=> 7 Mars de l’an 1761
Il se devait d’être fort. Il avait survécu à l’assaut de Dureroc par les chimères, à cette interminable traverser de l’océan… Ce n’était pas pour voir ses efforts réduits à néant par un simple problème de partage des territoires. Bien qu’en vérité, ce n’était pas une affaire banale, beaucoup de paramètres rentraient en jeux, et ils différaient selon les points de vue. Cette nouvelle terre ne pourrait pas indéfiniment accueillir tout le monde, les humains allaient se multiplier rapidement comme à leur habitude, leur natalité posait bien plus problème que celle des elfes qui restaient minime et des vampires qui étaient facilement contrôlable.
Cependant, la source de ses inquiétudes concernait majoritairement son peuple, car leurs positions étaient bien plus sensibles que celle des autres races. En effet les vampires se sont toujours vu affublé d’une réputation dès plus sombre, et cela était totalement justifié, leur histoire était parsemé de sang, de violence et fourberie en tout genre, sans compter que leur manière de survie, consommer le sang des humains, n’était pas ce qu’il avait de plus attrayant. Il était donc clair que pour son peuple, la seule race qui posait problème était les elfes, qui ne représentaient aucun intérêt pour eux, mais pour les autres races, le raisonnement était bien différent.
Il érigeait les avantages et désavantages que pourrait représenter le sien, d’un point de vue objectif bien sûr. Les vampires avaient pour atouts d’être très économique, non seulement, ils étaient bien moins nombreux que les autres races, mais leur consommation ne se basant que sur le sang humain, ils n’entraient pas en compétition pour le partage des ressources et cela n’était pas négligeable. Cependant, leur réputation les desservaient énormément, comme dit précédemment, ils avaient apportés violence, mort, peur et insécurité dans l’histoire des peuples… ils suscitaient la crainte et à juste titre. On leur faisait difficilement confiance et leur existence était vu beaucoup comme une menace et d’un point de vu simpliste, leur existence n’apportait rien de positif.
Toryné imaginait donc tous les différents scénarios possibles et tous n’impliquaient pas la survie du royaume vampire. Après tout, les vampires n’avaient pas toujours été un peuple unie, pendant longtemps ils étaient dispersés, beaucoup vivant dans de petits groupes, c’est ce qui appelait ironiquement l’ère des parasites, les vampires étaient partout, insaisissable, à cette époque, c’était le meilleur moyen de survie de la race, puis ensuite l’ère du royaume et de l’unité était venu, regroupant la majorité des vampires. Peut-être que la seule chance pour son peuple était de régresser à l’état de parasite éparpillé, le royaume cesserait d’exister, mais leur race continuerait, elle, de survivre. Ce n’était qu’une vision possible du futur bien entendu, dans le cas où les choses dégénéreraient pour son peuple, il y avait un nombre incroyable de possibilité après tout.
Mais cela attisait sa méfiance, l’espionnage prenait une toute nouvelle dimension, l’importance du savoir, cela garantissait des chances accrues de survie.
Il ne pouvait compter que sur lui-même, véritable paranoïaque, la seule personne en qui sa confiance pouvait se porter était sa fille, mais comme à son habitude elle était introuvable, dans un moment pareille, il aurait bien eu besoin de ses talents, ainsi que le soutien psychologique qu’elle aurait pu lui apporter.
Le conseiller sortis de sa tente, logement de fortune dans le campement, s’il avait bien entendu installé plus confortablement dû à son rang, son goût luxe le rendait nostalgique de ses anciens appartements de la tour blanche. Ce soir, encore d’autres pourparlers s’entameraient, peut-être même, qui sait, qu’ils finiraient tous par s’égorger, au moins n’aurait-il plus besoin de se démener ainsi. Il n’avait pas encore de nouvelle de ses informateurs, alors autant chercher quelconque forme de délassement pour passer le temps, n’est-ce pas ? Vêtu, de son habituelle robe noire et de ses bijoux de tous les jours, gambader le donnerait sûrement de quoi l'occuper.
Il se devait d’être fort. Il avait survécu à l’assaut de Dureroc par les chimères, à cette interminable traverser de l’océan… Ce n’était pas pour voir ses efforts réduits à néant par un simple problème de partage des territoires. Bien qu’en vérité, ce n’était pas une affaire banale, beaucoup de paramètres rentraient en jeux, et ils différaient selon les points de vue. Cette nouvelle terre ne pourrait pas indéfiniment accueillir tout le monde, les humains allaient se multiplier rapidement comme à leur habitude, leur natalité posait bien plus problème que celle des elfes qui restaient minime et des vampires qui étaient facilement contrôlable.
Cependant, la source de ses inquiétudes concernait majoritairement son peuple, car leurs positions étaient bien plus sensibles que celle des autres races. En effet les vampires se sont toujours vu affublé d’une réputation dès plus sombre, et cela était totalement justifié, leur histoire était parsemé de sang, de violence et fourberie en tout genre, sans compter que leur manière de survie, consommer le sang des humains, n’était pas ce qu’il avait de plus attrayant. Il était donc clair que pour son peuple, la seule race qui posait problème était les elfes, qui ne représentaient aucun intérêt pour eux, mais pour les autres races, le raisonnement était bien différent.
Il érigeait les avantages et désavantages que pourrait représenter le sien, d’un point de vue objectif bien sûr. Les vampires avaient pour atouts d’être très économique, non seulement, ils étaient bien moins nombreux que les autres races, mais leur consommation ne se basant que sur le sang humain, ils n’entraient pas en compétition pour le partage des ressources et cela n’était pas négligeable. Cependant, leur réputation les desservaient énormément, comme dit précédemment, ils avaient apportés violence, mort, peur et insécurité dans l’histoire des peuples… ils suscitaient la crainte et à juste titre. On leur faisait difficilement confiance et leur existence était vu beaucoup comme une menace et d’un point de vu simpliste, leur existence n’apportait rien de positif.
Toryné imaginait donc tous les différents scénarios possibles et tous n’impliquaient pas la survie du royaume vampire. Après tout, les vampires n’avaient pas toujours été un peuple unie, pendant longtemps ils étaient dispersés, beaucoup vivant dans de petits groupes, c’est ce qui appelait ironiquement l’ère des parasites, les vampires étaient partout, insaisissable, à cette époque, c’était le meilleur moyen de survie de la race, puis ensuite l’ère du royaume et de l’unité était venu, regroupant la majorité des vampires. Peut-être que la seule chance pour son peuple était de régresser à l’état de parasite éparpillé, le royaume cesserait d’exister, mais leur race continuerait, elle, de survivre. Ce n’était qu’une vision possible du futur bien entendu, dans le cas où les choses dégénéreraient pour son peuple, il y avait un nombre incroyable de possibilité après tout.
Mais cela attisait sa méfiance, l’espionnage prenait une toute nouvelle dimension, l’importance du savoir, cela garantissait des chances accrues de survie.
Il ne pouvait compter que sur lui-même, véritable paranoïaque, la seule personne en qui sa confiance pouvait se porter était sa fille, mais comme à son habitude elle était introuvable, dans un moment pareille, il aurait bien eu besoin de ses talents, ainsi que le soutien psychologique qu’elle aurait pu lui apporter.
Le conseiller sortis de sa tente, logement de fortune dans le campement, s’il avait bien entendu installé plus confortablement dû à son rang, son goût luxe le rendait nostalgique de ses anciens appartements de la tour blanche. Ce soir, encore d’autres pourparlers s’entameraient, peut-être même, qui sait, qu’ils finiraient tous par s’égorger, au moins n’aurait-il plus besoin de se démener ainsi. Il n’avait pas encore de nouvelle de ses informateurs, alors autant chercher quelconque forme de délassement pour passer le temps, n’est-ce pas ? Vêtu, de son habituelle robe noire et de ses bijoux de tous les jours, gambader le donnerait sûrement de quoi l'occuper.
Objets portés :
Amulette de protection : Une amulette en argent et en pierre d'agate blanche, qui offre une protection telle un bouclier contre des sortilèges de mages puissants. Elle offre aussi une protection bénéfique en apportant confiance. Il faut passer son doigt sur la pierre pour l'activer et se matérialise devant lui sous la forme d’un bouclier invisible. Il a une surface ovale de un mètre. Cela demande de l'énergie et d'autant plus si on cherche à le maintenant plus longtemps (plus de cinq minutes viderait de toute énergie). Glyphe 1 : Espoir – soutien.
Glyphe 2 : Bouclier magique – soutien.
Tentacules ombrés : Un bracelet fait d'une bande d'argent gravé et enchâssé d'un rubis. Son porteur peut faire apparaître des tentacules d'ombre qui se jettent sur la cible pour l'assaillir. Glyphe : Ombre tentaculaire – soutien
Éloge à la tentation : Dégage, sur volonté du porteur, une aura qui encouragera ceux interagissant avec le porteur du vêtement à céder à sa beauté (cet enchantement ne sert que si l'on est beau), en inhibant plus ou moins les pensées de la victime qui ne concernent pas l’apparence physique ou la beauté du possesseur du vêtement. (l'efficacité dépend de la force mentale de la victime et du Charisme du porteur du vêtement. Si la force mentale de la victime est supérieure à celle du porteur, ça ne marche plus. L'aura est limité à trois mètres pour 3 victimes.
Glyphe 2 : Bouclier magique – soutien.
Tentacules ombrés : Un bracelet fait d'une bande d'argent gravé et enchâssé d'un rubis. Son porteur peut faire apparaître des tentacules d'ombre qui se jettent sur la cible pour l'assaillir. Glyphe : Ombre tentaculaire – soutien
Éloge à la tentation : Dégage, sur volonté du porteur, une aura qui encouragera ceux interagissant avec le porteur du vêtement à céder à sa beauté (cet enchantement ne sert que si l'on est beau), en inhibant plus ou moins les pensées de la victime qui ne concernent pas l’apparence physique ou la beauté du possesseur du vêtement. (l'efficacité dépend de la force mentale de la victime et du Charisme du porteur du vêtement. Si la force mentale de la victime est supérieure à celle du porteur, ça ne marche plus. L'aura est limité à trois mètres pour 3 victimes.