29 Novembre 1763
Pourquoi ? C’était la question que beaucoup de monde se posait. Je me demandais pourquoi il avait fallu que cette foutue maladie existe.. Pourquoi avait-il fallu qu’elle me tombe dessus ? Pourquoi j’avais ramené cette immondice en surface, j’aurais très certainement mieux fait de mourir là-bas, il y aurait eu moins de conséquence et puis ce n'était pas forcément une grosse perte. Pourquoi ça faisait si mal ? Les médecins qui m’avait pris en charge se posaient plutôt ce genre de question : pourquoi avait-il fallu que ce soit moi qui m’occupe de cet elfe ? Pourquoi faut-il que je fasse face à une maladie pareil ?
Je m’en voulais, je savais très bien que les gens qui tenter de me soigner prenaient des risques. Je ne pouvais pas m’empêcher de penser que peut être qu’ils avaient de la famille ? Des enfants ? Une femme ou un mari ? Et ils étaient pourtant là à s'occuper de moi, je les remerciais autant que je les haïssais. Plusieurs fois au cours de ces derniers jours, j’avais craqué, allant même jusqu’à supplier qu’on me laisse mourir, de toute manière, c’était la fin pour moi, je le sentais, cette maladie allait mettre fin à mes jours.
Je revenais d’une séance de grattage de coraux , mon corps entier n'était plus que douleur, j’avais d’ailleurs la sensation que c’était désormais ma vie… Et tristement j’avais hâte d’en finir, même si ça me peinait de savoir que j’allais mourir seul. Ce n'était pas grave, je savais que ma famille se souviendrait de moi,ils parleraient de moi comme étant un elfe de savoir et un être curieux. Ils parleraient de mes exploits de jeunesses. J’eu un faible sourire, je crois, que je commençais à vraiment me sentir prêt à la suite… Je ferma les yeux avec l’étrange impression que c’était la dernière fois que je le faisais. J’avais chaud, j’avais de plus en plus chaud, j’avais très certainement encore de la fièvre, j’arrêtais pas d’en avoir, mais celle-là semblait un peu différente. Ca me semblait plus fort, s’en était même douloureux, j’avais la sensation que tout mon être était en train de brûler et que j’allais finir en cendre. Je repliai sur moi-même, comme-si cela pouvait un avoir un quelconque effet sur ce que je vivais. J’entendis à peine que quelqu’un pénétré dans la salle, de toute manière, c’était sûrement que pour vérifier que pour vérifier l’état d’avancer des plaques de coraux et le repousse. J’avais si chaud que mon corps et mon visage commençait à perler de sueur. Pensant qu’il s’agissait d’un médecins, je demandai tout de même.
pourriez -vous m’apporter de l’eau?Je m’en voulais, je savais très bien que les gens qui tenter de me soigner prenaient des risques. Je ne pouvais pas m’empêcher de penser que peut être qu’ils avaient de la famille ? Des enfants ? Une femme ou un mari ? Et ils étaient pourtant là à s'occuper de moi, je les remerciais autant que je les haïssais. Plusieurs fois au cours de ces derniers jours, j’avais craqué, allant même jusqu’à supplier qu’on me laisse mourir, de toute manière, c’était la fin pour moi, je le sentais, cette maladie allait mettre fin à mes jours.
Je revenais d’une séance de grattage de coraux , mon corps entier n'était plus que douleur, j’avais d’ailleurs la sensation que c’était désormais ma vie… Et tristement j’avais hâte d’en finir, même si ça me peinait de savoir que j’allais mourir seul. Ce n'était pas grave, je savais que ma famille se souviendrait de moi,ils parleraient de moi comme étant un elfe de savoir et un être curieux. Ils parleraient de mes exploits de jeunesses. J’eu un faible sourire, je crois, que je commençais à vraiment me sentir prêt à la suite… Je ferma les yeux avec l’étrange impression que c’était la dernière fois que je le faisais. J’avais chaud, j’avais de plus en plus chaud, j’avais très certainement encore de la fièvre, j’arrêtais pas d’en avoir, mais celle-là semblait un peu différente. Ca me semblait plus fort, s’en était même douloureux, j’avais la sensation que tout mon être était en train de brûler et que j’allais finir en cendre. Je repliai sur moi-même, comme-si cela pouvait un avoir un quelconque effet sur ce que je vivais. J’entendis à peine que quelqu’un pénétré dans la salle, de toute manière, c’était sûrement que pour vérifier que pour vérifier l’état d’avancer des plaques de coraux et le repousse. J’avais si chaud que mon corps et mon visage commençait à perler de sueur. Pensant qu’il s’agissait d’un médecins, je demandai tout de même.