Yvraine Reqhiel'oreal
Identité de votre personnage
Race : ElfeNom : Reqhiel'oreal
Prénom : Yvraine
Surnom : Il y a de nombreux, mais les citer tous serait une perte de temps.
Date de naissance : Automne 1004
Age réel : 758 ans
Age en apparence : Entre trente et trente cinq ans
Lieu de naissance : Domaine Reqhiel'oreal, ancien Royaume Elfique
Lieu de vie : Keet-Tiamat
Rang social : Noble
Poste/emploi : Conseillère
Caractéristiques (Cliquez ici pour les compétences)
Force physique : Médiocre
Agilité : Très faible
Furtivité : Médiocre
Réflexes : Moyen
Endurance : Médiocre
Résistance : Moyen
Force mentale : Bon
Perception : Bon
Intelligence : Très bon
Beauté/charisme : Très bon
Navigation : Médiocre
Magie : Maître
Epée : Médiocre
Dague et poignards : Très faible
Armes d'hast : Médiocre
Armes contondantes : Médiocre
Hache : Médiocre
Fouet : Médiocre
Art du lancer : Médiocre
Bouclier : Médiocre
Armes de trait : Moyen
Mains nues/pugilat : Médiocre
Equitation : Très faible
Dressage : Médiocre
Equipement
Arme principale : Magie
Autres objets : Un Arc avec un carquois standard, ornementé richement et fabriquer selon les standards elfiques, mais ne disposant d'aucune caractéristiques particulières.
Yvraine possède également une garde robe des plus impressionnantes, accumulé au fil des siècles afin de pouvoir assurer ses rôles de représentations. Ses tenues sont donc très diversifiée et toujours très richement ornée, soulignant la perfection de la silhouette de la Matriarche des Reqhiel'oreal. La noble accompagne toujours cette tenue d'une pièce choisit dans sa collection de bijoux portant des symboles elfiques, généralement ceux de sa famille, soulignant ainsi son rang.
Mais l'objet le plus remarquable de sa collection reste sans doute l’Étendard de la Vengeance. Cette bannière fut tissée et enchantée il y a maintenant plusieurs siècles de cela comme symbole de la sombre armée de sa grand-mère, Alianthra Reqhiel'oreal. Pour cette dernière, le conflit qui opposait alors les Elfes aux Vampires devait devenir absolu, elle plaida toute son existence pour une escalade et désirait venger chaque goutte de sang verser par les créatures de la nuit. Si la plupart des bannières elfiques affichent des couleurs claires, tirant sur des nuances de blanc, vert ou bleue, ce n'est pas le cas de l'étendard de la vengeance, dont la teinte rouge sombre contraste fortement avec ses équivalents. Elle présente un motif de gantelet de combat doté de griffe tenant entre ses doigts un cœur transpercer de deux flèches croisés. Brandit lors de l'ultime bataille contre les Chimères, l’Étendard de la Vengeance dispose d'un ancien glyphe forgé par Alianthra en personne. Le Glyphe de la Vengeance projette a son activation l'image d'un être cher aux adversaires qui la contemple, trompant leurs vigilances avant qu'ils ne réalisent avec terreurs que ses images n'ont fait que masquer ceux venu les châtier pour leurs crimes.
Description physique
Par bien des aspects, Yvraine est une personnalité remarquable chez les Elfes, dans le sens ou elle est très différente de la plupart de ses compatriotes. Mais si vous êtes du genre a juger par la simple apparence extérieure, vous répondrez sans doute que cela n'a strictement rien de surprenant. Si peu d'humain ont l'occasion de pouvoir contempler un Elfe dans leurs vies, quelqu'un d'aussi singulier qu'Yvraine Reqhiel'oreal ne croise que très rarement la vie d'une autre espèce. Si sa taille en elle-même n'est pas des plus exceptionnelles pour un membre de son espèce, atteignant tout de même le mètre quatre-vingt-cinq, il y a quelque chose qui frappe dès le premier regard, c'est sa couleur de peau. Si beaucoup d'Elfe affiche une teinte pâle, proche de celle des humains sans pour autant être aussi proche d'un blanc cadavérique comme le sont les Vampires, la peau d'Yvraine est elle plus sombre, d'une teinte tirant vers le mauve la rendant pratiquement unique. Difficile de dire s'il s'agit d'un héritage familial ou simplement d'un quelconque caprice de la génétique, mais ce simple aspect rend la conseillère Elfique très remarquable. Toutefois, il ne fait aucun doute que certains esprits ne la remarquerons pas seulement pour cette couleur de peau atypique, mais également pour ses courbes généreuses qui en font une femme des plus désirables, malgré un âge vénérable.
Mais avant d'en venir là, attardons nous d'abord sur son visage : les traits d'Yvraine ont su conserver une certaine jeunesse, même si l'expression de son visage est rarement des plus avenantes en dehors d'un cercle de proche en qui elle a toute confiance, et bien naturellement son mari. Mais deux particularités se détache réellement de son visage ovale. La première sont des tatouages former autour de ses deux yeux, formant comme des sortes de larmes, mais remontant également quelque peu sur le front. Leurs significations est aussi symbolique que décorative : avec une vie aussi longue et face a tant d'épreuve, la matriarche a fait face a plusieurs drames qui ont affecté ses sentiments, mais elle ne souhaitait pas pour autant prendre le risque d'altérer sa beauté par quelque chose d'inesthétique. La seconde est bien plus particulière, puisqu'il s'agit de sa couleur de cheveux, partager par ses sourcils entretenu avec grâce, qui affiche un vert aussi profond que celui des feuilles de l'ancienne forêt elfique. Tout ceux ayant fréquenter Yvraine depuis sa naissance ce souviennent de sa chevelure comme arborant cette couleur et comme la Dame se laisse pousser les cheveux tout en les nouant en une magnifique, quoi qu'assez relâchée, queue de cheval, il est difficile de ne pas y prêter attention, d'autant plus lorsqu'on l'observe de dos puisque ses cheveux descendent jusqu'au creux de ses reins.
Le reste de son visage l'altère rien a une beauté semblant presque surnaturel : si ses lèvres ne sont pas des plus pulpeuses, elles ne sont pas non plus invisible et offre une cohérence a ses traits, tandis que son nez fin et gracieux lui permet de n'afficher aucun point trop proéminent pour être ignoré, un défaut souvent bien trop présent sur les visages qui peuvent enlaidir a jamais une personne. Le terme surnaturel n'est d'ailleurs pas totalement usurpée, puisque l'Elfe s'étant investie dans les recherches sur la cosmétique et les produits de beauté, elle parvint a dissimuler les imperfections que son visage pourrait afficher derrière un maquillage des plus soignés. Ses longues oreilles ne sont d'ailleurs pas restée sans attentions, puisqu'elles sont plusieurs fois percée et qu'Yvraine n'hésite jamais a porter plusieurs boucles d'oreilles en même temps que des diadèmes sertis de nombreux bijoux, ce qui n'aide en rien a la discrétion, mais lui permet de produire un certain cliquetis lorsqu'elle se déplace qui est parfaitement a son goût. En tant que dame, elle prend soin de ne rien laisser au hasard et d'apparaître toujours sous ses meilleurs atours en toute circonstance, même si certains membres de son entourage proche trouve cette habitude dépassée ou simplement trop maniaque.
De ce fait, la féminité de la dame est incontestable et personne ne viendrait de toute façon la remettre en question en la contemplant, tant le premier coup d’œil permet de faire des conclusions sur ses habitudes : ses épaules rondes et ses bras fins sont ceux d'une femme ne pratiquant pas l'art de la guerre, d'ailleurs, elle n'a jamais d'épée sur elle et si elle sait manier l'arc, elle reste une grande novice dans cette discipline. En revanche, elle dispose d'atout qui ferait tourner les têtes a la plupart des hommes, en tout cas ceux n'étant pas simplement attiré par les individus du même sexe qu'eux : sa poitrine est opulente, ce qui la pousse a choisir souvent des robes moulantes, des corsets ou des tenues disposant de décolleté plongeant, son ventre plat prouve qu'elle maintient une alimentation saine et équilibrée, et n'affiche aucun dessins de muscles pouvant trahir une pratique sportive, tandis que son fessier rebondi et ferme semble être l'écho de sa poitrine dans son dos, lui offrant une chute de rein des plus vertigineuse et admirable. De longue jambes fuselée et souvent mise en valeur, que cela soit par le port de robe fendue, ou, lorsque les circonstances l'exige, par le choix de shorts plutôt que de pan talons, viennent compléter la description d'un corps semblant être une véritable ode a la beauté féminine dans son incarnation la plus éclatante. Certes, elle ne plaira sans doute pas a tout le monde, mais il est tout de même très difficile de nier l'évidence de ses charmes.
Comme toute femme de la haute société, Yvraine possède une très large garde robe étendue au fil de ses siècles de vies, et si certaines tenues ont été perdue a jamais, d'autre furent entretenue. Elle peut ainsi choisir plusieurs tenues pour chaque occasion de la vie, qu'il s'agisse des séances du conseil elfique, des réunions de la famille Reqhiel'oreal ou encore des moments qu'elle passe chez elle seule ou en compagnie de son mari. Elle dispose même de plusieurs tenues de voyage, car étant une magicienne toujours curieuse d'expérimenter l'inconnue, elle n'a jamais hésiter a entreprendre de long périple pour tenter de percer les secrets de la magie. Toutefois, les robes dominent cette garde robe, déclinant le plus souvent des teintes de blancs ou de bleu, très féminine, la dame appréciant les décolletés, les dos nues ou les robes fendue mettant en valeur certaines parties de son corps. Si l'on y trouve quelques pièces d'armure, Yvraine ne rechignant pas a mettre ses talents au service du Royaume lorsque cela devient nécessaire, elles sont bien plus décorative, et destinée a offrir a sa silhouette une allure plus guerrière, que destinée a sa protection réelle, incarnant parfaitement l'idée de la femme d’apparat qu'elle s'efforce d'être, car la noblesse doit être parfaite, même a la guerre.
Description mentale
Comme toute les dames de la haute société, Yvraine est doté d'un comportement qui peut susciter autant l'admiration que le dégoût. Gardant toujours la tête haute et une posture droite, elle avance, impériale, sans se soucier, du moins en apparence, des regards que l'on pourrait poser sur elle. Cela fait partie a ses yeux de ses devoirs, la posture qu'impose le statut de noble et le fait d'être une Conseillère et donc d'avoir un rôle dans la société. Pour certain, c'est une marque de grandeur et de dévotion, mais pour d'autre, ceci n'est que dédain et mépris. En réalité, l'on pourrait dire que c'est un mélange des deux, car si la conception de la Matriarche des Reqhiel'oreal de son rôle est effectivement emplie d'une forme de dévotion et de devoir, il reste qu'elle transpire également d'une attitude hautaine et méprisante a l'égard des autres espèces. Dans son esprit, cela n'est pas stigmatisant, ni même le reflet d'une arrogance malsaine, mais simplement une simple affirmation brute de la réalité. Toutefois, elle ne traite pas toutes les espèces de la même façon, considérant leurs valeurs selon leurs natures, leurs limites biologiques et magique ainsi que la nature de leurs cultures et de leurs sociétés diverses.
Dame instruite, Yvraine fait partie de ses personnes pesant chaque mot de son vocabulaire et s'exprimant pratiquement systématiquement de façon soutenue. De ce fait, ses déclarations peuvent, selon les circonstances ou simplement le point de vue, paraître aussi grandiose et admirable que bien trop alambiqué et de ce fait contre-productive. Mais il est impossible d'affirmer que les paroles de la conseillère manque de puissance ou de conviction, car elles sont assénée toujours sur un ton approprié : lorsqu'elle parle politique, sa voix est bien souvent ferme, qu'elle tienne un discours promettant une certaine ouverture au dialogue ou au contraire une action stricte n'appelant a aucune discussion. Dans la sphère privée au contraire, la dame peut se montrer bienveillante, amicale avec les personnes ayant gagner son respect et son amitié, voire fleur bleue en compagnie de son mari et amour éternel, a tel point que certaines personnes témoins de son comportement en sa présence sont parfois incapable de croire qu'il s'agit de la même personne, capable d'être si dure et paraître si insensible lorsqu'elle s'exprime au Conseil. La vérité, c'est que derrière un comportement si singulier se dissimule tout simplement un être vivant, qui, comme tout le monde, est pétri de contradiction, mais vit également en affirmant de très forte conviction.
La matriarche est très attachée a la défense des valeurs familiales ainsi qu'au cercle de sa maison, d'autant plus après les obstacles qu'elle dû surmonter, certains membres de sa famille, de toutes les générations, ne lui ayant guère pardonner d'avoir choisit son propre frère jumeaux comme compagnon pour la vie. De manière ironique, Yvraine est presque autant victime d'accusation portée sur son conservatisme supposée que sur sa façon de briser certains codes ou de se montrer avant-gardiste. Cette différence de point de vue dépend en grande partie de l'activité de la personne la jugeant, et donc des valeurs de cette dernière. Bien que la consanguinité ne soit pas aussi mal vue chez les Elfes que chez les humains, elle reste marginalisée par une partie de sa famille pour avoir fait le choix d'épouser son frère jumeau d'un mariage d'amour. Pour les plus conservateurs, qui connaissent l'histoire de la famille, cela reste un immense gâchis, car la beauté surnaturelle d'Yvraine représentait une valeur non négligeable dans la négociation d'un mariage éventuel avec une autre lignée pour gagner de l'influence a la cours. De même, les conservateurs lui reprochent souvent ses positions sur la magie, que la Dame considère comme un art en perpétuel mouvement. Elle accumula les connaissances durant toute son existence, tentant de se perfectionner du mieux qu'elle le pouvait, et poursuit cette tâche inlassable, ne se contentant jamais des limites que proclame certains érudit avec véhémence, et a transmis cette soif de connaissance et de découverte a sa petite fille Lliadrin.
Parallèlement a cela, les plus réformateurs lui reproche généralement une approche généralement traditionnelle de la vie en société, respectant des codes de savoir vivre considérer par certain comme dépassé, ainsi que sa vision des autres espèces. Pour Yvraine, il ne fait aucun doute que les Elfes représentent le seul peuple réellement stable de ce monde et qu'ils devraient donc prendre en main la destiné de celui-ci. Les humains sont certes intéressant, mais ils sont si innombrable que la plupart en deviennent insignifiant et sont toujours très prompts a se tourner les uns contre les autres. A ses yeux, ils sont doté d'une arrogance sans borne pour une espèce ou l'individu dispose d'une espérance de vie représentant simplement un fragment de celle elfique et ne devrait donc pas avoir voix au chapitre par manque évident de sagesse. Les Graärh trouvent en réalité davantage grâce a ses yeux, espèce vivant dans son environnement naturel, certes peu avancée sur la voix culturelle et technologique, mais n'ayant pas oubliée ses origines et vivant en osmose avec son environnement. L'esclavage qu'ils ont subit les a rendu également sympathique aux yeux de la Matriarche, sans doute a cause d'une blessure familiale. Par contre, les Vampires ne sont pour elle que l'incarnation la plus pure du mal avec laquelle l'on ne devrait même pas discuter : c'est bien simple, dans son esprit, oser parler de « culture » ou de « civilisation » Vampire est une insulte a ses deux termes si essentiels dans sa doctrine.
De son point de vue, c'est autant leurs présences que l'inconstance de l'humanité qui a causer la chute de la coalition face aux Chimères. Si les seconds sont pardonnable, parce qu'ils ne sont rien de plus que des enfants un peu inconscient, mais sans mauvais fond, les seconds sont des traîtres retords qu'il convient simplement de traiter de la seule façon qu'ils comprennent : le langage de la force. Il convient toutefois de signaler que rare sont les personnes a connaître toutes les facettes de la personnalité d'Yvraine, y compris parmi ses collègues conseiller : en effet, la Dame est habile et sait se servir du langage pour dissimuler ses intentions, donner l'illusion de promettre sans réellement le faire ainsi que faire des phrases n'étant pas réellement contraignante. Il s'agit, ironiquement, souvent d'une qualité de diplomate recherchant des situations de compromis, là ou la Matriarche est en réalité une femme absolue. Toutefois, cette dernière, en habile femme politique, sais dissimuler ses véritables intentions, ainsi que les convictions les plus profondes qui ne sont pas partager par les personnes de son temps. Ce qui signifie qu'elle reste très habile dans l'art du mensonge, l'une des choses qu'elle reproche le plus aux Vampires. Mais tout reste avant tout une question de point de vue.
Reste qu'il existe des personnes avec qui la Dame est vraie et ne se dissimule pas. Son mari Dior reste d'ailleurs son plus grand confident et le centre de son univers. Elle n'a jamais pris de décision risquant de le mettre dans l'embarras et fait même tout ce qu'elle peut pour le protéger, ce qui est difficile pour une magicienne et femme politique alors que son époux est un militaire de carrière. Elle ne se sent réellement pleine et entière qu'en sa présence, qui agit comme un catalyseur l'aidant a être plus calme et réfléchit encore qu'à l'ordinaire et a moins faire étalage de sa fierté. Elle est en général animée d'une vraie tendresse pour sa famille, particulièrement ses petits enfants, tentant de rattraper ses erreurs de mères en étant une bonne grand-mère. Certaines personnes partageant ses vues ou lui semblait sympathique par certains aspects connaissent également des aspects plus méconnus d'Yvraine, comme une véritable capacité d'écoute et d'empathie, ainsi qu'une assistance toujours offerte a ceux qui, a ses yeux, le mérite. Mais l'amour qu'elle porte a son mari sera toujours la chose la plus importante de sa vie, la valeur qu'elle porte le plus fièrement et chèrement a son cœur, a tel point qu'il lui est impossible de ne pas être affectée par son absence et au contraire des plus rayonnante lorsqu'elle se trouve a sa proximité.
Et ce lien si puissant, que certain ont décrié, ou critique encore aujourd'hui, a déjà fait preuve de nombreuses fois de sa solidité, et ne disparaîtra jamais. Yvraine fait partie de ses rares personnes pour qui l'amour a toujours été sincère, honnête, passionné et éternel. Même dans son dernier souffle, sa dernière pensée ira sans doute a Dior, au bonheur qu'elle a eue de partager sa vie durant toute ses années, d'être la mère de ses enfants. Cela, personne ne pourra jamais lui retirer, et c'est l'énergie offerte par cet amour indestructible qui la pousse chaque matin a poursuivre inlassablement ses combats, dans l'espoir d'offrir a sa famille et son peuple un avenir meilleur, loin des sombres agitations de sa propre vie.
Alignement : Neutre strict : Yvraine n'a que deux objectifs dans sa vie : la préservation de son peuple ainsi que celui de sa lignée et elle est prête a tout pour atteindre ses deux objectifs. Cela signifie qu'elle n'est dans le fond ni bonne, ni mauvaise : seules les circonstances peuvent l'amener a briller tel un phare dans les ténèbres où au contraire justifier toutes les pires exaction au nom de l'objectif supérieur.
Liens
Yvraine était destinée a être liée a Dior dès sa naissance, puisqu'elle est avant toute chose sa sœur jumelle, ce qui en fait déjà deux êtres remarquable au sein d'une race ou le rythme des naissances est assez faible. Mais celui-ci est également devenu son mari lorsque l'amour et la passion qu'ils nourrissaient l'un pour l'autre devinrent si fort qu'ils leurs fut impossible de le nier. Bien entendu, cela ne fut jamais du goût de tous, nombreux sont ceux qui les observent avec un mélange étrange de curiosité et de dégoût. Mais jamais cela n'a atteint la relation qu'ils entretiennent, cet amour si fort et indestructible, vrai, qui a su traverser les siècles au-delà de toutes les difficultés. Yvraine a connu l'inquiétude des femmes lorsqu'elles observent leurs maris partir a la guerre, Dior étant un fier défenseur de la nation Elfique ayant participer a de nombreux conflits. Elle l'a accompagnée en certaines occasions, parfois parce que la simple d'idée d'être séparée de lui était trop insupportable, mais aussi lorsque la situation du royaume était si critique que tous les talents venaient a être requis, y compris ceux des magiciens.
Dior est peut-être la seule personne de cette terre avec qui Yvraine est totalement vraie : elle sait qu'elle ne peut rien lui dissimuler, mais la puissance de son amour pour lui en fait quelqu'un en qui elle a une confiance aveugle. Leurs couple, au-delà de son caractère atypique, est pourtant des plus équilibrés qui soit, chacun ayant conscience des points forts et faibles de l'autre, sait lorsqu'il doit prendre les choses en mains ou au contraire se mettre en retrait au profit de l'autre. L'intelligence politique d'Yvraine en a fait toutefois la maîtresse de la maison Requhiel'oreal, mais elle laisse a son mari toutes les décisions concernant les questions le sécurité, le sachant naturellement plus qualifié dans cette tâche.
Statut : Vivant [Futur PJ]
Bien qu'elles ne portent pas le même nom de famille, Lliadrin Kel'Lithienne est la petite fille d'Yvraine Reqhiel'oreal. Et contrairement aux enfants de la matriarches, qui n'affichent pas tous des traits de filiation évident avec cette dernière, il existe au moins deux particularité d'Yvraine dont Lliadrin a héritée : le premier est un physique des plus avantageux, même si la blonde n'a pas héritée du teint de peau si particulier de sa grand-mère et le second est une curiosité infinie pour la magie, poussant les deux femmes a ne pas hésiter a mener des expérimentations dans le but de mieux comprendre et maîtriser cet art. N'ayant pas parvenu a être la mère idéale qu'elle aurait voulu être, et ayant perdu de vue certains de ses enfants, incluant la mère de Lliadrin, Yvraine tente d'être une meilleure grand-mère : elle s'est montrée patiente, voire protectrice avec Lliandrin, lui enseignant sans retenues ce qu'elle connaît de la magie et la laissant accéder aux tomes de magies qu'elle a entreposée durant sa longue vie, ceux qu'elle a désormais put sauver dans la fuite éperdue avec la victoire des Chimères.
Les deux femmes ne partagent toutefois pas que des points communs : très jeune selon les standards elfiques, Lliadrin est une aventurière qui n'a aucun a priori sur les autres espèces, malgré un passé déjà fort chargé de souffrance. Cette même souffrance n'a fait que conforter Yvraine dans l'idée que les humains sont inconstant et nécessite d'être guidé pour être efficace tout en étant tenu a une distance respectueuse, tandis que sa haine des Vampires n'a fait que grandir. La Grand Mère comprend mal le tempérament de sa petite fille, mais avec tant de siècle d'écart, le conflit générationnel est sans doute inévitable : elles ne sont après tout pas issue de la même éducation, ni des mêmes époques.
Statut : Vivante [Future PJ]
Thirianna est peut-être le plus grand échec d'Yvraine : aînée de ses enfants, elle était appelée a prendre la succession de la maison des Reqhiel'oreal après sa mort. Toutefois, rien ne se déroula comme prévu. Encore jeune lors de sa naissance, Yvraine commis des erreurs et essaya de se montrer assez directive avec sa fille. Les aspirations des deux femmes divergèrent rapidement : née dans un âge sans dragon, ou la magie était très faible, Thirianna comprenais très mal l'obsession de sa mère pour cette dernière et ne souhaitait qu'une seule chose : parcourir le monde. Elle ne ressentait pas d'attache particulière pour le royaume elfique, percevait son titre comme une prison, ce qui engendra de nombreux conflits qui paraissent encore aujourd'hui stérile d'un œil extérieur, d'autant plus lorsque l'on connaît l'enfance d'Yvraine. Le conflit dégénéra tant que Thirianna fini par épouser un explorateur et renier son nom de famille, ce qui lui valut également l'inimité de son père qui n'avait aucune affection pour son époux, et fugua.
Yvraine eue l'occasion de découvrir le niveau d'irresponsabilité de sa fille, a moins qu'il ne s'agisse simplement d'un éclair de lucidité, lorsqu'elle découvrit le couffin portant sa petite fille au pied de son domaine. Thirianna ne souhaitait sans doute pas s'embarrasser d'un enfant durant ses voyages, et Lliadrin fut donc élevée par ses grands parents. Toutefois, la famille se retrouva lors des événements récents, dans une ambiance plus que glaciale. Thirianna trouva la mort dans la bataille de l'Aube Rouge, l'une des nombreuses victimes de la trahison des Vampires. Malgré des siècles de conflits, Yvraine a toujours vu dans les Vampires un ennemi bien plus menaçant et dangereux que les caprices de sa fille aînée, et sa perte dans de pareille circonstance n'ont fait que la convaincre un peu plus qu'il est impossible de leurs faire confiance et qu'il faut trouver une solution définitive au problème qu'ils représentent.
Statut : Décédée
Second fils d'Yvraine et de Dior, Alastar Reqhiel'oreal fut quelqu'un de bien moins orgueilleux que nombre de personnalité familiale. N'étant pas destiné a l'origine a prendre la suite de la famille, l'elfe, aujourd'hui âgé d'environs 450 ans, a suivit un parcours sans grande vague. Discret, respectueux, Alastar devint toutefois rapidement attiré par le métier des armes et se rapprocha de ce fait bien davantage de son père, qui fut son modèle durant son enfance et son adolescence. Il entretint toutefois des rapports cordiaux avec sa mère, même s'ils furent plus éloignés, ne se destinant pas a une carrière proche des compétences d'Yvraine ainsi que de son cercle professionnel.
Alastar a combattu aux côtés des troupes elfiques durant tous les conflits ayant secoué les peuples libres, connu les trahisons des uns, les revers de fortunes des autres. Sa survie tient tout autant de la chance que de ses compétences réelle, car aucun soldat ne peut prétendre avoir survécu au front seulement grâce a ses seuls talents. Il s'est toutefois taillé une solide réputation d'honneur et prend bien soin de ne jamais exprimer une opinion politique, refusant jusqu'ici de prendre parti en faveur de sa mère ou de ses opposants. Pour beaucoup, il n'exprime son ressenti que lorsqu'il dégaine son épée.
Statut : Vivant [Futur PV]
Cadette de la famille, âgée de seulement trois cent année, Senna a connu un parcours plus calme que celui de sa sœur aînée Thirianna. Ayant retenue les leçons de ses erreurs, Yvraine éleva sa famille en se montrant bien moins contraignante, dans l'espoir de ne pas voir un autre enfant la rejeter. Mais la cadette avait également ses aspirations propres, qui la poussa sur une voie que la famille Reqhiel'oreal n'avait jamais emprunter jusqu'ici : celle de la justice. Même dans une société comme celle des elfes, il arrivait parfois que l'inconcevable se produisent. Même plus jeune, elle fut fascinée par les affaires de crime et d'enquête, et se mis rapidement a montrer une curiosité sans borne pour des personnalités complexes, un talent qui aurait put lui être utile en politique, mais qui la mena sur une autre voie.
Aujourd'hui Juge, Senna traque le crime en étant assisté par les gardes de la cité, mais n'hésite pas a payer de sa personne, disposant d'une formation polyvalente, en partie magique grâce a sa mère, en partie physique grâce a son père. Et le moins que l'on puisse dire est qu'elle ne manque pas de travail depuis la grande exode : les mouvements de séditions chez les humains ayant notamment permis a la piraterie de s'installer, Senna doit faire face de plus en plus a des enquêtes sur des navires transitant entre les différentes îles de l'archipel qui ne reviennent pas, ce qui l'amène a tenter de développer de nouveaux talents dans la navigation.
Statut : Vivante [Future PV]
Orfraie Ataliel fut jadis membre du Conseil Elfique, mais Yvraine fit sa connaissance avant même qu'elles fussent toutes les deux membres de cette honorable assemblée. En effet, c'est la matriarche des Reqhiel'oreal qui enseigna les bases de l'Archerie a Orfraie, qui l'a depuis largement dépassée, Yvraine préférant développer ses talents dans la magie et la politique. Durant de nombreux siècles, leurs relations fut cordiales, entouré d'un certain respect mutuels malgré plusieurs désaccord sur les angles politiques a tenir pour la conduite de la nation elfique. Toutefois, les choses changèrent drastiquement, tout en écartelant Yvraine entre sentiments et conviction.
Orfraie a sauver la vie de sa petite fille qui, prise dans la tourmente d'une guerre qui n'était pas la sienne, fut la prisonnière des Vampire et subit les pires sévices. Mais elle était devenue elle-même Vampire, cet anathème qu'Yvraine hais au plus profond de son cœur. Poser son regard sur Orfraie lui procure donc deux sentiments : la tristesse face a ce qu'elle considère comme une déchéance, ainsi qu'une certaine méfiance : aucune preuve a ses yeux ne seront jamais suffisante pour qu'elle puisse lui faire de nouveau confiance un jour, le doute subsistera toujours, car a ses yeux, les Vampires sont par nature brutaux, sanguinaire, et prompt a la trahison.
Statut : Vivante [PJ]
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