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descriptionUne propriété décente, pour chacun. [PV : Lómion] EmptyUne propriété décente, pour chacun. [PV : Lómion]

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Fin Octobre

Belethar s’était levé de bon pied ce matin.

Le Manoir Espérancieux qui avait jailli de terre aussitôt qu’ils étaient arrivé dans la belle cité d’Ipsë Rosea demandait aujourd’hui un peu d’entretien et des retouches de ci de-là.

L’Espérancieux était très différent quand il faisait quelque chose de personnel plutôt que professionnel. Il avait étudié avec soin les plans de la maison, et s’était dit qu’il allait prendre sa matinée pour pouvoir la retoucher. Loin d’une certaine pression des rendus, des enjeux politiques importants et autres contraintes qu’il avait en temps normal pour ses projets rémunérés, l’esprit de l’Architecte était plus libre.

Cette liberté qui l’embrassait, le poussait à d’avantage garnir sa maison en décoration d’intérieur : il ajouta à diverses pièces ces petites choses qui manquaient, le poussa à revoir des dispositions de meubles et autres tableaux pour faire quelque chose de plus aéré, mais il en profita également pour mettre en valeur les quelques vieux livres familiaux qui lui restaient. Ces petites choses dataient de l’ancien Continent, et si c’était pour la grande majorité des traités sur la Magie assez anciens, Belethar les savaient suffisamment assez anciens pour dire qu’ils devaient vraisemblablement faire partie des premiers à aborder le sujet.

Non pas que c’était une très grosse exclusivité, l’Espérancieux savait bien évidemment que nombre d’autres théories et ouvrages existaient et pour certaines beaucoup plus travaillés que les nobles travaux d’humains qui s’intéressaient à la question. Mais c’était tout de même une petite fierté personnelle. Belethar n’était d’ordinaire pas très attaché aux possessions matérielles, mais en tant que Pater Familias, il était aussi de son devoir de perpétuer les valeurs de sa famille. C’était une tâche toute bête, mais cela passait aussi par mettre en valeur ce genre de choses.

Une fois qu’il eut terminé, Belethar fit preuve d’un peu d’acrobatie pour dégourdir ses jambes. Il sortit de chez lui, et monta directement sur son toit. Il avait remarqué quelques imperfections sur celui-ci, aussi devait-il faire usage de son savoir d’architecte pour remédier à cela. Ça n’était pas de grosses erreurs, mais cela avait le don d’énerver l’esprit perfectionniste de l’apprenti baptistrel. Il trouvait qu’il n’avait jusqu’à lors jamais pris le temps d’y remédier par lui même alors qu’il avait juré à sa famille vivant avec lui qu’il allait le faire.

Alors l’Espérancieux entama les travaux, alors qu’un petit vent vint souffler vers Ipsë Rosea, apportant avec lui la fraîcheur de l’hiver. Belethar porta son regard vers la cité, comme s’il cherchait le sens du vent. Il s’arrêta un instant, posant ses quatre pupilles sur les bâtiments qui constituaient son nouveau chez lui.

Il avait beau ne pas y résider depuis longtemps, Belethar s’était rapidement pris d’affection pour cette petite ville aux accents elfiques clairement déterminés. Il la considérait comme une curiosité, tel un émeraude au milieu d’une géode de quartz. Les personnes qui y habitaient étaient pour beaucoup sympathiques et avenants, ne cherchant pas vraiment le conflit outre mesure.

L’ambiance était pour ainsi dire vraiment différente des autres cités de l’Alliance : bien loin de l’excitation de Caladon, et du militarisme ambiant de Delimar. On s’y sentait mieux, plus dans l’accueil, réfléchi et posé.Bien évidemment, cela ne plaisait pas à tout le monde, et ceux qui n’aimaient pas cette ambiance se retrouvaient bien vite fort dépourvus. Mais Belethar aimait ces choses là, cela le reposait d’habiter dans un endroit calme, d’avoir une vraie bulle lui permettant de s’isoler du monde extérieur.

Cela étant, la Cité jouissait d’une certaine influence, et pour cela elle attirait de nombreuses personnes. Notamment les elfes qui avaient commencé à migrer de Keet-Tiamat massivement.

Les rumeurs sur leur venue en nombre était encore mystérieuses et pas encore d’une grande précision. Cependant, il se dégageait un discours assez commun en ville : ils avaient apparemment été victimes d’un grand mal, qui les avaient poussé à fuir.  Les Roséens les avaient donc accueilli, car après tout cette cité avait déjà certaines influences de cette culture. Cependant, il fallait aussi organiser l’immigration, que ces elfes soient logés proprement pour éviter qu’ils aient des conditions de vie pires que ce qu’ils n’avaient initialement.

C’était précisément l’objet d’une visite d’un elfe de la Loge, que Belethar devait recevoir chez lui aujourd’hui. Un certain Lómion Estarus, que le Pater Familias ne connaissait pas vraiment. Certains l’appelaient ici “le prodige de la Loge”, mais l’Espérancieux se méfiait toujours des gens que l’on appelait Prodiges, ou qui se considéraient ainsi.

Fruit des enseignements d’un Maître Baptistrel intransigeant en la matière, Belethar avait  été poussé dans ses retranchements à de nombreuses reprises alors que lui-même s’imaginait comme intellectuellement avancé par rapport à d’autres garçons de son âge. Alors depuis, il se méfiait, parce qu’il avait fini par estimer que rien n’était acquis.

Toujours est-il que l’Espérancieux était curieux : puisqu’il allait sûrement être amené à prendre des fonctions dans le pouvoir exécutif la Loge, il voulait savoir quels profils composaient cette organisation. Aussi, parler avec ce sire Estarus lui permettrait de satisfaire ses besoins, tout en -il l’espérait- passant un bon moment.

L’elfe ne se fit pas plus attendre que cela, et alors que Belethar avait tout juste terminé ses petits travaux sur son toit, il vit un cheval arrivé vers sa maison au loin. Bientôt, une silhouette aux oreilles effilées si caractéristiques de ce peuple se dégagea sur la monture.

L’Espérancieux, encore en tenue de travail, tâcha de se remettre d’aplomb pour être présentable, et hêla l’elfe qui se rapprochait inéxorablement :

“Bien le bonjour, Messire Estarus, enchanté, je suis Belethar Espérancieux ! Bienvenue dans notre modeste demeure !”

Belethar retint un sourire. Ça n’était vraiment pas commun qu’un maître de maison accueille directement ses invités, mais tellement propre à lui-même. Après tout, Les Espérancieux n’étaient pas des Nobles comme les autres.

descriptionUne propriété décente, pour chacun. [PV : Lómion] EmptyRe: Une propriété décente, pour chacun. [PV : Lómion]

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C’était un rendez-vous important, l’avenir de beaucoup d’elfes était sûrement en jeu et je ne pouvais décidément pas prendre cette rencontre comme acquis. Je m’étais donc levé tôt afin de me préparer. Je m’étais lavé  bien entendu, j’avais refais entièrement ma coiffure. J’avais pris le temps de refaire mes tresses parfaitement, je ne voulais rien laissé au hasard. Ce fut pareil pour la tenue. J’avais bien pris soin de choisir LA bonne tenue. Je m’étais décidé pour une tenue elfique assez officiel, mais pas le genre tenue à mettre dans les réceptions mondaines pour que la personne ne se sente pas trop mal à l’aise. Ça avait été une tache compliquer mais, je trouvais que je m’étais plutôt bien  débrouiller. C’était une tenue aux teintes sombres comme j’en avais l’habitude. Ma tenue avait des manches longue et un pantalon, ce qui serait parfait pour cacher les rougeurs que j’avais provoquées à force de me gratter.

J’avais emprunté un cheval pour faire le chemin jusqu’aux appartements de l’humain que je devais rencontrer. La ville était tout de même grande, ce serait plus simple avec un cheval. Je savais que ça pouvais surprendre et choqué les humains, mais j’avais décidé à crus, j’avais du mal avec cette habitude humaine en plus, un cheval ça pouvais très bien comprendre sans ses artifices.

Je profitai du chemin pour regarder un peu partout, je commençais à apprécier la vie ici, j’avais l’impression de retrouver la routine que j’avais perdu il y un moment. Tout cela me rassurait, je me sentais un peu mieux malgré certains détailles qui me gêner. Je finis par apercevoir une silhouette travaillant sur les toits. Je compris assez rapidement que c’était le jeune humain avec qui j’allais discuter. J’arrivais à temps pour pouvoir profité de l’agilité de l’humain. Il se présenta sous le nom de Belethar Espérancieux. Pour ma part, je mis doucement pied à terre et lui fis un salut elfique avec courtoisie.


Tout le plaisir est pour moi Sieur Espérancieux !



Je ne pus m’empêcher de remarquer que l’humain était beau, ses yeux étaient aussi hypnotisant que le regard d’un dragon et même les cicatrices sur son visage n’arrivait pas a gâcher le tableau, mais il en était rien. En fait, c’était même tout le contraire, ses cicatrises lui donner un charme sauvage et soulignais ses traits fins pour un humain. J’aimais beaucoup la couleur de sa chevelure, ça lui allait parfaitement. On louait très souvent la beauté des elfes, mais plus je côtoyais les humains, plus je me rendais compte qu’ils étaient beaux. Cela aurait très certainement fait polémique, mais je me rendais de plus en plus compte que j’étais sensible aux charmes humains. Je regardai la maison qui se trouvais derrière Belethar, elle semblait peu spacieuse, mais j’en avais cure, je n’étais pas là pour critiquer son humble demeure et je serais un bien piètre invité si je le faisais.

Je suis, on ne peu plus ravis de pouvoir faire affaire avec vous, le peuple elfique vous sera redevable !


J’attendis avec politesse qu’il me fasse signe de rentrer chez lui pour le faire. Je ne semblais pas m’offusquer du fait que les lieux ne soit pas noble et plein de richesse. En fait, mon regard fut directement attiré par les livres.

Vous avez des livres qui ont l’air très intéressant, je ne crois pas avoir déjà eu l’occasion de tomber dessus.


Je me rendis compte au moment ou je parlais que j’avais peut-être été un peu malpoli. Je rougis et m’inclinai devant le jeune homme.


Excusez-moi, j’en ai oublié la politesse.

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L’invité de Belethar salua l’humain avec politesse, faisant un petit salut pour témoigner sa bienveillance. L’Enwr prêta attention à son salut :

« Tout le plaisir est pour moi Sieur Espérancieux ! »

Au moins il semblait parler la langue commune avec facilité, et semblait coutumiers des routines humaines. Cela faciliterait la compréhension dans la conversation, c’était une bonne chose. Le Pater Familias n’attendit pas plus, et invita l’elfe à rentrer dans son humble Domus.

Le manoir Espérancieux n’en était à qu’à ses balbutiements bien sûr, et de ce fait la famille d’architectes avait d’abord fait construire le strict nécessaire, car dans l’attente de plusieurs autorisations des autorités Roséennes pour agrandir leur chez eux. Leur statut de « nouveau citoyen » leur permettait des choses, mais ils devaient aussi se faire au fait qu’ici, contrairement à Caladon, ils n’étaient pas grand-chose.

Cela ne gênait pas plus que cela Belethar, qui de toute façon n’était pas en sienne demeure très souvent, mais cela pouvait potentiellement devenir un problème pour des personnes comme ses cousins, ou d’autres personnes de sa famille qui n’avaient jamais pris la peine de s’éloigner du nid familial parce que celui-ci était déjà bien assez spacieux pour eux. Un coup d’œil sur l’intérieur de sa maison plus tard, il fut attentif aux réactions de son hôte :

« Je suis, on ne peu plus ravis de pouvoir faire affaire avec vous, le peuple elfique vous sera redevable ! »

Belethar se tourna vers Lomion, le jaugeant d’un regard, avant de lui faire un grand sourire :

« C’est moi qui suis ravi de pouvoir mettre à disposition mon savoir pour un peuple dans le besoin, Messire Estarus ! Mais nous aurons l’occasion de reparler de vos dits besoins plus tard, rassurez-vous. Puis-je vous encourager à venir dans notre petite cour intérieure ? »

Belethar accompagna sa parole avec le geste, désignant l’extérieur à l’Elfe. C’était une des grandes forces de la demeure dont le Pater Familias avait supervisé la construction. Son exposition au soleil était très forte, et ainsi ils avaient pu aménager autour des différents espaces de la maison, une grande cour intérieure au milieu de laquelle il y avait un petit bassin où coulait gentiment un petit flux d’eau.

Un dispositif magique, qui avait demandé un peu de technique, mais rien d’insurmontables pour ceux qui autrefois avaient été désignés de veiller sur les dragons par Drunzii. D’ailleurs, Lomion pu voir un début de pan de cette grande histoire, car l’Espérancieux remarqua qu’il était attiré par les diverses bibliothèques contenant les plus importants ouvrages écrits par la famille.

« Vous avez des livres qui ont l’air très intéressant, je ne crois pas avoir déjà eu l’occasion de tomber dessus. »

Puis l’elfe se confondit en excuse, suggérant le fait qu’il eut été malpoli. Belethar tâcha de rassurer Lomion sur ce point : il était ici en sécurité, et l’Espérancieux n’était pas du genre à être regardant sur ces histoires de protocole, et codes de politesse divers. Ça n’était peut-être pas commun pour quelqu’un de Noble naissance, mais l’étiquette n’avait jamais été la grande passion de Belethar. En vérité, sa passion pour les voyages lui avait ouvert l’esprit, et appris à rencontrer des gens qui ne venaient pas nécessairement du même milieu que lui. Pour tout ceci, il n’était pas vraiment attaché aux divers codes de politesse, malgré qu’il les maîtrise.

Une fois cette précision faite, alors que les deux personnes avançaient pour prendre place dans la cour intérieure, Belethar put préciser des choses sur ces livres :

« Ces livres sont majoritairement ceux narrant l’histoire de ma famille, les Espérancieux, et divers anciens traités sur la magie et son usage. Bien évidemment, ces derniers sont mis à l’épreuve par le temps et notre façon de gérer celle-ci, mais ils n’en restent pas moins inintéressants, pour ceux désirant s’y pencher. Disons que c’est au moins un fragment d’histoire qui peut être mis en perspective avec les usages actuels. »

Belethar pris une pause dans son discours, et demanda à un des servants de la Domus qui passait par là de ramener de quoi sustenter l’elfe et l’humain. Celui-ci hocha la tête, avant de partir vers le garde-manger.

« Mais la vérité, c’est que vous vous seriez présentés quelques années plus tôt, vous auriez vu une bibliothèque bien plus remplie que celle-ci. Nous avons beaucoup perdu avec l’invasion des almaréens, qui n’ont pas hésité à détruire nos ouvrages qu’ils jugeaient trop impies pour leur Dieu. »

Belethar soupira, avant de regarder vers le ciel :

« Mais tout ceci, c’est de l’histoire ancienne. J’imagine qu’il faut plus se centrer sur la reconstruction, plutôt que sur les regrets du passé. »

L’Espérancieux s’accorda un instant de pause, pour souffler. Le sujet des almaréens revenait souvent dans sa bouche, mais c’est un moment de l’histoire qui avait été véritablement terrible pour la famille, qui avait compté beaucoup de pertes matérielles et humaines à ce moment précis. Belethar haussa les épaules, par dépit, se racla la gorge et plongea son regard à quatre pupilles dans les yeux de l’elfe :

« Mais assez parler de moi, dites-moi plutôt : comment puis-je exactement aider votre peuple ? Il est vrai que si je constate l’arrivage de vos concitoyens récemment, je n’ai pas été mis au courant de tous les détails, aussi j’aimerai comprendre ce qu’il se passe, et quel serait la solution la plus adaptée pour vous autres. »

Le serviteur revint disposé divers mets sur une table autour des deux fauteuils dans lesquels avaient pris place les protagonistes, ainsi que de quoi se rafraîchir le gosier. Belethar tendit une main vers les mets, avant de préciser :

« Je vous en prie, servez-vous, votre maison est la mienne pour ces quelques instants ensemble. »

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Le jeune humain était décidément de plus sympathique ! Les humains étaient rarement aussi poli et prévenant avec les elfes, ce dernier était une vraie perle rare, avait il conscience à quel point ça pouvait le rendre attrayant pour moi ? C’était pas le moment de penser à ce genre de chose et à papillonner, j’étais tout de même là pour une raison sérieuse, pour l’avenir de  beaucoup des miens, de leur  bien être,  je ne pouvais pas prendre ça à la légère, il était temps que je me reconcentre.  Mes yeux se mirent  légèrement à briller,   quand il me parla  des livres,  je trouvais ça passionnant, j’ignorais  que certains  humains  gardaient  des mémoires  sur le passé, c’était quelque chose de très  important  pour un elfe de garder en mémoire   les ancêtres et  cela me faisait  tout  drôle de voir que  cela été  aussi important pour certaines  familles humaines et je  fus émue  d’apprendre que  les almaréens aient  pu détruire  de tels ouvrages, je mis  ma main  sur ma bouche, visiblement choqué.

La perte de l’histoire de sa famille est un drame, le peuple elfique accorde beaucoup d’attention à nos expériences passé et à nos ancêtres, nous pouvons aisément comprendre à quel point la  perte de ces trésors peut vous affecter, et je me désole encore plus qu’une telle chose puisse arriver.


Mes paroles étaient sincères, ça m'attriste réellement de savoir que des personnes avaient si peu de respect  pour les livres et  le passé des autre, ça  me révolte aussi, mais on ne pouvait  malheureusement rien y   faire, c’était en effet  le passé et  il  fallait maintenant se tourner  vers l’avenir et la reconstruction, il avait tout à  fait  raison.

Je ne suis pas  moi-même au courant de tous les détails, mais en effet, beaucoup des miens arrivent ici. Nous  sommes un peuple très casaniers,  si   beaucoup des miens  décident de partirent  c’est que la situation la-bas est malheureusement dramatique.  Je crains  d’avoir  cru entendre parler d’une maladie mais je n’en  suis pas  certains.  Le soucis  1er  aujourd’hui, c’est que les elfes  ont des besoin assez différent  des  habitations humaines et qu’ils  ont  besoin d’un  endroit  pour se sentir chez eux.

Même, pour moi  qui étais parti  il y a un moment, ça  restait parfois  compliqué de me sentir à l’aise. Les maisons humaines  bien  que confortable sont  si… froide et surtout, j’avais toujours cette impression d'étouffer, je voulais que les miens  soient au mieux ici, je savais à quel  point ça avait du  être compliqué  pour eux  de partir et de laisser toute  leur  vie en arrière.  Il avait un peu de chance  sur ce  côté-là, j’étais là  pour les aider à être le moins dépaysés possible car, c’était quelque chose que j’avais vécu, je ne voulais pas qu'eux aussi aient à subir ça.

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L’Elfe avait ponctué les phrases de l’Enwr par la remarque suivante.

“La perte de l’histoire de sa famille est un drame, le peuple elfique accorde beaucoup d’attention à nos expériences passé et à nos ancêtres, nous pouvons aisément comprendre à quel point la perte de ces trésors peut vous affecter, et je me désole encore plus qu’une telle chose puisse arriver.”

Belethar arqua un sourcil, et inclina la tête vers le bas, en signe de reconnaissance :

“Nous n’avons pas la prétention d’avoir un héritage millénaire semblable à votre peuple, mais nous faisons de notre mieux pour perdurer la mémoire des uns et des autres. Vous voyez Messire Estarus, nous sommes des Nobles Aldaréens. Cela ne vous parlera peut être pas, mais ce qui nous différencie des autres Hommes, c’est que nous sommes une noblesse de Plume. Ce qui veut dire que nous n’avons pas acquis notre statut en nous battant, mais en faisant notre propre fortune, et en faisant des recherches importantes pour notre peuple.”

Le Pater Familias soupira, avant de tendre sa main vers Lomion, et lui montrer sa bague magique Pupillam :

“La bague que je porte est un fragment de cette histoire perdue avec l’invasion des Almaréens parmi tant d’autres. Je leur en ai longtemps voulu pour ce qu’ils ont fait, et je leur en veux toujours d’ailleurs mais … J’imagine que ne plus avoir ces ouvrages là nous permet de faire porter cette histoire différemment. Vous qui êtes du peuple elfique, j’imagine que la situation vous ait arrivé plus d’une fois : au-delà de simples livres, parfois il s’agit de rendre l’Histoire vivante. Et cela n’est pas toujours aisé. Sans doute avez-vous trouvé des choses pour faire vivre l’héritage des Estarus.”

Belethar prit une petite pause, avant de déballer des papiers et autres crayons pour pouvoir commencer à dessiner des choses pour aider Lomion à se figurer ce qui pouvait s’apparenter à un nouveau centre d’habitation pour le peuple elfique, avant de laisser Lomion préciser sa demande :

“Je ne suis pas moi-même au courant de tous les détails, mais en effet, beaucoup des miens arrivent ici. Nous sommes un peuple très casaniers, si beaucoup des miens décident de partirent c’est que la situation la-bas est malheureusement dramatique. Je crains d’avoir cru entendre parler d’une maladie mais je n’en suis pas certains. Le soucis 1er aujourd’hui, c’est que les elfes ont des besoin assez différent des habitations humaines et qu’ils ont besoin d’un endroit pour se sentir chez eux.”

L’Espérancieux commença à griffonner des choses sur un grand papier, tout en écoutant Estarus développer ce dont il avait besoin. Recréer une ambiance était des choses qu’il avait du faire par le passé, dans les nombreuses commandes qu’il avait assuré, aussi il n’était pas inquiet de la suite des événements.

Il suspenda le vol de son crayon une fois la base dessinée, et se pencha vers Lomion pour lui poser d’autres questions :

“Une maladie dites vous ? Mes confrères soigneurs baptistrels n’ont-ils rien pu faire pour vous ? Cela doit être un bien étrange mal si vous affirmez ne rien connaître de celui-ci, malgré votre savoir elfique millénaire … N’y a t-il rien de semblable à cette maladie que le monde ait connu ?”

Belethar marqua une courte pause, en pleine réflexion lui aussi, faisant tourner son stylo entre ses doigts, puis il reprit :

“Dites m’en plus sur les événements, et ce à quoi ressemblent vos territoires habituellement. Cela n’aidera qu’à perfectionner l’architecture du refuge. Comment ce mal vous a touché ? Qu’est-ce qui a provoqué cela ? Comment viviez-vous avant ? Qu’est-ce qui pourrait rassurer votre peuplade, Prodige de la Loge ?”

Belethar se pencha à nouveau sur son dessin, gardant l’oreille attentive et prêt à dessiner à la lumière de nouveaux détails qui lui aurait peut être échappé.

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Ce que me raconter l’humain était tout ce qu’il y a de plus intéressant, comme beaucoup d’elfe, j’avais tendance à penser qu’il valait mieux privilégier les manières pacifiques aux manières agressives. J’étais donc agréablement surpris de savoir que des familles humaines visiblement riche avaient utilisé l’art de l'intelligence plutôt que les muscles. Il parla ensuite de ma propre histoire familiale, j’eu un léger soupire.

En effet, la vie à fait parfois qu’on a dû sacrifier une partie de notre patrimoine pour survivre, ça n’a pas été de gaieté de peur. Je ne sais pas si j’ai énormément fait de trouvailles, mais je souhaiterais travailler sur des moyens de rendre ça.. Plus vivant ! J’aimerais travailler sur un sort ou un objet qui permettrait de visualiser des souvenirs ! Avec des formes en brume ou quelque chose se rapprochant de ce système.

J’avais pas fait assez pour ma famille, c’est en tout cas l’impression que j’en avais et je m’en sentais un peu honteux. J’avais toujours été un elfe très dynamique et surtout beaucoup accès aux recherches, j’avais passé tellement de temps à agrandir mon savoir que j’en avais parfois oublié les choses importante dans la vie, mais j'espérais pouvoir me rattraper un jour et prouver que je pouvais être un elfe digne.

j’ai quitté les miens il y a un petit moment et malheureusement ça signifie que je n’ai plus accès aux nombreux livres et au savoir si précieux qu’on conserve, mais de ce que j’ai compris et entendu, malheureusement, cette maladie semble parfaitement inconnu même de nous

Ce qui était d’ailleurs plutôt inquiétant, j’avais eu moi-même un sacré coup en apprenant ça et je sentais mon cœur être envahi par stress. Je gardai pourtant mon sourire, je ne supportais pas d’en savoir si peu sur la situation actuel des miens, surtout qu’il y avait ma fille là-bas. Mon visage se ferma quelques instants à cette pensée, plus que jamais j’aurais souhaité l’avoir à mes côtés pour la protéger et être un bon père.

Malheureusement je peux pas vous en dire énormément d’avantage, moi-même j’en sais que peu mais une chose est certaine, les miens ont peur, si ils ont quitté leur maisons c’est que la situation est on ne peu plus grave et que cette maladie de ce que j’en ai compris semble contagieuse.

J’eu tout de même un léger sourire face à la vague de questions qu’il m’avait posé, ça me rappelait un peu moi quand je m'intéressais à quelque chose ou quelqu’un, j’étais capable de poser 1000 questions, trop pour que le cerveau puisse tous les mémoriser en tout cas.

La problématique des habitations humaines, c’est qu’elles sont très fermées, le peuple elfique préfère les endroits aérés et lumineux ou l'on peut voir la nature ! La présence de plante me semble importante ! Nous y accordons énormément d’importance ! j’avais imaginé quelque chose avec de nombreuses fenêtres qui s'ouvrirais sur un jardin ou un parc, mais je ne suis point sûr que cela soit possible.

Je n’osais pas trop regarder ce qu’il dessinait, mais j’avais peur que cela soit hautement impoli.

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Belethar resta attentif à ce que l’elfe lui disait, et porta une attention toute particulière à ce qui pouvait lui servir dans ce futur combat contre la maladie :

“J’ai quitté les miens il y a un petit moment et malheureusement ça signifie que je n’ai plus accès aux nombreux livres et au savoir si précieux qu’on conserve, mais de ce que j’ai compris et entendu, malheureusement, cette maladie semble parfaitement inconnu même de nous”

L’Espérancieux se frotta la barbe à la lumière de ces nouvelles informations. S’il espérait avoir des nouvelles informations, ce Prodige de la Loge ne lui en donna hélas que très peu. C’était regrettable. Belethar roula ses yeux vers le ciel, se demandant comment une telle maladie avait pu se répandre si vite. Alors qu’il semblait plonger en pleine réflexion, il fit à Lomion :

“Je vais vous demander quelques détails médicaux Lomion, mais ces informations pourraient être utiles pour sauver votre peuple. Avez-vous une idée de comment cette maladie s’est manifestée, Messire Estarus ? Qui a été le patient zéro ? Et à quelle occasion ?”

En tant que guérisseur, Belethar savait que pouvoir retracer une chaine de contamination pouvait s’avérer important si l’on voulait comprendre les origines d’une maladie. Mais là encore, il était obligé de composer avec les informations qu’il avait. A moins que …

“Malheureusement je peux pas vous en dire énormément d’avantage, moi-même j’en sais que peu mais une chose est certaine, les miens ont peur, si ils ont quitté leur maisons c’est que la situation est on ne peu plus grave et que cette maladie de ce que j’en ai compris semble contagieuse.”

Cette information attira l’attention de l’Enwr, qui vit en celle-ci une potentielle occasion de mettre des choses en place. L’Espérancieux se frotta la barbe, tout en continuant à griffoner des ébauches de plan de refuge pour son voisin. Il lui fit ensuite, en regardant Lomion de ses quatre pupilles :

“Messire Estarus, que diriez vous de m’accompagner dans une aventure dans les terres de Keet-Tiamat ? J’ignore ce que nous pourrons y trouver, mais si nous voulons agir contre cette maladie, je pense que notre place serait utile là-bas, parmi votre peuple, et sur les terres où s’est développé l’origine du Mal. Vous pourriez par exemple reconnecté avec votre savoir pour entreprendre des recherches au sujet de la maladie, tandis que j’assurerais le transfert de votre peuple …”

C’était une idée qui pouvait se tenter. Après tout, si personne ne savait rien de cette maladie, Belethar pouvait potentiellement monter des premières expéditions pour au moins la comprendre, et mobiliser l’ordre Baptistral autour de celle-ci.

Mais pour l’heure, Belethar se concentra sur l’objectif initial de cette rencontre, qui était la construction du refuge. Il écouta en ce sens les directives d’Estarus, qui connaissait mieux que personne les coutumes de son peuple :

“La problématique des habitations humaines, c’est qu’elles sont très fermées, le peuple elfique préfère les endroits aérés et lumineux ou l'on peut voir la nature ! La présence de plante me semble importante ! Nous y accordons énormément d’importance ! j’avais imaginé quelque chose avec de nombreuses fenêtres qui s'ouvrirais sur un jardin ou un parc, mais je ne suis point sûr que cela soit possible.”

L’Espérancieux eut un sourire en coin, avant de repasser quelques coups de crayon sur son croquis désormais bien avancé :

“Tout est possible pour notre famille d’architectes de l’Archipel, Messire Estarus ! Laissez moi simplement peaufiner quelques petites choses …”

Belethar pris son crayon entre ses doigts, et avisa son dessin, avant de finalement y ajouter quelques détails, et de le tourner vers Lomion. Dans l’ensemble, l’Espérancieux avait imaginé un très grand bâtiment, pouvant indubitablement servir de grand refuge pour tous les elfes dans le besoin. Le Pater Familias avait pris soin d’intégrer cet édifice un peu à l’extérieur de la ville d’Ipsë Rosea, afin de ne pas contaminer d’autres personnes, sans pour autant les isoler complètement dans un cloître.

Le grand bâtiment semblait à première vue digne des plus grandes constructions elfiques réputées, faite dans le style d’Endëaerume, la capitale des Elfes en cet archipel. Il avait la forme d’une grande habitation classique que l’on pouvait voir à Ipsë Rosea, mais si l’on s’en approchait, on pouvait constater nombre ouvertures et fenêtres qui donnaient à voir sur le paysage de la ville, et surtout de la nature chère a ce peuple. Belethar adorait faire ce genre d’habitations banales, mais une fois étudiée dans le détail, on y voyait beaucoup de références et autres petites attentions de l’architecte.

Là, cela se sentait notamment dans la nature : L’Espérancieux avait pris soin d’installer le bâtiment dans un cadre en proche campagne, car il avait pris soin de mettre sur son croquis un fleuve semblant s’écouler autour du refuge, où l’on pouvait à l’occasion voir des animaux s’y abreuver. Bien sûr, à l’entrée de celui-ci, on y voyait l’emblème de la famille Espérancieux, la double pupille, qui veillait sur le bâtiment.

Belethar interrogea son confrère elfique :

“Qu’en pensez-vous, Lomion ? Si cela vous convient, je vous laisse l’opportunité de baptiser ce refuge, comme cela les vôtres se sentiront comme chez vous !”

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Vous savez, je ne suis qu’un humble elfe, les Estarus sont une famille pas si haut placé que ça, et même si j’ai réussi à me faire une petite place dans la loge c’est pas pour autant que j’ai accès à toute les informations que je souhaiterais malheureusement. Il est certains que je ne peux pas laisser mon peuple ainsi, je vais tenter de me renseigner auprès des miens pour en savoir plus sur ce mal.

Il était hors de questions que les miens se meurent et que je laisse ça faire sans rien dire, sans faire de recherche. J’étais un être fait pour le savoir et je comptais bien me servir de cette particularité. Le jeune homme me proposa ensuite une aventure, je souris malgré la situation :

Ce sera avec plaisir, bien entendu, j’ai des responsabilité ici qui font que je ne pourrais pas tout de suis accéder à votre requête d’aventure, mais j’irais demander les autorisations et préparer de quoi entreprendre ce voyage !

Bien entendu que ça m’intéresser, si ça pouvais aider mon peuple alors j’étais tout à fait positif à aller là-bas… On ne pourrait probablement pas se rendre en ville, si la situation était aussi dangereuse que les prétendais ceux qui été arrivé ici. Le jeune humain continuait de griffonner sur son dessin jusqu’à ce qu’il ai fini et qu’il tourne ce dernier vers moi. Au début, j’eu l’impression qu’il s'agissait d’un bâtiment très classique dans la nature, mais je finis par remarquer toutes les ouvertures et comprendre ou il voulait en venir. l’emplacement avec la riviére me plaisait beaucoup, ça m’avait l’air paisible.

Je suppose que vous connaissez les lieux où nous pourrions installer cette somptueuse bâtisse ? Cela me semble tout à fait approprié !

J’aurais bien aimé jeter un coup d’œil au lieu avant de décider. Cela me fis tout de même un peu rougir qu’il me demande donné le nom au refuge, c’était pour moi une grande responsabilité.

Ethol o Estel , cela serait un joli nom pour un refuge

En elfe ça signifie à peu près, retour de l’espoir.. Bon , il ne fallait pas le traduire mot à mot parce que ça donnait quelque chose de nettement moins classe, mais c’était dans cet état d’esprit en tout cas, je ne voulais pas que les miens perdent espoir. Ce bâtiment me semblait vraiment bien, mes compagnons pourraient s’y sentir à l’aise en plus si on était un peu éloigné, on aurat moins l’impression d’être juste des invité un peu forcé.

Ce que vous faites compte beaucoup pour nous merci

Je m'incline, un peu ému.


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Au fur et à mesure que l’échange se déroulait, Belethar en apprenait un peu plus sur son interlocuteur :

“Vous savez, je ne suis qu’un humble elfe, les Estarus sont une famille pas si haut placé que ça, et même si j’ai réussi à me faire une petite place dans la loge c’est pas pour autant que j’ai accès à toute les informations que je souhaiterais malheureusement. Il est certains que je ne peux pas laisser mon peuple ainsi, je vais tenter de me renseigner auprès des miens pour en savoir plus sur ce mal.”

L’Espérancieux se gratta la barbe, l’air pensif. Il fit à Lomion :

“Vous devriez effectivement. Et si vous voulez mon avis entier sur la question … Je pense que votre peuple à besoin de personnes comme vous. Ce que vous faites pour lui, personne ne pourra le remplacer. Alors si vous désirez un avenir meilleur pour lui, et le voir se recronstruire … Peut-être devriez vous guider les elfes dans ses nouvelles terres qui seront les leurs.”

Le Pater Familias adressa un clin d’oeil à l’elfe, puis repris :

“Vous qui êtes déjà connu comme le Prodige de la Loge, vous pourriez bien être connu comme l’Elfe ayant mené sa nation vers le Progrès… Ne prenez pas pour argent comptant ce que je dis, mais j’ai le sentiment que vous êtes un des plus impliqués pour eux ici, aussi vous devriez peut être affirmer cette place un peu plus.”

Belethar lui adressa un petit sourire. Après tout, depuis le commencement des événements avec cette maladie, aucun elfe sauf lui n’avait été le voir pour qu’il construise quelque chose pour eux, bien que la porte de l’Espérancieux était toujours ouverte. Aussi, il estimait que cela pouvait être reconnu.

Le Pater Familias fut également satisfait de voir que l’Estarus avait accepté la demande de Belethar au sujet de son expédition à Keet-Tiamat. Lui même tâcherait d’organiser cela les prochains jours, mais il avait quelques affaires à régler sur Calastin avant de pouvoir partir. A la vue du peu qu’il savait sur ce continent, il ne disait pas non à l’idée d’y aller avec un connaisseur. Cela l’aiderait à se mouvoir là bas sans considérations.

Et quant vint la question du refuge, Belethar eut un petit sourire en entendant la remarque presque innocente de l’Estarus :

“Je suppose que vous connaissez les lieux où nous pourrions installer cette somptueuse bâtisse ? Cela me semble tout à fait approprié !”

Encore une fois, le Pater Familias lui fit un petit clin d’oeil :

“Vous pensez bien qu’à l’instant où la famille Espérancieux a reçu votre requête, nous avons fait de nombreux repérages pour estimer le meilleur lieu où nous pourrions construire une telle habitation pour des elfes en manque de chez eux. Nous préparons très souvent nos travaux avant de voir nos clients … Moi, je suis uniquement là pour comprendre votre projet, et y donner votre patte personnelle.”

… Ce qui fonctionnait généralement très bien, l’émotion de Lomion le remerciant et choisissant le nom du refuge en témoignait. Voilà longtemps que Belethar exerçait ce métier à grande échelle, alors il savait comment satisfaire un maximum ses clients.

Constatant l’emballement de l’Elfe, l’Espérancieux écarta son dessin, et disposa deux verres face à lui, l’un pour son invité, l’autre pour lui. Il y versa un nectar aux fruits de sa maisonnée, avant de tendre son verre à Lomion. Belethar souleva son verre, et tendit le bras pour empoigner la main de l’elfe :

“Alors, trinquons nous à la construction d’Ethol o Estel, cher Prodige ?”

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