Création d'une bête
Vous trouverez ici les créations des membres ayant décidé de participer. Vous ne connaitrez pas les noms des participants qu’à la fin du vote.
Rappel des règles du vote :
1- Vous ne pouvez voter que pour une des propositions. Interdiction donc de voter avec vos DC une nouvelle fois.
2- Vous devez indiquer à la suite de ce message pour qui vous avez voté.
3- Pour les participants, vous ne pouvez pas voter pour vous même.
Rappel des règles du vote :
1- Vous ne pouvez voter que pour une des propositions. Interdiction donc de voter avec vos DC une nouvelle fois.
2- Vous devez indiquer à la suite de ce message pour qui vous avez voté.
3- Pour les participants, vous ne pouvez pas voter pour vous même.
Bête 1 :
Khaanatma
Le Khaanatma en langue Graärh, ou le « mange-esprit » dans la langue commune est une petite créature simiesque et marsupiale de petite taille, mesurant trente centimètres pour les plus grands de leur espèce. Ce qui la caractérise sont ces deux paires de bras, ses grands yeux jaunes, mais surtout son étonnante capacité d’adaptation. Vivant dans les arbres, on retrouve la Khaanatma sur tout l’archipel de Tiamaranta. Au sommet des pins gelés de Nyn-Tiamat, sous les larges feuilles des palmiers de Keet-Tiamat, sur les branches de mangroves de Néthéril, au sein des buissons de Calastin.
Insectivore, cette petite créature d’apparence mignonnette et fragile ne connait en véritable aucun prédateur hormis le Graärh lui-même. Aucun animal ou créature du bestiaire ne s’attaque à lui. Et si les Graärh les chassent où les tuent dans le pire des cas, c’est uniquement en raison du danger qu’ils représentent pour les esprits-liés.
Si cette créature est appelée le « mange-esprit » c’est justement parce que sa morsure a un effet ravageur sur les spirites. La morsure d’un Khaanatma vient perturber le lien unissant le spirite et son esprit-lié, certains disent même qu’il se nourrirait de la magie des esprits-liés. Ainsi celui qui se ferait mordre ne parviendrait plus à utiliser ses pouvoirs pendant une journée ou même plus suivant le nombre de morsures subies. Les Graärh craignent qu’un trop grand nombre de morsures empêchent à tout jamais un spirite d’utiliser les esprits-liés.
La légende raconte que les yeux du Khaanatma sont capables de voir l’esprit-lié d’un spirite, car la créature se montrerait plus agressive envers ceux liés à un esprit-lié insectoïdes et les chasserait même.
Le Khaanatma en langue Graärh, ou le « mange-esprit » dans la langue commune est une petite créature simiesque et marsupiale de petite taille, mesurant trente centimètres pour les plus grands de leur espèce. Ce qui la caractérise sont ces deux paires de bras, ses grands yeux jaunes, mais surtout son étonnante capacité d’adaptation. Vivant dans les arbres, on retrouve la Khaanatma sur tout l’archipel de Tiamaranta. Au sommet des pins gelés de Nyn-Tiamat, sous les larges feuilles des palmiers de Keet-Tiamat, sur les branches de mangroves de Néthéril, au sein des buissons de Calastin.
Insectivore, cette petite créature d’apparence mignonnette et fragile ne connait en véritable aucun prédateur hormis le Graärh lui-même. Aucun animal ou créature du bestiaire ne s’attaque à lui. Et si les Graärh les chassent où les tuent dans le pire des cas, c’est uniquement en raison du danger qu’ils représentent pour les esprits-liés.
Si cette créature est appelée le « mange-esprit » c’est justement parce que sa morsure a un effet ravageur sur les spirites. La morsure d’un Khaanatma vient perturber le lien unissant le spirite et son esprit-lié, certains disent même qu’il se nourrirait de la magie des esprits-liés. Ainsi celui qui se ferait mordre ne parviendrait plus à utiliser ses pouvoirs pendant une journée ou même plus suivant le nombre de morsures subies. Les Graärh craignent qu’un trop grand nombre de morsures empêchent à tout jamais un spirite d’utiliser les esprits-liés.
La légende raconte que les yeux du Khaanatma sont capables de voir l’esprit-lié d’un spirite, car la créature se montrerait plus agressive envers ceux liés à un esprit-lié insectoïdes et les chasserait même.
Bête 2 :
La Noctapagos,
Voir un petit point noir profond flotter à la surface dans le sillage d'un bateau est souvent un mauvais signe car cela veut dire que la créature a pris le navire en chasse.
Cette gigantesque tortue de 2.5m de diamètre est noire comme le charbon sur la totalité de son corps, comme si toute lumière était absorbée autour d'elle. La seule touche de couleur provient de ses yeux aveugles vert pâle, délaissés à cause de l'aura de noirceur qui l'entoure quasi continuellement.
Le sens premier de l'animal ne semble être ni l'ouïe ni la vue mais la magie et plus particulièrement l'émanation magique des êtres conscients.
Sa méthode d'action n'est pas violente, elle suit le bateau pendant parfois des kilomètres et des kilomètres, capable d'une vitesse et d'une endurance impressionnante pour sa masse.
Elle entoure le navire d'une atmosphère lourde de brume qui cache petit à petit la lumière du jour. Elle sape la joie de vivre de sa proie en quelques jours, jusqu'à la pousser au suicide. Le processus est d'autant plus rapide que l'équipage est peu nombreux. Les proies finissent par abandonner leur bateau pour rejoindre la tortue qui suce leur dernière once de magie et de conscience avant de les emmener par le fond pour les manger.
Après être rassasiée elle prend une journée pour digérer, et "éteints" ses pouvoirs pour que les charognard puissent venir se débarrasser des restes. On a même vu certains petits oiseaux venir nettoyer la carapace et la peau de la tortue des bernacles et des algues qui se sont collées pendant la chasse. Une fois que la digestion est finie, l'aura de noirceur revient plus forte que jamais et ceci jusqu'à ce que le bateau soit vidé de son équipage. Les charognards qui n'ont pas eu la présence d'esprit de partir à temps après la digestion meurent instantanément à cause du choc télépathique et constituent un encas pour le prédateur.
La Noctapagos migre tris-annuellement pour la reproduction au nord de Tiamat pour une période de 3 mois. La concentration de pouvoir magique est telle qu'aucune observation n'a pu être faite. La femelle ne porte qu'un seul œuf qui s'extrait petit à petit de la carapace par l'arrière et qui éclos lorsque l'œuf se décroche de la mère.
La Noctapagos par ses pouvoirs magiques se place en haut de la chaîne alimentaire et par conséquent a une population très faible et un mode de reproduction qui ne génère que très peu d'individus et très rarement.
La seule chance pour les marins de survivre à une Noctapagos est d'arriver à la harponner à une distance suffisante pour la toucher et pour ne pas être trop déprimé pour viser et tirer. Il faut également arriver à toucher le cou car il s'agit de la seule partie molle à l'extérieur de la carapace.
Une autre solution est de maintenir une ambiance festive grâce à un barde ou à l'alcool pour combattre les mauvaises ondes de la tortue jusqu'à en être débarrassé.
Voir un petit point noir profond flotter à la surface dans le sillage d'un bateau est souvent un mauvais signe car cela veut dire que la créature a pris le navire en chasse.
Cette gigantesque tortue de 2.5m de diamètre est noire comme le charbon sur la totalité de son corps, comme si toute lumière était absorbée autour d'elle. La seule touche de couleur provient de ses yeux aveugles vert pâle, délaissés à cause de l'aura de noirceur qui l'entoure quasi continuellement.
Le sens premier de l'animal ne semble être ni l'ouïe ni la vue mais la magie et plus particulièrement l'émanation magique des êtres conscients.
Sa méthode d'action n'est pas violente, elle suit le bateau pendant parfois des kilomètres et des kilomètres, capable d'une vitesse et d'une endurance impressionnante pour sa masse.
Elle entoure le navire d'une atmosphère lourde de brume qui cache petit à petit la lumière du jour. Elle sape la joie de vivre de sa proie en quelques jours, jusqu'à la pousser au suicide. Le processus est d'autant plus rapide que l'équipage est peu nombreux. Les proies finissent par abandonner leur bateau pour rejoindre la tortue qui suce leur dernière once de magie et de conscience avant de les emmener par le fond pour les manger.
Après être rassasiée elle prend une journée pour digérer, et "éteints" ses pouvoirs pour que les charognard puissent venir se débarrasser des restes. On a même vu certains petits oiseaux venir nettoyer la carapace et la peau de la tortue des bernacles et des algues qui se sont collées pendant la chasse. Une fois que la digestion est finie, l'aura de noirceur revient plus forte que jamais et ceci jusqu'à ce que le bateau soit vidé de son équipage. Les charognards qui n'ont pas eu la présence d'esprit de partir à temps après la digestion meurent instantanément à cause du choc télépathique et constituent un encas pour le prédateur.
La Noctapagos migre tris-annuellement pour la reproduction au nord de Tiamat pour une période de 3 mois. La concentration de pouvoir magique est telle qu'aucune observation n'a pu être faite. La femelle ne porte qu'un seul œuf qui s'extrait petit à petit de la carapace par l'arrière et qui éclos lorsque l'œuf se décroche de la mère.
La Noctapagos par ses pouvoirs magiques se place en haut de la chaîne alimentaire et par conséquent a une population très faible et un mode de reproduction qui ne génère que très peu d'individus et très rarement.
La seule chance pour les marins de survivre à une Noctapagos est d'arriver à la harponner à une distance suffisante pour la toucher et pour ne pas être trop déprimé pour viser et tirer. Il faut également arriver à toucher le cou car il s'agit de la seule partie molle à l'extérieur de la carapace.
Une autre solution est de maintenir une ambiance festive grâce à un barde ou à l'alcool pour combattre les mauvaises ondes de la tortue jusqu'à en être débarrassé.
Bête 3 :
Le Darmamouh
Il est rare de voir un Darmamouh, car ce dernier ne se déplace que très, seulement pour changer d'arbre, car oui c'est un être vivant qui vit et se nourrit exclusivement par les arbres. De formes semi-sphériques, le Darmamouh peut faire la taille d'un poing humain à celui d'un torse. Sa peau a la texture du cuir tanné et peut changer de couleur pour s'adapter à la surface sur laquelle il repose. Son corps est ponctué de très nombreuses petites poches, espèce de voiles qui permettent de parfaire le camouflage en ajoutant des aspérités sur le corps lisse du Darmamouh. Ces voiles servent aussi à son déplacement.
Moment laborieux pour cet être qu'est le moment de changer d'arbres. Le Darmamouh se laisse tomber au sol. Son corps mou, ne comportant aucun os, seulement un squelette de cartilage, lui permet des chute de plus centaines de mètres en théorie. Ce qui n'arrive jamais, ou très rarement. La chute est la partie critique. Alors que le Darmamouh tombe, ses petites poches s'emplissent d'air, ralentissant ainsi sa chute. Il se met alors à planer et essaye d'attraper les courant d'air chaud ascendant. Il ne lui faut pas grand chose pour permettre à cette créature de s'élever et ainsi se diriger vers son prochain repas... à l'aveugle.
En effet, le Dramamouh ne possède des organes sensitifs que sur la face inférieure, plane de son corps. Ce sont de longs filaments, permettant de le sens du toucher et celui de l'odorat. Deux sens difficilement utiles pour trouver ses proies lorsqu'il flotte dans les airs. Mais quelles sont ses proies? Et bien, les arbres eux-même. Après avoir flotté, ou rampé à l'aide de ses tentacules pour les plus malheureux, il s'accroche à sa victime. Le pauvre arbre ne peut pas fuir. Un procédé de miroir lui permet alors d'activer sur camouflage. Une fois bien installé, solidement ancré, ventousé et invisible, c'est alors que son festin commence. Deux tubes s'enfoncent dans le tronc jusqu'aux canaux de sève et le Darmamouh vampirise le pauvre végétal jusqu'à ce qu'il meurent. Une fois l'arbre sur le point de mourir, le Darmamouh se libère et part vers une autre victime. Mais avant, il libère des spores.
Car quand on ne voit pas, il faut bien se reproduire tout de même. Ainsi avant de quitter un arbre, le Darmamouh y plante ses spores, qui mûrissent pour finalement exploser, libérant les oeufs qui chercheront un de leur semblable de sexes différents. Différents car le Darmamouh est une espèce sexuée certes mais pas seulement constitué de mâle et de femelle mais bien de 27 sexes différents pour assurer à coup sûr une reproduction efficace. Les oeufs se fécondent et donnent naissance à un nouveau Darmamouh à l'endroit où ils se rencontrent. Ce qui donne souvent des buffets aux animaux sauvages car sa chair est succulente et riche.
Il est rare de voir un Darmamouh, car ce dernier ne se déplace que très, seulement pour changer d'arbre, car oui c'est un être vivant qui vit et se nourrit exclusivement par les arbres. De formes semi-sphériques, le Darmamouh peut faire la taille d'un poing humain à celui d'un torse. Sa peau a la texture du cuir tanné et peut changer de couleur pour s'adapter à la surface sur laquelle il repose. Son corps est ponctué de très nombreuses petites poches, espèce de voiles qui permettent de parfaire le camouflage en ajoutant des aspérités sur le corps lisse du Darmamouh. Ces voiles servent aussi à son déplacement.
Moment laborieux pour cet être qu'est le moment de changer d'arbres. Le Darmamouh se laisse tomber au sol. Son corps mou, ne comportant aucun os, seulement un squelette de cartilage, lui permet des chute de plus centaines de mètres en théorie. Ce qui n'arrive jamais, ou très rarement. La chute est la partie critique. Alors que le Darmamouh tombe, ses petites poches s'emplissent d'air, ralentissant ainsi sa chute. Il se met alors à planer et essaye d'attraper les courant d'air chaud ascendant. Il ne lui faut pas grand chose pour permettre à cette créature de s'élever et ainsi se diriger vers son prochain repas... à l'aveugle.
En effet, le Dramamouh ne possède des organes sensitifs que sur la face inférieure, plane de son corps. Ce sont de longs filaments, permettant de le sens du toucher et celui de l'odorat. Deux sens difficilement utiles pour trouver ses proies lorsqu'il flotte dans les airs. Mais quelles sont ses proies? Et bien, les arbres eux-même. Après avoir flotté, ou rampé à l'aide de ses tentacules pour les plus malheureux, il s'accroche à sa victime. Le pauvre arbre ne peut pas fuir. Un procédé de miroir lui permet alors d'activer sur camouflage. Une fois bien installé, solidement ancré, ventousé et invisible, c'est alors que son festin commence. Deux tubes s'enfoncent dans le tronc jusqu'aux canaux de sève et le Darmamouh vampirise le pauvre végétal jusqu'à ce qu'il meurent. Une fois l'arbre sur le point de mourir, le Darmamouh se libère et part vers une autre victime. Mais avant, il libère des spores.
Car quand on ne voit pas, il faut bien se reproduire tout de même. Ainsi avant de quitter un arbre, le Darmamouh y plante ses spores, qui mûrissent pour finalement exploser, libérant les oeufs qui chercheront un de leur semblable de sexes différents. Différents car le Darmamouh est une espèce sexuée certes mais pas seulement constitué de mâle et de femelle mais bien de 27 sexes différents pour assurer à coup sûr une reproduction efficace. Les oeufs se fécondent et donnent naissance à un nouveau Darmamouh à l'endroit où ils se rencontrent. Ce qui donne souvent des buffets aux animaux sauvages car sa chair est succulente et riche.
Bête 4 :
Algues piégeuses :
C'est un végétal constitué de plusieurs longs rameaux en forme de rubans, à peine plus épais que le cuir d'agneau soigneusement travaillé et aussi large que trois doigts de la main. La texture est douce, quoiqu'un peu gluante, comme cela se sent chez bon nombre d'espèces de la flore marine. Leur couleur varie en fonction du milieu où elle se trouvera, prenant la couleur dominante du sol où elle aura ses racines.
On l'appelle algue piégeuse car malgré son apparence innocente, ses rameaux réagissent à la moindre sensation physique qui frôle leur surface et enserrent la malheureuse victime qui a eu la malchance de les croiser. C'est autant un moyen de défense que de s'assurer un moyen de subsistance. Ils ne lâchent leur prise qu'une fois qu'elle cesse de bouger ou qu'on les coupe. En somme plus on se débat et plus on se retrouve enserré dans ces bras végétaux. C'est un piège mortel pour tout être respirant à la surface ou pour les requins. Une fois la proie morte noyée ou d'épuisement, son corps coulera vers le sol et en se dégradant, apportera les nutriments que l'algue recherche naturellement pour son propre développement.
On la retrouvera dans les eaux claires des bords de mer ou dans les baies, ou dans certains estuaires. Il parait qu'on en a vu dans certains fleuves et rivières, loin de la mer.
Ses rameaux sont prisés comme bandage naturel ou liens, car même séchés, ils restent souples et légers. Mais ils restent difficiles à obtenir en raison de la dangerosité de la plante aquatique.
C'est un végétal constitué de plusieurs longs rameaux en forme de rubans, à peine plus épais que le cuir d'agneau soigneusement travaillé et aussi large que trois doigts de la main. La texture est douce, quoiqu'un peu gluante, comme cela se sent chez bon nombre d'espèces de la flore marine. Leur couleur varie en fonction du milieu où elle se trouvera, prenant la couleur dominante du sol où elle aura ses racines.
On l'appelle algue piégeuse car malgré son apparence innocente, ses rameaux réagissent à la moindre sensation physique qui frôle leur surface et enserrent la malheureuse victime qui a eu la malchance de les croiser. C'est autant un moyen de défense que de s'assurer un moyen de subsistance. Ils ne lâchent leur prise qu'une fois qu'elle cesse de bouger ou qu'on les coupe. En somme plus on se débat et plus on se retrouve enserré dans ces bras végétaux. C'est un piège mortel pour tout être respirant à la surface ou pour les requins. Une fois la proie morte noyée ou d'épuisement, son corps coulera vers le sol et en se dégradant, apportera les nutriments que l'algue recherche naturellement pour son propre développement.
On la retrouvera dans les eaux claires des bords de mer ou dans les baies, ou dans certains estuaires. Il parait qu'on en a vu dans certains fleuves et rivières, loin de la mer.
Ses rameaux sont prisés comme bandage naturel ou liens, car même séchés, ils restent souples et légers. Mais ils restent difficiles à obtenir en raison de la dangerosité de la plante aquatique.
Bête 5 :
Sirènes : créatures magiques marines
Les sirènes mesurent de un à deux mètres selon leur âge. Leur corps ressemblent à celui de grands poissons généralement des requins. Leur grande différence réside dans leur tête et la présence de bras. En effet, les sirènes ont une visage aux allures humaines avec des tentacules pareille à des cheveux et elles possèdent aussi deux très long bras. Les sirènes n'ont pourtant rien des bipèdes et leur visage est effrayante, ce sont des bêtes sanguinaires, en témoignent leurs longues griffes affûtés aux bout des doigts et des dents tranchantes sortant de leur bouche. Elles aiment se nourrir des créatures terrestres et se déplacent toujours en banc. Elles arrivent à attirer les marins par des illusions créés par leur corps afin de les dévorer. En effet, hors de l'eau et à leur volonté, la magie de leurs esprits-liés opèrent et les créatures abordent l'apparence de magnifiques jeunes femmes ou hommes poissons.
Les sirènes mesurent de un à deux mètres selon leur âge. Leur corps ressemblent à celui de grands poissons généralement des requins. Leur grande différence réside dans leur tête et la présence de bras. En effet, les sirènes ont une visage aux allures humaines avec des tentacules pareille à des cheveux et elles possèdent aussi deux très long bras. Les sirènes n'ont pourtant rien des bipèdes et leur visage est effrayante, ce sont des bêtes sanguinaires, en témoignent leurs longues griffes affûtés aux bout des doigts et des dents tranchantes sortant de leur bouche. Elles aiment se nourrir des créatures terrestres et se déplacent toujours en banc. Elles arrivent à attirer les marins par des illusions créés par leur corps afin de les dévorer. En effet, hors de l'eau et à leur volonté, la magie de leurs esprits-liés opèrent et les créatures abordent l'apparence de magnifiques jeunes femmes ou hommes poissons.
Bête 6 :
Chat des mers
Animal à la fois terrestre et aquatique, mais ayant une préférence pour les milieux marins. Le haut de son corps s'apparente rapidement à celui d'un félin. Il a deux longues oreilles pointues sur sa tête, des moustaches ornent son museau et il possède quatre pattes agiles aux griffes rétractables.Toutefois, il s'apparente également à un animal aquatique. Une longue queue de poisson terminant par deux larges nageoires se dessine à l'arrière de son corps. Une nageoire dorsale striée trône du haut du front jusqu'au bout de la queue. Il est recouvert d'écailles. De la tête au bout de la queue, le chat des mers mesure près de deux mètres et la queue fait pratiquement la moitié de sa taille. Ils sont habituellement dans les teintes bleutées. Très rarement, ils se présentent sous la couleur violette. Lorsqu'ils sont mauvâtres, ils ont la particularité d'avoir également un cristal de magie sur leur front et possède de surprenants pouvoirs.
Le chat des mers est tout aussi à l'aise sur la terre que dans l'eau. Toutefois, il ne supporte pas bien les grandes chaleurs. Il se nourrit majoritairement de poissons et de petits mammifères. Il ne vit pas en groupe, mais parfois on les voit en compagnie de leur partenaire. Il passe la majeure partie à dormir ou paresser, à jouer et à manger.
Animal à la fois terrestre et aquatique, mais ayant une préférence pour les milieux marins. Le haut de son corps s'apparente rapidement à celui d'un félin. Il a deux longues oreilles pointues sur sa tête, des moustaches ornent son museau et il possède quatre pattes agiles aux griffes rétractables.Toutefois, il s'apparente également à un animal aquatique. Une longue queue de poisson terminant par deux larges nageoires se dessine à l'arrière de son corps. Une nageoire dorsale striée trône du haut du front jusqu'au bout de la queue. Il est recouvert d'écailles. De la tête au bout de la queue, le chat des mers mesure près de deux mètres et la queue fait pratiquement la moitié de sa taille. Ils sont habituellement dans les teintes bleutées. Très rarement, ils se présentent sous la couleur violette. Lorsqu'ils sont mauvâtres, ils ont la particularité d'avoir également un cristal de magie sur leur front et possède de surprenants pouvoirs.
Le chat des mers est tout aussi à l'aise sur la terre que dans l'eau. Toutefois, il ne supporte pas bien les grandes chaleurs. Il se nourrit majoritairement de poissons et de petits mammifères. Il ne vit pas en groupe, mais parfois on les voit en compagnie de leur partenaire. Il passe la majeure partie à dormir ou paresser, à jouer et à manger.
Bête 7 :
Les néréides
Il s’agit de créatures marines, dont le haut du corps rappelle une forme humanoïde, et le bas de leur silhouette est composé d’une queue de poisson. Elles possèdent des bras fusionnés avec des membranes qui leur servent de nageoires ainsi que des mains palmées terminées par des griffes noires. Leur peau est recouverte d’écailles aux propriétés phosphorescentes, pouvant aller du vert pâle au bleu turquoise. Leur tête comporte des yeux noirs et globuleux et une bouche hérissée de crocs très acérés.
Les néréides vivent en groupes d’une dizaine d’individus, composés principalement de femelles stériles et d’une reine. Les rares mâles possèdent une couleur grisâtre, une espérance de vie très brève et n’ont pour seul but que de féconder la reine. Celle-ci quitte rarement la grotte sous-marine où elle a établi son nid et s’occupe de pondre des œufs.
Ces monstres marins mesurent une taille variant entre 1M50 et 2M10, selon l’âge des individus, mais les reines peuvent atteindre des proportions plus imposantes allant jusqu’à 10 mètres.
Les néréides sont carnivores et suivent fréquemment les bateaux de marins. Ces dernières sont capables de produire un chant, aux sonorités irréelles et envoûtantes, destiné à désorienter les navigateurs et à les faire s’échouer sur des rochers pour pouvoir ensuite les dévorer.
Leurs entrailles recèlent des sortes de cristaux de différentes couleurs qui servent d’ingrédients à la fabrication de glyphes. Ceux des reines sont les plus rares et les prisés mais aussi les plus difficiles à se procurer en raison de la dangerosité de ces créatures.
Le cuir de leur peau et les écailles servant à fabriquer des objets ou des ornements sont très prisés, surtout chez Graärh ou les humains.
Il s’agit de créatures marines, dont le haut du corps rappelle une forme humanoïde, et le bas de leur silhouette est composé d’une queue de poisson. Elles possèdent des bras fusionnés avec des membranes qui leur servent de nageoires ainsi que des mains palmées terminées par des griffes noires. Leur peau est recouverte d’écailles aux propriétés phosphorescentes, pouvant aller du vert pâle au bleu turquoise. Leur tête comporte des yeux noirs et globuleux et une bouche hérissée de crocs très acérés.
Les néréides vivent en groupes d’une dizaine d’individus, composés principalement de femelles stériles et d’une reine. Les rares mâles possèdent une couleur grisâtre, une espérance de vie très brève et n’ont pour seul but que de féconder la reine. Celle-ci quitte rarement la grotte sous-marine où elle a établi son nid et s’occupe de pondre des œufs.
Ces monstres marins mesurent une taille variant entre 1M50 et 2M10, selon l’âge des individus, mais les reines peuvent atteindre des proportions plus imposantes allant jusqu’à 10 mètres.
Les néréides sont carnivores et suivent fréquemment les bateaux de marins. Ces dernières sont capables de produire un chant, aux sonorités irréelles et envoûtantes, destiné à désorienter les navigateurs et à les faire s’échouer sur des rochers pour pouvoir ensuite les dévorer.
Leurs entrailles recèlent des sortes de cristaux de différentes couleurs qui servent d’ingrédients à la fabrication de glyphes. Ceux des reines sont les plus rares et les prisés mais aussi les plus difficiles à se procurer en raison de la dangerosité de ces créatures.
Le cuir de leur peau et les écailles servant à fabriquer des objets ou des ornements sont très prisés, surtout chez Graärh ou les humains.