Endëaerumë
Après s’être établis au cœur de forêts tropicales, puis au sommet de gigantesques montagnes, les elfes ont décidé de s’installer dans un désert. Un environnement à première vue aride et aux conditions de vie difficiles. Mais les elfes vivent en communion avec la nature et le défi que représente Keet-Tiamat n’est qu’une façon supplémentaire de le démontrer.
C’est ainsi que les elfes entreprirent de construire la cité d’Endëaerumë, qui signifie dans la langue commune « la mer au milieu du désert ». Témoignage de la splendeur des elfes et leur capacité à faire prospérer la végétation même dans les milieux les plus difficiles.
Endëaerumë s’élève au nord de l’île de Keet-Tiamat, mais n’est pas en bord de mer. Elle est située dans les terres, à mi-chemin entre le bord de mer et le cratère. Enfin, la ville n’est pas perdue en plein désert, mais est construite non loin du fleuve Tampocuilë. Cette description de la cité elfique se fera de l’extérieur vers l’intérieur.
Lorsqu’un voyageur souhaite se rendre à Endëaerumë, il est rare que ce dernier choisisse la voie terrestre, tout bonnement parce qu’elle est éreintante et dangereuse, et si la chaleur ne vous tue pas, ce sera la faune hostile qui y habite. Cependant, rejoindre la cité par la voie terrestre n’est pas impossible, il vous faudra néanmoins beaucoup de vigilance et d’eau ainsi qu’une monture, de préférence un chameau ou un dromadaire. Non, le voyageur préférera se rendre à Endëaerumë par la voie maritime. Bien qu’elle ne soit pas située en bord de mer, il est possible d’atteindre la cité elfique par bateau. Le Tampocuilë se jetant dans la mer, il est possible de remonter le fleuve, ce dernier est assez large et profond pour permettre aux navires de passer.
Que le voyageur choisisse de se rendre à Endëaerumë par l’une ou l’autre des deux voies, il suivra le fleuve. La première chose qu’il verra alors sont les nombreux champs tout en longueur qui longent le fleuve. Le désert de Keet-Tiamat ne permet aucune sorte d’exploitation agricole, mais les berges du Tampocuilë sont une exception, sa présence fertilise grandement les horizons et permet une agriculture profuse bien que sur une zone restreinte.
Après avoir remonté le fleuve, vous pourrez apercevoir un port. Un espace de la rive droite du Tampocuilë ne sera pas recouvert de champs, mais d’une large construction en marbre grisâtre. De multiples bollards bornent le port et permettent aux navires de s’y amarrer avant que l’équipage et la marchandise ne puissent accoster. Tous les bateaux s’amarrent parallèlement au port. L’édifice portuaire s’avance un peu sur le sable et un village apparaît. Mithírbann, la ville du port accueillant les visiteurs, se présente à vous. Elle est composée d’une seule et unique place et en son centre s’élève une fontaine où se dresse une reproduction de la statue commémorant l’alliance des trois peuples. Cette place est bordée de multiples structures qui s’élèvent ou rentrent dans le sol. Ces structures ne sont ni plus ni moins que des entrepôts et les modestes habitations des dockers. Les édifices s’élevant du sol sont faits en pierres d’une couleur argentée et abritent généralement tout type de marchandises, sauf celles périssables ou particulièrement sensibles à la chaleur. Les édifices s’enfonçant dans le sol sont soit des entrepôts destinés à stocker les marchandises précédemment exclues, ou alors les habitations des dockers et cultivateurs, ces derniers étant creusés dans le sol afin de conserver une certaine fraîcheur. Mithírbann dispose tout de même d’une maison d’hôte de grande taille, offrant à l’étage de nombreuses chambres pour y passer la nuit, et au rez-de-chaussée une taverne disposant de quoi étancher sa soif et sustenter son appétit. Le port de Mithírbann se veut le plus simple possible, il ne s’agit pas d’un lieu de vie, mais d’un lieu de passage.
Une fois la halte à Mithírbann terminée, il est temps pour le voyageur de se remettre en route jusqu’à la cité d’Endëaerumë. Pour cela, il existe un chemin derrière la ville portuaire. Ce chemin est appelé la Voie Royale. C’est un chemin de quatre larges voies qui traversent le désert jusqu’à la cité. Les deux voies situées au centre de cette route sont des canaux qui permettent à de petites embarcations de naviguer. Et les deux voies situées aux extrémités des canaux sont des routes pavées de pierres blanches. La Voie Royale est bordée de palmiers offrant une ombre appréciable et de multiples obélisques de petite taille sur lesquels sont gravées des phrases elfiques. Ces phrases sont souvent des histoires, des poèmes, des chants et toutes autres créations artistiques littéraires.
Après avoir déployé de multiples efforts pour se rendre jusqu’à Endëaerumë, la cité apparaît aux yeux du voyageur. Mais la première chose visible sera sa muraille. Une épaisse et haute muraille bordant toute la cité, formant un cercle. N’ayant pas de luxuriante forêt ou de montagne formant une barrière naturelle, les elfes ont entrepris la construction de cette muraille afin de se protéger des intempéries, des monstres et autres fauteurs de troubles. Pour traverser cette frontière qui sépare la ville du reste du monde, il vous faudra passer par les portes de la cité. Deux grandes portes, entourées de chaque côté par deux fortifications et au pied desquelles se trouvent deux immenses statues d’elfes regardant vers l’horizon, permettent d’accéder à la cité elfique. La première est à l’arrivée de la Voie Royale, la deuxième est à son exact opposé et ouvre sur le désert.
Lorsque les portes de la cité s’ouvrent, le voyageur semble alors entrer dans un monde enchanté et comprendre immédiatement pourquoi l’on a nommé la ville ainsi. Il y a de l’eau absolument partout. De très nombreux canaux, faisant office de route au sein de la cité, parcourent la ville aux côtés de rues piétonnes, et se rejoignent en de nombreux bassins qui forment de véritables carrefours et ronds-points, au centre desquels trône toujours une fontaine ou une statue représentant des dragons, des scènes connues de l’histoire ou d’illustres personnalités elfiques. Toute l’eau de la cité provient d’une nappe phréatique située juste en dessous, ainsi que du Tampocuilë dont une partie est détournée au travers des canaux de la Voie Royale. L’eau y est toujours claire et pure, les elfes prenant grand soin de la maintenir propre, et il n’est pas rare de voir des individus s’y baigner afin de se rafraîchir lorsque le soleil est au plus haut.
C’est alors que vous remarquez l’ombre environnante qui recouvre cette partie de la ville que l’on peut qualifier de basse. En effet, lorsque vous levez les yeux, vous remarquez des murs omniprésents, qui ne sont rien de plus que des plateformes sur lesquelles sont construits les bâtiments de la ville. De multiples escaliers aux abords des canaux permettent d’accéder à cette partie de la ville que l’on peut qualifier de haute. Après avoir pris la bonne dizaine de mètres de hauteur qui séparent la ville basse et la ville haute, les différents quartiers vous apparaissent. Tous sont traversés de cours d’eau, qui ne sont ni plus ni moins que le sommet des viaducs traversant la ville et l’approvisionnant de cet élément. De multiples ponts d’une blancheur éclatante, tranchant avec la pierre brunâtre ayant servi à construire les divers édifices, relient les différentes plateformes sur lesquelles sont construits les quartiers. En vous penchant, vous pouvez voir en contrebas les canaux décrits plus tôt, mais également certains viaducs s’arrêter et se déverser en de petites cascades. Là-haut, de larges avenues vous permettent de vous déplacer dans lesdits quartiers.
Les quartiers d’habitations, qui occupent tout le sud de la ville, vous font prendre conscience que la ville n’est rien d’autre qu’un gigantesque jardin suspendu. La végétation est omniprésente, elle recouvre en grande partie les bâtiments et couvre tous les toits. De nombreux bassins d’agrément et belvédères ornés d’obélisques, tantôt de marbre blanc, noir ou rose, sont des lieux de détente privilégiés où les artistes viennent très souvent pour trouver l’inspiration, travailler où exposer leurs œuvres. Les quartiers résidentiels sont baignés dans la végétation et la culture.
Le quartier des affaires se trouve à l’est de la cité. La plateforme le soutenant est construite en rectangle, et ses bordures sont toutes jonchées de bâtiments accueillant diverses entreprises, hormis à quatre endroits. Les trois premiers, en raison des ponts qui permettent d’accéder au quartier, et le quatrième en raison d’un plateau d’élévation, permettant de faire monter jusqu’au sommet de la plateforme certaines marchandises transportées via les canaux en contrebas. Enfin, le centre de ce quartier est une place, recouverte de dalles de pierres blanches, sur laquelle s’installe le marché cinq fois par semaine.
Le quartier à l’ouest de la cité est le quartier militaire où l’on retrouve la caserne et les écuries de la ville. On y trouve deux baraquements : celui réservé à l’armée elfique chargée de faire la guerre et surveiller les murailles, et celui réservé à la milice chargée d’assurer la sécurité et l’ordre en ville.
Au nord de la cité on trouve le centre-ville avec à sa gauche l’ambassade vampirique, à sa droite l’ambassade humaine, et en son centre un grand édifice appelé le musée du souvenir qui concentre tous les éléments rappelant l’ancien continent.
Enfin, au centre de la cité, en son cœur, on retrouve le lieu où se concentre le pouvoir et toute l’administration elfique. Au centre de la ville d’Endëaerumë se dresse une pyramide. Une grande pyramide à base carrée et à faces lisses, faite de marbre noir, mais dont le sommet est en or. On remarquera cependant de nombreux balcons à l’édifice. Cette pyramide est nommée Niellúnë, elle est le palais elfique où vit la famille impériale, où siège le conseil et où est rendue la justice. Elle surplombe la ville de sa grandeur.
C’est ainsi que les elfes entreprirent de construire la cité d’Endëaerumë, qui signifie dans la langue commune « la mer au milieu du désert ». Témoignage de la splendeur des elfes et leur capacité à faire prospérer la végétation même dans les milieux les plus difficiles.
Endëaerumë s’élève au nord de l’île de Keet-Tiamat, mais n’est pas en bord de mer. Elle est située dans les terres, à mi-chemin entre le bord de mer et le cratère. Enfin, la ville n’est pas perdue en plein désert, mais est construite non loin du fleuve Tampocuilë. Cette description de la cité elfique se fera de l’extérieur vers l’intérieur.
Lorsqu’un voyageur souhaite se rendre à Endëaerumë, il est rare que ce dernier choisisse la voie terrestre, tout bonnement parce qu’elle est éreintante et dangereuse, et si la chaleur ne vous tue pas, ce sera la faune hostile qui y habite. Cependant, rejoindre la cité par la voie terrestre n’est pas impossible, il vous faudra néanmoins beaucoup de vigilance et d’eau ainsi qu’une monture, de préférence un chameau ou un dromadaire. Non, le voyageur préférera se rendre à Endëaerumë par la voie maritime. Bien qu’elle ne soit pas située en bord de mer, il est possible d’atteindre la cité elfique par bateau. Le Tampocuilë se jetant dans la mer, il est possible de remonter le fleuve, ce dernier est assez large et profond pour permettre aux navires de passer.
Que le voyageur choisisse de se rendre à Endëaerumë par l’une ou l’autre des deux voies, il suivra le fleuve. La première chose qu’il verra alors sont les nombreux champs tout en longueur qui longent le fleuve. Le désert de Keet-Tiamat ne permet aucune sorte d’exploitation agricole, mais les berges du Tampocuilë sont une exception, sa présence fertilise grandement les horizons et permet une agriculture profuse bien que sur une zone restreinte.
Après avoir remonté le fleuve, vous pourrez apercevoir un port. Un espace de la rive droite du Tampocuilë ne sera pas recouvert de champs, mais d’une large construction en marbre grisâtre. De multiples bollards bornent le port et permettent aux navires de s’y amarrer avant que l’équipage et la marchandise ne puissent accoster. Tous les bateaux s’amarrent parallèlement au port. L’édifice portuaire s’avance un peu sur le sable et un village apparaît. Mithírbann, la ville du port accueillant les visiteurs, se présente à vous. Elle est composée d’une seule et unique place et en son centre s’élève une fontaine où se dresse une reproduction de la statue commémorant l’alliance des trois peuples. Cette place est bordée de multiples structures qui s’élèvent ou rentrent dans le sol. Ces structures ne sont ni plus ni moins que des entrepôts et les modestes habitations des dockers. Les édifices s’élevant du sol sont faits en pierres d’une couleur argentée et abritent généralement tout type de marchandises, sauf celles périssables ou particulièrement sensibles à la chaleur. Les édifices s’enfonçant dans le sol sont soit des entrepôts destinés à stocker les marchandises précédemment exclues, ou alors les habitations des dockers et cultivateurs, ces derniers étant creusés dans le sol afin de conserver une certaine fraîcheur. Mithírbann dispose tout de même d’une maison d’hôte de grande taille, offrant à l’étage de nombreuses chambres pour y passer la nuit, et au rez-de-chaussée une taverne disposant de quoi étancher sa soif et sustenter son appétit. Le port de Mithírbann se veut le plus simple possible, il ne s’agit pas d’un lieu de vie, mais d’un lieu de passage.
Une fois la halte à Mithírbann terminée, il est temps pour le voyageur de se remettre en route jusqu’à la cité d’Endëaerumë. Pour cela, il existe un chemin derrière la ville portuaire. Ce chemin est appelé la Voie Royale. C’est un chemin de quatre larges voies qui traversent le désert jusqu’à la cité. Les deux voies situées au centre de cette route sont des canaux qui permettent à de petites embarcations de naviguer. Et les deux voies situées aux extrémités des canaux sont des routes pavées de pierres blanches. La Voie Royale est bordée de palmiers offrant une ombre appréciable et de multiples obélisques de petite taille sur lesquels sont gravées des phrases elfiques. Ces phrases sont souvent des histoires, des poèmes, des chants et toutes autres créations artistiques littéraires.
Après avoir déployé de multiples efforts pour se rendre jusqu’à Endëaerumë, la cité apparaît aux yeux du voyageur. Mais la première chose visible sera sa muraille. Une épaisse et haute muraille bordant toute la cité, formant un cercle. N’ayant pas de luxuriante forêt ou de montagne formant une barrière naturelle, les elfes ont entrepris la construction de cette muraille afin de se protéger des intempéries, des monstres et autres fauteurs de troubles. Pour traverser cette frontière qui sépare la ville du reste du monde, il vous faudra passer par les portes de la cité. Deux grandes portes, entourées de chaque côté par deux fortifications et au pied desquelles se trouvent deux immenses statues d’elfes regardant vers l’horizon, permettent d’accéder à la cité elfique. La première est à l’arrivée de la Voie Royale, la deuxième est à son exact opposé et ouvre sur le désert.
Lorsque les portes de la cité s’ouvrent, le voyageur semble alors entrer dans un monde enchanté et comprendre immédiatement pourquoi l’on a nommé la ville ainsi. Il y a de l’eau absolument partout. De très nombreux canaux, faisant office de route au sein de la cité, parcourent la ville aux côtés de rues piétonnes, et se rejoignent en de nombreux bassins qui forment de véritables carrefours et ronds-points, au centre desquels trône toujours une fontaine ou une statue représentant des dragons, des scènes connues de l’histoire ou d’illustres personnalités elfiques. Toute l’eau de la cité provient d’une nappe phréatique située juste en dessous, ainsi que du Tampocuilë dont une partie est détournée au travers des canaux de la Voie Royale. L’eau y est toujours claire et pure, les elfes prenant grand soin de la maintenir propre, et il n’est pas rare de voir des individus s’y baigner afin de se rafraîchir lorsque le soleil est au plus haut.
C’est alors que vous remarquez l’ombre environnante qui recouvre cette partie de la ville que l’on peut qualifier de basse. En effet, lorsque vous levez les yeux, vous remarquez des murs omniprésents, qui ne sont rien de plus que des plateformes sur lesquelles sont construits les bâtiments de la ville. De multiples escaliers aux abords des canaux permettent d’accéder à cette partie de la ville que l’on peut qualifier de haute. Après avoir pris la bonne dizaine de mètres de hauteur qui séparent la ville basse et la ville haute, les différents quartiers vous apparaissent. Tous sont traversés de cours d’eau, qui ne sont ni plus ni moins que le sommet des viaducs traversant la ville et l’approvisionnant de cet élément. De multiples ponts d’une blancheur éclatante, tranchant avec la pierre brunâtre ayant servi à construire les divers édifices, relient les différentes plateformes sur lesquelles sont construits les quartiers. En vous penchant, vous pouvez voir en contrebas les canaux décrits plus tôt, mais également certains viaducs s’arrêter et se déverser en de petites cascades. Là-haut, de larges avenues vous permettent de vous déplacer dans lesdits quartiers.
Les quartiers d’habitations, qui occupent tout le sud de la ville, vous font prendre conscience que la ville n’est rien d’autre qu’un gigantesque jardin suspendu. La végétation est omniprésente, elle recouvre en grande partie les bâtiments et couvre tous les toits. De nombreux bassins d’agrément et belvédères ornés d’obélisques, tantôt de marbre blanc, noir ou rose, sont des lieux de détente privilégiés où les artistes viennent très souvent pour trouver l’inspiration, travailler où exposer leurs œuvres. Les quartiers résidentiels sont baignés dans la végétation et la culture.
Le quartier des affaires se trouve à l’est de la cité. La plateforme le soutenant est construite en rectangle, et ses bordures sont toutes jonchées de bâtiments accueillant diverses entreprises, hormis à quatre endroits. Les trois premiers, en raison des ponts qui permettent d’accéder au quartier, et le quatrième en raison d’un plateau d’élévation, permettant de faire monter jusqu’au sommet de la plateforme certaines marchandises transportées via les canaux en contrebas. Enfin, le centre de ce quartier est une place, recouverte de dalles de pierres blanches, sur laquelle s’installe le marché cinq fois par semaine.
Le quartier à l’ouest de la cité est le quartier militaire où l’on retrouve la caserne et les écuries de la ville. On y trouve deux baraquements : celui réservé à l’armée elfique chargée de faire la guerre et surveiller les murailles, et celui réservé à la milice chargée d’assurer la sécurité et l’ordre en ville.
Au nord de la cité on trouve le centre-ville avec à sa gauche l’ambassade vampirique, à sa droite l’ambassade humaine, et en son centre un grand édifice appelé le musée du souvenir qui concentre tous les éléments rappelant l’ancien continent.
Enfin, au centre de la cité, en son cœur, on retrouve le lieu où se concentre le pouvoir et toute l’administration elfique. Au centre de la ville d’Endëaerumë se dresse une pyramide. Une grande pyramide à base carrée et à faces lisses, faite de marbre noir, mais dont le sommet est en or. On remarquera cependant de nombreux balcons à l’édifice. Cette pyramide est nommée Niellúnë, elle est le palais elfique où vit la famille impériale, où siège le conseil et où est rendue la justice. Elle surplombe la ville de sa grandeur.