Ipsë Rosea - Siège de la Loge

Etat actuel en un clin d'oeil


  • Gouvernement : Démocratie participative

  • Dirigeant : Archonte

  • Titre du Dirigeant : Un membre du clan Dalis

  • Races/ethnies acceptées : Toute race et toute ethnie, surtout humains, elfes et Nywim

  • Religion officielle : Aucune officielle



  • Territoire : Calastin, près du lac d’Émeraude

  • Système économique : Libre échange en temps ordinaire, actuellement en quarantaine, bénéficie des aides humanitaires de l’Alliance

  • Etat économique : Nulle et moribonde, la cité étant en quarantaine

  • Lois particulières :
    Abolition de l’esclavage
    Aucune autre en particulier




Relations diplomatiques



  • L'Empire Sélénien : Cité de l’Alliance la plus récente, elle n’a pas connu les tensions à l’origine de la récession avec l’Empire. Ses relations avec ce dernier restent donc relativement sereines et sobres. Étant proche des frontières avec l'Empire, il est également dans son intérêt de ne pas engendrer de friction, sans compter que ce n’est pas dans les mentalités de sa population majoritaire.


  • Le Royaume Vampirique : A l’origine, sans être franchement cordiales, les relations de la cité avec le Royaume vampirique étaient plutôt réservées et neutres. Depuis les récents événements et l’assassinat de l’archonte Emerloch par le clan Elusis, autant dire que les relations avec ce clan vampirique se sont nettement refroidies. Pour autant, le clan Dalis a de son côté apporté une solution, certes extrême, mais redoutablement efficace, pour sauver une majeure partie de la population… et a su calmer les possibles tensions. On ne peut pas dire que le clan Dalis soit approuvé par toute la cité, mais une bonne partie ne peut oublier avoir été sauvée par lui… Et son nouvel archonte est d’ailleurs depuis peu un membre du clan Dalis.


  • La Confrérie Pirate : Comme dans une grande partie de l’Alliance, la Confrérie des pirates n’est pas vue d’un bon œil par la cité d’Ipsë Rosea, même si, éloignée des côtes par rapport à nombre de ses consœurs, elle n’a pas à subir les assauts des forbans. Les pirates ne sont toutefois pas autorisés pour autant au sein de la cité.


  • Les Légions Graärh : De toutes les cités de l’Alliance, Ipsë Rosea est sans doute celle qui entretient les relations les plus neutres avec les légions Graärh. Elle a en effet interdit toute forme d’esclavage, de toute race, dès sa conception, et n’a donc pas commis ce crime aux yeux des Graärh. Elle n’a toutefois pas tenté de nouer des relations étroites par ailleurs avec les peuplades originelles de l’archipel.


  • Les Neutres : Une grande partie de sa population étant issue du peuple elfe et de Nywim, autant dire que la cité entretient de très bonnes relations avec les factions neutres, qu’il s’agisse des elfes ou du Domaine. Sans compter qu’elle est le siège de la Loge, troisième faction neutre.




En savoir plus


Description générale
Il s’agit de la plus récente des cités de l’Alliance. Bien que située sur Calastin, île du croissant destinée à l’origine aux humains, Ipsë Rosea est la première Cité-État construite en grande majorité par les Elfes et les Nywim.

Cité faisant partie intégrante de l’Alliance, elle se situe non loin des rives du lac d’Émeraude, sur l'île de Calastin, et se trouve en plein sur la frontière qui sépare l’Alliance de l'Empire sélénien.

Cité non portuaire, elle est construite au sommet d’une colline, dominant ainsi les vastes prairies verdoyantes alentour de ses hautes constructions majestueuses à la forte inspiration elfique. Au pied de la colline s'étend de nombreux champs, dont l'irrigation est favorisée par la proximité avec le lac d’Émeraude.

Si elle compte un grand nombre d’elfes et de Nywim, la cité d’Ipsë Rosea est une cité multiethnique et toutes les races y sont représentées. Même si jusqu’alors les vampires s’y faisaient rares, depuis les événements de 1764 et l’influence du clan Dalis sur la cité, cette race commence aussi à y prendre ses marques.

Ipsë Rosea est placée sous le sceau de la magie et rassemble un grand nombre de hauts mages ou d’érudits. Elle a été construite par la magie, et vit pour la magie. Elle est devenue tout naturellement par ce fort attachement à cet art le siège officiel de la Loge, institution créée suite aux troubles connus par la magie en 1763.

Description de Ipsë Rosea.


Pouvoir politique et économie
Ipsë Rosea est une toute jeune démocratie, dirigée par un Archonte soutenu dans sa tâche par deux Seconds. Son fonctionnement politique est simple et fait appel à une forte participation des citoyens dans la prise de décisions majeures.

Elle est également le siège de la Loge, faction neutre créée pour étudier la magie suite aux bouleversements qu’elle connut en 1763 et pour en propager les nouvelles connaissances.

Cité multiethnique, elle se veut ouverte sur l’extérieur. Son économie se base alors essentiellement sur le libre échange et le libre commerce, tant que celui-ci ne contrevient pas aux lois et valeurs de la cité (la vente d’esclaves est par exemple prohibée).

Son fonctionnement général est toutefois actuellement, en 1764, en stase complète, depuis l’épidémie de Peste de Corail dont elle a été le siège et qui l’a contrainte à fermer ses portes en janvier 1764.

Fonctionnement politique général
Son dirigeant est nommé "Archonte". Ce dernier est élu par l'ensemble des citoyens à la majorité absolue pour une durée de trois ans. Au terme de cette période, il est possible de se représenter autant de fois que désiré.

L'Archonte propose quatre personnes pour l'aider à diriger la cité. Parmi ces quatre noms, les citoyens en choisissent deux pour soutenir l'Archonte en tant que Seconds, et l'aider à gérer la vie de la cité.

Chaque citoyen adulte possède le droit de vote, de s'exprimer et de présenter sa candidature à diriger Ipsë Rosea, mais aussi de proposer des idées qui pourront devenir des lois.

Chaque décision importante qui doit être prise pour la cité et ses habitants est soumise au vote des citoyens lors d’une assemblée qui se réunit au moins une fois par mois.

Est citoyen une personne adulte qui vit et travaille pour Ipsë Rosea. Est considéré adulte un elfe, un vampire ou un sainnûr âgé de 100 ans, un humain âgé de 16 ans ou un Graärh âgé de 6 ans.

Economie
Cité multiethnique et ouverte sur l’extérieur, Ipsë Rosea a une économie basée sur le libre échange et le libre commerce, tant que celui-ci ne contrevient pas aux lois et valeurs de la cité (la vente d’esclaves est par exemple prohibée).

La cité a accès à certaines ressources naturelles par elle-même, notamment grâce aux terres plus fertiles que la moyenne aux abords de la cité par la proximité du lac d’Émeraude. Elle dispose de suffisamment de terres pour nourrir sa population, mais aussi les autres bourgades ou cités alentour. Toute proche d’elle, se situe également la cité de Cyrène, bourgade beaucoup plus modeste, tenant plus du bouge paysan que de la véritable cité, mais qui a su développer une activité de pêche non négligeable. Elle peut trouver aux abords les matières premières de bois et de pierres sans trop de souci, à condition d’en faire un usage modéré pour ne pas épuiser ses ressources naturelles.

Cité non côtière, elle dépend surtout du commerce intérieure, mais bénéficie du développement des routes commerciales de Caladon, lui permettant alors des échanges prospères, avec les cités du Sud principalement.

La cité a su développer un savoir-faire magique hors paire, et son artisanat en est aussi le reflet. En Ipsë Rosea siégeaient d’éminents forgerons d’alliage ou de maîtres glyphes. Le savoir-faire elfique y est aussi fortement représenté et assez prisé des hautes sphères de la société humaine.

Toutefois, Ipsë Rosea se veut ouverte à tous et les commerçants et artisans de tout l'archipel sont les bienvenus s’ils le désirent.

Son économie est toutefois actuellement en totale stase depuis la fermeture de ses portes, suite à la Peste de Corail qui sévit en son sein. Autant dire que son état économique serait catastrophique, si elle ne bénéficiait pas du soutien et de l’aide des autres cités, dont Caladon essentiellement pour les finances et Delimar pour le soutien matériel.

Armées et mode de défense
Mis à part une garde civile chargée d’assurer a minima la sécurité et le respect des lois au sein de la cité, Ipsë Rosea ne dispose pas d’armée propre. Comme nombre de cités de l’Alliance, sa défense militaire repose donc entièrement sur l’armée délimarienne ou sur la capacité de levée de mercenaires de Caladon.



Justice et Lois particulières
Tout comme son système politique et économique reste rudimentaire et fonctionnel, son système judiciaire l’est tout autant. Le pouvoir judiciaire est entre les mains de l’Archonte et de ses Seconds, qui sont alors seuls habilités à juger toute affaire ou tout litige de la cité.

Heureusement, Ipsë Rosea n’est pas réputée pour sa forte délinquance.

Si une loi prévalait en Ipsë Rosea, ce serait le respect de la liberté et de la vie. En effet, en cette cité, on attache énormément d'importance aux libertés, au respect de ces libertés, ainsi qu'au respect entre les êtres vivants.

Notamment l'esclavage est totalement interdit au sein de la cité. Et cela est valable pour tout citoyen de la cité, même en dehors de ses murs : si un citoyen d'Ipsë Rosea est jugé coupable d'esclavagisme en dehors de la cité, ce dernier perdra quand même sa citoyenneté et son droit d'entrer.

Mis à part cette interdiction d’esclavage, Ipsë Rosea n’a pas d’autres lois propres.



Particularité : la Loge
Ipsë Rosea est le siège de la Loge, qui est une faction neutre. Les membres de la Loge ont le droit de vivre au sein de la cité et y sont très respectés, d'une part grâce à l'effort fourni pour édifier la cité, d'autre part pour le travail fourni sur la magie.

En revanche, les membres de la Loge ne sont pas citoyens (puisqu'ils doivent être neutres). Ils n'ont notamment pas le droit de vote.

Pour tout savoir sur la loge : c'est par ici.



Moeurs et culture
Depuis sa création, Ipsë Rosea prône l'ouverture d'esprit. Cette cité humaine accueille les elfes à bras ouverts et est un réel mélange entre les deux cultures. Que ce soit dans le nom même de la cité ou bien dans son architecture, l'héritage elfique de la jeune cité se ressent fortement et n'est un secret pour personne. Les coutumes propres à la race des elfes ont une place tout aussi importante que celles propres à la race humaine, mais nombreuses d'entre elles se sont simplifiées pour le bien de tous.

Ipsë Rosea a été créée dans une objectif de tolérance et d’érudition, et prône l’accueil de chacun en son sein sans distinction, dans le respect de la vie. Toutes les races sont bienvenues derrière les murs de la ville. Toutes les amitiés et toutes les unions sont possibles. Si jusque-là les vampires se faisaient rares, depuis l’influence grandissante du clan Dalis depuis mars 1764, ces derniers commencent aussi à s’insérer dans la vie de la cité.

Valeurs
Ipsë Rosea est très attachée aux valeurs de liberté, de respect de ces libertés, ainsi qu'au respect de la vie sous toutes ses formes.

Issue d’un mélange de cultures humaine, elfique et immaculée, la cité prône une ouverture d’esprit, et souhaite accueillir chaque race sans distinction.

Enfin, siège de la Loge, Ipsë Rosea est rapidement devenue après sa création le rendez-vous des hauts mages et des érudits de toute l’Alliance, voire de tout l’archipel. Elle porte alors haut les bannières de la connaissance et de l’amour de la magie.

Famille
Tous les modèles sont représentés, même si le modèle patriarcal, à tendance laxiste, prédomine.

En Ipsë Rosea, tous les modèles familiaux peuvent être rencontrés, et ce de par la présence de nombreuses ethnies différentes en son sein. Il n’est pas rare de voir d’ailleurs des familles matriarcales, notamment parmi les rares Graärh y vivant.

Nombreux sont ceux aussi étant citoyens travaillant à Ipsë Rosea, mais dont la famille est restée dans une autre cité, pour diverses raisons pratiques. Sans parler de famille éclatée, le modèle familial s’en trouve quelque peu bouleversé.

Enfin, par le mélange des cultures, les relations interraciales sont un peu mieux tolérées, même si cela dépend desquelles. Toutes les amitiés et toutes les unions sont possibles, dans une certaine mesure.

Travail
En Ipsë Rosea, la notion de travail est passablement différente de nombre d’autres cités que ce soit de l’Alliance ou de l’Empire, et ce de par son caractère de siège d’érudition et de mages. En effet, là où de nombreuses cités considèrent le travail comme le dur labeur de la terre et des champs, ou comme la lutte quotidienne pour développer son artisanat ou son entreprise, et où lire et écrire des heures durant serait considéré comme un passe-temps de fainéants, en Ipsë Rosea cela est considéré comme un travail à part entière.

Et pour cause, l’une des missions principales d’Ipsë Rosea est l’étude, la conservation des savoirs, et, siège de la Loge, une meilleure compréhension de la magie pour un meilleur partage des connaissances la concernant.

Le travail n’en reste pas moins une valeur importante et, tout comme dans les autres cités de l’Alliance, chacun est amené à participer à la vie de la cité à sa manière, d’une façon ou d’une autre. Ne pas travailler, ne pas participer au développement de la cité ou des connaissances, est très mal vu.

Education
Le niveau d’éducation d’Ipsë Rosea concurrence celui de Caladon, voire vise à le dépasser, même si sa jeunesse ne plaide pas encore en sa faveur et qu’il lui reste du chemin à parcourir par rapport à la Revenante.

Siège de la Loge, et ayant accueilli de nombreux elfes réputés pour leur érudition, la cité a attiré très rapidement les grands érudits de l'île du croissant et ses hauts mages, et est rapidement devenue un lieu de culture et d'apprentissages de toutes sortes, mais surtout de la magie. On trouve de nombreux adeptes du flux de Construction au sein de la cité, ces derniers ayant grandement participé à sa - très rapide - édification.

Même si certains mages ou savants n’y sont que de passage, Ipsë Rosea est presque devenue un lieu privilégié du savoir. Inutile de préciser qu’en son sein presque tous les habitants savent lire, écrire et compter, et ont un minimum d’éducation.

Arts et culture
Grâce à la présence de nombreux elfes et sainnûr, Ipsë Rosea est en mesure de fournir les meilleures créations elfiques de Calastin, que ce soit en matière d'art, d'armes, etc. Ils offrent également les meilleures formations en la matière.

L’art est très représenté et valorisé, et ce sous toutes ses formes, et de toutes les cultures formant Ipsë Rosea.



Chronologie des événements de la cité
Ipsë Rosea a été créée très tardivement par rapport aux autres cités de l’archipel ou de Calastin. Cette cité humaine n’a été bâtie qu’en 1763, mais a rapidement su se développer grâce à la magie, et a bénéficié du savoir-faire des elfes et des sainnûr en la matière.

En juillet 1763 se crée la Loge qui choisit alors pour siège Ipsë Rosea et aide à finir sa construction et son expansion. La cité connaît un essor majeur rarement égalé, même par Caladon, une des cités de Calastin les plus prospères.

Toutefois Ipsë Rosea connait depuis janvier 1764 de profonds troubles qui perturbent tout son fonctionnement. En effet, siège de la maladie de la Peste de Corail qui menace toute Calastin et l’archipel, elle voit son activité ralentie et ferme ses portes par mesure de sécurité.

Son premier archonte Balthazar Emerloch décède lors de cette tragique période le 1er février 1764, assassiné par le clan Elusis. Placée pendant une courte période sous la tutelle de l’Alliance, et plus particulièrement de la cité de Cyrène qui lui est proche, la cité nomme finalement un nouvel archonte : un membre du clan Dalis, ce même clan qui a proposé une solution certes efficace, mais radicale, pour sauver une majeure partie de sa population des affres de la maladie, par la vampirisation...

An 1763
- Début 1763 : Création d’Ipsë Rosea
De nombreux elfes, Nywim et humains décident de bâtir une nouvelle cité, au sein de l’Alliance, tout près du lac d’Émeraude. Son mélange de culture montre une forte influence elfique et magique, magie grâce à laquelle la cité se construit très rapidement.

- Juillet 1763 : Formation de la Loge
Face aux importants dommages causés lors de l’explosion du Bâoli en mai 1763, mais aussi à la nécessité de comprendre les nouvelles règles régissant la magie, cet outil que les peuples ont si longtemps côtoyé, un groupe est formé : la Loge.

Conduits par Orfraie Ataliel, le dragon Firindal et Kalynä Vallaël, de nombreux mages, prestigieux ou humbles, ainsi que de nombreux volontaires, venus de tout l’archipel, se rassemblent dans la ville d’Ipsë Rosea en Calastin. Ce rassemblement prend la forme d’un groupe nommé la Loge et débute alors de nombreux travaux sur les modifications de la magie en ce monde.

- Novembre 1763 : Expédition dans les profondeurs de Cordont
Une expédition dans les profondeurs est organisée et quelques membres de la Loge en font partie. Une expédition aux conséquences désastreuses…

An 1764
- Fin janvier 1764 : Catastrophe à Ipsë Rosea
Fin janvier, la cité des mages ferme brusquement ses portes. Personne n'entre et personne ne sort. L’archonte Emerloch appelle toute Calastin à se réunir pour aider la cité des mages.

- Début février 1764 : La Peste de Corail sévit en Ipsë Rosea
Une terrible maladie est apparue à Ipsë Rosea. L’inquiétude gagne peu à peu l’ile de Calastin. Une réunion de crise a lieu entre les principales dirigeantes de l’archipel afin de comprendre ce qui se passe et de trouver une solution. La cité est mise sous quarantaine et les abords de celle-ci sont interdits d’accès.

Et comme si cela ne suffisait pas, une intrigue a lieu en sous-main, qui vient fortement ébranler Calastin : l'archonte de la cité, Balthazar Ermerloch, est assassiné. Le Clan Elusis semblerait lié à cette mort car il aurait exfiltré le meurtrier.

Ipsë Rosea est placée sous la tutelle du dirigeant de Cyrène au nom de l'Alliance des cités libres et la Loge est délocalisée momentanément à Cyrène, tandis que les habitants de la cité sont pour une partie recueillis par Cyrène, et pour une autre recueillis parmi les autres cités libres dont principalement Caladon et pour une petite part Delimar.

- Mi mars 1764 : le clan Dalis pose son influence sur Ipsë Rosea avec la “solution Dalis” contre la Peste de Corail
Objet de nombreuses préoccupations depuis plus d’un mois, la cité d’Ipsë Rosea, foyer d’infection de la Peste de Corail, connait un regain d’espoir. Si les Baptistrels ont accepté de prêter main-forte, parvenant à soigner des malades, la situation évoluait lentement. L'intervention du clan vampirique Dalis fera perdre du terrain à la maladie. Celui-ci est parvenu à soigner un grand nombre de malades, de gré ou de force. Mais ce remède à un prix : celui de la vampirisation. Malgré la méthode, nombreux sont ceux à qualifier ce geste de sacrifice nécessaire.

- 26 avril 1764 : Fondation de la Torynésie
En récompense de son soutien et de ses exploits lors de la bataille de Sélénia, l'ancien parangon Dalis se voit octroyer des terres au sein de l'Empire sélénien. Ce territoire est nommé la Torynésie, signe (ou cygne) de son incontestable narcissisme. Un territoire situé au nord d'Ipsë Rosea, bien proche alors du lac d’Émeraude. Il se murmure d'ailleurs que Toryné Dalis aurait des vues sur cette cité à qui il aurait offert le "salut".

- 2 mai 1764 : Coup d'éclat à Ipsë Rosea
La cité d'Ipsë Rosea, alors toujours en quarantaine et sous surveillance rigoureuse, était jusque-là sous la tutelle du dirigeant de Cyrène au nom de l'Alliance des cités libres. Même si la cité peine à reprendre vie, il était plus que temps de nommer un nouvel archonte. Coup de théâtre : c'est un membre éminent du clan Dalis qui est choisi ! Pire encore : le nouvel archonte Dalis refuse de prêter allégeance à la lame du serment, sur ordre de Toryné Dalis. Les rumeurs sur les prétentions du clan Dalis semblent se confirmer... sous les hauts cris de nombreuses autres cités de l'Alliance.