10 Avril, 1762.
Elle traînait bien loin des villes, elle avait laissé un peu son compagnon à l'écart pour vagabonder - ou plutôt elle avait prestement échapper à la vigilance de l'ancien lieutenant. La vie était douce à l'époque, elle profitait de ses maigres permissions pour explorer avec celui qui était l'homme de sa vie ses terres encore toutes nouvelles, elle s'était apaisée, elle parvenait mieux à se contrôler et à présent le Fléau Rouge n'était plus murmurer que sur les champs de bataille, comme le nom d'une époque à présent révolue, vestige d'un passé que tous préféraient oublier. Ils erraient, parcouraient les terres de ces nouvelles îles sur leurs montures, la jument noire - Louve - fidèle à elle-même et au caractère ombrageux.
La gamine rousse avait profité du soleil une partie de la matinée, sur une pierre, elle aimait le soleil sans vraiment savoir d'où cette fascination lui venait, sans doute son totem ? Le chat était un animal paresseux qui aimait la chaleur après tout, ça n'avait pas grand chose d'étonnant.
Aphaia avait repéré un navire qui accostait sur un semblant de petit port, loin de tout, et son côté chapardeuse se mettait doucement en route, elle s'approchait à pas de loup, sa curiosité maladive l'obligeait à se faufiler dans toute sorte d'endroit plus interdit et étranges les uns que les autres. Et elle devait bien avouer qu'elle détestait ces énormes bateaux, et puis tout ce qui se rapprochait de près ou de loin à l'eau en général.
Une fois à bord, discrète et profitant du fait que personne ne l'ai remarquée, et par-dessus tout, l'humeur taquine, elle ne comptait rien voler, juste égayer cette morne journée, semblable à toutes les autres, elle déplaçait soigneusement et discrètement quelques objets - en tant qu'enfant elle savait se satisfaire de choses simples -. Et se cachait derrière une caisse en attendant que quelqu'un remarque son méfait.
Elle traînait bien loin des villes, elle avait laissé un peu son compagnon à l'écart pour vagabonder - ou plutôt elle avait prestement échapper à la vigilance de l'ancien lieutenant. La vie était douce à l'époque, elle profitait de ses maigres permissions pour explorer avec celui qui était l'homme de sa vie ses terres encore toutes nouvelles, elle s'était apaisée, elle parvenait mieux à se contrôler et à présent le Fléau Rouge n'était plus murmurer que sur les champs de bataille, comme le nom d'une époque à présent révolue, vestige d'un passé que tous préféraient oublier. Ils erraient, parcouraient les terres de ces nouvelles îles sur leurs montures, la jument noire - Louve - fidèle à elle-même et au caractère ombrageux.
La gamine rousse avait profité du soleil une partie de la matinée, sur une pierre, elle aimait le soleil sans vraiment savoir d'où cette fascination lui venait, sans doute son totem ? Le chat était un animal paresseux qui aimait la chaleur après tout, ça n'avait pas grand chose d'étonnant.
Aphaia avait repéré un navire qui accostait sur un semblant de petit port, loin de tout, et son côté chapardeuse se mettait doucement en route, elle s'approchait à pas de loup, sa curiosité maladive l'obligeait à se faufiler dans toute sorte d'endroit plus interdit et étranges les uns que les autres. Et elle devait bien avouer qu'elle détestait ces énormes bateaux, et puis tout ce qui se rapprochait de près ou de loin à l'eau en général.
Une fois à bord, discrète et profitant du fait que personne ne l'ai remarquée, et par-dessus tout, l'humeur taquine, elle ne comptait rien voler, juste égayer cette morne journée, semblable à toutes les autres, elle déplaçait soigneusement et discrètement quelques objets - en tant qu'enfant elle savait se satisfaire de choses simples -. Et se cachait derrière une caisse en attendant que quelqu'un remarque son méfait.