujours été plus à l'aise de vivre uniquement entourée d'elfes, ceci dit, au vu de ce qu'il en reste, Nerihana n'a plu d'espoirs à l'idée de refonder une cité composée d'elfes uniquement. Elle commence à se faire à l'idée de vivre avec plein d'humains ou de... Du reste..

  • Comment avez-vous vécu ou que pensez-vous des événements qui se sont produits à Cordont ? (Effondrement, ekkynopyre, exploration...)
    N’étant pas présente, Elmhelaüra a récemment appris les informations et est quelque peu inquiète par rapport à l’effondrement surtout. Ceci dit, elle n’a pas d’avis spécifique bien qu’elle les sait préjudiciables.


  • Un avis sur les autres factions ?

    Elle tient en horreur les pirates, pour qui elle tient responsable la perte définitive du royaume Elfique, bien que ce soit un elfe qui soit le roi de leur cité, la pratique de l’esclavage qui y est alors pratiqué l’horripile et elle considère ça comme un bafouement ultime de la mémoire elfique.
    Elle a aussi beaucoup de mal avec l’idée du royaume Erlië, n’arrivant pas à croire en l’entente entre elfes et vampires, redoutant que ce ne soit qu’une ruse pour détruire définitivement sa race, déjà proche de l'extinction.
    Nerihana Elmhelaüra est on ne peut plus neutre quant aux autres factions, n’étant pas très axée dans ce qu’elle considère comme les nouvelles politiques.




Liens

  • Aldebäran et Selfira Hayda : Dédécés. Ses grands-parents paternels. Ce sont ceux qui ont passé le plus de temps avec la demoiselle, ils ont fait une grande partie de son éducation, surtout son grand-père Aldebäran. Ce dernier lui a tout appris de la bijouterie, il était un artisan de qualité et tenait à ce que sa petite-fille connaisse un minimum, à défaut de son fils. Très complices, ils se racontaient tout.  

  • Zahlhamelina O’Hana : Décédée. Sa grand-mère maternelle, très proche aussi, lui a enseigné les arts des nobles, la littérature, les manières, l’histoire. Tout ce que devait savoir la jeune femme pour être une noble elfe digne de ce nom. Parce que peu importe si elle était née d’un petit bourgeois et d’une noble, elle avait le sang d’une noble et devait y faire honneur.

  • Asadora O’Hana : Décédée. Mère d’Elmhelaüra, les deux elfes étaient proches mais la mère avait toujours un côté très strict et autoritaire, il était rare qu’elle avait des gestes affectueux envers sa fille. Ceci dit, lorsque cette dernière était en détresse, un cauchemar, une peur, le côté maternel d’Asadora ne devenait que plus fort, elle était alors la plus douce et chaleureuse des mères, chantant de vieilles berceuses ou faisant à ce moment-là des câlins..

  • Alanän Hayda : Décédé, il était son père et était proche de sa fille, un peu plus que sa femme ne l’était. Il aimait lui apprendre des techniques de survie, des plantes ou parfois de quoi combattre, même si Elmhelaüra n’eut jamais la force nécessaire d’être une bonne combattante.

  • Elwäar Rigel: Décédé. Il était l’époux d’un mariage arrangé à leurs 100 ans. Tous les deux n’étaient pas particulièrement pour et ont vécu mariés sans vivre comme tels, de bons amis, Elmhelaüra a fini par développer des sentiments pour le jeune homme mais n’a jamais pu le lui dire. Elle espère qu’il soit encore en vie pour le revoir, lui en parler, elle ne pourra croire à sa mort que si elle voit un jour son cadavre.

  • Famille Aërendyl : Kyla est l’amie d’enfance d’Elmhelaüra, même si elles se sont perdues de vue à l’époque du Tyran Blanc. Elle et ses parents, Vex’Hylia et Siel, étaient un peu comme sa deuxième famille, ils l’ont bien aidé quand elle n’arrivait pas à parler de ses problèmes à ses propres parents. Elle n’a pas revu tout ce beau monde depuis longtemps qu’elle doute même qu’ils soient encore vraiment en vie. Mais comme son époux, elle espère vraiment qu’ils soient toujours vivants et que tout se passe bien pour eux.

  • Farhan Thelonim : - Décédée. Elle était une amie que s’est faite Elmhelaüra lors de la reconstruction de l’empire Elfique à Endëaerumë, elles étaient serveuses dans la même petite taverne. Cette dernière est décédée en essayant de tenir tête à la chimère qui possédait l’argentée, faisant appel au pouvoir des sentiments forts que la Farhan savait qu’elle avait à l’encontre de Elwäar.

  • Aldaron: En dehors de sa petite réputation qu’il avait déjà auprès des elfes à l’époque, les deux elfes se sont rencontrés la première fois à Morneflamme. Bien qu’ils n’étaient pas exactement ensemble, les deux se voyaient quelques fois et s'entraidaient. Ensuite, c’est à Keet-Tiamat qu’ils se sont recroisés et qu’il l’a sortie du désert en lui proposant une boutique et une maison à Caladon. Elle sait que c’est une bonne âme et qu’il a des intentions louables même si elle Nerihana n’est pas en accord avec ses idées à cause de son éducation.

  • Tobold: Un jeune humain, toujours accompagné de son chameau qu’il appelle Bobosse. Croisé à Keet-Tiamat, il est tombé par hasard sur la jeune femme puis après il revenait pour vérifier qu’elle allait bien avant de l’aider à s’approvisionner. Il fut une aide précieuse pour elle et les enfants. Nerihana eu la chance de lui dire au revoir et merci avant de partir pour Caladon.

  • Autone Falkire: - Personnalité qui n'est pas inconnue de par son grade au sein de cette nouvelle cité où vit désormais Nerihana. Et pourtant, la jeune elfe eut la chance de la rencontrer par le biais d'Aldaron, celui-ci semblant assez proche de la fameuse Autone. Nerihana ne fut pas indifférente à leur rencontre, le visage de la jeune femme lui rappelant sans le moindre doute une personne déjà croisée à Morneflamme. Mais elle ne fit pas par de ses doutes, ne voulant pas nécessairement se rappeler de cet instant. Depuis peu, une entente a été convenue pour que Nerihana enchante des armes pour les Falkire.

  • Satie Falkire: - Une bien jolie demoiselle avec de bonnes manières qui a été envoyée par Autone dans le but de lui proposer une entente avec la forge, ce que Nerihana a accepté.

  • Belethar Esperancieux: - Un humain qui avait l'air assez simple, quelqu'un de bien. Ils ont été présentés par Aldaron et deuis, Belethar est déjà venu deux ou trois fois pour acheter quelques bjoux à Nerihana.

  • Ilhan Avente: - Il est le conseiller de Caladon et semble-t-il l'époux d'Autone, elle ne le connaît que de nom.




Derrière le clavier

  • Petite présentation : J’ai pour surnom Haylo Ween ou Haylo, je suis une étudiante de 21 ans en licence de SVT et je fais du RP depuis que j’ai 11 ans à peu près, surtout sur des jeux vidéos puis sur des blogs et quelques forums. J’en fais assez régulièrement depuis, même si j’ai une tendance aux longues pauses de deux ou trois mois.

  • Particularité RP ? J’écris à la troisième personne, j’affectionne les dialogues mais je sais que les réponses longues des forums l’en empêche un peu. Sinon pas grand chose je pense.

  • Rythme RP ? Très irrégulier, ça peut aller de deux à trois fois par semaine comme pour une fois par semaine ou une fois toutes les deux semaines. Cela dépend de mes cours ou de ma motivation.

  • Comment as-tu découvert le forum ? Grâce aux joueuses de Panaa Sansurnom et de Reynagane qui vantait le forum en m’y invitant.

  • As-tu signé le règlement ? Yessir.