Il y avait eu un avant et un après cette guerre d'une journée. Ce jour avait changé plus de chose dans ma vie que mon dernier combat contre les monstres nommées chimères. Ce fut donc la bataille contre une couronne qui bouleversa mon monde, me fit gagner ma liberté.
Je me souvins entre les moments de flou et l'instinct, j'avais pris le parti de mon maître. Une loyauté basé sur la prise de risque la plus nulle possible. Ce n'était pas la première fois que cela me sauve. Oublier ma fierté graarh pour plier l'échine face à l'esclavagisme il y a deux ans, m'avait sauvé de la noyade ou de bien pire traitement.
Il me fallait rentré, retrouver Rona s'il y ne faisait pas parti des blessés de la tempêtes. Lui qui était dehors dans la rue, j'espérais qu'il soit rentré lorsque les murs se sont reconstruits. J'ai du traverser la ville entièrement pour rejoindre se qui était devenu mon ancienne prison.
Rona était présent, il semblait sain et sauf de corps, mais il me semblait que dans sa tête il voyait encore le monstre qui nous poursuivait jusque dans notre sommeil. Je m'approchais de lui, me couchant sur la paillasse.
-"C'est finis, il n'y a plus de monstre. Nous allons partir".
Le graarhon, se blottit contre moi.
-"Nous partirons jamais d'ici, jamais."
Il m'avait regardé avec colère, et je plaçais ma patte sur ses yeux pour les fermer.
-"Dort, demain est un autre jour".
Il s'endormit rapidement, et je ne tardais pas à le rejoindre dans les songes. Je fus surpris car je ne pensais pas que j'avais pris autant de coup. Je n'avais rien sentis jusque là; les courbatures, les bleus, les écorchures. Ils me tiraillèrent toutes la nuit, mais je passais une nuit excellente. Puisque cette nuit aucun monstre me hanta.
Pour une fois c'était la lumière du jour naissant qui me réveilla et Rona qui me tirait le bras pour me dire qu'on était en retard pour le nettoyage des cuisines. C'est a ce moment que passa deux gardes par l'encadrement de la porte. Frappant avec force malgré leurs bras chargés.
-"Toi, tu pars,(grogna t'il en me montrant du doigts) tu passeras voir le forgerons pour les fers et tu pars de là. Ordre de notre roi. On nous a aussi donné ça pour toi. Prends et vas t'en."
Ils se tournèrent ver Rona, qui me regardais avec de grand yeux.
-"Toi au boulot."
Il eu un grand silence et Rona se leva pour partir en courant. J'attrapais son poignet et me levai. J'avais pas remarqué que j'étais aussi grand que les gardes si je me courbais pas devant eux.
-"Je l'achete"
J'avais garder le plus de pièce que j'avais pus, mes salaires d'esclave, les cadeaux de l'homme du désert. J'espérais seulement avoir assez pour acheter mon petit frère de labeur. Les deux hommes se regardèrent et explosèrent de rire
-"Toi ? acheter un esclave ? Rêve pas trop tu as déjà de la chance d'être libre et de recevoir des cadeaux, le p'tiot il va bien sagement rester parmi nous et travailler comme il sait bien faire."
Ils firent tombé les objets lourdement sur le sol. Je reconnus en un coup d'œil: un bouclier, des fers, un sac bandoulière, une lame, une corde noué et une couverture et des chaussures dépareillés.
-"Des gens nous donnent des objets pour ceux qui on combattu Lolupata, y en a qui on bien de la chance. " J'entendais dans sa voix la jalousie.
"Le roi t'as fais faire un bouclier en prime de ta liberté."
Pendant que l'homme parlait je lâchais le bras de Rona et je prenais en main les objets . Certain était glyphé, très discrètement, les chaussures, le sac, les menottes en fer, le bouclier.
A mes yeux ses objets étaient tous magnifique, le bouclier me plaisait beaucoup avec les serpents qui se lovaient au centre. Je mis dans le sac, le couteau, la corde, la couverture et la lame. La couverture ressortait un peu. Je mis le sac sur mon dos et mis le bouclier contre moi. Il ne restait par terre que les chaussures, car j'examinais les fer.
Le garde en profita pour prendre Rona par ses vêtements abimés. je voulus m'avancer pour les bloquer mais, le deuxième garde c'était déjà mit entre eux et moi.
Je pris les fer qui restait dans mes mains, je lisais les glyphes apposé qui étaient de même couleur que les fers. Il y avait longtemps que je n'avais pas pratiquer, mais je crus lire celle de l'invisibilité.
Je compris ce que ses fer signifiait. Les gardes n'avaient pas pensées à ce que je comptais faire.
Je poussais le garde en déclarant d'une voix la plus assuré possible.
-"Je n'en ais plus l'utilité, c'est à lui que revient ses fers, si je ne puis l'acheter"
Ces mots, cette manière de parler semblait surjouer dans ma gueule. Si surjouer que les gardes riaient de nouveau.
-"Si on m'avait dis qu'un jour, un graah qui voulait acheter son compagnon finirais dans la même journée par lui remettre les fer... " Ils riaient tellement qu'ils lâchèrent Rona, qui se mit un m'implorer.
Je ne lassais rien transparaitre, car après tout j'avais échappé par deux fois à Lolupata, deux gardes se n'étaient rien.
Je mis les fers et espérait faire disparaitre Rona, mais rien ne se passa.
Je commençais à sentir monter en moi la panique, mon plan tombais à l'eau. Comment on l'activait cette glyphe de malheur, m'étais je trompé dans la lecture ?
Mon ventre se tordait et les hommes s'arrêtaient bientôt de rire pour revenir vers Rona.
Quand a Rona, il se mit à pleurer silencieusement, c'était trop pour lui de me voir lui remettre des fers qui l'entraverait davantage. Il ne se rendis pas compte qu'il semblait néanmoins pas moins désavantagé. Il voulut faire tinter le bruit du fer l'un contre l'autre. Comme pour rendre réel ce moment. Mais a sa plus grande surprise et à mon plus grand soulagement, il n'eu aucun son autre que celui des gardes qui ayant finis de rire avait regarder la scène et se mettait à hurler.
-"Il est passer où le nain ?!"
Ils jurèrent en se regardant comme des fous. Dans la pièce il n'y avait plus que moi, grimaldi, et les deux gardes. Je pris la direction du couloir en me pressant de ramasser les chausses. Le petit singe me sauta dessus.
-"Rona, court, suis moi vite, personne ne te vois" dis-je en ma langue natal
Nous partions. Enfin. Je pressais le pas une fois la porte franchis et partis dans un gallot en espérant que Rona me suive bien. Je connaissais les lieux par cœurs et on fumes sortit très vite. Dès que je pus je ralentis , je sentis une main prendre la mienne.
Rona était là et les gardes nous avaient perdu, décontenancé.
On prit la direction de la forge. On allait m'enlever ses fers à mon cou.
Le forgeron prit dans la fournaise des lieux étaient déjà au courant que j'allais venir. Je lâchais Rona, qui demeurait encore invisible, et lorsque le forgeron me coupait le métal qui m'entourait la nuque je me demandais combien de temps il restait avant que Rona soit à nouveau visible.
Le premier coup de vent fut douloureux sur ma peau nue. Là où il avait le collier des esclaves j'avais perdu toute ma fourrure. J'étais marqué à vie par ce passage ici bas. Je mis mon foulard pour me protéger de ce soudain changement.
Je ne pris pas le temps de rester, il nous fallait partir d'ici. Revenir au source était mon but, retrouver se que j'avais perdu deux ans auparavant. La magie entourant Rona se dissipa et bientôt on vit un grarrh et un graarhon enchainé déambulé dans les ruelles.
Personne ne preta attention a eux, la ville était bien trop occupé à renaitre du combat et de la peur qu'avait procuré le monstre de l'ombre.
Il nous fallait partir, le singe, l'enfant et moi. On passa à deux rues de la place, les étales de certain marchant étaient déjà installés, quelques personnes pressées piétinaient dans les rues en direction de la place.
On contourna la place pour aller directement vers le port.
Là aussi les hommes s'activaient, les graarh aussi. Je les remarquais bien plus que les humains car ils étaient de mon peuple. J'eu soudain honte de m'en sortir, d'avoir eu ma liberté en combattant pour le roi qui nous avais asservis et qui continuais d'asservir notre peuple. Nous marchâmes jusqu'aux bateaux de transport qui desservaient l'archipel.
Les places étaient cher pour ceux qui voulait une belle place, mais nous voulions juste revoir notre terre. Netheril.
Je demandais à l'humain, qui s'occupait des entrées, deux places. Il me demandait si je n'étais pas entrain d'essayer de m'enfuir, et j'essayais de lui expliquer que je venais de gagner ma liberté. Ce n'était pas un débat simple car l'homme se méfiait énormément, il allait enfin accepté lorsqu'il vus rona. *
-"Tu' foutrais pas un peu de m'guele ? Celui là à encore un collier, voleur d'esclave !"
Il élevait la voix et des personnes sur le bateaux regardèrent par dessus bord pour voir se qu'il se passait.
Si j'avais eu une peau imberbe j'aurais rougis, mais heureusement pour moi la gène se lisait un peu plus difficilement sur mon visage affiné. Je ne savais pas quoi lui dire, je n'aimais pas mentir.
-"Il m'appartient, il est euh.. Mon mon.. valet !"
Pour essayer d'être sûre de moi c'était gagner, mais pour l'être vraiment c'était raté. Le mensonge m'allait très mal.
Le moment devenait long, l'humain me scrutait d'un air suspicieux. Je ne voulais pas laisser mon petit frère de labeur ici, il était jeune il devrait revenir parmi notre peuple, reprendre sa vie.
Je me souvins entre les moments de flou et l'instinct, j'avais pris le parti de mon maître. Une loyauté basé sur la prise de risque la plus nulle possible. Ce n'était pas la première fois que cela me sauve. Oublier ma fierté graarh pour plier l'échine face à l'esclavagisme il y a deux ans, m'avait sauvé de la noyade ou de bien pire traitement.
Il me fallait rentré, retrouver Rona s'il y ne faisait pas parti des blessés de la tempêtes. Lui qui était dehors dans la rue, j'espérais qu'il soit rentré lorsque les murs se sont reconstruits. J'ai du traverser la ville entièrement pour rejoindre se qui était devenu mon ancienne prison.
Rona était présent, il semblait sain et sauf de corps, mais il me semblait que dans sa tête il voyait encore le monstre qui nous poursuivait jusque dans notre sommeil. Je m'approchais de lui, me couchant sur la paillasse.
-"C'est finis, il n'y a plus de monstre. Nous allons partir".
Le graarhon, se blottit contre moi.
-"Nous partirons jamais d'ici, jamais."
Il m'avait regardé avec colère, et je plaçais ma patte sur ses yeux pour les fermer.
-"Dort, demain est un autre jour".
Il s'endormit rapidement, et je ne tardais pas à le rejoindre dans les songes. Je fus surpris car je ne pensais pas que j'avais pris autant de coup. Je n'avais rien sentis jusque là; les courbatures, les bleus, les écorchures. Ils me tiraillèrent toutes la nuit, mais je passais une nuit excellente. Puisque cette nuit aucun monstre me hanta.
Pour une fois c'était la lumière du jour naissant qui me réveilla et Rona qui me tirait le bras pour me dire qu'on était en retard pour le nettoyage des cuisines. C'est a ce moment que passa deux gardes par l'encadrement de la porte. Frappant avec force malgré leurs bras chargés.
-"Toi, tu pars,(grogna t'il en me montrant du doigts) tu passeras voir le forgerons pour les fers et tu pars de là. Ordre de notre roi. On nous a aussi donné ça pour toi. Prends et vas t'en."
Ils se tournèrent ver Rona, qui me regardais avec de grand yeux.
-"Toi au boulot."
Il eu un grand silence et Rona se leva pour partir en courant. J'attrapais son poignet et me levai. J'avais pas remarqué que j'étais aussi grand que les gardes si je me courbais pas devant eux.
-"Je l'achete"
J'avais garder le plus de pièce que j'avais pus, mes salaires d'esclave, les cadeaux de l'homme du désert. J'espérais seulement avoir assez pour acheter mon petit frère de labeur. Les deux hommes se regardèrent et explosèrent de rire
-"Toi ? acheter un esclave ? Rêve pas trop tu as déjà de la chance d'être libre et de recevoir des cadeaux, le p'tiot il va bien sagement rester parmi nous et travailler comme il sait bien faire."
Ils firent tombé les objets lourdement sur le sol. Je reconnus en un coup d'œil: un bouclier, des fers, un sac bandoulière, une lame, une corde noué et une couverture et des chaussures dépareillés.
-"Des gens nous donnent des objets pour ceux qui on combattu Lolupata, y en a qui on bien de la chance. " J'entendais dans sa voix la jalousie.
"Le roi t'as fais faire un bouclier en prime de ta liberté."
Pendant que l'homme parlait je lâchais le bras de Rona et je prenais en main les objets . Certain était glyphé, très discrètement, les chaussures, le sac, les menottes en fer, le bouclier.
A mes yeux ses objets étaient tous magnifique, le bouclier me plaisait beaucoup avec les serpents qui se lovaient au centre. Je mis dans le sac, le couteau, la corde, la couverture et la lame. La couverture ressortait un peu. Je mis le sac sur mon dos et mis le bouclier contre moi. Il ne restait par terre que les chaussures, car j'examinais les fer.
Le garde en profita pour prendre Rona par ses vêtements abimés. je voulus m'avancer pour les bloquer mais, le deuxième garde c'était déjà mit entre eux et moi.
Je pris les fer qui restait dans mes mains, je lisais les glyphes apposé qui étaient de même couleur que les fers. Il y avait longtemps que je n'avais pas pratiquer, mais je crus lire celle de l'invisibilité.
Je compris ce que ses fer signifiait. Les gardes n'avaient pas pensées à ce que je comptais faire.
Je poussais le garde en déclarant d'une voix la plus assuré possible.
-"Je n'en ais plus l'utilité, c'est à lui que revient ses fers, si je ne puis l'acheter"
Ces mots, cette manière de parler semblait surjouer dans ma gueule. Si surjouer que les gardes riaient de nouveau.
-"Si on m'avait dis qu'un jour, un graah qui voulait acheter son compagnon finirais dans la même journée par lui remettre les fer... " Ils riaient tellement qu'ils lâchèrent Rona, qui se mit un m'implorer.
Je ne lassais rien transparaitre, car après tout j'avais échappé par deux fois à Lolupata, deux gardes se n'étaient rien.
Je mis les fers et espérait faire disparaitre Rona, mais rien ne se passa.
Je commençais à sentir monter en moi la panique, mon plan tombais à l'eau. Comment on l'activait cette glyphe de malheur, m'étais je trompé dans la lecture ?
Mon ventre se tordait et les hommes s'arrêtaient bientôt de rire pour revenir vers Rona.
Quand a Rona, il se mit à pleurer silencieusement, c'était trop pour lui de me voir lui remettre des fers qui l'entraverait davantage. Il ne se rendis pas compte qu'il semblait néanmoins pas moins désavantagé. Il voulut faire tinter le bruit du fer l'un contre l'autre. Comme pour rendre réel ce moment. Mais a sa plus grande surprise et à mon plus grand soulagement, il n'eu aucun son autre que celui des gardes qui ayant finis de rire avait regarder la scène et se mettait à hurler.
-"Il est passer où le nain ?!"
Ils jurèrent en se regardant comme des fous. Dans la pièce il n'y avait plus que moi, grimaldi, et les deux gardes. Je pris la direction du couloir en me pressant de ramasser les chausses. Le petit singe me sauta dessus.
-"Rona, court, suis moi vite, personne ne te vois" dis-je en ma langue natal
Nous partions. Enfin. Je pressais le pas une fois la porte franchis et partis dans un gallot en espérant que Rona me suive bien. Je connaissais les lieux par cœurs et on fumes sortit très vite. Dès que je pus je ralentis , je sentis une main prendre la mienne.
Rona était là et les gardes nous avaient perdu, décontenancé.
On prit la direction de la forge. On allait m'enlever ses fers à mon cou.
Le forgeron prit dans la fournaise des lieux étaient déjà au courant que j'allais venir. Je lâchais Rona, qui demeurait encore invisible, et lorsque le forgeron me coupait le métal qui m'entourait la nuque je me demandais combien de temps il restait avant que Rona soit à nouveau visible.
Le premier coup de vent fut douloureux sur ma peau nue. Là où il avait le collier des esclaves j'avais perdu toute ma fourrure. J'étais marqué à vie par ce passage ici bas. Je mis mon foulard pour me protéger de ce soudain changement.
Je ne pris pas le temps de rester, il nous fallait partir d'ici. Revenir au source était mon but, retrouver se que j'avais perdu deux ans auparavant. La magie entourant Rona se dissipa et bientôt on vit un grarrh et un graarhon enchainé déambulé dans les ruelles.
Personne ne preta attention a eux, la ville était bien trop occupé à renaitre du combat et de la peur qu'avait procuré le monstre de l'ombre.
Il nous fallait partir, le singe, l'enfant et moi. On passa à deux rues de la place, les étales de certain marchant étaient déjà installés, quelques personnes pressées piétinaient dans les rues en direction de la place.
On contourna la place pour aller directement vers le port.
Là aussi les hommes s'activaient, les graarh aussi. Je les remarquais bien plus que les humains car ils étaient de mon peuple. J'eu soudain honte de m'en sortir, d'avoir eu ma liberté en combattant pour le roi qui nous avais asservis et qui continuais d'asservir notre peuple. Nous marchâmes jusqu'aux bateaux de transport qui desservaient l'archipel.
Les places étaient cher pour ceux qui voulait une belle place, mais nous voulions juste revoir notre terre. Netheril.
Je demandais à l'humain, qui s'occupait des entrées, deux places. Il me demandait si je n'étais pas entrain d'essayer de m'enfuir, et j'essayais de lui expliquer que je venais de gagner ma liberté. Ce n'était pas un débat simple car l'homme se méfiait énormément, il allait enfin accepté lorsqu'il vus rona. *
-"Tu' foutrais pas un peu de m'guele ? Celui là à encore un collier, voleur d'esclave !"
Il élevait la voix et des personnes sur le bateaux regardèrent par dessus bord pour voir se qu'il se passait.
Si j'avais eu une peau imberbe j'aurais rougis, mais heureusement pour moi la gène se lisait un peu plus difficilement sur mon visage affiné. Je ne savais pas quoi lui dire, je n'aimais pas mentir.
-"Il m'appartient, il est euh.. Mon mon.. valet !"
Pour essayer d'être sûre de moi c'était gagner, mais pour l'être vraiment c'était raté. Le mensonge m'allait très mal.
Le moment devenait long, l'humain me scrutait d'un air suspicieux. Je ne voulais pas laisser mon petit frère de labeur ici, il était jeune il devrait revenir parmi notre peuple, reprendre sa vie.