10 Avril 1764
En dehors de notre exode depuis Ambarhùna pour arriver Sur Tiaramanta, je n’avais encore jamais autant voyagé en si peu de temps. Ces épopée dignes de héros de légendes dans lesquels on ne recule pas, où l’on avance sans s’arrêter jusqu’à arrivé à destination. Et ce, dans le cadre d’une quête épique. Pour un peu, je pourrais me prendre pour un de ces être au destin d’exception. Cela me confère un sentiment de fierté aussi entrainant qu’inattendu. Ces trois dernières semaines ont été rudes, j’avance tantôt à petits pas griffus, tantôt à puissants coups d’ailes. Je veille à ne pas m’épuiser. A bien me nourrir pour avancer sans encombre au milieu des marécages, du canyon et de la savane qui se dressaient sur mon chemin. Je n’ai croisé personne. Il faut dire que je pressais le pas et veillais à passer par les endroits les moins accessibles… Mais aussi les plus fascinants. Je n’avais encore jamais vu la faune et la flore de ces régions tropicales et désertiques. Dire que les baptistrels vivent dans ce climat chauds… Je me demande si leurs coutumes vestimentaires ont changées depuis le temps.
Je vais très bientôt le savoir. Car depuis le ciel, je peux enfin apercevoir un bâtiments à l’architecture familière, bien que différente d’avant. J’atteints enfin la ligne d’arrivée. J’en soupir de soulagement.
Mais ceci n’est que de courte durée.
Plus j’approche du domaine, plus je peux constater que celui-ci est complètement détruit… Un bien triste spectacle se dresse devant moi.
J’amorce ma descente. Et à quelques mettre de moi se dresse ce qu’il reste du bâtiment. Mais je n’aperçois qu’une seule et unique personne, dont le visage me saute aux yeux.
C’est le bon samaritain qui, avec l’aide de maitresse Kalyna, m’a soigné lors de ma chute dans le lac.
Je m’en vais à sa rencontre.
« Sir Belethar ?! Quelle surprise de vous voir ici ! Et quel vision d’horreur que le domaine en ruine… »
En dehors de notre exode depuis Ambarhùna pour arriver Sur Tiaramanta, je n’avais encore jamais autant voyagé en si peu de temps. Ces épopée dignes de héros de légendes dans lesquels on ne recule pas, où l’on avance sans s’arrêter jusqu’à arrivé à destination. Et ce, dans le cadre d’une quête épique. Pour un peu, je pourrais me prendre pour un de ces être au destin d’exception. Cela me confère un sentiment de fierté aussi entrainant qu’inattendu. Ces trois dernières semaines ont été rudes, j’avance tantôt à petits pas griffus, tantôt à puissants coups d’ailes. Je veille à ne pas m’épuiser. A bien me nourrir pour avancer sans encombre au milieu des marécages, du canyon et de la savane qui se dressaient sur mon chemin. Je n’ai croisé personne. Il faut dire que je pressais le pas et veillais à passer par les endroits les moins accessibles… Mais aussi les plus fascinants. Je n’avais encore jamais vu la faune et la flore de ces régions tropicales et désertiques. Dire que les baptistrels vivent dans ce climat chauds… Je me demande si leurs coutumes vestimentaires ont changées depuis le temps.
Je vais très bientôt le savoir. Car depuis le ciel, je peux enfin apercevoir un bâtiments à l’architecture familière, bien que différente d’avant. J’atteints enfin la ligne d’arrivée. J’en soupir de soulagement.
Mais ceci n’est que de courte durée.
Plus j’approche du domaine, plus je peux constater que celui-ci est complètement détruit… Un bien triste spectacle se dresse devant moi.
J’amorce ma descente. Et à quelques mettre de moi se dresse ce qu’il reste du bâtiment. Mais je n’aperçois qu’une seule et unique personne, dont le visage me saute aux yeux.
C’est le bon samaritain qui, avec l’aide de maitresse Kalyna, m’a soigné lors de ma chute dans le lac.
Je m’en vais à sa rencontre.
« Sir Belethar ?! Quelle surprise de vous voir ici ! Et quel vision d’horreur que le domaine en ruine… »