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descriptionSilah Vaillant, esclave. EmptySilah Vaillant, esclave.

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Silah Vaillant



Identité de votre personnage

Race :  Graärh
Nom : Vaillant
Prénom : Silah
Surnom : Chasse-âme chez les siens. Ombre pourpre ailleurs.
Date de naissance : Janvier 1712
Age réel : 50 ans
Age en apparence : 50/55 ans chez les siens.
Lieu de naissance : Nyn-Tiamat, sur le territoire de la légion  Vat’Em’Medonis
Lieu de vie : Le Vaillant, navire pirate.
Rang social : petit peuple
Poste/emploi : esclave

Caractéristiques (Cliquez ici pour les compétences)



Force physique : Moyen
Agilité : bon
Furtivité : moyen
Réflexes : très bon
Endurance : bon
Résistance : moyen

Force mentale : très bon
Perception : bon
Intelligence : bon
Beauté/charisme : moyen
Navigation : moyen
Magie : très faible

Epée : bon
Dague et poignards : moyen
Armes d'hast : médiocre
Armes contondantes : médiocre
Hache : médiocre
Fouet : très faible
Art du lancer : médiocre
Bouclier  : médiocre
Armes de trait : maître
Mains nues/pugilat : médiocre
Equitation : médiocre
Dressage : médiocre


Equipement


Arme principale : Une arbalète lourde, avec un cric de rechargement et des cordes à changer tout les dix tirs. Perfore facilement un pavois ou une armure de plate.

Autres objets :
-Dague brise lame. Une dague de parade ; lame plus épaisse et plus longue, garde plus résistante et plus grande. La lame est creusée de plusieurs centimètres à intervalle régulier pour piéger une épée entre ses dents et tenter de briser l'arme par effet de levier. Utile contre les rapières, beaucoup moins contre les épées longues.
-Fronde Dangereux et discret.
-Des sapes de rechange. Le sang ça tâche.
-Bouteille de rhum. Trinquons à cette découverte.
-Sabre. Symbole d'autorité.
-Estoc triangulaire. Pour les chevaliers.
-Grigris porte bonheur. Des dents de requins.




Description physique



Je suis un chat, maigre. Le rhum, le manque de nourriture, le travail physique, mettez ça sur le compte de ce que vous voulez, je tire une certaine fierté de ma légèreté qui me permets facilement de jouer les acrobates. Imaginez moi plus comme une machette qu'une hache de guerre. Qu'importe, je sens l'eau de mer le jour, le rhum la nuit, le sang quand je dois vraiment travailler.
J'ai le pelage court, je me taille au ciseau le visage pour garder une certaine décence et de ne pas avoir à me laver des heures durant à cause de la première saleté qui me serait arrivé sur les moustaches. Couleur roux le pelage avec des bandes noires, sinon je me suis décoloré le pourtour des yeux et de la bouche il y a longtemps, à l'occasion de mon passage à la vie humaine ; si eux se maquillent pourquoi n'aurais-je pas le droit de me distinguer de mes pairs. La raison pratique gît aussi dans le fait que les médecins ont moins de problèmes à discerner les blessures quand la fourrure n'est pas dans une couleur qui rend la perception du sang exécrable. Des coquards et des dents cassées j'en aie eu ma dose.
D'ailleurs en parlant de ça ; sur quatre canines, deux sont en or. L'une a été brisée par une dame que je n'aie pas laissé de glace, l'autre dans un abordage. Lobe droit de la mâchoire pour les curieux.
Au niveau de l'hygiène corporelle ; je me lèche, je prends des bains, et je me manucure. Oui oui vous avez bien lu ; je taille mes griffes rétractiles de sorte à avoir une solution de derniers recours qui exploite tout son potentiel.
J'ai un pelage très long au niveau du visage.
Maintenant, tout ceux qui n'ont pas noté la contradiction sont priés de sauter à l'eau. J'ai dis que j'avais un pelage court, il faudrait suivre.
Comme vous ne l'aurez pas remarquer si vous êtes un congénère qui se considère comme inférieur à moi (et arrêtez de ronronner, comment diable puis-je me décrire avec un idiot qui fait du bruit?), j'ai les yeux verts. Ceux qui voulaient une description de l'exilé que je suis devenu, vous pouvez partir, pour ceux qui voulaient le pirate ; dégainez.

Plus marquant ; j'ai un collier de cuir autour du cou, avec une broche symbolisant une chaîne dessus. Pour rappeler ma condition d'esclave.


Description mentale



Je suis royaliste en présence du roi, je suis révolutionnaire chez les criminels.
Pour être un peu plus précis ; je songe régulièrement à l'équilibre du monde, à celui de la magie, puis je me rends compte que tout cela est très subjectif. Soit, je suis banni, en ce cas il faut que je veille à l'équilibre de ma vie, et surtout à regagner mon honneur. Pas auprès de mes compatriotes non, eux n'ont guère cure d'entendre mes histoires et le récit de mes sacrifices puisque je suis devenu un paria ; plutôt auprès de ceux qui m'ont aidé, envers qui j'ai contracté une dette morale et dont il est mon devoir de m'acquitter de ladite dette. Le reste du monde peut brûler, l'équilibre du monde est à mes yeux quelque chose de grand et si je peux influencer dessus, je n'aie pas mon mot à dire sur ce qui est juste pour les autres, voir bien ou mal. Nous sommes tous l'ennemi de quelqu'un, moi le premier.
L'unique chose qui vaille le coup pour lequel on se bat, c'est soi-même, ce qui inclut tout ce qui nous engage, et ce que nous devons faire. Affronter ses démons, faire face à ses responsabilités, honorer ses pairs qui nous ont offert de l'aide durant les heures les plus sombres. Pourquoi? Car l'unique chose que nous laissons dans ce monde, c'est une réputation, et chez les autres espèces un nom, si pour cela il faut que je revienne à Nyn-Tiama pour me frayer un chemin au sabre et à l'arbalète jusqu'au taudis qui m'a vu naître, soit. Je ne me battrai jamais pour la mère de mes enfants puisqu'elle m'a répudié pour avoir fait preuve d'honneur envers mes camarades, mais je ferai face à tout ce que le destin et la mer enverront à la capitaine qui m'a offert l'occasion de m'élever au dessus de la masse. Quitte à mourir, parce que mon nom sera une démonstration de ce que la reconnaissance et le devoir poussent à faire. Je mourrai en portant en moi des valeurs qui me sont chères, et qui font parties des valeurs gardiennes des civilisations qui sont loin de la dégénérescence qui guette la plupart des pirates.

Je hais mes collègues, parce qu'ils incarnent pour la plupart la destruction de principes qui me tiennent à coeur, qui ne comprennent pas pourquoi le monde leur oppose résistance, des simples d'esprits gouvernés par des individus d'esprits mais aveuglés par la cupidité, qui raisonnent en tant que petits nabots individualistes et n'ont nullement connaissance de la portée de leurs actions, de la perversion qu'ils incarnent. Je suis devenu pirate parce que le destin m'a glissé entre les pattes la corde à laquelle je me suis raccroché pour ne pas tomber dans le gouffre, car la seule alternative était une vie d'ermite des neiges qui aurait consacré sa vie à chasser des chimères qui ne m'auraient jamais valu qu'une reconnaissance lointaine, en attente d'une invasion mythique qui aurait pu me permettre de me racheter.

Je déteste mes pairs ; parce que nous sommes incapable de nous unifier sous une même bannière, pour faire front uni face à des étrangers qui se sont accaparés des terres qui étaient les nôtres.
Je regarde avec envie les humains, qui ont réussi ce que je reproche aux miens.
Je regarde avec envie les elfes, qui semblent avoir atteint le sommet de la civilisation et du savoir.
Je regarde le vampire au bout de mon sabre, au moins ça en fait un de moins. Depuis quand est-ce qu'on devrait laisser une race qui n'existe que par le parasitisme vivre? J'exècre les vampires pour deux raisons : d'abord à cause du simple fait qu'ils asservissent mes confrères de race, j'ai beau ne pas porter mon espèce dans mon coeur, je n'éprouve nulle sympathie à l'égard d'esclavagistes. La seconde est tout simplement que cette race est contraire à mes valeurs ; ils n'existent que par le fait de cannibaliser la vie des autres, et l'esclavage est sans doutes la forme la plus pathétique d'exploitation de l'autre. Le fait de devoir quelque chose avec quelqu'un nous lie déjà par un rapport de redevance, l'esclavage y est similaire, à l'exception prêt que ceux qui le pratiquent ont besoin de chaînes et de fouets pour rappeler aux autres qui est le créancier et qui est le débiteur.


Alignement :  L'honneur avant tout, je ne me soustrais pas à mes obligations. Je tenterai d'échapper à la justice, de fuir mes adversaires s'il n'y a que moi d'impliquer en attendant une occasion de revanche, si quelqu'un risque de payer à ma place les pots cassés je ferai face. Je n'aie pas vocation à rendre justice partout ou je passe, mais pas non plus à rester passif, j'ai toujours le cœur serrer en voyant l'un des miens en esclavage.




Histoire



Je suis né au sein de la légion Vat’Em’Medonis, dans une baraque enneigée. Je vous épargne mon enfance, j'étais heureux, rien à redire.
C'est quand je suis devenu chasseur que ma vie commence à prendre sens ; la société dans laquelle j'ai grandie étant matriarcale, elle consiste à faire son marché pour les femmes, et à être un bon prétendant pour les hommes. Ce qui pousse les matous à être en compétition permanente, enfin, les autres, je m'étais éprise d'une borgne et de mon côté les rivalités n'ont pas été aussi enflammées que pour celle que nombre de mes camarades ont fait les quatre cents coups. J'ai eu un fils et une fille à vingt ans.
J'ai réalisé une chose ; tout l'amour que celle que j'avais engrossé c'est reporté sur mes enfants. Même si nous nous fréquentions avec la même assiduité la cassure a été suffisamment nette pour que je la ressente. La déception fut violente, la prise de conscience glacée, encore plus que l'eau de la mer à quelques pas à peine de ma maison, en soit cet événement a joué indirectement sur le reste de mon existence, sans doutes aurai-je trouvé une autre fille que les choses ne se seraient pas passé comme cela. Non pas que je jette le blâme sur ma première chère et tendre, plutôt que si j'avais persévéré dans mes illusions de jeunesse je n'aurai pas tué l'autre, je n'aurais pas eu assez de rage, ni assez de temps pour la laisser fermenter.
En parallèle de ça, beaucoup de mes partenaires de chasse cherchaient à s'attirer les faveurs d'une femme ; Shilka'Vasco, l'une des femmes les plus belles mais aussi les plus méprisables que j'ai vu. Il faut un certain culot pour engraisser sur le dos de ses prétendants, quitte à les voir se ruiner et risquer leur vie en sachant pertinemment qu'en lice sont une dizaine d'hommes. Quand j'ai vu l'un de mes amis se faire casser en deux comme une poupée de chiffon entre les dents d'un ver des neiges, j'ai compris à quel point certains individus pouvaient être haïssables, à quel point parfois le sens du devoir et la pression sociales pouvaient engendrer des morts. Je me suis éloigné de mon épouse, je me suis consacré à l'éducation de mes enfants, j'ai regardé le frère de mon meilleur ami mourir ; je les accompagnai tout les deux dans les montagnes pour cueillir une Edelweiss, le genre de fleur qui ne pense qu'en été dans les montagnes les plus escarpées. Son frère est tombé en tendant d'escalader une paroi rocheuse au centre de laquelle l'une de ces fleurs.
L'acidité qui remonte le long de la gorge, le cœur anesthésié par le choc de voir une vie disparaître pour si peu, les bras qui se mouvent toujours de notre propre chef malgré l'absence de sensation, comme si on était l'écrivain de sa propre histoire. Tout cela était lointain, et puis la réalité m'est revenue au visage comme un coup de poing qui s'écrase sur le museau : je cherchais vaguement la respiration d'un prétendant à une garce, alors que son frère le serrait contre lui en hurlant comme une bête à l'agonie. J'ai vomi mes tripes sur le chemin du retour, un cadavre sur le dos, son sang sur mes épaules et ses organes qui appuyaient contre ma nuque, sa colonne vertébrale cassée en deux. Mon meilleur ami Penchak et moi nous sommes tacitement jurés de prendre revanche pour le nombre de morts que l'amour pouvait entraîner, en toute connaissance de cause.
Être chasseur a un avantage très simple ; quand on a le sang chaud on peut se battre en duel avec juste quelques témoins, sans avoir tout le village sur le dos pour nous séparer si les choses s'enveniment. Dès que j'ai eu l'occasion, j'ai interrompu la marche vers notre point de chasse habituel pour la défier, quelques temps plus tard.
Le duel a été grossier, plus d'insultes échangées que de coups, nous étions de technique égale, j'ai pris le pas parce que j'étais plus fort et plus endurant à l'époque.

Je l'ai tué. Mais parce que j'estimais que la mort était bien peu pour une traînée qui avait coûté la vie à deux personnes que j'estimais, j'ai commis l'irréparable, et sans doutes que si je n'avais pas encore aujourd'hui la rancune si tenace, je ne serai pas en exil. Je l'aie balancé dans un glacier, histoire qu'on ne puisse jamais brûler son corps, lui empêchant l'accès au dernier rite funéraire qu'on puisse faire à un mort.
Ai-je besoin de vous préciser que, tuer une femme dans une société matriarcale, même quand on est un homme respecté est une idée qui a une odeur de fumier au mieux? Surtout quand elle est la plus courtisée du village?
Je n'aie pas vraiment cherché à me défendre, j'ai juste invoqué le devoir. Rien que ça.

Ensuite? J'ai vécu en nomade, j'ai demandé l'asile dans les grottes de bannis dans lesquelles je m'arrêtai. J'étais un excellent chasseur à l'époque, un archer de légende, mon corps en porte encore un stigmate : j'ai le bras droit plus imposant que le gauche, bander un arc long est une épreuve de force. Il faut bien ça pour percer le cuir épais des bêtes en vadrouille, et surtout quand on est un exilé il faut une sévère adresse pour se défendre face à ses congénères. La plupart des Graärh sont raisonnés, mais d'autres (comme moi) sont très à cheval sur les manières, et le simple fait d'être un paria suffit pour être la cible de pourfendeurs assoiffés de justice. En l’occurrence j'aurais criblé de flèches l'un des prétendants de la belle que j'avais envoyé au fond du trou, et abattu à l'épée un autre.
Quand la justice vous abandonne, soit vous avez la peau dur et vous apprenez sur le tas des ruses de briscard vicieux, soit vous mourrez. Je ne conte plus le nombre de feintes, poignées de sables dans les yeux et embuscades nocturnes qui m'auront permis de subsister et de survivre à des justiciers qui pensent pouvoir m'apprendre des choses. C'est mentalement que les choses auront été éprouvantes ; être sur ses gardes en permanence, taper des crises de nerfs seul dans le froid à cause de la solitude, fondre en larme en se souvenant le matin de tout ce qu'on a laissé derrière.
Au fil du temps j'ai progressivement opté pour l'arbalète plutôt que l'arc ; la première ne nécessite qu'un changement de corde régulier, et les carreaux sont plus simples à fabriquer, le tir est plus précis, plus puissant, idéal pour se défendre. Le second nécessite des années de pratique que j'avais derrière moi, mais étant obligé de m'assumer seul sur tout les plans, mon temps disponible pour l'entraînement avait un peu chuté, pas tant que ça toutefois puisque le tir à l'arc, puis à l'arbalète, étaient les seules passions qui m'étaient offertes quand je n'avais rien à faire. Aujourd'hui encore, je rêve de mon arc en bois d'If, la première et dernière ligne de défense que j'avais entre moi et la mort.

On me demandera pourquoi je ne me suis pas éclipsé directement sur Néthéril, avec ses jungles et ses savanes. La raison est très simple ; à l'époque je ne savais pas naviguer, et je ne connaissais que peu de personnes qui savaient se déplacer en mer, tenter l'aventure avec une barque ou un radeau ne me plaisait pas. J'ai dû attendre quelques mois en ermite de croiser un navigateur lui aussi banni pour embarquer ailleurs. Je peux confirmer une chose ; passer des mois dans le froid forge le caractère, l'unique fierté que j'en tire est de ne pas avoir eu recours au cannibalisme.

Je vous offre une ellipse d'environ vingt-cinq ans dans laquelle je refais ma vie, et refait des gosses. J'ai de nouveau une vie de famille heureuse, jusqu'au jour ou des étrangers arrivent.
Je fais partie des premiers à venir leur parler, à échanger, bref, une grande partie de ma vie se consacre à dialoguer et à tergiverser avec les humains, les elfes et les vampires. Jusqu'au jour où je me suis faits capturé avec d'autres ; j'ai été démis de mes armes, de mon équipement, et j'ai été vendu pour une bouchée de pains à des pirates. J'ai encaissé, je me suis mis en tailleur et j'ai médité sur mon sort pendant qu'on me laissait moisir dans la cale ; j'avais eu beaucoup de chances jusqu'à présent, un retour de bâton n'allait pas me faire hurler à la mort, hein? Passer plusieurs mois dans le froid, à dormir par terre et à manger parfois de la viande crue ne m'avait pas entamé, ce n'était pas hisser des voiles qui allait me tuer si?
Ensuite? Je ne nierai même pas avoir eu beaucoup de chance ; j'ai été vendue à une elfe, capitaine pirate comme dit précédemment, qui m'a prise sous son aile comme on prendrait à son service un bon à rien. Qu'elle ne fût pas sa surprise quand j'ai vu que j'étais doué à autre chose que lessiver les sols et faire des nœuds, je suis resté depuis à son service. Et en deux ans de loyaux services j'ai réussi à devenir son second, ce qui a inclut d'apprendre à naviguer, connaître les étoiles, la langue commune et accessoirement l'elfique oral, histoire de pouvoir avoir une conversation avec elle sans que le commun des mortels ne soit pas au courant, même si je ne le comprends plus que je ne le parle. J'ai aussi eu l'occasion d'apprendre tout ce qui est à savoir sur les cultures qui se sont incrustés dans l'archipel des milles matous.
Et j'en suis venu à une conclusion : toutes les cultures ne se valent pas.
On se demandera l'intérêt que d'avoir un second esclave et Graärh, surtout quand la capitaine est une elfe, premièrement à cause d'un mécanisme tout simple : la carotte et le bâton. Ce que Celial n'arrive pas à faire ou obtenir par son charisme je le lui procure par la force, faire face à un bestiau avec des crocs et des griffes intimide toujours plus qu'une blonde menue. Je fais office d'exécuteur des basses œuvres aussi ; fouetter jusqu'aux omoplates un marin, faire passer à la cale un mauvais payeur, jeter les cadavres à la mer, tout ce qui pourrait nuire à l'image de la capitaine est à ma charge. La plupart des marins me craignent, les officiers me respectent, la capitaine m'aime bien. Je ne dis pas que je n'aurai pas eu mon lot de dispute et de bagarre, à vrai dire il aura fallut un certain temps avant qu'on me laisse le droit de défendre mon honneur au sabre, et quand j'ai reçu ce privilège les gens se sont calmés. Toutefois, j'aime dire que j'ai gagné le respect des autres en montrant l'exemple, plus qu'en découpant en tranches les quelques uns qui ont cru que je ne savais pas me défendre.
Aujourd'hui, je suis le second, j'en sais bien assez sur les autres nations qui m'entoure et j'ai une dette dont je ne pourrais sans doutes jamais m'acquitter envers une pirate, qui d'ailleurs me traîne dans les lieux les plus violents de l'archipel quand nous ne sommes pas en train de boire pour oublier. Une vie austère s'annonce devant moi pas vrai?


Liens



Capitaine Celial : Celle qui m'a prise sous son aile et à qui je dois tout. Même si je suis techniquement toujours son esclave et que je ne gagne quasiment rien, toutefois je vais dire que cela contribue à rembourser les créances auprès d'elle. Nous nous apprécions mutuellement pour ce que nous apportons à l'autre, avec une certaine dose d'humour vache, parce que ce n'est pas parce que nous sommes de la même espèce que nous n'avons pas le droit de rire de l'autre. Le jour ou je serai libre, les duels de boisson vont me manquer.

Second lieutenant Grazaï : Humain, pirate de génération en génération, tireur émérite à l'arbalète qui me donne du fil à retordre lors des compétitions.
Il connait bien son travail et ne vient pas empiéter sur le mien puisqu'il me doit son poste ; j'ai balancé par dessus bord son prédécesseur pour faire avorter un début de mutinerie. Si on excepte un phrasé peu orthodoxe rien à dire sur lui, si ce n'est qu'il connaît très bien son boulot.


Mon ancienne famille que j'ai laissé sur Nin Tyamat : Une femme que je n'aime plus, deux enfants que j'ai eu l'occasion de revoir il y a quelques temps à l'occasion d'un voyage à Néthéril : mon fils Charybde me comprend et m'a pardonné depuis longtemps, mon portait craché malgré son jeune âge. Ma fille Karena me respecte, mais ne semble guère intéresser à ma compagnie, toutefois je peux détecter que mon passif a eu une influence sur elle puisqu'elle a des valeurs. Au fond j'ai plutôt bien négocier les choses.

Mon autre ancienne famille : Une femme que j'aime vaguement, une fille qui veut entrer dans les ordres et s’intéresse d'un peu trop près à la culture elfique. Je suis sûr que j'ai un moyen de lui arranger deux ou trois entrevues avec la capitaine, si je peux m'affranchir temporairement de mon collier bien sûr.


Derrière l'écran



Petite présentation : j'ai connu Star Wars en cassettes, j'écris depuis huit ans, j'aime les chats, Halo et on va arrêter là.

Particularités rp ? : j'écris à la 1ère personne.

Rythme RP ? (Une réponse RP dans les 7 jours est attendue) : Quand je suis en forme sous 24h

Comment avez vous découvert le forum ? : partenariat avec un forum

Avez vous signé le règlement ? : oui





Dernière édition par Silah Vaillant le Ven 9 Mar 2018 - 8:53, édité 3 fois

descriptionSilah Vaillant, esclave. EmptyRe: Silah Vaillant, esclave.

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Coucou et bienvenue sur le forum d'Elysion.

Je vais m'occuper de ta fiche comme dit sur le canal discord.
Bien commençons *se frotte les mains*

Identité de votre personnage
Je crois qu'il y a une erreur dans la date de naissance. Nous sommes actuellement en 1762, donc ton personnage ne peut avoir 50 ans :p

Equipement
Pour la dague, c'est une dague assez spécifique que tu mets pour ton personnage. Fais une description pour cette arme


Description mentale
Le mot république n'existe pas dans le vocabulaire du fof, donc voir pour trouver un autre terme plus adapté :Smile

Qu'est ce qu'il fait que ton personnage déteste autant les vampires ? et éventuellement les immaculés de ce fait ? (si tu as lu cette race là qui vient des elfes et des vampires)

Il faudra mieux détailler ton alignement


Histoire
Pour l'achat fait par les corsaires, opte pour des pirates. Les corsaires sont des pirates au service d'une nation, offrant une part de leur butin quand ils s'attaquent à des navires ennemis à la dite nation.
Je présume que ton personnage demeure un esclave auprès de cette capitaine pirate. Il est étrange qu'il puisse être Second de ce fait. Dans un équipage de pirates ; à moins de bien me décrire la mentalité de l'équipage, on ne laisse guère de place à des gens classés comme inférieurs, donc guère de chances de voir un esclave devenir second et armé en plus Smile
Donc, soit tu fais une bonne description de l'équipage qui pourrait justifier sa place comme Second (et donc de se faire respecter autre que par l'intérêt du capitaine seule :p), soit il te faut changer ta profession. Si tu restes esclave, tu as sans doute quelque chose qui justifie ton esclavage (une marque, un collier, un truc dans le genre quoi)


Liens
Même si tes proches sont décédés, me faudra quelques lignes de ta précédente famille Wink


Voila voilà, tu sais ce qu'il te reste à faire Smile

EDIT : pour ton elfe capitaine qui retourne chez les siens, ce sont les pirates ou les elfe qui sont les siens ? En tant que pirate, c'est devenue une paria chez les Elfes donc jamais elle ne pourra jeter l'ancre avec son navire chez eux. Donc petit truc encore à corriger dans l'histoire sur ce point là

descriptionSilah Vaillant, esclave. EmptyRe: Silah Vaillant, esclave.

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Pour la date de naissance : un bond de 50 ans en arrière a été fait. Very Happy

Pour la dague : Une dague de parade ; lame plus épaisse et plus longue, garde plus résistante et plus grande. La lame est creusée de plusieurs centimètres à intervalle régulier pour piéger une épée entre ses dents et tenter de briser l'arme par effet de levier. Utile contre les rapières, beaucoup moins contre les épées longues.

Pour la description mentale : le mot république a été remplacé par révolutionnaire.

Pour les vampires et l'alignement :
Silah Vaillant a écrit:
Je regarde le vampire au bout de mon sabre, au moins ça en fait un de moins. Depuis quand est-ce qu'on devrait laisser une race qui n'existe que par le parasitisme vivre? J'exècre les vampires pour deux raisons : d'abord à cause du simple fait qu'ils asservissent mes confrères de race, j'ai beau ne pas porter mon espèce dans mon coeur, je n'éprouve nulle sympathie à l'égard d'esclavagistes. La seconde est tout simplement que cette race est contraire à mes valeurs ; ils n'existent que par le fait de cannibaliser la vie des autres, et l'esclavage est sans doutes la forme la plus pathétique d'exploitation de l'autre. Le fait de devoir quelque chose avec quelqu'un nous lie déjà par un rapport de redevance, l'esclavage y est similaire, à l'exception prêt que ceux qui le pratiquent ont besoin de chaînes et de fouets pour rappeler aux autres qui est le créancier et qui est le débiteur.


Alignement :  L'honneur avant tout, je ne me soustrais pas à mes obligations. Je tenterai d'échapper à la justice, de fuir mes adversaires s'il n'y a que moi d'impliquer en attendant une occasion de revanche, si quelqu'un risque de payer à ma place les pots cassés je ferai face. Je n'aie pas vocation à rendre justice partout ou je passe, mais pas non plus à rester passif, j'ai toujours le cœur serrer en voyant l'un des miens en esclavage.


Pour l'histoire : j'ai changé pour les corsaires, ce sont maintenant des pirates. pig
J'ai rajouté un paragraphe sur le pourquoi du comment pour son ascension
Silah Vaillant a écrit:
On se demandera l'intérêt que d'avoir un second esclave et Graärh, surtout quand la capitaine est une elfe, premièrement à cause d'un mécanisme tout simple : la carotte et le bâton. Ce que Celial n'arrive pas à faire ou obtenir par son charisme je le lui procure par la force, faire face à un bestiau avec des crocs et des griffes intimide toujours plus qu'une blonde menue. Je fais office d'exécuteur des basses œuvres aussi ; fouetter jusqu'aux omoplates un marin, faire passer à la cale un mauvais payeur, jeter les cadavres à la mer, tout ce qui pourrait nuire à l'image de la capitaine est à ma charge. La plupart des marins me craignent, les officiers me respectent, la capitaine m'aime bien. Je ne dis pas que je n'aurai pas eu mon lot de dispute et de bagarre, à vrai dire il aura fallut un certain temps avant qu'on me laisse le droit de défendre mon honneur au sabre, et quand j'ai reçu ce privilège les gens se sont calmés. Toutefois, j'aime dire que j'ai gagné le respect des autres en montrant l'exemple, plus qu'en découpant en tranches les quelques uns qui ont cru que je ne savais pas me défendre. Même si la deuxième solution apporte des résultats beaucoup plus vite.


Silah a aussi maintenant un collier qui symbolise son statut d'esclave, et j'ai mis quelques lignes sur ses anciennes familles, et l'équipage.

PS : pour l'elfe on abandonne donc l'idée quelle jette l'ancre chez les siens donc.

descriptionSilah Vaillant, esclave. EmptyRe: Silah Vaillant, esclave.

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Coucou, alors les corrections me conviennent et j'attendais qu'on ait terminé cette petite correction pour aborder les compétences

Il te faudra descendre le mental de maître à très bon Smile Voilà, juste cette dernière mise au point et je valide ta fiche Smile

descriptionSilah Vaillant, esclave. EmptyRe: Silah Vaillant, esclave.

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Bienvenue sur tes nouvelles terres Invité

Tu as été choisi(e) par les esprits-liés de la Gerridae et du Serval dont tu as  atteint le niveau . Tes compétences ont été validées, tu pourras les faire évoluer tout au long de ton aventure.

Tu peux aussi adresser tes questions ici

Bonne chance pour cette nouvelle aventure qui s'offre à toi !

descriptionSilah Vaillant, esclave. EmptyRe: Silah Vaillant, esclave.

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