Belethar était en chemin vers Delimar, à nouveau en route pour rendre visite à son presque-frère. A la vue de son état la dernière fois qu’ils s’étaient croisés, l’Espérancieux avait tenu à libérer son agenda au plus vite pour s’assurer de son état physique.
Ça n’était pas qu’il tenait à lui, mais un peu tout de même.
Belethar avait pris pour l’aider dans son voyage une nouvelle monture : un fier destrier roséen à nature elfique, qu’il s’était offert récemment, où du moins qu’on lui avait offert.
Alors qu’il faisait une petite balade en ville, et qu’il visitait les commerces, un gérant de la grande écurie de la ville l’avait interrompu dans son petit tour pour lui indiquer que l’on lui avait fait parvenir une monture. Celui-ci était resté vague, et lui avait simplement dit qu’il s’agissait d’un “premier remerciement venu d’une personnalité de Caladon” pour son engagement dans la construction de la ville.
Aussi, il avait décidé de tout de suite faire prendre l’air au cheval, pour tester son endurance également, et peut être en profiter un peu pour voyager et essayer de résoudre le mystère de ce cadeau quasiment tombé du ciel.
Belethar était donc reparti sur les routes, sa famille commençait à être habituée et ne lui posait plus vraiment de questions à ce sujet. Et puis de toute manière, il avait l’alibi parfait : aller à Delimar puis à Caladon pouvait largement se justifier auprès des siens, dans la mesure où au-delà du plaisir de prendre l’air, il s’y rendait pour constater l’avancement des différents travaux de sa famille.
Il avait lancé un chantier à Caladon, et était en bonne voie pour obtenir celui à Delimar : ces visites étaient donc faites plus ou moins pour entretenir les relations commerciales, et bien d’autres choses encore.
C’était également un moyen pour Belethar d’exercer sa fonction d’apprenti baptistrel autre part que à Ipsë Rosea ou dans son entourage proche, et de lui permettre de faire évoluer son art. Ce qui n’était pas plus mal, dans la mesure où il avait eu tendance à un peu délaissée cette partie là de sa vie dernièrement.
Néanmoins, il y restait fermement attaché, et c’est pour cela qu’il prenait toujours avec lui un pendentif sous forme de blason du domaine, afin de pouvoir être reconnu par des civils en cas de besoin.
Et précisément, alors qu’il approchait de plus en plus des routes menant vers Delimar, il sentait qu’il allait en avoir besoin. Alors qu’il chevauchait tranquillement sur une route menant vers l’Océanique, il entendit un bruit inquiétant, dans une bordure de forêt non loin.
Sa curiosité, tout comme son sang, ne fit qu’un tour, et il décida de dévier de son axe bien défini pour aller scruter ce qu’il s’y passait.
C’est là qu’il y trouva une félidée très affaiblie. Il ne fallut que quelques instants pour Belethar pour comprendre qu’il s’agissait d’une Graärh, aussi, approcha t-il avec prudence d’elle, et il sortit son insigne, témoignage de sa venue en paix vers elle :
“Bonjour amie gräarh ! Que faites-vous ici seule ? Je suis Belethar Espérancieux, apprenti de l’Ordre Baptistral, je ne vous ferais aucun mall. Vous avez besoin d’aide ?”
Espérant que cette entrée en matière convaincrait la graärh de sa bonne foi, Belethar se rapprocha descendit de sa monture et se rapprocha tout doucement d’elle pour commencer à l’aider si besoin.
Ça n’était pas qu’il tenait à lui, mais un peu tout de même.
Belethar avait pris pour l’aider dans son voyage une nouvelle monture : un fier destrier roséen à nature elfique, qu’il s’était offert récemment, où du moins qu’on lui avait offert.
Alors qu’il faisait une petite balade en ville, et qu’il visitait les commerces, un gérant de la grande écurie de la ville l’avait interrompu dans son petit tour pour lui indiquer que l’on lui avait fait parvenir une monture. Celui-ci était resté vague, et lui avait simplement dit qu’il s’agissait d’un “premier remerciement venu d’une personnalité de Caladon” pour son engagement dans la construction de la ville.
Aussi, il avait décidé de tout de suite faire prendre l’air au cheval, pour tester son endurance également, et peut être en profiter un peu pour voyager et essayer de résoudre le mystère de ce cadeau quasiment tombé du ciel.
Belethar était donc reparti sur les routes, sa famille commençait à être habituée et ne lui posait plus vraiment de questions à ce sujet. Et puis de toute manière, il avait l’alibi parfait : aller à Delimar puis à Caladon pouvait largement se justifier auprès des siens, dans la mesure où au-delà du plaisir de prendre l’air, il s’y rendait pour constater l’avancement des différents travaux de sa famille.
Il avait lancé un chantier à Caladon, et était en bonne voie pour obtenir celui à Delimar : ces visites étaient donc faites plus ou moins pour entretenir les relations commerciales, et bien d’autres choses encore.
C’était également un moyen pour Belethar d’exercer sa fonction d’apprenti baptistrel autre part que à Ipsë Rosea ou dans son entourage proche, et de lui permettre de faire évoluer son art. Ce qui n’était pas plus mal, dans la mesure où il avait eu tendance à un peu délaissée cette partie là de sa vie dernièrement.
Néanmoins, il y restait fermement attaché, et c’est pour cela qu’il prenait toujours avec lui un pendentif sous forme de blason du domaine, afin de pouvoir être reconnu par des civils en cas de besoin.
Et précisément, alors qu’il approchait de plus en plus des routes menant vers Delimar, il sentait qu’il allait en avoir besoin. Alors qu’il chevauchait tranquillement sur une route menant vers l’Océanique, il entendit un bruit inquiétant, dans une bordure de forêt non loin.
Sa curiosité, tout comme son sang, ne fit qu’un tour, et il décida de dévier de son axe bien défini pour aller scruter ce qu’il s’y passait.
C’est là qu’il y trouva une félidée très affaiblie. Il ne fallut que quelques instants pour Belethar pour comprendre qu’il s’agissait d’une Graärh, aussi, approcha t-il avec prudence d’elle, et il sortit son insigne, témoignage de sa venue en paix vers elle :
“Bonjour amie gräarh ! Que faites-vous ici seule ? Je suis Belethar Espérancieux, apprenti de l’Ordre Baptistral, je ne vous ferais aucun mall. Vous avez besoin d’aide ?”
Espérant que cette entrée en matière convaincrait la graärh de sa bonne foi, Belethar se rapprocha descendit de sa monture et se rapprocha tout doucement d’elle pour commencer à l’aider si besoin.