9 octobre 1764 elros le renouveau, port marchand
Les rumeurts des meurtres commençaient à peine. Des individus qui disparaissaient. Surtout parmis les miens. Petit à petit on en parlait plus, surtout au repas très très discretement. Je faisais toujours semblant de ne pas ecouter, ni voir. Un fantôme qui sert, d'apparence innocent. À vrais dire je commençais à en faire des cauchemars avec toutes les disparitions. Le monstre prenait une forme d'une ombre giganstesque au dessus de nos paillasses à mon compagnon de chambre et à moi.
Le 9 octobre, le soleil n 'était pas encore levé. La lumiere de la lune filtré par les persienne en métal. Posé la pour eviter toute fuite aux esclaves qu on etait. même si il savait que je ne ferais jamais une telle chose, moi panaa un bon petit esclave. La fuite ne me faisait pas peur, mais pour aller où ? Et faire quoi ? Alors je me contentais de rester ici et de bien faire mon travail. D ailleurs je ne commençais jamais une journee sans prié. Les genoux sur la paille, les mains à plat paume vers les etoiles. Et la tête zebré par la lumiere de la lune qui s attenuait au file des mots, je recitais mes priéres. Pour continuer à avancer, qu ils me donnent la force et les remerciers de m avoir aidé jusque là. J entrainais dans mes paroles le petit graagnon, lui aussi esclave. Presque un petit frère. Il etait encore plus perdu que moi dans ces murs de la capital pirate.
Les bruits de pas, le bois dans la roche des pavés m indiquais qu il etait tant pour nous de rejoindre les cuisines. Marchant dans les couloirs, evitant le plus de monde possible on arrivait au cuisine prés a se donner pour le chef. Un graarh non asservie gigantesque. À moins que ce n etait nous qui etions tres petit et fin. Tim était pas de bonne humeurt car les caisses de nourriture n etaient pas arrivés. Les hommes n avaient pas prevus qu elles serraient aussi lourde et penaient à faire le chemins entre le siege et le port des marchants. Pourtant pas bien eloigné. Je fut donc envoyé la bas pour aider à porter les caisses. Bien que plus petit que les autres graarhs je restais néanmoins plus fort qu un homme adulte. Je partis en direction du port et pris la plus grosses caisses, d autre esclaves appelés en renfort prenaient aussi les caisses, ils me suivaient dans un silence religieux. Amenant la nourriture aux stock près des cuisines du sieges. Sans prendre une minute de repos, j ouvrais les caisses pour ranger et inventorier. Les autres esclaves repartaient avec les caisses pleinne de denrés pour les bateaux, ou vide. Lorsque je comptais et rammassais les differentes viandes, on vint me donner un grand coup dans l épaules. Les oreilles basses la queue contre la jambe je me retournais. De ma taille, un humain qui hurlait que je n avais pas a faire ça, que je risquais de voler. Il ne devait pas me connaitre, car aux cuisines on me faisait confiance. Autant confiance qu on le faisait à un esclave qui se rebellait jamais. Je me reculais en ecoutant les insultes de l homme, me traitant d idiot et ordonnant d aller rejoindre les autres. Cet humain ne savait vraiment pas que j etais affecté ici, privilégier parmis les esclaves. Je portais d ailleurs un petit rubant, indiquant qui je servais, de quoi ne pas etre voler. L'odre de l humain etait l'occasions de sortir et d etre tranquille, alors sans rien dire je pris l une des caisses vides et rejoingnais les autres esclaves en retard .
Une fois au bateau, les autres esclaves fut emmeners autre part pour d autre taches, mon rubant me protegeant je retournais doucement au siege. Passant sur les quais d amarrage je remarquais une biquote, une barque mal en point. Plus j avancais, plus j oublais que ma destination etait les cuisines. La barque etait remplit d eau et manquait d etre submergé.
Cette barque me rapellait quelque chose. Une petite ambarcation, menu. J essayais de me souvenir.
Un sceau etait sur le pont, je le pris sautais dans la barque. Les souvenirs remonterent. Celui de mon pere et de mes freres. Apprenant a navigué sur l ambarcation des graärh ! Les gestes me revenait bien que l ambarcation etait tres différente, mais les 2 ans a bord du maelstrom m avait appris bien des choses en plus de celle de mon pere. J ecoppais l eau grace au sceau, la barque remontait petit a petit, mais laissait entrevoir pas mal de réparations a faire.
Pris dans mon élans, j entrepris les reparations. Avec se que je pouvais trouver par terre. Des cloués rouillés, des planches de bois. J alla même jusqu au chantier navale. Il y avait toujours des choses a traîner. Habitué a etre discret je passait pour un esclave parmis les autres. Personne ne remarquait mon rubant quoique peux être une humaine.
Je derobait quelques outils pretexant un besoin pour les cuisines. Je retournais a ma barque et commençait avec maldresse de reboucher quelques troues. Clouant par dessus la coque abimés des planches de mauvaises tailles.
La patte pour tenir la planchette bien trop epaisse pour la coque qui s effritait a certain endroit.
A vrais dire on aurait du decouper les partis abimé pour les remplacer autrement. Mais je ne savais pas encore manque d habilité. Ça c etait bien remarqué lorsque j avais réalisé la poupé de mon maître ou encore mes debuts en cuisine dans les decoupes ou bien avec une arme
Dernière édition par Panaa Sansunnom le Dim 20 Fév 2022 - 17:44, édité 1 fois
Les rumeurts des meurtres commençaient à peine. Des individus qui disparaissaient. Surtout parmis les miens. Petit à petit on en parlait plus, surtout au repas très très discretement. Je faisais toujours semblant de ne pas ecouter, ni voir. Un fantôme qui sert, d'apparence innocent. À vrais dire je commençais à en faire des cauchemars avec toutes les disparitions. Le monstre prenait une forme d'une ombre giganstesque au dessus de nos paillasses à mon compagnon de chambre et à moi.
Le 9 octobre, le soleil n 'était pas encore levé. La lumiere de la lune filtré par les persienne en métal. Posé la pour eviter toute fuite aux esclaves qu on etait. même si il savait que je ne ferais jamais une telle chose, moi panaa un bon petit esclave. La fuite ne me faisait pas peur, mais pour aller où ? Et faire quoi ? Alors je me contentais de rester ici et de bien faire mon travail. D ailleurs je ne commençais jamais une journee sans prié. Les genoux sur la paille, les mains à plat paume vers les etoiles. Et la tête zebré par la lumiere de la lune qui s attenuait au file des mots, je recitais mes priéres. Pour continuer à avancer, qu ils me donnent la force et les remerciers de m avoir aidé jusque là. J entrainais dans mes paroles le petit graagnon, lui aussi esclave. Presque un petit frère. Il etait encore plus perdu que moi dans ces murs de la capital pirate.
Les bruits de pas, le bois dans la roche des pavés m indiquais qu il etait tant pour nous de rejoindre les cuisines. Marchant dans les couloirs, evitant le plus de monde possible on arrivait au cuisine prés a se donner pour le chef. Un graarh non asservie gigantesque. À moins que ce n etait nous qui etions tres petit et fin. Tim était pas de bonne humeurt car les caisses de nourriture n etaient pas arrivés. Les hommes n avaient pas prevus qu elles serraient aussi lourde et penaient à faire le chemins entre le siege et le port des marchants. Pourtant pas bien eloigné. Je fut donc envoyé la bas pour aider à porter les caisses. Bien que plus petit que les autres graarhs je restais néanmoins plus fort qu un homme adulte. Je partis en direction du port et pris la plus grosses caisses, d autre esclaves appelés en renfort prenaient aussi les caisses, ils me suivaient dans un silence religieux. Amenant la nourriture aux stock près des cuisines du sieges. Sans prendre une minute de repos, j ouvrais les caisses pour ranger et inventorier. Les autres esclaves repartaient avec les caisses pleinne de denrés pour les bateaux, ou vide. Lorsque je comptais et rammassais les differentes viandes, on vint me donner un grand coup dans l épaules. Les oreilles basses la queue contre la jambe je me retournais. De ma taille, un humain qui hurlait que je n avais pas a faire ça, que je risquais de voler. Il ne devait pas me connaitre, car aux cuisines on me faisait confiance. Autant confiance qu on le faisait à un esclave qui se rebellait jamais. Je me reculais en ecoutant les insultes de l homme, me traitant d idiot et ordonnant d aller rejoindre les autres. Cet humain ne savait vraiment pas que j etais affecté ici, privilégier parmis les esclaves. Je portais d ailleurs un petit rubant, indiquant qui je servais, de quoi ne pas etre voler. L'odre de l humain etait l'occasions de sortir et d etre tranquille, alors sans rien dire je pris l une des caisses vides et rejoingnais les autres esclaves en retard .
Une fois au bateau, les autres esclaves fut emmeners autre part pour d autre taches, mon rubant me protegeant je retournais doucement au siege. Passant sur les quais d amarrage je remarquais une biquote, une barque mal en point. Plus j avancais, plus j oublais que ma destination etait les cuisines. La barque etait remplit d eau et manquait d etre submergé.
Cette barque me rapellait quelque chose. Une petite ambarcation, menu. J essayais de me souvenir.
Un sceau etait sur le pont, je le pris sautais dans la barque. Les souvenirs remonterent. Celui de mon pere et de mes freres. Apprenant a navigué sur l ambarcation des graärh ! Les gestes me revenait bien que l ambarcation etait tres différente, mais les 2 ans a bord du maelstrom m avait appris bien des choses en plus de celle de mon pere. J ecoppais l eau grace au sceau, la barque remontait petit a petit, mais laissait entrevoir pas mal de réparations a faire.
Pris dans mon élans, j entrepris les reparations. Avec se que je pouvais trouver par terre. Des cloués rouillés, des planches de bois. J alla même jusqu au chantier navale. Il y avait toujours des choses a traîner. Habitué a etre discret je passait pour un esclave parmis les autres. Personne ne remarquait mon rubant quoique peux être une humaine.
Je derobait quelques outils pretexant un besoin pour les cuisines. Je retournais a ma barque et commençait avec maldresse de reboucher quelques troues. Clouant par dessus la coque abimés des planches de mauvaises tailles.
La patte pour tenir la planchette bien trop epaisse pour la coque qui s effritait a certain endroit.
A vrais dire on aurait du decouper les partis abimé pour les remplacer autrement. Mais je ne savais pas encore manque d habilité. Ça c etait bien remarqué lorsque j avais réalisé la poupé de mon maître ou encore mes debuts en cuisine dans les decoupes ou bien avec une arme
Dernière édition par Panaa Sansunnom le Dim 20 Fév 2022 - 17:44, édité 1 fois