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descriptionVerith - Verith de l'ire EmptyVerith de l'ire

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Verith


   
   

Identité de votre dragon


   Prénom : Verith
   Surnom : Verith de l'ire
   Date de ponte : Au cœur du troisième âge.
   Date d’éclosion : An 1553 du troisième âge.
   Age : 210
   Lieu de naissance : Le continent sauvage
   Lieu de vie : Tiamaranta

   

Caractéristiques (Cliquez ici pour les compétences)


   Force physique : Exceptionnelle
   Agilité : Bon
   Furtivité : Faible
   Réflexes : Très bon
   Endurance : Très bon
   Résistance : Maître
   Vol : Maître

   Force mentale : Exceptionnelle
   Perception : Très bon
   Intelligence : Très bon
   Beauté/charisme : Moyen
   Mémoire : Bon

   Griffes et crocs : Très bon
   Craché de feu : Moyen
   Combat en vol : Très bon
   Combat au sol : Exceptionnelle
   

   
   

   

Description physique


   

  Au début de toute chose était l’œuf. Il ne semblait rien avoir de particulier, d'une taille normale. Non plus impressionnant était la coquille qui semblait se rapprocher plus des écailles d’un dragon que d’une coquille d’œuf de dragon. Rugueux, même légèrement hérisser, l’œuf était une forteresse, dont la coque était très épaisse et hostile. Oui cet œuf protégeait à merveille l’être qu’il contenait du monde extérieur et vis et versa. En plus de représenter un mur protecteur, il est également la première épreuve que doit surmonter le jeune dragonnet à peine éveillé. Se fut un défi à la hauteur de Verith il lui fallut plusieurs heures pour venir à bout de ce dernier et ainsi se libérer de cette forteresse devenue prison. Dans l’obscurité de la coquille luisaient deux lueurs dorées, telles des flammes. Envoutant on pouvait y lire la colère, la haine et la détermination du nouveau-né. Alors que ses petites griffes d’ébènes sortaient de l’interstice venant par la suite agripper ce rebord, on entendit un grognement, aigu et faible, mais rempli de rage. Puisant dans les forces qui lui restaient, le jeune Verith éventra l’œuf en bondissant dehors. Tout compte fait, l’œuf était fragile une fois brisé. Le dragon qui venait d’en sortir peinait, épuisé par ce dur travail, à se mettre debout. Son museau était recouvert de sang tout comme ses griffes, preuves de l’acharnement dont il avait fait preuve pour briser son protecteur et en sortir. À cette époque, Verith était très petit et chétif, comme si le développement de l’œuf avait empiété sur le sien. Ses écailles étaient rouge pâle, très pâles d’ailleurs, couvertes de quelques rainures un peu plus sombres. Ses yeux, petits, furent l’unique chose qui ne changea pas chez lui. À la pupille verticale sombre comme les nuits, ses iris elles, étaient couleur jaune or profond desquelles s’échappaient une intimidante colère et une effroyable haine. Ses ailes étaient bien trop grandes par rapport à sa taille. Était-il sorti trop tôt de sa coquille ? Il ne manquait pourtant pas de place à l’intérieur. Chétif au museau un peu aplati et à la queue bien petite, le jeune Verith faisait grise mine.

Mais le rouge eut tout le temps de se développer en dehors de sa coquille. À l’air libre. Progressivement les écailles de Verith vinrent se renforcer pour en faire une des plus résistantes cottes de mailles Draconique, dont la teinte varia selon ses âges, tendant à devenir de plus en plus foncée. Quittant le rouge pâle pour le rouge, puis le rouge sang et finalement s’arrêter sur le rouge grenat dont il gardera la teinte jusqu’à la fin. Alors que ses écailles se développaient, son corps lui en fit de même. De petit dragon chétif qu’il était, Verith passa à un corps plus robuste et costaud. Sa taille augmentant, il prit de l’ampleur alors que sa musculature se développait rapidement, se forgeant un corps de combattant, de guerrier, de gladiateur alors qu’il enchainait les défis pour prouver sa domination. Ses ailes, trop grandes à l’époque sont aujourd’hui proportionnelles. Large, puissante et majestueuse elles soulèvent sans difficulté son être massif. Son museau aplati s’allongea rapidement tout en restant inférieur à la moyenne. Au sommet de son crâne, de parte et d’autre de la naissance de sa crête de cartilage, fine et légèrement plus sombre que ses écailles, venant orné sa tête, son cou, serpentant le long de son dos jusqu’au bout de sa queue, se trouve deux cornes brunes au teint cannelle. Ces dernières poussèrent ne manière précoce, elles s’avèreront être plus longue que la moyenne une fois son dernier âge obtenu. Pointu à ses extrémités elles suivent une forme légèrement sinusoïdale. Sa queue qui bien petite à l’époque le resta jusqu’à la fin de son âge de jeune dragon, poussant soudainement pour venir s’aligner de manière proportionnelle avec son corps. Pointues comme une lance en fin, les écailles sont particulièrement hérissées et acérées donnant l’impression d’avoir une masse à pique en guise de queue. Particulièrement redoutable, Verith n’hésite pas à s’en servir lors de ses combats, cette dernière tend d’ailleurs à grandir pour devenir plus longue qu’elle ne devrait l’être pour son corps.

Continuant sur la lancée de ses armes de guerre, aux extrémités de ces puissantes pattes se trouvent de redoutables griffes couleur d’ébène, particulièrement longue et acérée. Sa gueule est munie d’une rangée de terribles crocs aiguisés et pointus, ici dans l’unique but de déchirer et déchiqueter.

Dans l’ensemble, Verith possède une force non négligeable, amplifier par sa taille importante et qui tend à croire, pour espérer un jour dépasser celle de sa mère. Résistants et muni d’une endurance importante on remarquera tout de même quelques marques sur son corps, blessures de quelques honorables combats contre d’autres membres de son espèce.

   

   

Description mentale


   

  Alors que l'on entend de petits bruits sourds provenant de cet oeuf couleur de sang dont les rayures noires assombrissent encore plus cette coquille, un grondement invisible apparait. Née de l'oscillement magique, le monde, la nature le perçoit. Dans la trame magique, un éclair a lieu, bruyant, assourdissant, alors qu'un morceau de coquille éclate, venant tomber lourdement au sol. Dans l'obscurité de l'oeuf se mettent à apparaitre deux lueurs, deux lueurs dorées qui ondulent telles des flammes, deux yeux envoutants de par l'expression qui s'en dégage. Profond, l'un plonger de colère et l'autre baigner dans la haine. Viscérale, l'on pourrait décrire Verith comme l'avatar de ces sentiments. On ne sait pas d'où cela provient ni quel pourrait en être la cause, mais en son sein bouillonne une placide passion pour l'ire dans un tourbillon d'animosité qui parcourt son être tout entier. Il est très complexe de comprendre pourquoi Verith est encore en vie aujourd'hui, un être ainsi marqué par de violents sentiments aurait déjà du s'abandonner à une rage destructrice. En fait, il n'est pas si compliqué de comprendre pourquoi Verith ne sait pas laisser-aller au cataclysme. S'il est plongé dans la colère, il n'est que baigné dans la haine. L’alchimie donnant naissance à la rage n’est pas possible, les doses n’étant pas respectées. Ainsi le dragon flamboie d’une flamme gigantesque et éternelle de colère, mais aucune chaleur ne s’en dégage, la haine insuffisante maintient la rage en sommeille. Bien qu’il n’en soit pas conscient, Verith se trouve sur le bord d’un précipice, en équilibre instable, à la frontière entre la colère passionnée et une soif meurtrière de sang. On pourrait penser qu’un malaise en naîtrait, mais loin de là. Cette particularité inhérente au dragon qu’il est, a forgé ce qu’il est actuellement. La gentillesse étant affaire de perspective, la complexité du dragon rend difficile à la définir pour celui-ci. Néanmoins on peut le décrire comme un être désagréable de par sa nature. D’un tempérament flamboyant, Verith est profondément belliqueux ce qui régit donc presque tous ces rapports, les ramenant à des confrontations. Autant de force que d’égo, effleurant rarement l’intellect. Têtu et impulsif c’est bien souvent par la force qu’il règle ses conflits. Sa colère bouillant en lui le rend par nature irascible, si bien que le dragon à beaucoup de mal a contrôlé son sang froid. De par son bellicisme et sa naturelle arrogance, Verith se trouve être un mâle particulièrement dominant. Son désir de domination se retrouve dans son leadership qu’il utilise d’ailleurs pour assouvir ce besoin. J’ai parlé un peu plutôt de l’égo de ce dragon. Il est en effet important, d’autant plus que ce dernier est un dragon. Il n’a donc que très peu de respect et est même très souvent hautain. Celui-ci le pousse à une inconsciente témérité qui un jour finira par lui faire défaut. Bien que bourré de nombreux défauts il y a quelques qualités qui subsistent en lui, l’amour qu’il porte à sa mère et à sa sœur, mais néanmoins un amour que ne l’empêcherait pas de s’opposer à elles si besoin. Verith reste difficilement impressionnable, étant membre de la race Draconique il se considère comme supérieur. De se fait il ne supporte pas l’indifférence à son égard et il en coutera à celui qui viendrait l’ignorer.

Depuis son arrivée sur le continent Ambarhùnéen la colère du dragon n'a fait que croitre, le dévorant de plus en plus, mais il s'agit d'une bonne chose, car, cela permet de maintenir la non-alchimie de l'ire et l'animosité régnant en lui. Surtout que la haine a grandi en lui de manière exponentielle lorsqu'il apprit la mort de Cymbor, le plongeant dans une certaine tristesse. Depuis il compte bien faire comprendre à Ambarhùna que sa vengeance fera partie des pires maux ayant frappé ce continent. Il se réserve de plus le droit de tuer les assassins de son frère, tout en reportant sa haine sur les peuples de deux criminels à savoir, les vampires et les elfes.

Dans sa plus tendre enfance, Verith fut bercé par les contes et légendes du continent d'Ambarhùna par sa mère. Il fut également marqué par l’opinion de ses semblables sur ce continent et les créatures qui y vivent. Une animosité alors née dans le cœur du jeune dragon depuis cet instant qui c’est juré de faire payer à ses peuples leur folie, même si pour cela il devrait brûler de son feu jusqu’aux derniers vampires, écraser sous ses pattes jusqu’aux derniers humains et éviscérer de ses griffes jusqu’aux derniers elfes. Autant dire que lorsqu’il apprit la mort de son petit frère qu’il aurait aimé connaître, son effroyable colère à l’encontre des Ambarhùnéens grandit, le confortant dans son idée de destruction sanglante.

Nous terminerons sur une note un peu plus joyeuse de Verith pour montrer qu’il n’est pas qu'un démon aux yeux d’or dont la soif de sang équivaut à celle des vampires. Premièrement, Verith à une qualité qui est le courage, celui-ci lui est venu en même temps que son imposante stature, mais il n’est pas rare que se courage de transforme en inconscience.
Deuxièmement, Verith est un être profondément déterminé, il possède une grande détermination qui le poussera à aller jusqu’au bout de ses projets. Mais il n’est pas rare que cette détermination tourne elle aussi sur un défaut, transformant cette dernière en un entêtement maladif. Ce qui rend le dragon rouge extrêmement difficile à raisonner et encore plus à calmer, d’autant plus que le rare langage qu’il respecte soit celui de la force. Bien que les récits de sa mère lui apportent peine et colère, un goût de rêve et d’aventure naquit en lui.


   Alignement :  Il fait ce qui lui semble bien, il a sa propre morale donc on pourrait penser qu’il fait ce que bon lui semble. Mais il agit pourtant dans les limites de son code de conduite. Pour lui, la liberté et l’honneur ont de l’importance. Il n’est cependant pas un être bienveillant et peut sembler dominer par sa haine et sa soif de destruction envers les races bipèdes. Il n’en est pas moins un protecteur à l’encontre des siens et cherche seulement à punir de façon impitoyable ceux ayant fauté contre sa race. Sa vision de la destruction lui est personnelle, il voit la destruction et la construction, la vie et la mort comme un cycle nécessaire, non pas comme une chose mauvaise. Néanmoins, il s’énerve facilement, est violent et totalement imprévisible.
   

   

   
   

Histoire


   

Chapitre 1 : Etouffante protection.

Dans cet œuf un être, une conscience lentement se formait. Nourrit par la magie de sa mère et les nutriments contenus dans l’œuf le petit dragon se forma puis se développa lentement, se mettant à vivre, produisant bientôt sa propre magie, en devenant une source. Alors qu’il dort paisiblement dans cette coquille protectrice, d’un sommeil profond il rêve. Recroqueviller sur lui-même, son esprit voit défiler des images. Qu’elles sont telles ? D’où proviennent-elles ? Des questions se bousculent ainsi venant l’envahir, l’irritant de ne pas avoir de réponses. Bientôt, de par les images, sentiments et expressions de celles-ci, des réponses lui sont apportées. Très lentement, si bien que trois questions ont le temps de se former alors qu’une réponse lui est apportée. Cela le fruste, l’énerve, perturbant son sommeil. Heureuses images, tristes images, petit à petit la conscience du dragon s’éveille. Il ressent alors l’au-delà. Au-delà de son esprit. Il ressent son corps, il a chaud. Le dragon embryonnaire perçoit ensuite ce qui l’entoure, mais celle-ci se limite à l’œuf. Cette protection, chaude, mais mystérieuse. Une pointe de peur le transperce. Les ténèbres l’entourent et piéger dans son esprit il ne peut bouger. Alors qu’il continue de croitre, immobile dans l’obscurité, les images, toujours ces images dont les origines lui sont inconnues défilent devant ses yeux. Il y voit des formes, des êtres, au début, il s’agissait de grandes créatures, puissantes elles le terrifiaient. Puis il prit conscience que s’il les voyait, c’était peut-être parce qu’il était l’une d’entre elles ? Mais le trouble s’empara de ses suppositions quand d’autres créatures apparurent. Plus petites, celles-ci marchaient sur leurs pattes arrière. Bientôt, ce qu’il vit d’elle le laissa perplexe, le révulsant, secrètement, au fond de lui, il espérait ne pas être l’une d’entre elles.

Il ne saurait dire combien de temps le dragonnet était resté cloitrer dans cette obscurité, mais cela commençait à lui peser. D’autant plus qu’il ne parvenait plus à supporter les images défilant dans son esprit. C’en était trop, il étouffait. Bouillonnant de ressentiment, le rouge ce mit à hurler dans la prison qu’était son esprit, se débattant comme un forcené jusqu’au moment ou, il sentit son corps bougé, ce n’était qu’une griffe qu’il venait de réussir relever, mais pour lui c’était un exploit. Sa détermination redoubla et bientôt il put quitter la position ou il se trouvait, retombant brutalement contre sa coquille. Finalement il avait de l’espace à l’intérieur. Il en fit le tour, parcourant l’obscurité, ni trouvant aucune faille. Alors qu’il était à présent éveillé, les images avaient cessé de circuler. Se souvenant pourtant de certaines alors qu’elles se perdaient dans un flot magique invisible, il sut ce qu’il devait faire. Néanmoins fatigué de l’effort que lui avait demandé la prise de contrôle sur son corps, le dragonnet se rendormit. Combien de temps dormit-il ? Impossible de le dire pourtant cela lui sembla une éternité après son réveil. Pendant ce nouveau sommeil, le rouge apprit à ressentir ce qui l’entourait, il percevait à peu près où il se trouvait, cela ne faisait que provoquer sa hâte de sortir au plus vite d’ici.

Semblant être en pleine capacité de ses moyens, le dragonnet tapota la coquille semblant chercher un point faible, malheureusement, il n’en dénicha aucun. Grommelant, le petit être désireux de sortir choisit un endroit au hasard et l’attaqua. Il se mit à griffer la coquille pour tenter de la creuser après. Ce mur qui l’avait protégé autrefois et qu’il admirait était à présent son tortionnaire. Une prison qui l’empêchait de vivre. Son adoration pour celle-ci se transforma en haine, engendrant de la colère alors qu’elle lui résistait. La détermination du dragon devint de l’entêtement pur et dur, il grattait avec férocité la coque avant de commencer à donner des coups de museau se déchainant comme un diable. Rapidement il s’épuisa, mais sa colère, sa haine, sa rage vinrent le raviver, nourrissant sa magie qui lui donna plus de force. Combien de temps est-ce qu’il se déchaina afin d’obtenir la liberté ? Une autre éternité au moins. Il n’eut cependant aucune satisfaction lorsqu’un morceau de coquille valdingua sous sa violence pour retomber plus loin en un ultime coup de patte. Sa rage venait certes de s’atténuer, mais sa colère était encore présente tout comme sa haine. Sortant avec fracas, faisant voler d’autres bouts de coquilles sur les côtés, il s’écrasa durement contre le sol, avant de tenter de se lever difficilement. Ouvrant les yeux qui furent éblouis par la lumière, habituellement plongés dans une obscurité des plus totales. Il mit un certain moment avant de repérer les trois formes qui le regardait, le temps se mettre debout en somme. Lorsqu’il les aperçut, ayant réussi à se mettre debout il cria à leur encontre un cri de victoire, ayant réussi à terrasser l’ennemi qu’était devenu son œuf, pour ensuite retomber mollement au sol à bout de force.

Chapitre 2 : Légende d’Ambarhùna.

Ambarhùna, un continent, c’était un continent. Peut-être que cela l’est d’ailleurs toujours, qui sait ? Ancien domaine des dragons avant qu’ils ne le quittent, le… fuyant ? Était-ce réellement une fuite ? Non pas dans le sens d’une fuite lâche, mais une fuite pour assurer la tranquillité et la survie de l’espèce. Les dragons, fières races, se retrouvant obligés de partir, leur voisin devenant trop bruyant. Les hommes, les elfes et les vampires. Ainsi il y avait différentes espèces de ces êtres marchant debout sur leurs pattes arrière. Tous étaient cependant atteints de la même folie. Y’avait-il néanmoins des degrés différents dans leurs folies en raison de leurs différences raciales ? Non elle était la même pour tous, mais il était possible de noter un degré de gravité dans leur folie. En effet, bien qu’impardonnable, elle l’était plus pour certains que pour d’autres. Les vampires d’un naturel sauvage et brutal, aveuglé par leur soif de sang était en dessus du paquet. Les humains bien que jeune agissait de manière stupide accentuant leur folie alors qu’ils étaient dotés d’une meilleure raison que les vampires. Non ceux qui étaient en dessous de tous, l’espèce la plus impardonnable et qui révulsait le dragon rouge était bien sûr, les elfes ! Ils se disent sages, ils se disent grands, se mettant sur un piédestal, rabaissant les autres races. Égoïstes, ils ne s’occupent que d’eux même, prétextant ne pas vouloir interférer sur les moins évolués. De leur vanité ils se gonflent tels des paons. Il n’en reste pas moins les plus nuisibles.

L’enfant dragon, buvait les paroles de sa mère dénommée Skade écaille d’orage. Jamais il ne se lassa de ses histoires des temps anciens. Elles le faisaient rêver, lui donnèrent goût pour une certaine aventure. Mais elles l’enrageaient aussi. Le dragon rouge se serait bien rendu chez ces fous afin de faire cesser cette folie, mais même sa mère ignorait si ce continent existait encore ou non. Avant leur départ, la magie déclinait en ce monde et le départ des siens n’arrangerait en rien la situation. Toutefois, pour l’enfant de l’orage, ce n’était que justice, ces races avaient perdu la confiance des dragons et c’est de leur vie que ces derniers le paieront.

Chapitre 3 : Je me nomme Verith !

Verith, tel était et est toujours le nom du dragon rouge. Mais il s’agissait que du nom que ses parents lui avaient donné. Ayant son importance, il ne suffisait pas au jeune dragon. Il voulait plus, beaucoup plus. Que se nom soit craint, qu’il représente la colère et la haine, inspire peur et respect afin que tous, lui soient obéissant. Vous l’aurez compris, le jeune Verith a son égo. Mais même s’il souhaitait que ce désir devienne réalité, ce simple fait de le vouloir ne suffirait pas à en faire un fait. Non, pour arriver à cela, le rouge devait agir. Comment ? Par la violence, par les combats, par la victoire. Très tôt, le jeune Verith se révéla être un dragon particulièrement belliqueux, avec une hargne sans égale et une soif de conquête, de domination importante. Ceci était peut-être une réponse à son jeune corps mal fait. L’égo de l’écailleux ne supportait pas ce corps frêle qu’était le sien et il ne supporta pas la moquerie. C’est, alors qu’il n’était encore qu’un dragonnet, que Verith se plongea dans le combat. Suite à une dispute qui avait mal tourné, le rouge c’était jeté rempli de toute sa colère et de toute sa rage sur son opposant, remarque dès lors qu’il avait un don inné dans l’art du combat et de la brutalité. Il aplatit sans mal son adversaire alors qu’il semblait plus costaud que lui. Ses compétences ainsi dévoilées, Verith les exploita, sa détermination et sa persévérance étant un allié de poids il s’entraina de manière très régulière continuant ainsi à forger son caractère et se bâtissant un corps dont il pourrait être fier, effaçant à tout jamais le petit être frêle qu’il avait été. Bientôt les autres dragonnets le tinrent en respect, commençant par les plus faibles, mais les plus âgés, plus robustes, plus forts s’entêtaient et ne cessaient de le défier, patient, et déterminer il finit par gagner celui des plus robustes au furent et à mesure qu’il progressait.

Enchaînant les combats, collectionnant les victoires et encaissant les rares défaites qu’il était obligé d’essuyer, celles-ci ne faisant qu’accentuer son ardeur au combat, il vivait chaque défaite comme une humiliation, le poussant à aller plus loin et persévérer encore plus, s’entrainant avec rage. Mais lorsqu’il devint un adulte, le ton changea radicalement, il jouait désormais dans la cour des grands. Alors qu’avant il ne pouvait s’agir que de petite dispute et bagarre sans intérêt ou en vue d’un entrainement, ici si l’on se battait, si l’on rivalisait, c’était bien pour se tailler une place, pour obtenir des femelles. On se battait pour vivre !

Les combats gagnèrent en violence, devenant plus brutaux, presque titanesques. Verith aurait très bien pu choisir la voie de la sagesse et combattre de manière différente, mais non. Son sang en constante ébullition ne lui permettait que celle du combat et du carnage. Les blessures visibles sur son corps viennent en majorité de ces combats-ci.

Verith, parmi tous les combats qu’il a menés durant sa vie sur le nouveau continent, n’en qualifiait que peu de grand, de mémorial, d’honorable. Mais s’il y’en a bien un qui le marqua, ce fut, celui contre un membre de la race Draconique bien plus vieux que lui d’au moins une centaine d’années, nommé Laaran. Il fut bien l’affrontement le plus dangereux qu’il n’est vécu, et l’adversaire le plus fort qu’il n’est combattu. Le dragon de l’ire et d’animosité avait en ce jour frôlé la mort. Ce duel fut le plus long et le plus virulent qu’il ne lui ait été donné de faire. La vérité est que son esprit ne possédait pas suffisamment de sagesse pour mener à bien ce combat. Se laissant ainsi emporter par sa colère et sa haine, la magie en son sein c’était affolé le rendant de plus dès incontrôlable qu’il soit, sombrant dans le chaos. Lorsque son état fut remarqué, les autres dragons assistant au combat intervinrent pour le couper dans son élan, évitant que sa vie ne soit mise plus en danger.

Malgré certain écart Verith réussi à se faire un nom, surement que s’il était resté sur le nouveau continent, le jeune dragon se serait fait un meilleur nom au point de monter auprès des dragons dominants de la nuée.

Chapitre 4 : Migration vers Ambarhùna.

Quelque chose la troublait, depuis plusieurs lunes déjà, Verith et sa sœur Estelen l’avaient ressenti. Elle en parlait de plus en plus fréquemment, Ambarhùna, Ambarhùna, toujours se le nom de ce continent aux lèvres. Pourquoi ? Verith soupçonnait quelque chose et plus sa mère lui en parlait, plus sa curiosité, son désir de s’y rendre s’éveillaient. Il savait que quelque chose se produirait sous peu, dans une nuit d’obscurité complète. Veillant dès lors, un œil toujours ouvert alors qu’il dormait, il remarqua une ombre, gigantesque qui s’envola. Remarqua qu’il s’agissait de Skade il se releva. Néanmoins, il ne fut pas le seul. Estelen au même moment se leva. Ainsi tous deux l’avaient ressenti. Et s’en dire un mot, ils c’étaient aussitôt envolé à leur tour suivant leur mère, aussi discrètement que possible avant de la rattraper après une bonne distance parcourut. Ses enfants avaient vu clair en son jeu, aussi abandonna tel rapidement l’idée de les faire rebrousser chemin. Dès lors, elle leur avoua sa véritable inquiétude. Cymbor, le nom de l’un de ses premiers enfants. Elle avait laissé l’œuf sur le continent en symbole d’espoir afin que la magie ne disparaisse pas et que le continent ne sombre dans les flots.

Apprendre qu’il avait un frère, rester sur le continent surprit le jeune rouge. Ainsi sa curiosité s’en trouva décuplé. Il voulait se rendre en Ambarhùna afin de voir les fous que lui contait sa mère dans ses histoires, mais aussi faire la connaissance de son frère.

Malheureusement, le piège qui les attendait était de taille. La famille fut prise dans une effroyable tempête. Pleine de magie et d’une source surpassant celle-ci, l’ouragan et dressait face à eux comme un mur, afin de les empêcher de passer. Leurs présences ne semblaient pas être souhaitées. La colère du dragon se décupla et il transforma cette dernière en force. Malheureusement, sa puissance aussi grande soit elle n’était pas suffisante pour faire face à celle d’un esprit, aussi fut-il emporté par les vents. Perdant de vue sa mère et sa sœur, le massif dragon réussit tout de même à rejoindre le continent d’ Ambarhùna après avoir affronté la tempête jusqu’à l’épuisement. S’écrasant avec violence contrent les montagnes du rivage nord-est du continent. Qu’allait-il advenir de lui à présent ? Était-il bien sur Ambarhùna au moins ? Où étaient donc Skade et Estelen ? Une aventure comme l’avait souhaité le dragon se profilait devant lui, mais un contexte qu’il n’appréciait guère.

Chapitre 5 : La vie en Ambarhùna

Ambarhùna, la situation du continent était pire que celle que c’était imaginé Verith. Les bipèdes grouillaient partout et le sol avait l’odeur de la mort et du charnier putride. Son arrivée sur cette terre exacerba ce que certains qualifieraient de pire en lui. Sa haine et sa colère envers les races elfiques, vampiriques et humaines s’aggrava. Lui, venu pour rencontrer son frère Cymbor, apprit rapidement sa mort. Son frère-dragon avait été tué par un vampire, attirer au combat par sa liée elfique. La tristesse envahit alors le grand rouge qui sema la destruction dans la campagne humaine en brulant ferme et récolte avant d’attaquer les bourgs. Une fois sa tristesse apaisée, sa haine le poussa à traquer l’assassin de son frère. Malheureusement, il ne mit jamais la main dessus, ce lâche se terrant sous la terre, au plus profond des galeries vampiriques. Il rassembla alors un maximum d’informations à son sujet afin d’être sûr de le reconnaitre si jamais il le voyait.

La quête de vengeance de Verith fut malheureusement interrompue par l’arrivée des Almaréens et leur fanatisme. Ces derniers souhaitaient anéantir la magie et le dragon rouge s’en retourna chercher sa mère et sa sœur afin de s’assurer qu’il ne leur arrive rien, tuant sur son passage lorsqu’il le pouvait des guerriers du néant. Dans son voyage, l’enfant de l’orage fit la rencontre des dragons nés en Ambarhùna et liés à des bipèdes. Ces rencontres furent pour le moins violentes, leurs idéologies diamétralement opposées se percutant avec force, et l’insolence ces derniers faisant sortir le rouge de ses gonds. Seul l’un d’entre eux, une dragonne prénommée Ashy, put dialoguer paisiblement avec le rouge en dépit de leur profonde différence.

Verith perdit la trace de sa sœur, mais retrouva celle de Skade. La dragonne d’orage avait décidé de venir en aide aux bipèdes face aux envahisseurs Almaréens, prenant part au sommet d’état des trois races. Le colérique se moquait bien de tout cela et aurait sans aucun doute attaqué le sommet sans l’interdiction expresse que sa mère lui en fit. Il demeura alors à la lisière de la forêt elfique, patientant difficilement. Lorsque la bataille des bois sombres survit, Verith pénétra le royaume elfique afin de venir protéger sa mère engagée dans la bataille.

Les Almaréens repoussés, Verith choisit se repartir à la recherche de sa sœur, sans grand succès. Ses recherchent le conduisirent à la cité rebelle où il fit la rencontre d’un mystérieux individu surnommé le voyageur, dont le véritable nom était Edwyn Rudy. Ce dernier se révéla être ni un elfe, ni un humain, ni un vampire, mais un Tarenth. Une race ancienne, premier habitant d’Ambarhùna. Associant leur puissance, le dragon et le Tarenth percèrent le voile du temps afin de voir l’avenir et le passé. À ce moment précis, la mémoire de Verith put briser un sceau apposé par les dieux sur l’ensemble de la race draconique, lui permettant d’avoir accès à des souvenirs d’une époque lointaine où les dragons n’étaient encore que des bêtes sauvages, assistant à leur naissance en tant qu’être doué de pensées. Mais également à une partie de l’histoire où Tarenth, Déesses et Dragons vivaient ensemble en Ambarhùna. Ces souvenirs du passé lui révélèrent le crime commis par les Tarenth envers les déesses, conduisant à leur bannissement du continent. Verith vit également le futur, un futur où le monde était dévasté par des créatures nommées les chimères. Le rouge choisit alors d’aider le voyageur dans sa quête afin d’empêcher la réalisation de ce funeste futur.

Accompagnant le Tarenth, Verith se retrouva sur le plan Astral, lieu de vie des dieux, mais également des chimères. Ensemble, ils se présentèrent à la déesse de la vie afin d’obtenir un objet nécessaire à la quête du Tarenth. Malheureusement, tout ne se passa pas comme prévu. Vie força Edwyn à révéler la vérité à Verith : il était le créateur du lien et il lui avait menti depuis le début. Le rouge entra dans une colère noire et attaqua le voyageur, mais Vie s’interposa et condamna le dragon pour ses actions, le maudissant.

De retour sur le plan physique, Verith chercha par tous les moyens à nuire au voyageur. Ainsi il fit la rencontre d’Alford Gorder, lui aussi en mission pour le Tarenth, en possession d’une pierre révélant une prophétie. Lorsque le rouge la toucha, il prit connaissance d’une partie de celle-ci et scella son sort à celui d’Alford. Plus tard, il le rencontra à nouveau, il avait été lui aussi instrumentaliser par Edwyn et c’était retrouvé haï par les siens, pourchasser comme un criminel. L’humain était néanmoins en possession d’une dague nécessaire à la réalisation de la prophétie. Verith réussit à le convaincre de la lui donner, le dragon voulant forcer le Tarenth à se présenter à lui afin de le tuer. Malheureusement, les dieux décidèrent de s’en mêler. La déesse du feu détruisit la dague et blessa les deux comparses, cependant, la destruction de la dague permie l’éveil de l’esprit du tyran blanc qui vint les soumettre à sa volonté.

Tout allait de pire en pire pour Verith, maudit par Vie, handicapé par Feu, et soumis par le Tyran blanc. Lorsque le Tyran blanc fut libéré, Verith fut contraint de lui obéir et utilisé pour combattre afin d’asseoir l’emprise de ce dernier sur Ambarhùna. Mais secrètement, le rouge se préparait afin de se libérer le moment venu. Et ce moment se présenta lorsqu’Alford Gorder fut déclaré mort. Refusant de croire à la mort de son compagnon d’infortune, il partit à sa recherche et réussit à le retrouver. Ce dernier était en pleine forme et investit d’une mission divine. Trouver un moyen de tuer le Tyran blanc. De plus, l’humain était porteur d’un objet divin, le contrat originel, qui avait fusionné avec son âme. L’objet lui avait été remis par Néant avant sa mort. Le contrat prévoyait la mort des déesses. À son grand désespoir, Verith ne pouvait apporter son aide à Alford, car il était toujours sous l’emprise du Tyran blanc. Cependant, il cacha ces informations cruciales et se prépara, attendant son heure.

Et ce moment se produisit. Lors de la bataille de Sandur, Verith parvint à se libérer des chaines que lui avait imposées le Tyran blanc et l’attaqua. À l’aide de deux de ses protégés, Saemon et Sighild, ce dernier fut blessé. Le rouge ne put malheureusement pas poursuivre le combat contre lui, car ce n’était pas à lui de le tuer. Il avait un autre rôle à jouer. Le dragon se rendit jusqu’à Alford, lui aussi présent sur le champ de bataille, mais qui se retrouvait confronté aux déesses venues pour le tuer et empêcher la réalisation du contrat originel. Fort heureusement, toutes les déesses ne voulaient pas sa mort. Mort se suicida, suivi bientôt par ses sœurs. Verith assista à la fin de la déesse de la Vie qui lui retira sa malédiction avant de trépasser. Le Tyran blanc et tous les Dieux étaient morts.

Cependant, Ambarhùna n’était pas encore tirée d’affaire. Dans l’ancien royaume elfiques, les chimères étaient apparues. Verith, au fait de leur venue depuis sa rencontre avec Edwyn, s’en alla les surveiller avant de les combattre. En compagnie d’Alford Gorder, Kälyna Vallaël, Arya Vallaël et Ilyanth Neolenn, il se rendit au cœur de leur territoire, sur le plan astral. Là-bas, il retourna dans la demeure des dieux devenue ruine dans le but de trouver un moyen de revenir en Ambarhùna. Ce moyen il le trouva, mais avant de partir, Verith mena un ultime combat, au côté de Kälyna contre le dragon-esprit venu réclamer un objet trouvé par le groupe. Nul ne sait ce qui se passa lors de ce combat, mais le rouge et l’elfette parvinrent à revenir sur le plan physique.

Une fois de retour, la situation dégénéra rapidement. En dépit de la vive résistance opposée par les Ambarhùniens, les Chimères parvinrent à se répandre sur le continent, repoussant elfes, vampires, humains et dragons jusqu’à l’extrême est. Lorsqu’il apparut qu’il était impossible de les vaincre, la retraite stratégique fut envisagée. Ambarhùna était perdue, il fallait se rendre à l’évidence.



   

   
   

Liens


   

Skade: Mère de Verith, cette dragonne, appelée « Mère des tempêtes » ou encore « Ecaille d'orage » , reste une des rares personnes que Verith eut aimé. Fière de sa race, puissante et sage, Skade n'en reste pas moins parfois autoritaire et indépendante, et fut un exemple pour Verith durant sa plus tendre jeunesse. À cette époque, elle lui contait les légendes d'Ambarhùna, éveillant alors en lui une grande colère vis-à-vis de ces peuples. Elle est la seule personne a même de lui imposer le silence, celle qu'il respect plus que tout. Morte.

Estelen: Demi-soeur de Verith, adoptée par Skade, Estelen reste une dragonne relativement douce, qui optera pour les mots plutôt que les griffes. D'un naturel réfléchi, elle place tout de même la race dragonne comme entité supérieure, et n'apprécie pas les vampires. Verith y est très attaché, même s'il préfère dissimuler son affection pour elle, comment des frères et soeurs ils se chamaillent, Verith tendant tout même à vouloir prendre l'ascendant sur elle. Morte, tuée par un Svenn.

Aïthorion: père de Verith et se son frère inconnu Cymbor, leur relation on toujours orageuse de par le comportement naturellement dominant du rouge. Bien qu’il n’est jamais réussi à prendre l’ascendant sur lui, Verith se demande ce qu’il se serait passé si jamais cela avait été le cas.

Cymbor : Frère de Verith. À son plus grand regret, il ne le rencontra jamais. À son arrivée sur Ambarhùna il apprit sa mort. Ce dernier avait été tué par un vampire.

Le voyageur : Individu énigmatique issu d’une race ancienne. Verith l’aida et fut trahi par lui. Créateur du lien, banni des dieux, principale calamité de ce monde, il lui voue une haine sans bornes et c’est juré de se venger de lui. Bien que le voyageur soit mort, sa quête de revanche n’a pas cessé.

Vie : Déesse de la vie, ennemi de Verith, il fut maudit par cette dernière pour une divergence profonde d’opinion. La mort de cette dernière fut un véritable plaisir, et le fait d’avoir vu sa malédiction retirée par elle fut considéré comme une victoire.

Feu : Déesse du feu, divinité supplémentaire figurant parmi les ennemis de Verith. Cette dernière le blessa gravement à la patte alors qu’il tentait de venir en aide à Alford après qu’elle l’ait également blessé. Feu comme Vie ne sont rien de plus que des divinités ayant choisi de défendre le voyageur, alors qu’elles l’avaient elles-mêmes banni pour ses méfaits, se rendant dès lors complices de ses atrocités. La mort de Feu fut un grand réconfort. Verith se soigna par la suite la patte par ses propres moyens, se débarrassant de la trace laissée par des divinités défaillantes sur lui.

Le Tyran Blanc : Ancien dragon, créature honnie, Verith le considère comme la plus grande honte de la race draconnique. La mort de ce dernier fut un soulagement et une délivrance.

Alford Gorder : Porteur du contrat originel et son protégé. Lui et l’humain, devenu aujourd’hui un vampire, ont vécu pas mal d’aventure ensemble et souffert ensemble. Le dragon l’apprécie.

Kälyna Vallaël : Ancienne prêtresse du Tyran Blanc, Verith l’a aujourd’hui pris sous son aile et en a fait son protégé. Il apprécie sa compagnie, mais elle reste liée à lui par une promesse : celle de détruire le lien.

Saemon Methus : Appelé le Corbeau, un autre protégé de Verith, il l’a lui-même nommé son héraut. L’humain marche aujourd’hui sur une voie dont le rouge lui a indiqué le chemin. Verith a hâte de voir ce que cela donnera.

Luna Duruisseau : Jeune fille aujourd’hui devenue dragonnière. Verith lui sauva la vie à la demande de Saemon, mais cela avait un pris. Une obligation la lie désormais au dragon rouge. Qui sait quand il pourra la demander … et pourquoi.

Sighild Arnbjorn : Appelée l’Epervier, un autre protégé de Verith. Liée au Corbeau, cette dernière a beaucoup à apprendre, mais Verith a voulu la diriger, tout comme le Corbeau, sur une voie à suivre.

Ashy : Une dragonne liée. Elle est celle avec qui Verith c’est le mieux entendu avant qu’elle ne le trahisse en ne remplissant pas sa part du marché. Aujourd’hui, Verith la méprise cordialement et n’aura pas la moindre pitié envers elle. Elle a eu sa chance de changer et de le faire changer, mais elle a préféré se déshonorer.

Cynoë : Dragonnet idiot qui lui a tenu tête autrefois, leurs divergences d’opinions sont profondes, mais depuis que ce dernier a perdu son lien, Verith espère qu’il pourra revenir sur le droit chemin. Sans ca, il se montrera sans pitié.

Keetech : Sa femme-dragon. Verith l’aime profondément, il s’est battu pour se montrer digne d’elle. Malheureusement, Verith dû la quitter pour se rendre sur Ambarhùna en quête de retrouver son frère. Il lui a néanmoins promis de revenir vers elle lorsqu’il l’aurait retrouvé. Néanmoins, en apprenant la mort de son frère, Verith ne put se résoudre à rentrer. Alors que sa demi-sœur et sa mère mouraient, lui est demeuré vivant. Au vu de tout ce qui se passait sur Ambarhùna, Verith se refusa à rentrer. Bien trop de danger régnait ici, en particulier le lien et les bipèdes. Aussi avant de revenir chez lui, il s’est juré d’éliminer toute menace qui pourrait venir mettre en péril les siens.

Nynsith : Sa fille. Il en ignorait l’existence avant que Keetech ne vienne avec elle jusqu’en Ambarhùna pour le trouver. Savoir qu’il avait une descendance remplie Verith de joie, mais aussi de tristesse et de peur.

   

   
   

Derrière l'écran


   

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