Légion Vat’Aan’Ruda
Ce qui était autrefois un village de la légion Vat’Aan’Ruda, situé à l’ouest de l’île de Néthéril, est aujourd’hui une cité aux allures tribales, simples, se tenant au sein de la savane, plus particulièrement au centre de celle-ci et bien sûr loin de la mer ou de l’océan.
La cité compte quatre quartiers. Le premier, originel, construit circulairement autour d’une imposante colline. Et trois autres, constitués sous forme d’embranchement triangulaire autour du quartier principal, qui abritent les ressortissants des trois dernières grandes tribus ayant survécu à l’invasion pirate. La cité de la légion est constituée d'habitations en chaux. Inspirées des wigwams de leurs homologues nomades, ces habitations se présentent sous la forme de dômes de pierres, surélevés au niveau du sol. De plain-pied ou possédant parfois un étage, ces structures sont assez grandes pour accueillir plusieurs Graärh à la fois. On trouve également des habitations faites de bois et de tissus, des sortes de tentes élaborées attendant d’être remplacées par des habitations plus solides.
Établis depuis des siècles dans cet environnement, les Graärh ont développé une résine résistante aux fortes précipitations de la Mousson, régulièrement appliquée sur chaque maison tous les deux ans.
Visible de très loin, une muraille faite de terre et hérissée de pics constitue une fortification venant ceindre toute la cité. Recouverte de peintures de guerres aux couleurs de la légion et des Esprits-Liés protecteurs, elle est à la fois la première défense et la première impression des visiteurs. Au pied de cette dernière, nous retrouvons une série de douves dont le fond est parsemé de pieux. Cette protection supplémentaire fait tout le tour de la cité et il est possible de la traverser à l'aide de ponts de bois. Bien qu'elles semblent destinées à empêcher l'entrée d'envahisseur, son objectif premier est avant tout de contenir les eaux lors des moussons. À cette occasion, l'eau est pompée et stockée afin d'être utilisée l'année suivante pour les cultures au moment de la sécheresse.
Au centre de la cité, au sommet de la colline, se trouve un grand bâtiment abritant non seulement la demeure de la dirigeante, mais également le siège du pouvoir. Les espaces entre chacun des trois quartiers triangulaires abritent des places, sur lesquelles les Graärh échangent, vendent, travaillent, stockent, construisent et s’entrainent. Enfin, à l’extérieur de la cité, par-delà les murs, on retrouve de rares champs exploités afin de nourrir les bêtes, les Graärh de la légion Vat’Aan’Ruda étant également des éleveurs.
La cité compte quatre quartiers. Le premier, originel, construit circulairement autour d’une imposante colline. Et trois autres, constitués sous forme d’embranchement triangulaire autour du quartier principal, qui abritent les ressortissants des trois dernières grandes tribus ayant survécu à l’invasion pirate. La cité de la légion est constituée d'habitations en chaux. Inspirées des wigwams de leurs homologues nomades, ces habitations se présentent sous la forme de dômes de pierres, surélevés au niveau du sol. De plain-pied ou possédant parfois un étage, ces structures sont assez grandes pour accueillir plusieurs Graärh à la fois. On trouve également des habitations faites de bois et de tissus, des sortes de tentes élaborées attendant d’être remplacées par des habitations plus solides.
Établis depuis des siècles dans cet environnement, les Graärh ont développé une résine résistante aux fortes précipitations de la Mousson, régulièrement appliquée sur chaque maison tous les deux ans.
Visible de très loin, une muraille faite de terre et hérissée de pics constitue une fortification venant ceindre toute la cité. Recouverte de peintures de guerres aux couleurs de la légion et des Esprits-Liés protecteurs, elle est à la fois la première défense et la première impression des visiteurs. Au pied de cette dernière, nous retrouvons une série de douves dont le fond est parsemé de pieux. Cette protection supplémentaire fait tout le tour de la cité et il est possible de la traverser à l'aide de ponts de bois. Bien qu'elles semblent destinées à empêcher l'entrée d'envahisseur, son objectif premier est avant tout de contenir les eaux lors des moussons. À cette occasion, l'eau est pompée et stockée afin d'être utilisée l'année suivante pour les cultures au moment de la sécheresse.
Au centre de la cité, au sommet de la colline, se trouve un grand bâtiment abritant non seulement la demeure de la dirigeante, mais également le siège du pouvoir. Les espaces entre chacun des trois quartiers triangulaires abritent des places, sur lesquelles les Graärh échangent, vendent, travaillent, stockent, construisent et s’entrainent. Enfin, à l’extérieur de la cité, par-delà les murs, on retrouve de rares champs exploités afin de nourrir les bêtes, les Graärh de la légion Vat’Aan’Ruda étant également des éleveurs.