Alors que Léon s’était aventuré comme à son habitude, dans la chambre de l’Empereur afin de nettoyer celle-ci, et de faire les quelques besognes que lui avait donné Claudius … En plus du reste de son travail d’espion très malhonnête. D’ailleurs, alors que l’indic du marché noir nettoyait sagement le bureau de l’Empereur, faisant bien attention d’éliminer toute la poussière environnante comme il lui avait demandé … Sa main baladeuse tomba sur une lettre enfouie sous une pile de papiers divers, comme oubliée par le temps (ou alors, quelque chose qu’il aurait volontairement cherché à cacher, oublier)… Une lettre à l’attention de quelqu’un que Léon connaissait bien, puisqu’elle était à l’attention de son « patron » comme il aimait l’appeler : Aldaron Elusis …
Chose étonnante : De ses yeux observateurs, Léon s’aperçoit qu’il y a une petite marque rouge d’un sceau officiel qui aurait été enlevée … La lettre aurait donc été prête à être adressée, mais bizarrement, elle était restée là … Bizarre, bizarre …
Ni une, ni deux, il prit la lettre, bien trop curieux de savoir ce qu’il y avait dedans (et puis de toute façon, à qui allait-elle manquée si elle était empilée sous une pile de dossiers ?) … Il attendit alors d’être à l’abri des regards, dans sa petite chambre du Palais de l’Imbrûlée, pour l’ouvrir et regarder ce qu’il y avait dedans. Il découvrit alors les quelques mots d’une écriture qu’il reconnaissait entre mille : celle de l’Empereur lui-même.
J’espère que cette petite lettre abandonnée par Claudius t’aura plu, et que ça aura rassasié une partie de tes désirs d’histoires, de « fanfics », qui n’en est pas vraiment une d’ailleurs, car j’estime que cela peut tout à fait être canon et raccord. Une correspondance secrète que Claudius aurait voulu écrire, mais à propos de laquelle il n’a jamais été jusqu’au bout, pour x ou y raisons …
Ça pourrait être quelque chose qu’on pourrait développer In-RP à voir ^-^
Chose étonnante : De ses yeux observateurs, Léon s’aperçoit qu’il y a une petite marque rouge d’un sceau officiel qui aurait été enlevée … La lettre aurait donc été prête à être adressée, mais bizarrement, elle était restée là … Bizarre, bizarre …
Ni une, ni deux, il prit la lettre, bien trop curieux de savoir ce qu’il y avait dedans (et puis de toute façon, à qui allait-elle manquée si elle était empilée sous une pile de dossiers ?) … Il attendit alors d’être à l’abri des regards, dans sa petite chambre du Palais de l’Imbrûlée, pour l’ouvrir et regarder ce qu’il y avait dedans. Il découvrit alors les quelques mots d’une écriture qu’il reconnaissait entre mille : celle de l’Empereur lui-même.
Mon Ami,
Il est de nombreuses choses que j’aimerais te dire en ces temps sombres. De très nombreuses choses, car je sais que ce que j’ai fais est inhumain. Car quand bien même était-il un mort nécessaire pour que votre folie cesse, je sais que je t’ai retiré un être inestimable à tes yeux.
Mais, tu sais quoi ? Tu ne me croiras certainement pas, mais malgré mon devoir envers mon pays, et tout ce que j’ai pu faire pour lui … Je t’aime Aldaron. Certes, certainement d’une façon … Différente, de ton précédent amant, mais je crois que ta présence a toujours su éveiller cette petite flamme qui réside au fond de moi. Tu as toujours été là, dans ma famille, tellement que l’on aurait presque pu te donner notre nom. Nous avons vécu tant de choses ensemble et pourtant …
Le devoir, et nos convictions nous ont poussé à prendre des chemins différents. Cela a été un crève-cœur de te savoir renier l’Empire. Mais je crois que je comprends pourquoi, à présent … Ou pas. Les déesses seules savent ce que Achroma tu avais mis dans la tête au milieu de tout ça. Si j’ai pris le risque de m’opposer à lui et non pas à toi directement, en sachant que j’allais probablement au-devant d’une mort certaine, c’était parce que je ne pouvais me résoudre à te perdre, où à mourir de tes mains … Mais aussi parce que je caressais l’espoir peut-être un peu fou de t’avoir à mes côtés à nouveau. Te revoir avec notre famille, celle qui t’avait presque adopté tant nous étions proches. En somme, être à la place où tu as toujours été, avec nous autres humains, avec moi, près de moi. Sentir à nouveau ta présence réconfortante, aurait été un soulagement mille fois plus efficace que d’accéder à ce trône de l’Empire.
Mais bon. L’idiot d’idéaliste que je suis a été épargné par miracle, et nous voilà au-devant d’une nouvelle page de notre histoire, où nous serons à nouveau tous deux en face à face. Deux dirigeants, qui auront été si proches, et pourtant si loin, à la foi.
Tu trouveras peut-être que c’est ridicule, mais je me sens vieux dernièrement. Je suis peut-être aujourd’hui riche de pouvoir (si tant est que l’on peut dire ça d’un Empire ruiné), mais j’ai toujours considéré que les plus beaux de mes trésors étaient ma famille, mes amis. Mes proches me manquent. Tu me manques, nos discussions, nos débats, nos sourires, nos blagues, nos moments où nous combattions ensemble …
Depuis Achroma et … Tout le reste, tout à changer. Et rien ne sera plus jamais comme avant. Je donnerais n’importe quoi pour te retrouver.
Mais c’est là un vœu égoïste, d’un homme qui ne serait pas Empereur, et désigné comme homme providentiel pour redresser une nation qui n’a que trop souffert.
Alors je me contenterai de croiser ton regard, d’échanger, et peut être de me battre avec toi amicalement ou pas, les jours où tu le voudras bien. Après tout, comme dirait l’autre, il est mille-et-une façon de vivre une relation.
Mais sache qu’il n’est pas un jour où je ne pense pas un mot de cela.
Porte-toi bien et j’espère te revoir bientôt,
Claudius.
J’espère que cette petite lettre abandonnée par Claudius t’aura plu, et que ça aura rassasié une partie de tes désirs d’histoires, de « fanfics », qui n’en est pas vraiment une d’ailleurs, car j’estime que cela peut tout à fait être canon et raccord. Une correspondance secrète que Claudius aurait voulu écrire, mais à propos de laquelle il n’a jamais été jusqu’au bout, pour x ou y raisons …
Ça pourrait être quelque chose qu’on pourrait développer In-RP à voir ^-^
Joyeux Noël, mon Léon ! En espérant encore une fois que ce cadeau te plaise et soit à la hauteur de tes attentes ! Passe de bonnes fêtes de fin d’année !!