Ilyanth Neolenn
Le chantefeu écoutait les paroles du ténébreux avec perplexité tant celles-ci sonnaient étrangement à ses oreilles.
- Le plan astral ? La chimère ? Qu’est-ce donc ? demanda-t-il en fronçant les sourcils. Comment suis-je parvenu ici et où sont les esprits ? Pourquoi étais-je en train de chanter ? Vos propos me semblent si sibyllins et ma tête me fait tellement mal...
Disant cela, le jeune elfe posa sa main sur son front à la peau chaude et où palpitait encore la douleur de la possession par la créature chimérique.
Ses pensées étaient si confuses qu’il ne parvenait pas à comprendre la raison de sa présence sur le plan astral. Son regard fut soudain attiré un lieu cerné par un écrin de verdure et il ressentit le violent désir de s’y rendre. Après qu’Alford l’ait juché sur son épaule, tous deux s’acheminèrent en direction du palais de Végétal. Autour d’eux, les palais des autres esprits n’étaient que ruines et désolation ; une odeur pestilentielle et cadavérique émanait de celui de Vie tandis que le bâtiment d’Océan exhalait la puanteur d’un marais putride.
Lorsqu’ils parvinrent à proximité du sanctuaire de Végétal, leurs narines furent assaillies par les effluves parfumées de la végétation luxuriante qui s’y trouvait. Ilyanth manifesta son envie de le visiter et le mercenaire se risqua à y pénétrer, en dépit de la difficulté à progresser au travers de cet enchevêtrement de ronces et de lianes.
Puis celui-ci demanda au Baptistrel s’il ne l’avait pas déjà rencontré auparavant car ce dernier éveillait quelque chose en lui.
Songeur, Neolenn réfléchit à cette question, mais il était incapable de se remémorer le visage de ce vampire.
- Je ne sais pas, je ne me souviens pas vous avoir vu…dit-il avec franchise. Tout est si vague dans ma tête, peut-être que je me trompe…
Ensuite, avec douceur et en plongeant ses prunelles claires dans celles du guerrier, l’elfe ajouta :
- Pourquoi pensez-vous cela ? Est-ce que je vous rappelle quelqu’un ou quelque chose ?
Les deux rebelles poursuivaient leur route à travers la forêt dense et au fil de leur avancée, les fleurs devenaient plus nombreuses ; tout d’un coup, alors qu’Alford allait marcher sur l'une d'entre elles.
Le chantefeu poussa soudain un cri :
- Non ! Arrêtez ! Ne marchez pas sur cette fleur !
Confus, Ilyanth sentit ses joues s’empourprer. Pourquoi réagissait-il ainsi ? D’un air contrit, ce dernier murmura :
- J’ai un mauvais pressentiment…S’il vous plait, faites attention, ne marchez pas sur ces fleurs…
- Le plan astral ? La chimère ? Qu’est-ce donc ? demanda-t-il en fronçant les sourcils. Comment suis-je parvenu ici et où sont les esprits ? Pourquoi étais-je en train de chanter ? Vos propos me semblent si sibyllins et ma tête me fait tellement mal...
Disant cela, le jeune elfe posa sa main sur son front à la peau chaude et où palpitait encore la douleur de la possession par la créature chimérique.
Ses pensées étaient si confuses qu’il ne parvenait pas à comprendre la raison de sa présence sur le plan astral. Son regard fut soudain attiré un lieu cerné par un écrin de verdure et il ressentit le violent désir de s’y rendre. Après qu’Alford l’ait juché sur son épaule, tous deux s’acheminèrent en direction du palais de Végétal. Autour d’eux, les palais des autres esprits n’étaient que ruines et désolation ; une odeur pestilentielle et cadavérique émanait de celui de Vie tandis que le bâtiment d’Océan exhalait la puanteur d’un marais putride.
Lorsqu’ils parvinrent à proximité du sanctuaire de Végétal, leurs narines furent assaillies par les effluves parfumées de la végétation luxuriante qui s’y trouvait. Ilyanth manifesta son envie de le visiter et le mercenaire se risqua à y pénétrer, en dépit de la difficulté à progresser au travers de cet enchevêtrement de ronces et de lianes.
Puis celui-ci demanda au Baptistrel s’il ne l’avait pas déjà rencontré auparavant car ce dernier éveillait quelque chose en lui.
Songeur, Neolenn réfléchit à cette question, mais il était incapable de se remémorer le visage de ce vampire.
- Je ne sais pas, je ne me souviens pas vous avoir vu…dit-il avec franchise. Tout est si vague dans ma tête, peut-être que je me trompe…
Ensuite, avec douceur et en plongeant ses prunelles claires dans celles du guerrier, l’elfe ajouta :
- Pourquoi pensez-vous cela ? Est-ce que je vous rappelle quelqu’un ou quelque chose ?
Les deux rebelles poursuivaient leur route à travers la forêt dense et au fil de leur avancée, les fleurs devenaient plus nombreuses ; tout d’un coup, alors qu’Alford allait marcher sur l'une d'entre elles.
Le chantefeu poussa soudain un cri :
- Non ! Arrêtez ! Ne marchez pas sur cette fleur !
Confus, Ilyanth sentit ses joues s’empourprer. Pourquoi réagissait-il ainsi ? D’un air contrit, ce dernier murmura :
- J’ai un mauvais pressentiment…S’il vous plait, faites attention, ne marchez pas sur ces fleurs…
Spoiler :
L’elfe miniature et le vampire continuent tranquillement leur discussion tandis qu’ils se rapprochent du Palais de Végétal. Petit à petit l’odeur infecte d’un charnier pourri qui émane du Palais de Vie est remplacée par l’odeur nauséabonde d’un marais putride, cela semble provenir du Palais d’Océan. Les deux rebelles s’approchent encore et toujours du Palais de Végétal. Finalement, les effluves parfumés des végétaux s’y trouvant vous parviennent.
Alford se risque finalement à entrer dans la forêt recouvrant le domaine du Palais de Végétal. Il est assez difficile d’y progresser tant la végétation est dense. Il y a des fleurs un peu partout et alors que le vampire progresse, il s’apprête à marcher sur l’une d’entre elles.
Que fait Ilyanth ?
Alford se risque finalement à entrer dans la forêt recouvrant le domaine du Palais de Végétal. Il est assez difficile d’y progresser tant la végétation est dense. Il y a des fleurs un peu partout et alors que le vampire progresse, il s’apprête à marcher sur l’une d’entre elles.
Que fait Ilyanth ?