9 juin 1762
Une semaine. Cela faisait une semaine que la Meute avait débarquer sur Nyn-Tiamat. Une semaine que le Loup Solitaire se demandait pourquoi il était venu ici. Pourquoi avait-il accepté cette mission, sur une île lointaine, froide, sauvage et inintéressante. Pour l’argent et le prestige. Certes, cela avait joué. La somme mis en jeu pour cette exploration était assez importante. L’intérêt de cet investissement n’était pour l’instant pas apparu au Loup Solitaire, ni à ses Loups. La terre était difficilement cultivable, les ressources minières n’était pas repérable et si la fourrure était la cible, le trajet était assez dangereux pour aller la chasser. Non, ce n’était pas évident. Mais bon, le client avait payé et c’était mieux que de rester à la guilde à ne rien faire. Et puis le froid endurcira les hommes en prévision des explorations hivernales. Car si certains rêvaient d’une trêve hivernale, ils allaient être déçus. Le Loup Solitaire comptait maintenir un niveau d’entrainement et de manœuvre exemplaire quel que soit le temps.
Ainsi les voici dans les steppes, subissant un climat, rude la nuit, clément le jour. Les Loups s’y étaient préparés et n’en souffraient pas trop, mais ce n’était jamais très agréable. Vivement le retour au foyer. La troupe avançait donc vers une nouvelle zone à explorer. La compagnie allait se diviser pour explorer les environs de façon efficace. Le Loup Solitaire se tourna vers Vétéran. L’homme était devenu son second, son bras droit. Erdrak lui donnait toute sa confiance, et savait que l’homme défendrait les intérêts de la Meute avant les siens. Asmo n’était pas de cet avis et se méfiait de l’épéiste. Cette divergence empêchait le Loup Solitaire de lui faire entièrement confiance. Toutefois Vétéran avait un certain pouvoir dans la Meute et une certaine liberté en tant qu’officier.
Erdrak était satisfait de l’avoir à ses côtés, surtout dans une mission aussi incertaine. Il était temps de monter le camp et de disperser les hommes. Dans un moment ils allaient former des équipes. Ignorant la dangerosité de la zone, les équipes allaient être doublées, formées de six hommes, plutôt que des trios habituels. L’exploration prendrait plus de temps, mais en cas de problèmes, les hommes seront plus à même de se défendre et les renforts arriveront plus vite. Dix hommes resteraient au campement, sur le qui-vive, ce qui ne laissait que trois équipes complètes de Loups. Et Le Loup Solitaire et Vétéran. Mais l’homme ne comptait pas attendre le retour des éclaireurs en se roulant les pouces. Ce n’était pas raisonnable, mais il était Capitaine, et il était libre de faire comme bon lui semble.
Vétéran, maintenant que les hommes sont en route, m’accompagnerais-tu alentours ? J’aimerai voir ce qu’il y a dans les parages. Qu’en dis-tu ? Akehla était toujours scellé et le Loup Solitaire se remit donc en selle et s’éloigna du campement dans une direction pas prise par une de ses équipes. Ils allaèrent ainsi pendant plusieurs minutes.
Une semaine. Cela faisait une semaine que la Meute avait débarquer sur Nyn-Tiamat. Une semaine que le Loup Solitaire se demandait pourquoi il était venu ici. Pourquoi avait-il accepté cette mission, sur une île lointaine, froide, sauvage et inintéressante. Pour l’argent et le prestige. Certes, cela avait joué. La somme mis en jeu pour cette exploration était assez importante. L’intérêt de cet investissement n’était pour l’instant pas apparu au Loup Solitaire, ni à ses Loups. La terre était difficilement cultivable, les ressources minières n’était pas repérable et si la fourrure était la cible, le trajet était assez dangereux pour aller la chasser. Non, ce n’était pas évident. Mais bon, le client avait payé et c’était mieux que de rester à la guilde à ne rien faire. Et puis le froid endurcira les hommes en prévision des explorations hivernales. Car si certains rêvaient d’une trêve hivernale, ils allaient être déçus. Le Loup Solitaire comptait maintenir un niveau d’entrainement et de manœuvre exemplaire quel que soit le temps.
Ainsi les voici dans les steppes, subissant un climat, rude la nuit, clément le jour. Les Loups s’y étaient préparés et n’en souffraient pas trop, mais ce n’était jamais très agréable. Vivement le retour au foyer. La troupe avançait donc vers une nouvelle zone à explorer. La compagnie allait se diviser pour explorer les environs de façon efficace. Le Loup Solitaire se tourna vers Vétéran. L’homme était devenu son second, son bras droit. Erdrak lui donnait toute sa confiance, et savait que l’homme défendrait les intérêts de la Meute avant les siens. Asmo n’était pas de cet avis et se méfiait de l’épéiste. Cette divergence empêchait le Loup Solitaire de lui faire entièrement confiance. Toutefois Vétéran avait un certain pouvoir dans la Meute et une certaine liberté en tant qu’officier.
Erdrak était satisfait de l’avoir à ses côtés, surtout dans une mission aussi incertaine. Il était temps de monter le camp et de disperser les hommes. Dans un moment ils allaient former des équipes. Ignorant la dangerosité de la zone, les équipes allaient être doublées, formées de six hommes, plutôt que des trios habituels. L’exploration prendrait plus de temps, mais en cas de problèmes, les hommes seront plus à même de se défendre et les renforts arriveront plus vite. Dix hommes resteraient au campement, sur le qui-vive, ce qui ne laissait que trois équipes complètes de Loups. Et Le Loup Solitaire et Vétéran. Mais l’homme ne comptait pas attendre le retour des éclaireurs en se roulant les pouces. Ce n’était pas raisonnable, mais il était Capitaine, et il était libre de faire comme bon lui semble.
Vétéran, maintenant que les hommes sont en route, m’accompagnerais-tu alentours ? J’aimerai voir ce qu’il y a dans les parages. Qu’en dis-tu ? Akehla était toujours scellé et le Loup Solitaire se remit donc en selle et s’éloigna du campement dans une direction pas prise par une de ses équipes. Ils allaèrent ainsi pendant plusieurs minutes.