Le froid avait toujours cette fâcheuse habitude de venir vous embrasser par surprise. Quitté l'atmosphère chaleureux d'un abris, il vous accueillait à l'extérieur en vous couvrant de ses bras glaciaux. Le froid est une personne chaleureuse et ses maintes caresses provoquent bien souvent des frissons incontrôlables. Parfois, on arrive à lui échapper, mais il est toujours là, à attendre dehors. Pourtant quand les rayons du soleil commencent à être trop envahissant, il doit se lasser de son attente et repars au loin sans demander son reste. Aujourd'hui ce n'était pas le cas. Les seuls rayons qui parvenaient à passer les frontières nuageuses de notre mondes offraient une douche lumière blanche. Une brise gelée caressa mes joues. Je poussai un soupir tandis qu'un nuage blanc se formait devant mon visage et je quittai ma position immobile de contemplation. J'aimais l'hiver, mais aujourd'hui, il faisait vraiment trop froid. Je m'emitoufflais de plus belle dans mon épaisse manteau, en vain, il ne pouvais rien contre les intrusions incessantes du froid. Je regardai les gens s'activer sur le pont du bateau. Si je m'étais approchée du bord, j'aurai pu admirer la même agitation dans le port de Sélénia. Mais je ne le fis pas, je n'aimais vraiment pas la mer. C'était étrange venant de la part d'une personne qui passait beaucoup de son temps sur un bateau. Mes pas résonnèrent sur le bois du pont du navire tandis que je m'étirais, me naissant sur la point des pieds comme si je voulais toucher le ciel nuageux. Nous étions à la moitié de la matinée mais mon ventre grondait déjà de faim. Je rêvais d'un bon bout de viande, et rien que cette idée me fit saliver. J'aurai pu aller subtiliser une ou deux choses à grignoter dans les réserves, mais nous étions en hivers, la nourriture était rationnée plus drastiquement. Si je me faisais prendre la main dans le sac, je ne m'en sortirai probablement pas à bon compte. Je ne préférais pas prendre de risques, d'autant plus qu'il y avait trop de témoins potentiels pour l'instant.
Alors je décidai de faire inlassablement les cents pas en attendant mon heure. Je m'amusais à compter le nombre de choses rouges que je voyais. Ce n'était pas tres amusant mais ca avait comme avantage de faire passer le temps plus vite. Je n'avais pas d'amis avec qui jouer moi. De toute manière je m'en fichais, les gens de mon âge ne méritaient pas d'être mon amis. Ils étaient stupides. Au bout d'une dizaine de minutes, je fus sortie de mes pensée par un brouhaha plus intense que les autres se fit entendre sur le quai. Intriguée, j'hésitais d'abord à me pencher au bord du bateau pour voir ce qui provoquait celui-ci. Mauvaise idée me connaissant. Mais le regard de l'équipage du navire m'indiqua bien vite ce que je voulais savoir. Je rivai mes yeux dans la direction où ceux de tous les autres étaient dirigés. Et je le vis. Au loin. Une immense créature qui planait majestueusement au dessus de l'horizon, surplombant la mer. Il venant vers ici, vers Sélénia, à une vitesse impressionnante. Je voyais son ombre grandir si rapidement que la seule chose que je pus distinguer avant que son corps éclipse le soleil lorsqu'il passa au dessus de nous fut les éclats émeraudes de ses écailles. Puis il répartis déjà vers les bords de la ville. Je ne pris pas le temps de réfléchir et je descendis à tout allure sur le quais, en ignorant les ballotement qui me soulevèrent l'estomac. Puis lorsque j'eus mus un pied à terre, je m'élançais dans les rues en tentant de suivre l'ombre du dragon. Je me faufillais entre les gens, je jouais des coudes, je contournais les obstacles pour ne pas perdre de vue le saurien qui s'éloignait de plus en plus. Je l'aurai perdu depuis longtemps s'il avait continue de à la vitesse à laquelle il était passé au dessus du bateau. Au bout d'un momoent, je le perdu totalement de vue, plurtant, je continuais à courir, le regard rivé vers le ciel et la respiration sifflante. Où était-il ? Où était-il passé ?
Alors je décidai de faire inlassablement les cents pas en attendant mon heure. Je m'amusais à compter le nombre de choses rouges que je voyais. Ce n'était pas tres amusant mais ca avait comme avantage de faire passer le temps plus vite. Je n'avais pas d'amis avec qui jouer moi. De toute manière je m'en fichais, les gens de mon âge ne méritaient pas d'être mon amis. Ils étaient stupides. Au bout d'une dizaine de minutes, je fus sortie de mes pensée par un brouhaha plus intense que les autres se fit entendre sur le quai. Intriguée, j'hésitais d'abord à me pencher au bord du bateau pour voir ce qui provoquait celui-ci. Mauvaise idée me connaissant. Mais le regard de l'équipage du navire m'indiqua bien vite ce que je voulais savoir. Je rivai mes yeux dans la direction où ceux de tous les autres étaient dirigés. Et je le vis. Au loin. Une immense créature qui planait majestueusement au dessus de l'horizon, surplombant la mer. Il venant vers ici, vers Sélénia, à une vitesse impressionnante. Je voyais son ombre grandir si rapidement que la seule chose que je pus distinguer avant que son corps éclipse le soleil lorsqu'il passa au dessus de nous fut les éclats émeraudes de ses écailles. Puis il répartis déjà vers les bords de la ville. Je ne pris pas le temps de réfléchir et je descendis à tout allure sur le quais, en ignorant les ballotement qui me soulevèrent l'estomac. Puis lorsque j'eus mus un pied à terre, je m'élançais dans les rues en tentant de suivre l'ombre du dragon. Je me faufillais entre les gens, je jouais des coudes, je contournais les obstacles pour ne pas perdre de vue le saurien qui s'éloignait de plus en plus. Je l'aurai perdu depuis longtemps s'il avait continue de à la vitesse à laquelle il était passé au dessus du bateau. Au bout d'un momoent, je le perdu totalement de vue, plurtant, je continuais à courir, le regard rivé vers le ciel et la respiration sifflante. Où était-il ? Où était-il passé ?