Aërthia, la forteresse vampirique
La cité vampirique est fondée à l’image de son créateur, les mots d’ordre sont la protection et la grandeur. Située entre la grande forêt de l’île et les montagnes, les vampires ont utilisé les nombreuses ressources en bois pour construire des fortifications autour de l’endroit qu’ils avaient choisi comme étant leur maison. Une barricade complète entoure la ville, où on peut constater l’amélioration progressive des matériaux jusqu’à la pierre. Mais la plus puissante fortification dont profite Aërthia est sa chaîne de montagnes, un avantage militaire impossible à ignorer. Les fortifications se terminent là où les montagnes commencent.
La ville est divisée en deux étages, le plus haut complètement protégé d’un mur de pierre. Au sud de la ville, derrière la grande porte, trône le château, aux murs pâles en pierres et aux tours à toits pointus, il est fortifié d’un deuxième mur de pierres, surélevé sur un deuxième étage. Une construction de défense sobre, les décorations ne sont pas opulentes, mais détaillées, ce qui en fait un bâtiment à la décoration subtile. Les roses sont des gravures récurrentes, la végétation est représentée artistiquement. De chaque côté du palais, les deux tours militaires défendent la cité. À l’est de ce château, les bâtiments des plus nobles sont construits à même la montagne, ils bénéficient de l’endroit le plus protégé de la ville. À l’ouest, les ouvriers du château et les esclaves sont logés sur le même étage.
Le deuxième étage s’étend au nord, ainsi la ville est protégée par son château et non le contraire, puisque la ville est à l’arrière du château et des grandes portes. Les résidences les plus opulentes s’alignent près des murs de la ville. À l’est d’Aërthia, les bâtiments entourent un quartier pavé de pierres en une ellipse et une arche en pierre ouvre sur le quartier marchand. Les kiosques et commerces sont aussi disparates les uns que les autres et marchands de toutes races sont les bienvenus à venir commercer.
Le centre-ville accueille une diversité d’individus de classes sociales et de races différentes s’ils le désirent. Une grande place ronde aux dalles de pierres. Une partie de la terre reste non pavée pour y permettre de faire fertiliser la végétation l’été. Si la ville hivernale ne laisse pas la possibilité de créer de magnifiques jardins, la créativité des artistes est utilisée afin de donner son esthétique propre au centre-ville : sculptures dans la pierre et dans les métaux, décorations gothiques et gravures à bas et hauts reliefs donnent une allure unique à cette grande place.
À l’ouest, le quartier le plus pauvre prend place entre des ruelles plus étroites, et aux bâtiments plus nombreux et plus douteux. On peut y retrouver les quartiers les moins sûrs de la cité.
La ville est divisée en deux étages, le plus haut complètement protégé d’un mur de pierre. Au sud de la ville, derrière la grande porte, trône le château, aux murs pâles en pierres et aux tours à toits pointus, il est fortifié d’un deuxième mur de pierres, surélevé sur un deuxième étage. Une construction de défense sobre, les décorations ne sont pas opulentes, mais détaillées, ce qui en fait un bâtiment à la décoration subtile. Les roses sont des gravures récurrentes, la végétation est représentée artistiquement. De chaque côté du palais, les deux tours militaires défendent la cité. À l’est de ce château, les bâtiments des plus nobles sont construits à même la montagne, ils bénéficient de l’endroit le plus protégé de la ville. À l’ouest, les ouvriers du château et les esclaves sont logés sur le même étage.
Le deuxième étage s’étend au nord, ainsi la ville est protégée par son château et non le contraire, puisque la ville est à l’arrière du château et des grandes portes. Les résidences les plus opulentes s’alignent près des murs de la ville. À l’est d’Aërthia, les bâtiments entourent un quartier pavé de pierres en une ellipse et une arche en pierre ouvre sur le quartier marchand. Les kiosques et commerces sont aussi disparates les uns que les autres et marchands de toutes races sont les bienvenus à venir commercer.
Le centre-ville accueille une diversité d’individus de classes sociales et de races différentes s’ils le désirent. Une grande place ronde aux dalles de pierres. Une partie de la terre reste non pavée pour y permettre de faire fertiliser la végétation l’été. Si la ville hivernale ne laisse pas la possibilité de créer de magnifiques jardins, la créativité des artistes est utilisée afin de donner son esthétique propre au centre-ville : sculptures dans la pierre et dans les métaux, décorations gothiques et gravures à bas et hauts reliefs donnent une allure unique à cette grande place.
À l’ouest, le quartier le plus pauvre prend place entre des ruelles plus étroites, et aux bâtiments plus nombreux et plus douteux. On peut y retrouver les quartiers les moins sûrs de la cité.