27 Juillet 1764
Notre quête concernant le rôdeur était maintenant terminé depuis près d'un mois. Nous étions restées sur Delimar pour d'autres affaires, et honnêtement, ma terre natale me manquais au plus haut point... Le soleil était déjà haut dans le ciel, il était probablement midi, mais la faim ne venait pas jusqu'à moi. Je n'avais pas le mal du pays, enfin un peu, car cela me rappelait tout de même quelques souvenirs peu glorieux... Mais aussi parce qu'à l'époque, elle et moi étions unie par un même but...
Secouant légèrement la tête de droite à gauche, je laissais un soupir sortir de ma gueule. Pourquoi elle revenait toujours à la charge dans mon esprit ? C'était une question, dont je ne parvenais pas à trouver de réponse, alors je la laissais simplement couler... D'autan plus, que j'avais la chance de voyager avec le géant blanc, un félin des plus extraordinaire, et qui pouvais m'apprendre beaucoup. Durant notre affrontement contre les rôdeurs, nous étions plutôt bien en accord, comblant les lacunes de l'autre, un peu comme une danse en fait...
Pourquoi ne pas profiter de ce jour de répit pour sortir du quotidien, lui comme moi en avait bien besoin, et un peu d'exercice ne fait jamais de mal en réalité. J'étais parti à la recherche du Tribyoon, pour lui proposer de profiter de la petite chaleur, avec ce vent frais idéal pour faire un peu de sport.
Je ne mis pas très longtemps à le dénicher, et voyant qu'il était enfin seul, je m'autorisais à aller à sa rencontre. Il faisait toujours cet effet par sa grandeur, mais je savais qu'il était comme une peluche au fond. Il ne faut jamais se fier aux apparences...
Continuant d'avancer dans sa direction, en choisissant la discrétion, après tout, mon but était de m'entraîner non ? Me positionnant sur mes quatre membres, la queue basse, respirant faiblement. Je me cachais dans la végétation qui était dense pour cette période de l'année, prenant grand soin de ne pas marcher sur quelque chose pouvant trahir ma position. A contre vent, mes prunelles l'observaient, bandant les muscles de mon corps, j'attendis quelques secondes avant de lui bondir dessus, sans sortir les griffes.
Notre quête concernant le rôdeur était maintenant terminé depuis près d'un mois. Nous étions restées sur Delimar pour d'autres affaires, et honnêtement, ma terre natale me manquais au plus haut point... Le soleil était déjà haut dans le ciel, il était probablement midi, mais la faim ne venait pas jusqu'à moi. Je n'avais pas le mal du pays, enfin un peu, car cela me rappelait tout de même quelques souvenirs peu glorieux... Mais aussi parce qu'à l'époque, elle et moi étions unie par un même but...
Secouant légèrement la tête de droite à gauche, je laissais un soupir sortir de ma gueule. Pourquoi elle revenait toujours à la charge dans mon esprit ? C'était une question, dont je ne parvenais pas à trouver de réponse, alors je la laissais simplement couler... D'autan plus, que j'avais la chance de voyager avec le géant blanc, un félin des plus extraordinaire, et qui pouvais m'apprendre beaucoup. Durant notre affrontement contre les rôdeurs, nous étions plutôt bien en accord, comblant les lacunes de l'autre, un peu comme une danse en fait...
Pourquoi ne pas profiter de ce jour de répit pour sortir du quotidien, lui comme moi en avait bien besoin, et un peu d'exercice ne fait jamais de mal en réalité. J'étais parti à la recherche du Tribyoon, pour lui proposer de profiter de la petite chaleur, avec ce vent frais idéal pour faire un peu de sport.
Je ne mis pas très longtemps à le dénicher, et voyant qu'il était enfin seul, je m'autorisais à aller à sa rencontre. Il faisait toujours cet effet par sa grandeur, mais je savais qu'il était comme une peluche au fond. Il ne faut jamais se fier aux apparences...
Continuant d'avancer dans sa direction, en choisissant la discrétion, après tout, mon but était de m'entraîner non ? Me positionnant sur mes quatre membres, la queue basse, respirant faiblement. Je me cachais dans la végétation qui était dense pour cette période de l'année, prenant grand soin de ne pas marcher sur quelque chose pouvant trahir ma position. A contre vent, mes prunelles l'observaient, bandant les muscles de mon corps, j'attendis quelques secondes avant de lui bondir dessus, sans sortir les griffes.