7 juillet 1762,
L’hermione poursuit sa route vers le port de Sélénia la “Majestueuse”. La mission visant à trouver le Advendure Gull, navire marchand, est une réussite qui n’en est pas vraiment une. Si le navire a été retrouvé, il n’était plus qu’une épave dérivante au gré des flots se situant approximativement à une journée et demi de bateau de Caladon. La possibilité d’une attaque de pirate est la piste privilégiée que nous avons suivis, toutefois après plusieurs jours de recherche nous n’avons pus trouver les faquins responsables de cet acte immonde. Le délai de la mission arrivant à son terme, j’ai ordonné le retour de l’Hermione à quai.
L’état de santé du marin Agnebert semble s’être enfin stabilisé. L’hématome provoqué par une piqûre d’insecte à partiellement dégonflé. Suivant les conseils du médecin de bord, il sera certainement assigner à terre pour prendre un repos mérité... comme la plupart des hommes! Les conditions climatiques ainsi que les sauts d’humeur de la mer ont rendu cette sortie de port moins aisé qu’il n’y paraissait.
Néanmoins dans à quelques contrariétés près, le vent nous a accompagné pendant le retour et il ne saurait….
Des bruits vinrent sortir l’amiral Fitzaald de son écriture *Toc Toc Toc*
- Oui entrez.
- Amiral Fitzaald, le port de d’Azzuréo est en vue.
- Parfait, nous arriverons donc juste avant le coucher du soleil.
La grande femme ferma son carnet, le rangea dans un tiroir de son bureau en bois qui commençait à subir doucement mais certainement les affres du temps. Elle sortit une clé de sa poche, la fit pénétrer dans la serrure et la tourna. Elle se leva promptement de son dossier et une fois l’avoir quitté le replaça précautionneusement derrière son appui pour ses séances d’écriture. Elle se dirigea ensuite vers le porte vêtement, elle enfila dans un premier temps son ceinturon où elle y rangea sa rapière, puis elle mit son long manteau en cuir brun avant de finir par prendre d’un geste rapide son chapeau avec dans sa main droite.
Suivant son subalterne, elle sortit de la cabine du capitaine pour se diriger sur le pont principal. Le vent soufflait encore assez fortement tandis que les vagues berçaient le navire tendrement. Le soleil quant à lui continuer inlassablement sa chute, laissant dans le ciel une teinte orangée qui semblait épouser les lointains flots. Belle récompense de fin après les quelques jours de grisailles que l’équipage avait connu. Kaithiel s’arrêta quelques instant, observant ce spectacle. Certainement son visage avait trahit une émotion d’allégresse puisqu’elle reçut une remarque de son camarade qui était venu la chercher:
- Et bien alors amirale, on devient sensible aux paysages.
Pour seule réponse elle lui donna une tape dans l’épaule qui bien faible dû faire un minimum de dégâts d’après la moue de celui qui l’avait gentiment provoqué:
- Ne vas t’imaginer des choses Lancelin à moins que tu ne veuilles finir de garde ce soirdit-elle avec un petit sourire narquois.
Elle resta encore quelque secondes à fixer l’horizon, les cheveux au vent pour finir par mettre son chapeau. Elle continua ensuite sa route, monta trois marches pour atteindre le gaillard arrière et se retrouver derrière la barre.
Sur le navire, la liesse semblait s’être éprise de l’équipage. Liesse que la dame de fer ne manqua pas de casser rappelant à l’ordre certains pour leur intimer de retourner à leurs postes et que pour le moment ils étaient encore en fonction. Elle passa le temps entre ce moment là et l’arrivée à quai à faire une inspection du navire et à rappeler les rôles de certains concernant les prérogatives qu’ils devaient accomplir avant d’aller s’amuser. une fois le navire accosté, les marins ne mirent que peu de temps à descendre non sans une certaine allégresse.
S’ils n’étaient pas foncièrement mauvais, ces braves braillards pouvaient provoquer un certain grabuge sous l’ivresse de l’alcool. Du moins c’est la raison qu'invoquait Kaithiel pour les accompagner. Si en effet la dernière fois il y avait quelques litiges, il s’agissait surtout d’une fausse excuse pour cette femme qui essayait de garder une certaine distance avec ces compagnons. Une fois les deux pieds hors du bateau, elle n’était plus l’amiral Fitzaald mais tout simplement Kate. Différents groupes se formèrent pour aller écumer divers lieux de vie du port tandis que l'obscurité s'installait, grignotant petit à petit la lumière.
Comme d’habitude, ce fut vers la taverne “Les trois goélands” que la plupart des marins avancèrent dans un brouhaha qui ne faisait que gagner en intensité. Et ce n’était là que le départ.
A l’intérieur trônait fièrement en son centre un feu où il n’était pas rare d’y voir cuir d’imposants morceaux de viandes en tout genre ou bien un potage. Quoique ce dernier fut bien plus rare à voir. La ripaille devint rapidement le maître mot des lieux. Kate qui s’était installée au comptoir avec une bière observait la scène avec un regard nostalgique pensant certainement à ses premières années dans l’armée. Cette jeune insouciance qui l’avait quitté avec la prise de galon. Toutefois hors de question pour la demoiselle de se laisser aux affres du passé. Et de toute manière certains semblaient bien décider à la faire participer aux festivités… comme Lorentin. Homme blond dépassant la quarantaine et ayant quitté le vieux continent sur le même navire que Kaithiel. Si au départ leurs relations étaient tendus aujourd’hui les deux se cherchent sans malveillance.
Il quitta sa chaise de bois pour lancer d’une voix forte et mâle:
- Je ne vous ai jamais vu en robe madame Fitzaald, je suis sûr que vous seriez des plus ravissante. Auriez vous donc peur de vous montrer dans ce genre de tenue.
La dame de fer leva un sourcil, faussement consterné et répondit par une pique:
- Il faudrait déjà que tu sois assez classieux pour pouvoir prétendre poser tes yeux sur la robe d’une quelconque femme.
- Vous prenez la mouche madame pour peu. Toutefois, en tant que gentleman, je vous propose un simple pari. Si vous perdez vous serez obligez de vous vêtir d’une robe.
La dame qui croyait qu’une fois de plus son matelot le défiait pour le simple plaisir de se prendre un pamphlet de plus, elle s’était trompée. Comme quoi la vie était pleine de surprise ricanait-elle en elle même, toutefois hors de question de lui montrer un quelconque intérêt et soupira:
- Ah…
Le marin ne se laissait pas démonter par ce manque flagrant d’importance que lui accordait la dame de fer et poursuivit:
- J’ai entendu dire que vous étiez une championne des bras de fer de votre temps, cela vous tenterez de me défier.
- Allons allons tout le monde sait que je vais te battre, je ne vois aucunement les raisons pour lesquelles tu tiens à t'humilier en public dit-elle sur un ton provocant.
- Ohh, serait-ce là une façon d’éviter le conflit? Auriez vous peur de perdre ou pis encore de moi…
- Ta vantardise à besoin d’une bonne correction mon cher.
L’homme commença à relever ses manches et s’installa à la table juste derrière lui. Kaithiel rattacha rapidement ses cheveux qu’elle avait détaché en sortant du navire, releva ses manches et pris sa pinte de bière.
-Prête à porter une robe.
-Ohh je pense bien que tu seras magnifique en robe Lorentin.
Elle s’installa en face de lui et leurs regards se croisèrent. Les pairs d’yeux des hommes de l’Hermione ainsi que les serveuses du restaurant et les autres clients s’étaient portaient sur eux. Certains commencer à s'époumoner pour soutenir l’un des participants de ce duel de force tandis que comme à son habitude, Ursion prenait les paris.
-Vous ne posez pas votre pinte de bière Kate?
- Non non. Elle est très bien dans ma main droite ne vous en faite.
-Soit…
De l’hésitation commençait à se faire sentir dans la voix de l’antagoniste de Kaithiel. Manoeuvre de déstabilisation réunit se disait-elle. Une fois les deux participants ayant joint leurs mains, Omar posa sa mimine sur celles de ses compères et donna le départ. Kate qui avait pris l’avantage niveau positionnement des mains avait totalement bloqué son adversaire qui ne parvenait pas à faire descendre la main de sa rivale.
-Tu n’as pas grand chose dans le ventre mon petit. Ne me dis pas que tu n’es pas capable de faire mieux?
Elle laissa encore quelque secondes avant d’appliquer la technique du levier pour aller clouer la main de son opposant sur la table. Néanmoins, celui-ci opposa une forte résistance sur la fin ce qui obligea la dame de fer à donner plus d’énergie qu’il ne lui en aurait fallu si elle avait d’emblée donner toute sa force dès le départ. Son arrogance l’avait obligé à user plus d’énergie. Mais ce qui comptait c’était la victoire. Elle porta la pinte à sa bouche et descendit ce qu’il restait de bière dedans avant de jeter un regard à son compagnon qui tenait sa main quelques peu enflée.
-J’ai hâte de te voir porter de la dentelle. On ne me surnomme pas la dame de fer pour rien. Dès demain nous irons ensemble voir ce qui te siéra le mieux.
Sourire aux lèvres, elle partit de nouveau s’installer au comptoir. Le silence de sa victoire fut bien vite brisé et de nouveau des éclats de rire, de chants, des discussions animées reprirent le contrôle de la salle.
Une fois de nouveau installée, elle interpella la servante et lui tendis sa pinte:
- Une autre s’il te plait.
- Bien entendu madame, j'arrive tout de suite.
Elle posa ses coudes sur le comptoir et regarder la joie des hommes et femmes présent ici, lieu ou le passé perdait toute prise et où les esprits s’alléger… pour un temps du moins.
Dernière édition par Kaithiel Fitzaald le Ven 3 Nov 2017 - 13:06, édité 1 fois
L’hermione poursuit sa route vers le port de Sélénia la “Majestueuse”. La mission visant à trouver le Advendure Gull, navire marchand, est une réussite qui n’en est pas vraiment une. Si le navire a été retrouvé, il n’était plus qu’une épave dérivante au gré des flots se situant approximativement à une journée et demi de bateau de Caladon. La possibilité d’une attaque de pirate est la piste privilégiée que nous avons suivis, toutefois après plusieurs jours de recherche nous n’avons pus trouver les faquins responsables de cet acte immonde. Le délai de la mission arrivant à son terme, j’ai ordonné le retour de l’Hermione à quai.
L’état de santé du marin Agnebert semble s’être enfin stabilisé. L’hématome provoqué par une piqûre d’insecte à partiellement dégonflé. Suivant les conseils du médecin de bord, il sera certainement assigner à terre pour prendre un repos mérité... comme la plupart des hommes! Les conditions climatiques ainsi que les sauts d’humeur de la mer ont rendu cette sortie de port moins aisé qu’il n’y paraissait.
Néanmoins dans à quelques contrariétés près, le vent nous a accompagné pendant le retour et il ne saurait….
Des bruits vinrent sortir l’amiral Fitzaald de son écriture *Toc Toc Toc*
- Oui entrez.
- Amiral Fitzaald, le port de d’Azzuréo est en vue.
- Parfait, nous arriverons donc juste avant le coucher du soleil.
La grande femme ferma son carnet, le rangea dans un tiroir de son bureau en bois qui commençait à subir doucement mais certainement les affres du temps. Elle sortit une clé de sa poche, la fit pénétrer dans la serrure et la tourna. Elle se leva promptement de son dossier et une fois l’avoir quitté le replaça précautionneusement derrière son appui pour ses séances d’écriture. Elle se dirigea ensuite vers le porte vêtement, elle enfila dans un premier temps son ceinturon où elle y rangea sa rapière, puis elle mit son long manteau en cuir brun avant de finir par prendre d’un geste rapide son chapeau avec dans sa main droite.
Suivant son subalterne, elle sortit de la cabine du capitaine pour se diriger sur le pont principal. Le vent soufflait encore assez fortement tandis que les vagues berçaient le navire tendrement. Le soleil quant à lui continuer inlassablement sa chute, laissant dans le ciel une teinte orangée qui semblait épouser les lointains flots. Belle récompense de fin après les quelques jours de grisailles que l’équipage avait connu. Kaithiel s’arrêta quelques instant, observant ce spectacle. Certainement son visage avait trahit une émotion d’allégresse puisqu’elle reçut une remarque de son camarade qui était venu la chercher:
- Et bien alors amirale, on devient sensible aux paysages.
Pour seule réponse elle lui donna une tape dans l’épaule qui bien faible dû faire un minimum de dégâts d’après la moue de celui qui l’avait gentiment provoqué:
- Ne vas t’imaginer des choses Lancelin à moins que tu ne veuilles finir de garde ce soirdit-elle avec un petit sourire narquois.
Elle resta encore quelque secondes à fixer l’horizon, les cheveux au vent pour finir par mettre son chapeau. Elle continua ensuite sa route, monta trois marches pour atteindre le gaillard arrière et se retrouver derrière la barre.
Sur le navire, la liesse semblait s’être éprise de l’équipage. Liesse que la dame de fer ne manqua pas de casser rappelant à l’ordre certains pour leur intimer de retourner à leurs postes et que pour le moment ils étaient encore en fonction. Elle passa le temps entre ce moment là et l’arrivée à quai à faire une inspection du navire et à rappeler les rôles de certains concernant les prérogatives qu’ils devaient accomplir avant d’aller s’amuser. une fois le navire accosté, les marins ne mirent que peu de temps à descendre non sans une certaine allégresse.
S’ils n’étaient pas foncièrement mauvais, ces braves braillards pouvaient provoquer un certain grabuge sous l’ivresse de l’alcool. Du moins c’est la raison qu'invoquait Kaithiel pour les accompagner. Si en effet la dernière fois il y avait quelques litiges, il s’agissait surtout d’une fausse excuse pour cette femme qui essayait de garder une certaine distance avec ces compagnons. Une fois les deux pieds hors du bateau, elle n’était plus l’amiral Fitzaald mais tout simplement Kate. Différents groupes se formèrent pour aller écumer divers lieux de vie du port tandis que l'obscurité s'installait, grignotant petit à petit la lumière.
Comme d’habitude, ce fut vers la taverne “Les trois goélands” que la plupart des marins avancèrent dans un brouhaha qui ne faisait que gagner en intensité. Et ce n’était là que le départ.
A l’intérieur trônait fièrement en son centre un feu où il n’était pas rare d’y voir cuir d’imposants morceaux de viandes en tout genre ou bien un potage. Quoique ce dernier fut bien plus rare à voir. La ripaille devint rapidement le maître mot des lieux. Kate qui s’était installée au comptoir avec une bière observait la scène avec un regard nostalgique pensant certainement à ses premières années dans l’armée. Cette jeune insouciance qui l’avait quitté avec la prise de galon. Toutefois hors de question pour la demoiselle de se laisser aux affres du passé. Et de toute manière certains semblaient bien décider à la faire participer aux festivités… comme Lorentin. Homme blond dépassant la quarantaine et ayant quitté le vieux continent sur le même navire que Kaithiel. Si au départ leurs relations étaient tendus aujourd’hui les deux se cherchent sans malveillance.
Il quitta sa chaise de bois pour lancer d’une voix forte et mâle:
- Je ne vous ai jamais vu en robe madame Fitzaald, je suis sûr que vous seriez des plus ravissante. Auriez vous donc peur de vous montrer dans ce genre de tenue.
La dame de fer leva un sourcil, faussement consterné et répondit par une pique:
- Il faudrait déjà que tu sois assez classieux pour pouvoir prétendre poser tes yeux sur la robe d’une quelconque femme.
- Vous prenez la mouche madame pour peu. Toutefois, en tant que gentleman, je vous propose un simple pari. Si vous perdez vous serez obligez de vous vêtir d’une robe.
La dame qui croyait qu’une fois de plus son matelot le défiait pour le simple plaisir de se prendre un pamphlet de plus, elle s’était trompée. Comme quoi la vie était pleine de surprise ricanait-elle en elle même, toutefois hors de question de lui montrer un quelconque intérêt et soupira:
- Ah…
Le marin ne se laissait pas démonter par ce manque flagrant d’importance que lui accordait la dame de fer et poursuivit:
- J’ai entendu dire que vous étiez une championne des bras de fer de votre temps, cela vous tenterez de me défier.
- Allons allons tout le monde sait que je vais te battre, je ne vois aucunement les raisons pour lesquelles tu tiens à t'humilier en public dit-elle sur un ton provocant.
- Ohh, serait-ce là une façon d’éviter le conflit? Auriez vous peur de perdre ou pis encore de moi…
- Ta vantardise à besoin d’une bonne correction mon cher.
L’homme commença à relever ses manches et s’installa à la table juste derrière lui. Kaithiel rattacha rapidement ses cheveux qu’elle avait détaché en sortant du navire, releva ses manches et pris sa pinte de bière.
-Prête à porter une robe.
-Ohh je pense bien que tu seras magnifique en robe Lorentin.
Elle s’installa en face de lui et leurs regards se croisèrent. Les pairs d’yeux des hommes de l’Hermione ainsi que les serveuses du restaurant et les autres clients s’étaient portaient sur eux. Certains commencer à s'époumoner pour soutenir l’un des participants de ce duel de force tandis que comme à son habitude, Ursion prenait les paris.
-Vous ne posez pas votre pinte de bière Kate?
- Non non. Elle est très bien dans ma main droite ne vous en faite.
-Soit…
De l’hésitation commençait à se faire sentir dans la voix de l’antagoniste de Kaithiel. Manoeuvre de déstabilisation réunit se disait-elle. Une fois les deux participants ayant joint leurs mains, Omar posa sa mimine sur celles de ses compères et donna le départ. Kate qui avait pris l’avantage niveau positionnement des mains avait totalement bloqué son adversaire qui ne parvenait pas à faire descendre la main de sa rivale.
-Tu n’as pas grand chose dans le ventre mon petit. Ne me dis pas que tu n’es pas capable de faire mieux?
Elle laissa encore quelque secondes avant d’appliquer la technique du levier pour aller clouer la main de son opposant sur la table. Néanmoins, celui-ci opposa une forte résistance sur la fin ce qui obligea la dame de fer à donner plus d’énergie qu’il ne lui en aurait fallu si elle avait d’emblée donner toute sa force dès le départ. Son arrogance l’avait obligé à user plus d’énergie. Mais ce qui comptait c’était la victoire. Elle porta la pinte à sa bouche et descendit ce qu’il restait de bière dedans avant de jeter un regard à son compagnon qui tenait sa main quelques peu enflée.
-J’ai hâte de te voir porter de la dentelle. On ne me surnomme pas la dame de fer pour rien. Dès demain nous irons ensemble voir ce qui te siéra le mieux.
Sourire aux lèvres, elle partit de nouveau s’installer au comptoir. Le silence de sa victoire fut bien vite brisé et de nouveau des éclats de rire, de chants, des discussions animées reprirent le contrôle de la salle.
Une fois de nouveau installée, elle interpella la servante et lui tendis sa pinte:
- Une autre s’il te plait.
- Bien entendu madame, j'arrive tout de suite.
Elle posa ses coudes sur le comptoir et regarder la joie des hommes et femmes présent ici, lieu ou le passé perdait toute prise et où les esprits s’alléger… pour un temps du moins.
Dernière édition par Kaithiel Fitzaald le Ven 3 Nov 2017 - 13:06, édité 1 fois