Par le matin d'une profonde nuit, à une date inconnue pour le moment.

Calastin, Calastin, morne plaine aurait dit le poète. Ce n'était pas tout a fait vrais, il y avait des collines, entre la mer et le grand lac d’Émeraude, des collines entrecoupé par des rivières. Des prairies à pertes de vu, avec par ci par la des bosquets, mais pas de grandes forets, celles ci se trouvaient au nord de la ville Cordont la Chue. On apercevait de loin en loin une fermette, mais la population était clairsemé, et le gouvernement Impérial encourageait les colons à s'installer, mais pour le moment ce n’était pas un succès.

Le soleil commençait sa route vers le sommet de se course journalière, il faisait encore un peu frais. Quelques nuages poussé par un vent de mer amenait dans l'air un goût salé, la terre avait aussi son influence, comme le montrait ce vole de trois corbeaux, parmi les mouettes, signe d'étrangeté.

Au nord on ne distinguait pas précisément le cité libre, mais les volutes de pollutions de fumées et de poussières, qui distinguait précisément la présence humaine. Quelques traînées brunâtres convergeaient vers ce lieu, c’étaient des routes et des chemins, sur laquelle des points noir se déplaçaient. Ceci représentant des personnes se dirigeant vers la métropole, c'était le jour du marché.

Un observateur non attentif, aurait pu croire cette région vide de présence animal, il suffisait de rester calme, et d'attendre, très vite on entendait des bruits, de glissement, de reptations, de sauts, de...

Craks!

Quelque chose venait de marcher sur une branche morte, et de nouveau le silence tomba! Dans le clair obscure d'un taillis de bouleau il y avait une ombre qui observait. Elle scrutait la route la plus proche, puis la tête fit le tour de son environnement, doucement, tranquillement, et comme rien ne bougeait, la forme ensa qu'il était urgent d'attendre, et Bobosse baissa sa tête et il se mit à brouter l'herbe fraîche.

Il lui avait souvent dit de profiter de moment calme, pour manger, se reposer, car tout pouvait changer d'un instant à l'autre.

Il y avait encore du vent, et le camélidé en profita pour émettre un long pet bien odorant, comme seule les être de sa race, savait les faire.

Ceci fait, sa tête fit encore une fois le tour de son environnement. Rien ne bougeait à part un pipallion, aux couleurs chatoyantes, annonçant à qui voudrait le croire, " Je suis coloré, donc empoissonné, mangez moi et vous trouverez la mort."

L’Animal savait qu'il en avait pour des heures, ou des jours à patienter ici.
Il respira en étudiant les fragrance, à la recherche d'odeur, pouvant évoquer un danger ou bien .... Plus intéressant, une chamelle. Mais non rien de suspecte.

L’animal avança un peu dans le soleil. On pouvait apercevoir maintenant qu'il était gréé simplement, mais pas comme un animal de bât, mais il portait une selle et deux fontes.

Tout semblait calme, il se remit à brouter, l'herbe tendre.