-> 13 juin de l'an 1762
Les premiers jours sur Nyn-Tiamat n’avaient pas été de doux repos, entre tension entre les différentes races en exode, le climat peu favorable, sans oublier la faune bien plus agressive que celle de l’ancien continent, au premier abord, il n’y avait rien à faire sur Tiamaranta, Toryné avait même imaginé ces nouvelles terres êtres le tombeau des survivants aux chimères. Cependant, la détermination de chacun à survivre avait finalement eu raison de ces nouvelles terres, bâtissant de nouveau empire dans des temps records.
Bien entendu, cela avait été aussi rendu possible par l’asservissement de cette espèce animale si singulière, les Graah. En effet, race animale plus intelligente que les autres, elle était non seulement dotée de parole, mais également d’un semblant de culture, ce qui la rendait bien pratique pour l’emploi de nombreuses tâches complexe, que du simple bétail ne pouvait accomplir. Leur apparence hideuse aux yeux de l’androgyne Zoophobe n’avait d’égale que leur utilité et il devait avouer être friand de ces esclaves-là, peu coûteux à l’achat et à l’entretien, si l’un tombait, il était immédiatement remplacé par un autre. Aerthia, le nouveau refuge des buveurs de sang avait ainsi pu rapidement se construire, selon les plans de Keziah, il devait reconnaître que son ami avait réalisé un véritable bijou défensive, à défaut d’être esthétique, pour le plus grand malheur du sublime vampire. Cependant, derrière la réalisation de cette ville, l’androgyne voyait certaines questions se soulever, il allait devoir garder un œil sur son prince à l’avenir.
Cependant aujourd’hui, il avait d’autre affaire en tête et surtout une autre personne que le prince des cendres. En effet, Toryné avait quitté sa nouvelle et sublime demeure pour aller rendre visite à une vieille connaissance. Le fléau rouge, son ancienne capitaine et aujourd’hui commandante dans l’armée vampirique, sa promotion ayant eu lieu peu de temps avant leur grande fuite de l’ancien continent, l’androgyne n'avait guère eu le temps de féliciter la vampire juvénile de lui-même. Certes, il ne doutait pas une seconde que la Makhaïra s’en moquerait éperdument, mais lui se moquait qu’elle puisse s’en moquer. Pour ainsi dire, Toryné avait envie de sortir et de voir du monde, sa fille était introuvable et ses servantes, bien que suffisamment cultivée pour tenir, une conversation avec lui, restait avant tout sous ses ordres et par conséquent, les conversations allaient toujours dans le sens voulu. Alors qu’Aphaïa n’était pas du genre à se plier en quatre pour lui faire plaisir, bien au contraire, l’on pouvait même dire qu’elle n’avait aucun respect pour son rang.
Envie de changement, goût pour la difficulté ? Peu importait, Toryné était arrivé devant la nouvelle demeure de la commandante, un bâtiment simple, mais dont l’aspect ne pouvait mentir sur la provenance noble de sa résidente. Le conseiller s’annonça, son rang suffit amplement à la servante qui lui ouvrit la porte, pour le laisser entrer. C’était donc dans le hall de la maison de son ancienne capitaine que l’androgyne attendait patiemment qu’Aphaïa daigne à venir le recevoir, tout en observant la manière dont était décoré et agencé les lieux.
Les premiers jours sur Nyn-Tiamat n’avaient pas été de doux repos, entre tension entre les différentes races en exode, le climat peu favorable, sans oublier la faune bien plus agressive que celle de l’ancien continent, au premier abord, il n’y avait rien à faire sur Tiamaranta, Toryné avait même imaginé ces nouvelles terres êtres le tombeau des survivants aux chimères. Cependant, la détermination de chacun à survivre avait finalement eu raison de ces nouvelles terres, bâtissant de nouveau empire dans des temps records.
Bien entendu, cela avait été aussi rendu possible par l’asservissement de cette espèce animale si singulière, les Graah. En effet, race animale plus intelligente que les autres, elle était non seulement dotée de parole, mais également d’un semblant de culture, ce qui la rendait bien pratique pour l’emploi de nombreuses tâches complexe, que du simple bétail ne pouvait accomplir. Leur apparence hideuse aux yeux de l’androgyne Zoophobe n’avait d’égale que leur utilité et il devait avouer être friand de ces esclaves-là, peu coûteux à l’achat et à l’entretien, si l’un tombait, il était immédiatement remplacé par un autre. Aerthia, le nouveau refuge des buveurs de sang avait ainsi pu rapidement se construire, selon les plans de Keziah, il devait reconnaître que son ami avait réalisé un véritable bijou défensive, à défaut d’être esthétique, pour le plus grand malheur du sublime vampire. Cependant, derrière la réalisation de cette ville, l’androgyne voyait certaines questions se soulever, il allait devoir garder un œil sur son prince à l’avenir.
Cependant aujourd’hui, il avait d’autre affaire en tête et surtout une autre personne que le prince des cendres. En effet, Toryné avait quitté sa nouvelle et sublime demeure pour aller rendre visite à une vieille connaissance. Le fléau rouge, son ancienne capitaine et aujourd’hui commandante dans l’armée vampirique, sa promotion ayant eu lieu peu de temps avant leur grande fuite de l’ancien continent, l’androgyne n'avait guère eu le temps de féliciter la vampire juvénile de lui-même. Certes, il ne doutait pas une seconde que la Makhaïra s’en moquerait éperdument, mais lui se moquait qu’elle puisse s’en moquer. Pour ainsi dire, Toryné avait envie de sortir et de voir du monde, sa fille était introuvable et ses servantes, bien que suffisamment cultivée pour tenir, une conversation avec lui, restait avant tout sous ses ordres et par conséquent, les conversations allaient toujours dans le sens voulu. Alors qu’Aphaïa n’était pas du genre à se plier en quatre pour lui faire plaisir, bien au contraire, l’on pouvait même dire qu’elle n’avait aucun respect pour son rang.
Envie de changement, goût pour la difficulté ? Peu importait, Toryné était arrivé devant la nouvelle demeure de la commandante, un bâtiment simple, mais dont l’aspect ne pouvait mentir sur la provenance noble de sa résidente. Le conseiller s’annonça, son rang suffit amplement à la servante qui lui ouvrit la porte, pour le laisser entrer. C’était donc dans le hall de la maison de son ancienne capitaine que l’androgyne attendait patiemment qu’Aphaïa daigne à venir le recevoir, tout en observant la manière dont était décoré et agencé les lieux.