Les remarques de l'humain n'étaient pas dénuées de sens, loin de là. Firindal eut donc un sourire légèrement amusé, dévoilant un peu ses crocs.
"En effet, la rancoeur peut être tenace chez les peuples mortels. Cependant, libérer tous le monde est pratiquement impossible tant que l'on ne change pas la mentalité de ceux qui en font des esclaves. Ils continueront et le cercle de la haine et de la rancoeur perdurera. Je pense que c'est là qu'il nous faut d'abord agir. Il faut que les gens acceptent de traiter les autres races comme leurs égaux. Ce qui est loin d'être le cas actuellement. Les disparités et les inégalités entre les elfes, les vampires, les humains et les Graärh vous empêchent de vous considérer comme des égaux ou sur un pied d'égalité."
Etant un convaincu de la nécessité de la liberté de chacun, l'Eclat-de-Jade désapprouvait profondément ceux qui volaient la liberté des autres. Selon lui, la Vie est faite pour être vécue, pas pour être subie.
"Pour ce qui est des gens que j'ai cité, ils ont peut être un certains pouvoir, mais il faut surtout voir en eux de simples représentants de leur peuple. Ils ne sont, au final, guère différent des autres personnes que l'on peut croiser par ci par là. Si tu dois un jour les croiser, traites les comme tu aimerais qu'ils te traitent. Sans fioriture et en toute franchise. Ce sera la meilleure façon de faire. Mais je pense que tu t'en doute déjà.
En ce qui concerne le bien et le mal, je suis totalement d'accord avec cette vision. C'est pour cela que je suis plus à suivre le principe du bon roi, comme me disait un sage que j'ai croisé une fois. Faire ce qui est nécessaire pour les peuples, même si cela ne leur plaît pas. Si tu es capable de prouver que c'est dans ce sens que tu agis, alors, je ne m'opposerais pas à ce que tu feras."
Une griffe crissa sur le pavé tandis qu'il se redressait.
"Il est plaisant de voir que certains humains partagent mon point de vue, même avec des variantes de pensée. Je pense que je vais attendre avec une certaine impatience d'entendre parler de tes faits et de ce qui en résultera. En attendant, il est peut être temps pour nous de nous souhaiter une bonne continuation. Et surtout, si tu as besoin de moi, n'hésites pas à me contacter avec cette écaille. Je n'en donnerais pas à tous le monde et je choisirais avec une grande précaution ceux qui pourront compter sur moi. Mais tu fais partie de ce petit groupe."
Le dragon fit un clin d'oeil à l'humain avant de se remettre en route vers la rue passante.
"Je te dis à très bientôt."
"En effet, la rancoeur peut être tenace chez les peuples mortels. Cependant, libérer tous le monde est pratiquement impossible tant que l'on ne change pas la mentalité de ceux qui en font des esclaves. Ils continueront et le cercle de la haine et de la rancoeur perdurera. Je pense que c'est là qu'il nous faut d'abord agir. Il faut que les gens acceptent de traiter les autres races comme leurs égaux. Ce qui est loin d'être le cas actuellement. Les disparités et les inégalités entre les elfes, les vampires, les humains et les Graärh vous empêchent de vous considérer comme des égaux ou sur un pied d'égalité."
Etant un convaincu de la nécessité de la liberté de chacun, l'Eclat-de-Jade désapprouvait profondément ceux qui volaient la liberté des autres. Selon lui, la Vie est faite pour être vécue, pas pour être subie.
"Pour ce qui est des gens que j'ai cité, ils ont peut être un certains pouvoir, mais il faut surtout voir en eux de simples représentants de leur peuple. Ils ne sont, au final, guère différent des autres personnes que l'on peut croiser par ci par là. Si tu dois un jour les croiser, traites les comme tu aimerais qu'ils te traitent. Sans fioriture et en toute franchise. Ce sera la meilleure façon de faire. Mais je pense que tu t'en doute déjà.
En ce qui concerne le bien et le mal, je suis totalement d'accord avec cette vision. C'est pour cela que je suis plus à suivre le principe du bon roi, comme me disait un sage que j'ai croisé une fois. Faire ce qui est nécessaire pour les peuples, même si cela ne leur plaît pas. Si tu es capable de prouver que c'est dans ce sens que tu agis, alors, je ne m'opposerais pas à ce que tu feras."
Une griffe crissa sur le pavé tandis qu'il se redressait.
"Il est plaisant de voir que certains humains partagent mon point de vue, même avec des variantes de pensée. Je pense que je vais attendre avec une certaine impatience d'entendre parler de tes faits et de ce qui en résultera. En attendant, il est peut être temps pour nous de nous souhaiter une bonne continuation. Et surtout, si tu as besoin de moi, n'hésites pas à me contacter avec cette écaille. Je n'en donnerais pas à tous le monde et je choisirais avec une grande précaution ceux qui pourront compter sur moi. Mais tu fais partie de ce petit groupe."
Le dragon fit un clin d'oeil à l'humain avant de se remettre en route vers la rue passante.
"Je te dis à très bientôt."