Cote au Nord de Cendre-Terre Nyn-Tiamat
25 mai 1764
C'était en milieu d’après midi. La mer était formée, verte et moutonneuse. Le ciel pluvieux cachait le soleil.
Un navire de l'Empire avançait tranquillement, ne se doutant pas qu'une barque à voile latine le suivait à la limite de la ligne d'horizon.
Derrière ce fier vaisseau, à la limite de l'horizon, un observateur attentif aurait put distinguer le sommet d'une unique voile latine.
Debout à la barre, Tobold observait de loin le navire Impérial. Comme le vent forçait notre homme avait réduit la toile, et posé un ris. Le sablier se vida, et le Pirate le retourna. Il était temps de connaître la vitesse et il lança le loch dans l'eau. Il égrainait quatre nœuds le temps d'un Haïku. Il nota l'information.
Le vent forçait et la nuit allait tomber. Des Mangroves savait qu'il n'avait plus rien à apprendre. Ce navire voguait tranquillement, sans optimiser l'allure de ces voiles. Il était temps de rejoindre la cote, et de s'abriter dans une crique déserte, comme il y en avait quelques une au nord de Cendre-Terre.
La barque latine vira lof pour lof et se dirigea vers les lointaine falaises. Tobold défit les nœuds des ris, pour augmenter la surface de la voile. Il voulait absolument avoir de la lumière pour entrer dans crique.
La pluie et le vent augmentaient en force maintenant, faisant baisser la luminosité. Il se rapprochait de la cote, et il se mit à la longer plein largue, cherchant une anfractuosité dans la continuité de la terre. Et soudain aperçu une crique, et il en prit franchement la direction en guidant la barre franche et en réglant sa voile. Il avait préparer ses ancres, et réduit au maximum sa toile en remettant les ris.
Il allait vite, et il vit la plage s'approcher. En quelque secondes il descendit la voile et il jeta l'encre arrière. La vitesse décrus rapidement et la barque fut stoppé par le sable. Tobold sauta dans l'eau et transporta le deuxième ancre plus haut sur la plage. Il revient dans sa barque. Il prit les affaires qu'il avait besoin pour la nuit et il les jeta sur la grève, puis il tira sur le boute de la première ancre et fit reculer de huit mètres la barque de façon à ne pas avoir de problème avec la marée, et il regagna la plage en nageant.
Il préférait se mouiller, que de rester à naviguer le long de la cote ou il pouvait se fracasser contre un rocher.
Il trouva un endroit bien a l’abri de la pluie et du vent. Il se séchât et il ramasse du boit mort et sec que la mer avait ramené, et bientôt un feux fut allumé, qui ne pouvait être vu de la mer.
Il avait un peut de temps, avant la tombé de la nuit. Il plaça contre les parois des falaise deux pièges, en espérant qu'un lapin viennent si pendre.
Une tempête semblait se lever. Et peut être il devrait rester un peux dans cette endroit. Pour la nuit il avait des rations qu'il pouvait réchauffer prêt du feux,et une gourde d'eau douce.
Il revient bientôt les bras chargé de bois et il se réchauffa prêt des flammes.
La tempête s’était levé, maintenant. Il terrifia que son bateau était bien protégé, quand un bruit de chute se fit entendre. Un marcassin avait chut du haut de la falaise.
Profitant de cette aubaine, bientôt une broche tournais sur le feux de bois!