La nuit était tombée sur une partie du monde et alors que certains se couchaient d’autres se lever. Et là où certains se laissaient tomber dans un sommeil profond, d’autres avaient accès un niveau d’éveil supérieur.
S’élevant hors du corps qui lui servait à la fois d’abri et de prison, Asmo savoura cet instant de libération. Jamais, au grand jamais, il ne pourrait envisager de vivre sans Erdrak, ou même de quitter le corps du Loup Solitaire pour vivre une vie éthérée dans ce nouveau monde qui s’offrait à lui. Mais pour rien au monde, il ne voudrait abandonner ces nuits de liberté.
Lorsque le Loup Solitaire s’endormait et que la conscience d’Erdrak sombrait dans le sommeil, celle d’Asmo s’envolait pour un autre monde. Il lui avait fallu un certain temps pour comprendre ce monde, l’atteindre régulièrement et facilement, puis pour s’y déplacer. Il lui avait fallu encore plus de temps pour appréhender l’immensité des possibilités qui s’offraient à lui, et même aujourd’hui, l’incarnation de la colère savait qu’il n’en avait vu qu’une infime partie.
S’élevant hors de son corps, Asmo put contempler le monde onirique tel qu’il le voyait. Un immense univers, une voie lactée, une galaxie, de points lumineux, chacun d’une couleur différente, d’une intensité différente. Dans toutes les directions, il y avait une quantité de possibilité.
Un sourire carnassier se dessina sur les lèvres d’Asmo. Il était sûr qu’il pourrait fusionner certaines de ses étoiles ou simplement les souffler. Il en était sûr, mais il n’avait pas encore trouvé le moyen de le faire. Par contre, il avait trouvé le moyen de pénétrer ces étoiles et donc de s’introduire dans les rêves des gens. Car ce qu’il voyait, ce n’était pas moins que l’esprit des personnes endormies.
Après plusieurs essais, Asmo avait appris à interagir avec les rêves et les modeler pour en faire ce qu’il voulait. Et ce qu’il voulait le ravissait toujours. Jamais sa soif de violence et de perversité n’avait été aussi bien alimentée qu’en développant ce pouvoir endormi.
Il observa l’univers devant lui à la recherche d’une lueur qui l’attirerait, ou d’une idée. Il ne lui fallut pas longtemps pour trouver ce qu’il cherchait et pour y pénétrer. Son esprit entra dans le rêve d’un autre et il resta invisible, juste en surface de la conscience et de l’inconscience de son malheureux hôte, le temps de l’observer.
S’élevant hors du corps qui lui servait à la fois d’abri et de prison, Asmo savoura cet instant de libération. Jamais, au grand jamais, il ne pourrait envisager de vivre sans Erdrak, ou même de quitter le corps du Loup Solitaire pour vivre une vie éthérée dans ce nouveau monde qui s’offrait à lui. Mais pour rien au monde, il ne voudrait abandonner ces nuits de liberté.
Lorsque le Loup Solitaire s’endormait et que la conscience d’Erdrak sombrait dans le sommeil, celle d’Asmo s’envolait pour un autre monde. Il lui avait fallu un certain temps pour comprendre ce monde, l’atteindre régulièrement et facilement, puis pour s’y déplacer. Il lui avait fallu encore plus de temps pour appréhender l’immensité des possibilités qui s’offraient à lui, et même aujourd’hui, l’incarnation de la colère savait qu’il n’en avait vu qu’une infime partie.
S’élevant hors de son corps, Asmo put contempler le monde onirique tel qu’il le voyait. Un immense univers, une voie lactée, une galaxie, de points lumineux, chacun d’une couleur différente, d’une intensité différente. Dans toutes les directions, il y avait une quantité de possibilité.
Un sourire carnassier se dessina sur les lèvres d’Asmo. Il était sûr qu’il pourrait fusionner certaines de ses étoiles ou simplement les souffler. Il en était sûr, mais il n’avait pas encore trouvé le moyen de le faire. Par contre, il avait trouvé le moyen de pénétrer ces étoiles et donc de s’introduire dans les rêves des gens. Car ce qu’il voyait, ce n’était pas moins que l’esprit des personnes endormies.
Après plusieurs essais, Asmo avait appris à interagir avec les rêves et les modeler pour en faire ce qu’il voulait. Et ce qu’il voulait le ravissait toujours. Jamais sa soif de violence et de perversité n’avait été aussi bien alimentée qu’en développant ce pouvoir endormi.
Il observa l’univers devant lui à la recherche d’une lueur qui l’attirerait, ou d’une idée. Il ne lui fallut pas longtemps pour trouver ce qu’il cherchait et pour y pénétrer. Son esprit entra dans le rêve d’un autre et il resta invisible, juste en surface de la conscience et de l’inconscience de son malheureux hôte, le temps de l’observer.