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Vaakin Lene’Tamaasik



Identité de votre personnage

Race : Graärh
Nom :  Lene’Tamaasik
Prénom : Vaakin
Surnom : Grand’griffes
Date de naissance : Pringtemps 1723
Age réel : 40 ans
Age en apparence : Indéfinissable pour un non-Graärh. Pour les siens, Vaa’kin apparaît comme plus âgé, dans les 45-50 ans.
Lieu de naissance : Nyn-Tiamat, sur le territoire de la légion  Vat’Em’Medonis 
Lieu de vie : Nomade
Rang social : Petit Peuple / Ashuddh
Poste/emploi : Guerrier libre

Caractéristiques (Cliquez ici pour les compétences)



Force physique : Bon
Agilité : Bon
Furtivité : Moyen
Réflexes : Très bon
Endurance : Moyen
Résistance : Bon

Force mentale : Bon
Perception : Bon
Intelligence : Moyen
Beauté/charisme : Moyen
Navigation : Moyen
Magie : Très faible

Epée : Médiocre
Dague et poignards : Médiocre
Armes d'hast : Médiocre
Armes contondantes : Médiocre
Hache : Médiocre
Fouet : Médiocre
Art du lancer : Bon
Bouclier  : Médiocre
Armes de trait : Médiocre
Mains nues/pugilat : Maître
Equitation : Faible
Dressage : Moyen


Equipement


Arme principale : Gantelets-griffe : Gantelets de chitine de vers de glace, très résistant, prenant tout l’avant bras et pourvue sur le dessus des mains de trois encoches. Par un ingénieux mécanisme, trois longues griffes rétractables peuvent jaillir de ces emplacements et former de redoutable armes. La longueur de ces lames ne dépasse pas les 30 centimètres. Lorsque les lames sont rentrées, ces gantelets passent pour de simples pièces d’armure.

Amélioration Graärh - Réservoir à curare : Les griffes sont en vérité creusées d’un minuscule sillon qui laisse passé une dose de curare. Si la chair de la proie est entaillé, le poison pénétrera le corps et provoquera une paralysie progressive, violente et rapide des muscles du corps, puis des organes. Originellement utilisé lors de la chasse, le curare est ici détourné par Vaakin pour venir plus rapidement à bout de ses adversaires.

Autres objets :
» Poignard Graärh, fait à partir d'une griffe de Fenrisúlfr.
» Des grèves de fourrures et de chitine.
» Une cape à capuche bordeaux, rapiécée par endroit et bordée de fourrure.
» Un pantalon de cuir, tout simple
» Une besace en cuir. Celle-ci est vraisemblablement faite de peau d’animaux chassés par Vaakin. Elle contient tout le minimum des gens qui voyagent : Gourde, bandages, concoctions en tout genre (dont curare), quelques provisions., pipe et herbe à fumer...




Description physique




Grand, imposant, puissant. Voilà trois mots qui qualifient Vaakin à la perfection, car il s’agit bien de la première impression qu’il donne. Toujours. Et il est vrai que du haut de ses deux mètres dix, il paraît farfelu de ne pas remarquer notre ami, tandis que sa silhouette large et toute en muscle ne laisse guère place au doute quant à ses compétences martiales.
Aux premiers abords, Grand’griffes inspire donc la crainte ou la peur chez les non-Graärh. En revanche, c’est souvent le contraire chez les siens, qui savent déchiffrer le langage corporel et voir au delà de l’apparence. Chez ces félins humanoïdes, faire attention aux détails est primordiale pour évoluer convenablement en société.

Sa silhouette est, comme nous le disions précédemment, forte et imposante. Ses muscles roulent sous sa peau, celle-ci étant recouverte dans son intégralité par une fourrure noir et blanche, tirant à certain endroit – comme les oreilles ou sous le menton – sur le gris. Épaisse, elle permet à Vaakin de résister aisément au froid de la région qui l’a vue naître tandis qu’elle lui porte préjudice dès que la température grimpe. Elle est, toutefois, plus longue au niveau de sa tête, son cou et son poitrail, formant un collier  de poil d’une certaine douceur malgré ce que l’on pourrait en penser. Ce collier se prolonge sur sa nuque et jusqu’entre ses omoplate avant de se fendre dans le reste de sa fourrure. Celle-ci est, au demeurant, toujours très douce. Cela en aura étonné plus d’un tout au long de sa vie, c’est certain.

Les quatre extrémités de Vaakin sont recouvertes, comme celle des félins, de coussinets – toutefois plus épais au niveau de ses pieds – qui lui permettent de marcher sans se blesser sur la plupart des terrains, mais aussi de mieux agripper les objets, la surface de ces coussinets étant légèrement rugueuse. Ses doigts – de pieds comme de mains – se terminent par des griffes rétractiles dont il se sert pour courir, grimper ou comme outil et plus rarement comme arme. De couleur ébène, ils se fondent dans son pelage même lorsqu’il sont sortit, offrant parfois un bel effet de surprise. Il est à noté que Vaakin est digitigrade, c’est à dire qu’il se tient sur ses puissants doigts de pied, comme c’est le cas chez les félins. Grâce à cela, il peut faire preuve d’une étonnante discrétion mais surtout atteindre des vitesses inégalable par les autres bipèdes.

Concernant son visage, Vaakin à tout du tigre, sauf la couleur orangée et blanche. Même pour un non-habitué il sera aisé de voir la ressemblance, tant au niveau de son faciès que du motif de son pelage (surtout sur son torse). Ce visage, par ailleurs, arbore plusieurs cicatrices, vraisemblablement des vestiges de coups de griffes. On retrouve ainsi de petits marques rosées sur son museau, sa joue gauche et sous son œil gauche. Ses yeux sont turquoise et ressortent sur son pelage. Enfin, de chaque côté de son crane se dressent deux oreilles pointues pouvant bouger pour mieux capter les sons. Ses crocs, quant à eux, sont d’un blanc éclatant (et ses canines plus longues que les autres).

Pour finir, d’un point de vue vestimentaire, Vaakin est réducteur. Outre ses gantelets-griffe dont il ne se sépare jamais, il porte un pantalon de cuir brun – sans doute confectionner par ces soins – ainsi que ses spalières. Il lui arrive d’enrouler ses pieds dans des bandages, mais il ne porte jamais de bottes, sauf circonstance exceptionnelle. Pour ce qui est du haut de son corps, il ne porte aucun vêtement si ce n’est sa cape bordeaux, qu’il enroule parfois sur ses épaule pour en faire un pancho. Celle-ci sert surtout à le protéger du froid lorsque sa fourrure ne suffit plus.



Description mentale




Vaakin n’est pas un mauvais bougre mais il est souvent d’une rudesse peu engageante, même pour les siens. Malgré son jeune âge, il apparaît souvent comme un « vieux au mauvais caractère », son physique aidant.Taciturne, il est pourtant clair qu’il ne passe pas par quatre chemins pour dire les choses, que ce soit à la façon de son peuple ou dans la langue des envahisseurs, qu’il a apprit sur le tas et ne maîtrise pas encore parfaitement. 

Les envahisseurs sont, justement, les races ayant débarqué sur son île voilà un an. Plutôt curieux au départ, ce sentiment s’est rapidement mué en une haine profonde lorsque les Vampires ont commencé à enlever les siens pour les réduire en esclavage. Pourtant, Vaakin n’évite pas ces bipèdes à la peau lisse. Au contraire, il a même réussi à apprendre leur langue et une partie de leurs coutumes. 
« Sois proche de tes amis, mais encore plus de tes ennemis ! ». Cet adage colle parfaitement au ressenti du félidé, car il est clair que ce dernier n’a aucune confiance en ces envahisseurs, y comprit en ceux qui se sont pourtant montrés ouverts. Il faudra bien plus que de belles paroles pour convaincre Vaakin que certain vaillent la peine de s’arrêter. Son objectif est bien de rendre justice à ceux qui ont péri à cause de ces nouveaux venus, mais aussi libérer ceux qui sont emprisonnés.

Pour faire cela, le Graärh est prêt à beaucoup. Bien qu’il ne soit pas un être naturellement mauvais, Vaakin est prêt à beaucoup pour venir en aide aux siens et racheter son honneur perdu à leurs regards. Pour lui, le résultat est ce qui compte le plus. Dans un monde tout en nuances, il sait qu’il est parfois nécessaire de se salir les mains pour parvenir à un résultat. Le félidé est donc bien conscient de cela et, malheureusement, cet état de fait vient souvent chatouiller son honneur.

Car, en effet, bien qu’il soit sans tribu (et qu’il ait été rejeté par la plupart des siens), il continue à se conduire honorablement, à sa façon. Son coeur fut toujours empli de courage et cela ne semble pas prêt de changer. Chasseur patient et méticuleux, Vaakin est toutefois parfois incapable de contenir la colère qui l’anime. Il est alors préférable de ne pas trop le chatouiller… Pour autant, le Graärh est un être déterminé, dont la soif de justice pour son peuple anime chacun de ses gestes et le poussera, s’il le faut, au-delà de toutes ses limites. Toutefois, il devra prendre gare à ne pas retomber dans les travers de l’inconscience… 

Enfin, Vaakin n’a qu’une parole. Il ne fait pas de serment qu’il est incapable de tenir, ou essai-il, et se montre particulièrement vindicatif contre les langues de serpent.  

« Lorsque les gens n’hésitent plus à mentir, alors les mots n’ont plus de sens. Et il ne reste comme unique solution que mentir, encore et encore.  » 

Les seuls qui trouve plus ou moins grâce à ses yeux sont les Elfes et les Dragons. Les premiers ne réduisent pas les siens en esclavages, c’est un fait, mais ne font rien pour aider les Graärh non plus, raison pour laquelle Vaakin reste prudent. Les seconds sont les prédateurs ultimes et, bien qu’ils n’aident en rien son peuple, le félidé se sent plus proche de ces créatures que des bipèdes, sans doute à cause de leur aspect bestiale et leur proximité avec la nature. 

Alignement : Il a à cœur de protéger les siens ou le peu de bipèdes à la peau lisse qu’il apprécie. Derrière ses airs revêches, c’est un être capable d’une grande générosité comme d’une grande fermeté. Ni bon, ni mauvais, il fera ce qu’il juge nécessaire, suivant sa propre morale. Vaakin est un être imprévisible capable de réagir différemment à deux situations pourtant identiques.





Histoire



Vaakin est né il y a quarante ans, au printemps, pendant l’une des terribles tempêtes qui traversent cette saison. L’air était glaciale, même pour les plus vaillants des Graärh, et peu se risquaient à braver le blizzard. Même la plus épaisse des fourrures n’était pas en mesure de vaincre le froid.

Mais dans l’une des yourtes qui formaient le petit campement, dont les peaux et le cuir gondolaient sous le vent, vint la vie. Bien que l’amour n’est pas un concept très élaboré chez les Graärh, cela n’empêcha guère les parents de Vaakin d’être heureux et d’aimer leur fils, à leur façon. Et comme il est de coutume chez ce peuple, le petit félidé fut élevé par son père – nommé Valaquil -, qui lui servait de modèle. Sa mère, quant à elle, Vaakin en garde très peu de souvenir.

Valaquil était un guerrier. Dire ceci d’un Graärh pourrait sembler étonnant, car tous savent se battre, mais dans le cas de cet individu en particulier, c’était inné, Valaquil était connu au sein de sa tribu, mais aussi au sein de la Légion, et il enseigna à son fils tout ce qu’il connaissait. Il le prépara au jour de son départ, qui arriva bien trop vite. Pourtant, ce fut sans regret et le coeur gonflé de force que Vaakin quitta sa famille. Il avait, comme tout les autres avant lui, à peine six ans.

Affronter le blizzard, seul, à six ans paraîtrait sans aucun doute cruel aux yeux des peaux-lisses, mais pour un Graärh, il s’agit du cheminement naturel de la vie. Lorsque Vaakin quitta son père et sa mère, il prit le nom de Vaakin Yoddha’ka’janm. Il en changera par la suite, en suivant le fil de son destin.

Mais pour le jeune de Graärh, il était temps d’apprendre un métier et se rendre utile à la tribu. C’est ainsi que Vaakin devint un jeune chasseur, ou guerrier, suivant sans trop de surprise les traces de son père, qu’il continuait de ce fait à côtoyer. Ses journées prirent doucement un autre rythme, suivant celui des animaux qu’il traquait pour nourrir les siens. Mais plus qu’un devoir envers sa tribu, la chasse devint un plaisir. Cela le poussa, avec l’âge et l’assurance, à explorer davantage le territoire de la tribu, s’éloignant toujours un peu plus.

Mais un jour, l’expédition tourna au cauchemar lorsque la neige et la glace se mirent à craquer sous ses pieds. Il ne neigeait plus, pour une fois, mais à cet instant Vaakin aurait préféré affronter le blizzard plutôt que l’énorme vers de glace qui ne manqua pas de happer l’un de ses compagnons en jaillissant hors de la neige. En un instant, la mort venait de frapper la petite troupe – pas qu’ils n’y été pas tous habitués – et jeta, sans mauvais jeu de mots, un froid sur l’ensemble des compagnons. Du moins, jusqu’à ce que le vers revienne à la charge.
La troupe se mit alors en mouvement afin d’abattre la créature. Les quatre compagnons encore en vie entreprirent d’attirer l’attention du vers afin de l’empêcher de se cacher sous la glace, sans quoi ils risquaient de perdre l’un des leur une nouvelle fois. Pendant ce temps, Vaakin fit oublier sa présence et se glissa derrière l’immense créature. Agilement et presque par chance, il parvint à escalader son dos en s’aidant de ses gantelets-griffes. La créature, consciente que l’un des Graärh était en train d’escalader son dos, chercha à ce jeter au sol afin de s’en libérer, mais c’était sans compter sur la ténacité des félidés, qui usèrent de cordes et de grappins pour empêcher le vers de s’enfoncer dans la glace. Finalement arrivé sur sa tête, Vaakin plongea ses griffes de métal dans les yeux de la créature, évitant de justesse un coup de mandibule mortelle, puis ses compagnons utilisèrent les cordes et les grappins pour tirer sur les plaques de chitines et mettre au jour la chair du vers, que le Graärh pénétra une nouvelle fois de ses griffes. Dans un dernier espoir de voir Vaakin se décrocher de lui, le vers projeta son corps en arrière. Surprit, le Graärh lâcha prise et retomba dans la neige, qui amortit la chute. Rapidement remit debout, Vaakin et ses compagnons se tournèrent vers la créature dont le sang maculait la neige. Elle était morte avant même d’avoir touchée la glace.

De ce combat, Vaakin ramena plusieurs plaques de chitine ainsi que des dents, dont il se servit pour confectionner épée et bouclier. Toutefois, ces ouvrages n’étaient pas pour lui, mais bien pour une femelle qu’il tentait de courtiser depuis quelque temps, nommée Mahila. Ce cadeau, ainsi que le récit du combat, lui permirent d’atteindre son but. 
De cette union naquirent trois enfants, deux filles et un fils. Comme il est coutume chez les Graärh, les petits furent élevés par Mahila jusqu’à être sevrés, puis leur père prit le relais afin d’en faire des guerriers, enseignant à sa progéniture ce que son propre père lui avait enseigné. Toutefois, Vaakin compléta son enseignement par l’art de confectionner des objets, de se débrouiller seul au milieu du blizzard… Un enseignement donc plus complet que celui qu’il avait lui-même reçut. Et à leurs six ans, les trois enfants quittèrent leur père pour mener leur propre existence. Ils auront eu même des enfants bien plus tard, que Vaakin connaîtra rapidement sans pour autant s’y attarder. 

Le temps poursuivit son œuvre. Les saisons passèrent les unes après les autres et quelques poils gris vinrent à apparaître dans la fourrure de celui qu’on appelait Grand’griffes, en rappelle de ses armes. Bien que l’espérance de vie des Graärh soit honorable, il est rare de voir des individus âgés. Et Vaakin, du haut de ses trente-neuf années, commençait à faire partit des « vieux » de sa tribu. Même son père, grand chasseur, avait trépassé sans atteindre son âge, de même que certains des fils de Vaakin (bien qu’il en eut d’autres au fils des saisons, sans vraiment les compter). 

Devenue le Tribyoon de sa tribu – qui s’était bien agrandit avec le temps – Vaakin fut l’un des premiers mis au courant de la venue de navire au large. Et, alors que les bipèdes-à-la-peau-lisse accostaient, il fit partit de ceux qui observèrent de loin, tapis dans la neige. A son Aaleeshaan, il préconisa prudence et méfiance, mais pas d’actions belliqueuses. Toutefois, s’il avait aujourd’hui l’occasion de revenir sur cette décision, sans doute aurait-il préconiser d’exterminer ces envahisseurs pour ne pas prendre de risque… Les mois passèrent sans heurts. Les premiers contacts eurent lieu, pacifiques mais teinté de méfiance, voir de haine. Beaucoup de ces nouveaux venus voyaient en le peuple Graärh de simple animaux et cette insulte n’allait pas être oublié de sitôt par Vaakin… Ce dernier entreprit d’apprendre à connaître ces peuples, à apprendre leur langue commune, jusqu’au jour où seuls les Vampires restèrent sur l’île de glace. Ce fut alors le début de la fin pour Grand’griffes. 

Une nuit, sa tribu fut attaquée par les êtres de sang-froids. Malgré la combativité des Graärh, la situation n’était pas à leur avantage. Beaucoup périrent cette nuit-là et Vaakin garde, encore aujourd’hui, un souvenir très clair des feulement d’agonie des siens. Lui-même fit preuve d’une grande combativité et bien que quelques vampires vinrent à périr sous ses griffes – au moins avaient-ils des caractéristiques physiques sensiblement équivalente, sans quoi auraient-ils été tous massacrés ! - il fut finalement mis à terre. Agonisant, la neige vint doucement recouvrir son corps transit de froid tandis que les survivants de cette terrible attaque furent emmenés pour servir d’esclaves. 

Vaakin doit aujourd’hui sa survie à un Baptistrel, un Elfe explorant les contrées glacées de Nyn-Tiamat. Ce fut le premier bipèdes-envahisseurs avec qui il noua un semblant de lien, autrement que basé sur l’échange de connaissances. C’était, en fait, une presque amitié … Et ce fut au nom de ce lien que Grand’griffes permit à cet être de reprendre son chemin sans subir son courroux. Les Baptistrels étaient, de ce qu’il savait, garants d’une certaine paix … alors pourquoi n’avaient-ils rien fait pour sauver les siens ?

Une fois l’Elfe partit, Vaakin fit le tour de son village en ruine. Le pas traînant, il récupéra autant de matériel que possible. Chose faite, il rassembla les corps de ses semblables, un à un, affrontant la neige qui ne cessait de tomber, puis entreprit de les brûler et leur offrir ainsi leur dernier rite. L’émotion, traîtresse, vint enfermer son coeur dans un étau dont il ne s’est pas encore libéré à l’heure actuelle, le plongeant dans une rage profonde et silencieuse. Les images de cet immense bûcher funéraire resteront sans doute gravé à jamais dans l’esprit du guerrier…  

Avant de quitter les lambeaux de son village, Vaakin y mit le feu, achevant ainsi la cérémonie aux morts qui veut que toutes les possessions des défunts soient brûlées avec eux. Sa destination fut ensuite le village de la Légion Vat’Em’Medonis, où il rapporta la nouvelle de l’attaque sur sa tribu. Toutefois, alors que Vaakin pensait être accueilli parmi les siens, il fut répudié pour ne pas avoir réussi à vaincre l’ennemi… ou pour avoir survécu? C’était là l’impression qu’il avait.

Devenu un Ashuddh, il fut contraint de quitter les siens. Son honneur bafoué, sa rage envers ses semblables étaient immense – bien qu’il comprenait que son échec et ses blessures aient détruits toute forme d’honneur en lui - , tout comme celle qu’il ressentait vis-à-vis des Vampires et des autres races. En effet, les alliés de ces suceurs de sang ne méritaient pas non plus sa clémence. Dans leur immobilisme, ils cautionnaient, d’une certaine façon, ces rafles inadmissibles. Contraint de vivre seul, Vaakin fit pourtant le serment de venger les siens et racheter son honneur perdu. 

Il prit le nom de Vaakin Lene’Tamaasik, qui signifie « le vengeur » dans sa langue, le jour où ses pieds se posèrent sur le sol de Néthéril. Peut être trouverait-il des alliés – ou un autre départ – chez la légion Vat’Aan’Ruda.




Liens



Ses parents : Vaakin n’a que peu de souvenirs d’eux. Les Graärh n’ont pas de famille comme les autres bipèdes l’imagine. Valaquil est mort sans que Vaakin en soit grandement affecté. Quant à sa mère, elle fait partit des Graärh ayant été enlevés par les Vampires pour servir d’esclave.

Mahila : Sa première compagne mais pas la dernière. Ils eurent plusieurs fois plusieurs enfants ensemble. Elle a été enlevée par les Vampires, comme nombre des siens. Vaakin s’inquiète et espère bien la retrouver saine et sauve.

Ses enfants et petits enfants : Comme pour ses parents, Vaakin ne fut guère proche d’eux. Il éleva ses enfants comme le veut les coutumes, mais les laissa partir sans regret à l’âge de six ans. Ils en eut de nombreux au court de sa vie, comme il fut choisi par de nombreuses femelles. Certains sont morts au combat ou à la chasse. D’autres par la main des Vampires lors de l’attaque sur la tribu. D’autres, enfin, sont sûrement encore en vie, quelque part. Quant à ses petits enfants, Vaakin les a rencontré mais n’entretenait pas de liens avec eux. Sans doute en a t-il d’autres, inconnus, d’enfants partit depuis longtemps pour vivre une autre vie.

Valmys Neolenn : Ce jeune Enwr est venu en aide à Vaakin, trouvant son corps à demi enseveli sous la neige, dans les ruines de son village. Le Graärh a une dette de vie envers lui, raison pour laquelle il laissa partir le jeune Elfe.





Derrière l'écran



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Rythme RP ? (Une réponse RP dans les 7 jours est attendue) : Voir Orfraie/Kaalys

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Dernière édition par Vaakin Lene’Tamaasik le Ven 15 Sep 2017 - 19:18, édité 1 fois

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Fiche terminée.

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Coucou ! C'est moi qui vais corriger ta fiche !

... Originale mon intro hein ? :,)

Bref, petit essai de correction, j'espère qu'il ne manquera pas trop de trucs Very Happy

Identité

âge réel : Je ne suis pas sûr de ce que je dis, mais si l'an 1754 est le dernier du troisième âge, et que nous sommes en l'an 10 du quatrième, Vaak n'a pas 41 ans ?

caractéristiques  

Je fais confiance à Luna, la reine du chocolat, mais globalement je trouve ça bien équilibré.

équipement

Tu peux même rajouter qu'il a un slip en peau de puma si tu veux !

Descriptions physiques et mentales

Descri physique :

la description physique est cool, tu parles beaucoup de poils. Je ne sais pas si c'est parce que je parle beaucoup avec Dawan en ce moment mais la lecture m'a vraiment donné envie de lui faire un câlin.

Descri mentale :


certain vaille la peine de s’arrêter



outre les petites fautes d'accords, j'ai pas bien compris la phrase.. Tu veux dire s'arrêter sur leur sujet ? Ou s'arrêter de penser des peaux-lisses par préjugés ? Sinon super ^^

Histoire

Vaakin est né il y a quarante ans, au printemps


Tu as dis en hiver dans la partie identité ^^ Mais enfin, c'est la première ligne et la seule remarque que j'aurais à faire Razz

Liens  

Mahila : Sa première compagne mais pas la dernière. Ils eurent plusieurs fois plusieurs enfants ensemble.


Et il lui est arrivé quoi à elle du coup ? L'amour n'a peut-être pas la même forme pour les Gräarhs que chez les peau-lisses, mais ils ont passé tout de même pas mal de temps ensemble, ne s'inquiète-t-il pas pour elle ? D:

Derrière l'écran

Bienvenue sur Elysion ma chère admin !

descriptionVaakin Lene’Tamaasik [Terminée] EmptyRe: Vaakin Lene’Tamaasik [Terminée]

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Arak keur

» Nous sommes en 1763 (c’est écrit dans le modèle de fiche). Moins 40, ça fait bien 1723.
» Peut être qu’il … n’a pas de sous vêtements!
» Je veux bien tenter le câlin avec Arak si tu veux :bobo :
» J’ai changé hiver par printemps. =P
» S’arrêter genre s’attarder dessus, accorder de l’attention.
» Il me semblait avoir écrit de quoi sur Mahila Oo J’ai rajouté un petit quelque chose dans les liens. Smile

Voilà =P

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Bienvenue sur tes nouvelles terres Invité

 

Tu as été choisi(e) par l'esprit-lié de la Chouette et de la Salamandredont tu as  atteint le niveau 3. Tes compétences ont été validées, tu pourras les faire évoluer tout au long de ton aventure.

Tu peux aussi adresser tes questions ici

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