La piste était plutôt claire et rapidement Sorel se porta à proximité de son compagnon mais alors qu’ils approchaient des jardins, un bipède les interrompit. Apparemment peu concerné par la présence d’un fenrisulfr, souriant et l’air bien guilleret compte tenu de la situation. Les sourcils haussés tout en le regardant, la tête légèrement inclinée pour pouvoir croiser le regard de l’elfe, il n’avait pas l’attitude d’un homme pressé de sauver sa peau. Ce qui dénotait franchement avec la panique qui régnait à peu près partout ailleurs. Faronlyss s’était immobilisé un peu plus loin, ses yeux jaunes perçants fixés sur le bipède fragile qui se tenait en face de Sorel, jaugeant de la situation. Il n’avait absolument aucun doute, Sorel pouvait le percevoir, quant au triste sort de l’importun si celui-ci venait à commettre l’erreur de se montrer autre chose que prudent et rester à une distance de sécurité.
Pendant une brève seconde, l’elfe songea qu’avec la magie, il n’y avait pas tant de distance de sécurité que cela.
«
Ah, vous aussi, vous avez été convié ? »
Interpellé, Sorel le dévisagea, perplexe. L’homme s’adressait à lui comme s’il le connaissait, comme s’il semblait surpris de le croiser, comme on interrogerait une vieille connaissance croisée au marché de Caladon plutôt qu’à celui de Sélénia. L’expression curieuse suivi du petit clin d'œil complice laissa Sorel interdit. Il ne manquait pas d’envie de répondre à la connivence de l’inconnu qui, manifestement, ne devrait pas en être un, mais beaucoup d’éléments se mettaient en travers de ce chemin en particulier.
A commencer par la situation générale qui ne se prêtait
absolument pas à une telle interaction mais également le fait que les implications lui étaient tout autant inconnues. Convié à quoi ? Et d’où l’homme le connaissait-il, son visage ne lui était pas inconnu, ces cheveux blonds et ces yeux gris n’étaient pas sans lui rappeler quelque chose et si Sorel se targuait d’avoir une bonne mémoire des visages, il ne parvenait pas à le replacer. Contactant Faron par le biais de la chevalière, lien maintenu depuis un long moment déjà, il interrogea le fenrisulfr mais celui-ci n'avait jamais croisé la route de l'inconnu. Incapable de réagir, comme figé par la perplexité, il continuait de dévisageait l’inconnu, lequel poursuivit :
«
Nous allons leur faire payer, » acheva-t-il avant de s’élancer vers l’auberge voisine. Pendant un instant, Sorel songea à Vex et à Avara qui se dirigeaient manifestement vers l’écurie, laquelle se trouvait non loin du bâtiment de l’auberge.
Alors qu’il observait l’homme s’éloigner, l’impatience chasseresse de Faron lui brûlait le dos, appuyant contre son esprit au travers de la chevalière. Ils devaient avancer, le besoin du fenrisulfr d’en découdre, de trouver qui lui chatouillait les sens depuis leur arrivée. Les paroles de l’homme, cependant, lui chatouillaient également la mémoire. D’une manière ou d’une autre.
Inquiet, il s’empara rapidement d’un petit bout de papier sur lequel il griffonna rapidement un petit message d’avertissement sur un bout de papier et, faisant appel à son Esprit-Lié de l’Hirondelle, l’envoya à son destinataire.
Rassuré quant au fait que cette information n’était pas perdue avec lui-même, il tourna les talons avec un dernier regard pour le dos de l’homme qui s’éloignait toujours, bientôt arrivé à sa destination. Avec un sursaut, comme si quelqu’un venait de lui verser un verre d’eau glacée dans le dos, Sorel se rappela l’avoir croisé à l’occasion d’une rencontre. Pas n’importe laquelle, par ailleurs. Se questionnant tout à coup du bien-fondé de sa présence à Meerhagen, il se figea sur place à nouveau mais pour une raison différente. L’impression que ses organes s’étaient glacés de l’intérieur lui donna l’impérieuse envie de contacter différentes personnes mais l’urgence de la situation l’empêchait de faire grand-chose de plus. La panique se referma sur sa poitrine comme un étau et alors qu’il s’apprêtait à s’emparer d’un nouveau morceau de papier, l’elfe se calma presque d’un seul coup. Il se redressa, de l’acier dans la colonne vertébrale et une nouvelle détermination dans le regard.
Il ne savait pas tout, ne pouvait pas être au courant de tout, indéniablement, mais il avait suffisamment confiance pour être tenu informé de ce qui était important. S’il ne l’était pas, il était tout à fait possible que ce soit volontaire et intentionnel. Expirant calmement pour évacuer le reste de la tension, il reprit sa route d’un pas ferme et fouilla dans une des multiples poches de sa cape pour en tirer un petit gâteau d’une bourse bien particulière. Il caressa du pouce la face où figurait le visage de Claudius de Havremont en personne, tournant celle-ci pour en lire l’inscription tout en suivant Faronlyss, il ne ferait pas attendre le fenrisulfr plus longtemps. Un bref son amusé échappa à l’elfe tandis qu’il marmonnait tout bas : «
Nec Pluribus Impar, » avant qu’il ne morde à pleines dents dans le chocolat fourré de caramel et de praline. Incapable de retenir un joyeux son enthousiaste, l’elfe sentit la friandise faire effet mais constata avec un petit son malheureux que la bourse était vide. Connaissant le prix, il émit un nouveau son amusé, tentant de toutes ses forces d’ignorer combien ils approchaient à grand pas des jardins. La phrase à indiquer était évidente, à cette heure :
«
L’Empire est l’espoir de Meerhagen, » prononça-t-il, se rappelant l’espoir qu’il avait lu dans le regard des villageois et combien ils s’en remettaient à Avara, Vex et quiconque s’était rendu sur les lieux pour leur venir en aide.
La bourse se remplit de nouvelles friandises et Sorel hocha la tête, gardant le petit sac dans sa main.
Ils passèrent la barrière des jardins et se retrouvèrent entourés de verdure. Pour un moment, Sorel se sentit se détendre nettement, entouré de son élément et d’un environnement qu’il appréciait d’autant plus et qui lui semblait bien plus naturel que la boue des rues pavées et les maisons de pierre ou de bois transformé. Son apaisement gagna en intensité lorsqu’il réalisa qu’il n’était pas seul sur les lieux. Le grand graärh était là aussi, ce qui fit s’interroger Sorel sur qui finirait par réceptionner son double et son message. Admirant une nouvelle fois la carrure formidable du géant à fourrure, l’elfe le salua d’un geste respectueux.
«
Je ne suis guère surpris de vous trouver là, » commença-t-il sincèrement, un petit sourire aux lèvres alors qu’il devait nettement lever la tête pour s’adresser à la gueule massive du graärh, «
et vous m’en voyez soulagé, » acheva-t-il, son sourire prenant une teinte amusée, presque chafouine.
Il était
sûr de trouver un ennemi à la fin de cette piste que suivait Faronlyss et il préférait définitivement ne pas être seul pour y faire face. Qu’Avara et Vex aient décidées de rester sur leur décision était une chose, affronter seul un ennemi formidable qui avait mis à mal un guerrier reconnu valeureux et compétent, en était une autre. Il n’était pas très bien pourvu en matière d’instinct de survie, mais il avait malgré tout conscience de ses chances et celles-ci étaient bien minces.
Pêchant un nouveau gâteau dans la petite bourse qu’il tenait toujours à la main, il le tendit à Asolraahn :
«
Prenez ceci, cela vous aidera et en plus ils sont délicieux. »
La conviction absolue dans sa voix en parlant des gâteaux dont il en offrait un au graärh était immanquable, après tout,
ils étaient délicieux, il n’y avait aucun doute là-dedans. D’autant que leur effet, indéniable, ne pourrait que leur être bénéfique.
Indiquant Faron du menton, il poursuivit amicalement avec une petite expression désolée :
«
Je ne suis pas un grand combattant mais je pense qu’il nous sera d’une grande aide. Je continue d’espérer que nous n’aurons pas à nous battre mais je doute qu’une autre possibilité se présente. »
Il s’apprêtait à ajouter quelque chose lorsqu’un nouveau grand souffle balaya les environs, secouant branches et feuilles dans un bruissement furieux. Le son, tout particulièrement, était incroyablement proche, bien plus proche qu’il ne l’avait été jusque là, arrachant un frisson d’anticipation à l’elfe. Le fenrisulfr se mit à aboyer franchement, un son rauque et furieux qu’il n’émettait que très rarement, pour ne pas dire jamais.
Le souffle se tût, aussi soudain qu’il s’était déclenché, et devant eux se tenait une curiosité monstrueuse.
«
J’espère que vous avez une idée de commencer proc- » Un cri à l’aide retentit dans le silence pesant et, à côté de lui, le géant qui lui donnait une once d’espoir dans cet affrontement, s’évanouit, le laissant seul. «
-éder, » acheva-t-il d’une petite voix. «
Eh ben zut, » lâcha-t-il.
Son regard se tourna vers la créature qui se tenait là. Elle était indéniablement bipède, d’allure humaine pour peu que l’on s’y tienne, elle ne s’en approchait cependant que de très loin. Peu importe qui ou ce qu’elle avait été auparavant - probablement glaçernoise à en juger par sa taille et sa carrure - elle ne tenait d’humaine que le nom. De longs crocs massifs, sensiblement similaires à celui qu’il avait trouvé plus tôt en pensant qu’il appartenait à un deuxième Rôdeur, il portait également les morceaux de métal dont il disposait de l’un d’entre eux. Une partie, franchement importante, de lui, ressenti une profonde déception à ne pas croiser une nouvelle espèce animale indigène de Tiamaranta. Une autre, toute aussi proéminente, détaillait avec curiosité et un profond intérêt les modifications que la créature avait subies. C’était un monstre de force et de puissance, indubitablement, un monstre qui avait été transformé au point que ce changement physique paraissait presque normal.
Du vampire, Sorel pouvait notamment retrouver l’éclat prédateur qui brillait dans les yeux du monstre tandis qu’il se léchait les lèvres, approchant nettement de l’elfe avec l’intention manifeste d’en faire sa prochaine victime. Puisant dans la tunique roséenne qu’il portait, il réalisa le geste clé du flux d’Illusion, croisant rapidement les doigts devant lui avant de les décroiser tout aussi vite, fixant du regard la créature monstrueuse qui se trouvait en face de lui.
Affecté par le sort ainsi lancé, le Rôdeur s’immobilisa, sa progression interrompue tandis qu’il plissait les yeux tentant de repérer ses proies. Profitant du temps ainsi gagné, Sorel lança rapidement une Super Friandise à Faron, communiquant au travers de la chevalière pour lui ordonner d’attraper et de consommer la friandise. Tournant brièvement la tête, le fenrisulfr goba sans questionnement la friandise et se positionna à nouveau pour faire face au Rôdeur, se plaçant entre lui et Sorel pour protéger son maître. Dans le même mouvement, il modela la trame, dessinant une forme avec les mains avant de pointer la fontaine du doigt.
La trame se mit en action, assemblant un golem à base de pierre et d’eau, un effet visuel incroyable, une combinaison qui, il en était certain, se révélerait utile dans son combat contre le Rôdeur. Ce à quoi il ne s’attendait pas, cependant, était la taille de sa réalisation. Lui arrivant à peine au genou, la créature tenait plus du louveteau que du loup adulte, ce qui allait certainement représenter une difficulté ou, à tout le moins, pas l’aide qu’il avait espéré. Comptant fort sur l’affinité terre et sa composition d’eau et de pierre, Sorel s’empara rapidement d’un petit bout de papier et de son crayon et griffonna hâtivement “Aide Jardins !!!” qu’il fit promptement disparaître à l’attention d’Avara à nouveau, espérant qu’elle et Vex le rejoindraient rapidement. Si seulement Asolraahn n’avait pas été appelé ailleurs, il n’aurait pas à faire face seul à une situation à laquelle il ne s’était peut-être pas préparé.
Se concentrant sur leur adversaire, Sorel carra les épaules, se campa sur ses appuis, tenant d’une main Tor’Shorot et de l’autre il activa le petit colibri qui ne l’avait pas quitté depuis le début. L’arbalète se nicha dans le creux de sa main, son poids non négligeable aisément maintenu par sa force elfique.
«
A nous, » lança-t-il à l’attention du Rôdeur. «
Je suppose que la discussion n’est pas envisageable ? »
«
Nous… Rhhuuaaaauugghhhh... »
«
Pas ton fort, noté, » chantonna-t-il, notant l'emploi du
nous tout en tentant de garder la nervosité sous contrôle au moyen d’une once d’humour qu’il était loin de ressentir…
A moins que.
L’envie brutale de prendre part au combat, de s’élancer à bras le corps et de percuter de plein fouet la masse monstrueuse de cet adversaire valeureux qui irradiait de Faron parvenait jusqu’à l’elfe, le galvanisant. Le contact du fenrisulfr le changeait subtilement, altérant ses réactions, modifiant son comportement, imperceptiblement par moment et pourtant. Souriant, Sorel leva son arbalète cuivrée et décocha un carreau, un sourire dur étant ses lèvres tandis qu’il lâchait finalement la bride de Faron. Le prédateur tant redouté, tant craint et tant regardé avec frayeur avait désormais le droit d’exprimer toute sa sauvagerie sans retenue.
Directives :
Sorel,
Dans un grand moment de chasse inter-espèces, tu te retrouves à suivre Faronlyss qui se dirige vers les jardins … Te voilà donc seul, ou presque. Sur le chemin, entre la scierie et les jardins, tu croises un ou deux villageois qui courent probablement pour se mettre à l’abri. Mais tu es bien concentré, et une partie de ton esprit est clairement concentrée avec ton Fenrisulfr alors peut-être ne t’en rends-tu pas forcément compte.
Mais alors que tu approches du but, un autre villageois qui court, t'interpelle. C’est un lyssien, un peu plus petit que toi, aux yeux gris clairs et aux cheveux blonds et au teint hâlé, caractéristique de cette race. D’une corpulence standard, il hausse les sourcils en te voyant. Comme s’il ne t’attendait pas à te voir ici.
“Ah vous aussi, vous avez été convié ?”
Fait-il, l’air un brin curieux. Il t’adresse un petit clin d'œil. Manifestement ta tête ne lui est pas inconnue, mais impossible de te rappeler où tu l’as vu la dernière fois.
“Nous allons leur faire payer.”
Ajoute t-il, avant de courir vers l’auberge, sans que tu aies le temps de lui dire quoi que ce soit.
Bizarre. Mais nous n’en sommes plus à la première bizarrerie dans ce village, n’est-ce pas ?
A la suite de cette interaction de quelques secondes à peine (à laquelle je te laisse réagir comme tu le souhaites, en prenant en compte que le lyssien est parti aussi vite qu’il est venu), tu te retournes et te retrouves finalement avec Faronlyss aux jardins.
Là tu as le plaisir de retrouver un Asolraahn tout feu tout flamme, lui aussi à la recherche du Rôdeur. Quelques mots à sa personne peut-être ? En profitez vous pour élaborer une stratégie rapide ou quelque chose comme cela ?
En tous les cas, votre échange se terminera par un nouveau souffle caractéristique, mais avec une nouveauté : un cri guttural dangereusement proche de vous, et des aboiements répétés de Faronlyss qui t’alerte sur la situation. Il ne te faut que quelques secondes pour voir la monstruosité qui se dresse en face de toi. Elle s’arrête un instant, vous dévisageant, Asolraahn et toi.
Mais un cri d’à l’aide plus tard, et Asolraahn s’évapore dans les airs, appelé par la fermière Roncecoeur. Te laissant toi, ton fenrisulfr, et le rôdeur affamé. Ce qui te fait dire ça est qu’il vient de se lécher ses lèvres, et te porte ce regard que tu porterais à un met délicieux. Il s’approche de toi très vite, et en quelques foulées il semble déjà avoir comblé la distance entre lui et toi.
Si tu ne réagis pas à présent, il y a fort à parier que tu finiras en chair à Rôdeur.
Que fais-tu Sorel ?
Saches que si tu le désires, tu peux choisir de te déplacer où bon te semble sur la carte. A toi d’élaborer une stratégie pour échapper au Rôdeur, ou au contraire l’attirer avec toi.
Si tu ne mets aucune destination à la fin de ton post, je considérerai que tu ne bouges pas.
Questions :
i Sorel interroge Faronlyss sur le Lyssien genre "l'odeur t'est-il familière et te rappelles-tu quand on l'aurait croisé ?" :
- ça ne lui dira rien. Tu n'as pas vu sa tête avant maintenant en tout cas
D'accord, si Sorel essaie de se rappeler, de le replacer ? :
- (après jet de dé) C'est une réussite simple, donc tu te souviens que c'est un gars que tu as vu à Sélénia, pendant la Bataille des Cendres
Utilisation du sort Artiste illusionniste :
- Réussite notable, le Rôdeur a temporairement la berlue, genre il semble t'avoir vu toi et Faron, mais y s'arrête et plisse les yeux, il est toujours là, mais ton sort l'a arrêté dans son élan.
Utilisation du sort Golem élémentaire :
- Réussite médiocre, tu fais bien un golem, mais c'est un louveteau quoi
Est-ce qu'il fait chaud ou pas trop ? Genre, est-il possible qu'il s'agisse du Rôdeur tout feu tout flamme ? :
- nope; ça va
Si Sorel s'adresse au Rôdeur avec un truc genre "je suppose que la discussion n'est pas envisageable ?"
:
- il te répondra un truc genre "Nous ..." et après un bruit de Charon (précision de la joueuse : j'ai donc été chercher une quote de Charon, cette information donnée par le MJ, je tiens également à préciser avoir fait une déclaration d'amour pour ce monstre terrifiant).
objets et sorts utilisés :
Artiste illusionniste :
Geste clef : croiser les doigts devant soi puis les décroiser rapidement
Action : tisse instantanément l’énergie et en prend le contrôle sur la cible.
Effet : altère les capacités de perception de la cible (-1 rang).
Golem élémentaire :
Geste clef : dessiner la silhouette de la création avec les mains et viser d'un doigt la matière/élément choisi(e)
Action : aspire en soi de l’énergie et l’infuse avec l’image de la création désirée puis relâche cette énergie, tissant par dessus avec la trame jusqu’à donner une consistance semi-physique à la créature.
Effet : création d'un golem élémentaire de taille moindre à partir des éléments disponibles autour de soi. La créature possède des caractéristiques physiques niveau bon et une affinité élémentaire choisie à la création.
Tunique roséenne : → Soulagement supérieur – Draconique : Les sorts jusqu’au niveau Maître inclus ne coûtent que la moitié de leur valeur énergétique initiale. Permet de lancer deux sorts de ces niveaux en 1 tour sans malus.
Arbalète cuivrée (merci papa !) : → Glyphe élémentaire - Rayon solaire : Concentre la lumière à partir d’une source préexistante (soleil, feu, glyphe de lumière, spirite lampyre, etc) et la modèle comme un carreau. Ce projectile provoque des brûlures à la victime touchée en plus de la blessure initiale.
→ Glyphe funeste - Annulation d’armure : Permet d’ignorer les armures physiques et d’infliger des blessures comme si la cible n’était pas protégée.
Glyphe rare
→ Glyphe de soutien - Rechargement autonome : Invoque de nouvelles munitions dès que l’objet est vide.
Effets de l'alliage :
→ Effet - Rêve : L'arme, au repos, se transforme en un colibri paternel. Il ne sert pas à l'attaque, mais simplement à l'apparat. La transformation de l'arme demande de l'énergie au porteur (sort niveau Faible).
Bonus de l'alliage :
→ Bonus - Résistance physique : L’objet est plus résistant par rapport aux dégâts physiques qu’il pourrait subir et ne se brise pas facilement.
+ : Diminue la gravité des dégâts physiques subis par l'objet d’un rang, les objets non forgés ne traversent plus.
→ Bonus - Précision Armes de Trait : L’objet est calibré et équilibré de façon optimisée.
+ : Les attaques sont plus précises de 10 pts. Bonus de +10 en Jet d'Armes de Trait
→ Bonus - Poids : L’objet est moins lourd, ce qui signifie qu’il nécessite moins de force physique pour être utilisé et que le porteur sera plus rapide.
+ : L’objet est léger et peut se manier avec une force de niveau Très faible au minimum. Rapidité +1 (n'est pas un bonus en caractéristique mais offre l'initiative à l’attaque).
Les super friandises pour être un champion comme l'ampereur ! : → Un goût à nul autre pareil - Draconique : Les friandises de cette bourse sont si bonnes que même si les manger devant une personne détestant l’Empire serait une insulte … Elles sont si revigorantes, et donnent tellement la force de soulever une montagne ! (+5 en Force pour toute la journée si la personne se trouve dans l’Empire Sélénien quand on mange une friandise)
→ Sérénité Impériale - Runique : Le petit sac est tissé par des runes magiques qui, si on les déchiffre, s'avèrent être des paroles de chants pro-Empire étrangement apaisants … Définitivement pas un objet de propagande, on vous dit. Produit une aura calmante lorsque l’objet est visible, permettant d’augmenter la concentration (+5 à un jet de dés pour une action).
→ Abondance Impériale - Draconique : Pour contrer la famine et le rationnement qui est en vigueur dans l’Empire, il se trouve que si le porteur fait preuve d’un enthousiasme et de compliments sincères pour cette faction de l’Archipel, les friandises semblent magiquement se remplir à nouveau … Définitivement pas orienté, non, ça non.