Prénom et nom : Seö Wënmimeril
Récompense achetée : Sort Unique
Prix : 700 PP (normalement disponibles quand validation de ma demande précédente o/)
Nom du sort : Marque des Cendres - Marque originelle de Niniël
Histoire rapide : Légende qui entoure le sort même si optionnel parce que c'est quand même un peu long mais juste un peu donc ça va. :
La légende ci-présente prend place dans les anciens temps où Tarenth, Dragons, et Dieux, vivaient ensembles au sein de l’ancien continent. Ce peuple, bien qu’encore bien méconnu, porta en son sein de nombreux guerriers aux puissances incommensurables, capables d’ordonner et commander aux dragons grâce à leurs voix, et jouissant d’une ancienne magie capable de dépasser les limites de la trame elle-même. C’est également eux qui créèrent le lien, cette magie unique si particulière qui unissait leurs espèces. Et c’est donc cet âge qui vit naitre le premier dragonnier de l’histoire, marquant ainsi le départ d’une nouvelle ère qui traverserait les époques. Si la légende du Voyageur reste connue de tous, de part les écris et les souvenirs restant encore de lui aujourd’hui, une autre histoire qui lui est intimement liée reste toutefois à découvrir.
Le principal, ou plutôt la principale protagoniste de cette histoire n’est pas le premier dragonnier, mais d’une Tarenth nommée Niniël, amie proche et datée du voyageur. Si ce dernier lui vouait sa confiance la plus totale et la considérait comme l’une des personnes les plus chères à ses yeux, la Tarenth, elle, cultivait une admiration sans failles envers son ami. Mais pas seulement, puisqu’il aurait été un mensonge éhonté que de ne pas avouer que Niniël ne voyait pas le voyageur comme un simple confident, même si elle se gardait bien de lui avouer la réelle nature de ses sentiments. Mais la Tarenth aussi possédait un pouvoir bien particulier. Si les Tarenth pouvaient entrevoir volontairement l’avenir s’ils le souhaitaient, elle, en rêvait simplement, indépendamment de sa volonté. Sa particularité était d’entrevoir des choses que les siens ne savaient voir même si ses rêves, pour l’instant, restaient des retranscriptions fantomatiques d’une réalité quotidienne, comme si, en ces instants, tout ce qui se rapportait à l’avenir était simplement figé, comme une temporalité qui se répétait inlassablement. Elle interprétait ce seul fait comme étant la promesse d’un avenir tranquille, similaire, et paisible, qui étaient trois notions que tout son être chérissait.
En dehors de cette spécificité, Niniël était, parmi les Tarenth, respectée pour son immense potentiel magique, dont elle ne se servait pourtant que très peu. La Tarenth n’était pas une femme de guerre, et promettait de tout faire pour ne jamais le devenir. Elle était connue et aimée par son peuple comme par les Dragons et les dieux, qui voyaient en elle une incarnation pure et simple de la lumière et de la pureté.
Mais, l’une de ses nuits fut à marquer d’une pierre noire. Niniël était au beau milieu de sa ville chérie ravagée par de longues flammes noires dont seuls les reflets étaient incandescents. Tout autour d’elle n’était que destruction. Les corps calcinés et meurtris de son peuple témoignaient de la violence de la guerre, de la bataille, ou de l’attaque dont ils avaient été les victimes. Et rien, dans son esprit, ne pouvait expliquer ce qu’il venait de se passer sous ses yeux. C’est alors qu’elle vit, accompagnant ceux des Tarenth, les corps des dragons qui l’entouraient, eux aussi brûlés comme ceux de leurs confrères. Effrayée, Niniël effectua un pas de retrait, avant d’apercevoir, parmi les cendres volantes, les braises incandescentes et les flammes noires, deux silhouette, seules à se tenir debout au sein de ce massacre. Celle d’un Dragon, et celle d’un Tarenth. Elle n’en vit pas davantage, et ce réveilla en sursaut, le corps et les bras trempés de sueur.
Elle aurait pu croire à un simple songe si elle n’avait pas eu conscience de la valeur prédictive de ces derniers. A vrai dire, elle espérait se tromper, ou croire son pouvoir faillible, et fit alors part de ses craintes à Edwyn, le voyageur, son ami le plus proche. Ce dernier parvint à la rassurer, du moins, pour les quelques années qui suivirent. Apaisée, Niniël ne vit pas son rêve se reproduire, ce qui, au fil du temps, ne resta qu’un mauvais souvenir d’un pouvoir trop complexe et flou pour être un jour parfaitement compris.
Puis, vint l’heure pour la magie du lien de naitre, et pour Edwyn de devenir le premier des dragonniers. La portée de cette nouvelle création était encore inconnue, et surtout impopulaire au sein de son propre peuple, pourtant, l’admiration que portait Niniël à son ami n’était que plus grande encore. Elle le savait suffisamment digne pour porter cette responsabilité à travers les âges, et se réjouissait simplement de pouvoir continuer à vivre à ses côtés. Pourtant, opposée à la lumière de ce jour, la nuit vit revivre d’anciens souvenirs fantomatiques et le songe jadis ignoré se rappela à la mémoire de la Tarenth. Les mêmes visions, la même frayeur, mais un détail changea cependant. Le visage du Tarenth, parmi les cendres, les flammes et la fumée, était celui d’Edwyn et d’un grand dragon blanc. Cela ne pouvait être dû au hasard. Niniël se réveilla en pleurs, maintenant certaine de ce qu’elle avait pu apercevoir.
Elle ne pouvait laisser une telle chose arriver à son peuple, ou à son ami, et entrapercevait à présent la nature destructrice de la magie du Lien. Après une longue hésitation, elle se décida une nouvelle fois à parler à Edwyn, lui confiant sa peur et ses visions sans omettre aucun détail. Mais, comme la première fois, le dragonnier lui rappela que le pouvoir que lui avaient confié les dieux était faillibles, et qu’il pouvait faire, et faisait surement, une nouvelle fois erreur. Mais Niniël savait que, cette fois, elle ne se trompait pas. Elle aimait son peuple, et souhaitait simplement qu’il ne doive pas faire face au danger naissant. Elle supplia alors son ami de se raisonner et d’abandonner son lien pour ne pas détruire ses propres confrères et consœurs. Mais ce dernier, malgré l’insistance de Niniël, se refusa à perpétrer un acte aussi odieux envers son lié. Niniël, elle était prête à tout pour empêcher le massacre qu’elle avait rêver de se produire. Elle se tint fièrement devant Edwyn, prête à user de la voix magie des Tarenth pour forcer le Dragon-Lié de son ami à mourir. Elle connaissait la portée de son acte, et ses probables conséquences, mais l’amour qu’elle vouait à son peuple aiguisait sa volonté. Même Edwyn ne pouvait rivaliser avec les pouvoir de la Tarenth, et, au vu de la détermination sans faille de son amie, se furent aux déesses qu’il incomba la tâche d’intervenir.
Elles prirent, à l’exception de la déesse du feu, parti pour Edwyn. Niniël avait menacé de commettre, elle seule, un acte impardonnable. Son image à jamais entachée, la Tarenth fut bannie définitivement de son peuple, qu’elle avait toujours chéri plus que sa propre vie. Les pouvoirs de sa voix lui furent retirer, ainsi que ceux de ses songes oniriques. Pourtant, Niniël ne démordait pas de ses propos. Son avenir l’intéressait peu, mais elle ne pouvait se résoudre à abandonner son peuple au tragique destin qui l’attendait. Mais son insistance fut vaine, et elle fut forcée à l’exil.
Niniël fut donc contrainte à la solitude, et à l’éloignement. Mais elle ne ressentait nulle colère, seulement une tristesse infinie lorsqu’elle repensait au futur qui attendait son peuple. Mais les déesses avaient fait une erreur. Elles n’avaient pas ôté tout pouvoir à la Tarenth, qui, chaque nuit, voyait de nouveaux peuples être asservis par les flammes des dragons. A la différence que ces dernières n’étaient pas noires, mais le résultat était invariablement le même. Elle ressentait la souffrance de ces milliers de voix et de cœurs inconnus et encore irréels. Ses visions s’étaient faites plus précises, plus intenses, et leur portée s’était aiguisée, au grand désespoir de la Tarenth. Elle entendait tout ces appels à l’aide, toutes les nuits, mais ne pouvait se résoudre à les aider. A moitié rêveuse et éveillée, elle gisait, roulée en boule sur le sol, les bras croisés devant sa poitrine, ses pleurs résonnant dans la solitude de son abri de fortune.
Nul ne sût si c’était par compassion ou par lassitude que la déesse du feu finit par la trouver. Elle seule ne pouvait pas juger du cas de la Tarenth, déjà décidé par la majorité de ses sœurs. Elle ne souhaitait pas non plus intervenir sur la trame du monde qui l’entourait, mais ne pouvait se résoudre à ne pas écouter les sanglots de Niniël. Elle apaisa ainsi les songes de la tourmentée, lui apparaissant alors seulement en songe pour lui confier de profonds secrets et d’intimes convictions. Les secrets d’une forme antique de magie de feu, qui mettrait la Tarenth devant une épreuve de conviction et un dilemme insoluble : Accepter le sort des siens, ou sacrifier son âme pour déjouer le sort. Au comble du désespoir, Niniël finit par opter pour la seconde option. Elle-même n’était plus rien, et son peuple était tout.
La déesse ne lui laissa alors que quelques indices sur la voie à suivre, et une marque profondément ancrée dans sa paume : un anneau fait de cendres incandescentes, symbole d’une magie unique confiée par la déesse du feu elle-même. Niniël, dont les convictions et la volonté avaient été ravivées, tâcha de maitriser cette nouvelle énergie qui découlait de la marque liée au feu. Elle remarqua bien vite que, plus elle avançait dans sa quête, plus la marque semblait se remplir d’obscurité. Le centre de l’anneau s’assombrissait, alors que sa peau, par endroit, devenait aussi sombre que le charbon, simplement parcourue par des reflets embrasés. Ce phénomène finit par atteindre l’ensemble de son corps, lui donnant une beauté presque irréelle. Le blanc de ses yeux devint alors noir de suie, et son iris flamboyante témoignait de son allégeance aux flammes. Mais sa transformation était plus profonde encore, altérant sa magie elle-même. Quelque soit les sorts qu’elle tâchait d’utiliser, ils étaient irrémédiablement altérés par les flammes.
Ainsi, Niniël compris davantage les paroles de la déesse. Sa magie prenait peu à peu une voie unique, et était seulement destructrice. La déesse lui permettait simplement d’avoir une nouvelle chance de faire ce qu’elle avait échoué à faire des années auparavant, pas de faire des miracles. Mais la Tarenth avait depuis longtemps accepté son sort, et cette découverte n’affecta pas ses desseins. Elle espérait simplement sauver son peuple avant que les flammes noires du Lien ne viennent le détruire, même s’il lui en coutait la vie de l’être qu’elle chérissait le plus au monde.
Des années plus tard, elle se présenta devant la ville qui l’avait à tout jamais bannie. Mais Niniël avait changé, du moins en apparence. Elle n’était plus cette incarnation de la douceur et de la lumière, mais bel et bien une ombre ressurgie du passé pour réclamer sa vengeance. Mais la Tarenth n’avait que faire de sauver les apparences, elle était venue pour une raison bien précise, et savait déjà qu’il n’était plus dans ses options de faire entendre raison à ces détracteurs.
Il ne fallut pas longtemps pour que des guerriers ne viennent tâcher de stopper sa progression, mais nul ne pouvait résister à la puissance magique de Niniël. Cette dernière brisa alors sa propre promesse de ne causer que le bien, et vainquit ses adversaires, réduisant ses anciens confrères en cendres. Elle devait avancer, parvenir à atteindre son ami, pour permettre à son peuple de ne pas connaitre le massacre qu’elle avait vu dans ses songes. Ce fut ensuite aux dragons d’essayer d’arrêter la Tarenth prétendue vengeresse, mais, tout comme les guerriers, ils ne purent faire face à la magie destructrice de Niniël. Son feu surpassait les leurs, et leurs corps ne pouvaient résister à la puissance antique de l’exilée.
Ce fut au contact des créatures magiques que Niniël finit par comprendre. Les flammes qui consumaient les dragons étaient devenues d’un noir de jais, comme son corps, seulement parcourues par de lancinantes lueurs embrasées. Les flammes qu’elle avait vu en songe n’étaient autre que le résultat de sa propre magie, et, ainsi, elle se remémora la scène qui l’avait hantée durant toute ces années. La voie consumée par des flammes noires, et, au loin, deux silhouettes qui s’avançaient vers elle. Niniël n’avait été que l’architecte de ses propres craintes.
Mais ce fût un profond sentiment d’apaisement qui se déversa dans sa poitrine. Elle sentait le feu antique la consumer de l’intérieur, et se répandre peu à peu dans son corps. Elle avait compris la réelle nature de la magie du Lien, mais, plus que tout, elle savait qu’elle pouvait faire le choix égoïste de partir en paix. Elle s’immobilisa alors, ferma doucement les yeux pour ne pas voir l’épée de son ami traverser sa poitrine.
Niniël gisait à présent dans les bras d’Edwyn, sous l’œil acéré d’un grand dragon albinos. La Tarenth souriait doucement, les yeux mi-clos, alors que l’homme, lui, ne semblait pas comprendre. Il lui posa alors la question qui devait sans doute brûler les lèvres de tous ceux qui l’avaient connue. Elle ne répondit pas durant quelques instants, se contentant de poser un regard empli de douceur sur l’homme qu’elle chérissait en secret. Puis, d’une voix faible, elle prononça ses derniers mots.
« J’ai été ce que je devais être, mon tendre ami. J’aurais tant aimé partager ton insouciance plus longtemps, mais je ne pouvais me soustraire à toutes ces visions, et toutes ces souffrances à venir. J’ai essayé de combattre un destin qui m’était inaccessible, mais je pars sans regrets. Tu comprendras un jour toi aussi la nature de cette magie que tu chéris plus que tout. Tu as aussi un rôle à jouer que tu comprendras en tant voulu. Je devais être l’âme noire qui tacherais de t’arracher à un funeste destin, mais je n’en ai pas le pouvoir, ni la volonté. Je… Je suis désolée. Désolée de ne pouvoir t’éviter de souffrir… Bonne chance, mon ami… »
Ces derniers mots ne furent qu’un souffle, alors que le feu dévorant asseyait définitivement son emprise sur Niniël. Alors que le voyageur tenait toujours la Tarenth dans ses bras. Le corps de cette dernière se transforma progressivement en un tas de cendres noires, parcouru de braises incandescentes. Ses mains reposèrent longtemps dans ce qui restait de son amie, avant que la brise ne finisse de les balayer.
Mais, dans ces cendres, reposaient encore des traces de la magie et de l’âme de Niniël. Dans les restes de la Tarenth reposait un anneau noir aux reflets cendreux, que le dragonnier utilisa pour forger l’anneau du premier en la mémoire de son ancienne amie. Il espérait qu’ainsi, Niniël continue de le protéger au fil des âges. S’il ne voyait que la portée symbolique de son acte, l’anneau, lui, fut empreint de la trace de l’antique magie et de l’esprit de Niniël, dont il restait à jamais le seul témoin. La Tarenth fut funestement surnommée la Reine des Cendres, et son nom se perdit, au fil des âges et des époques, jusqu’à être pratiquement oublié.
L’anneau du premier traversa les âges, et finit par être confié à Aldaron Leweïnra, dernier membre de la Triade. Ce dernier fit appel à Seö pour décrypter les pouvoirs de la relique, et, c’est lors de cette exploration dans les abysses magiques de l’anneau que la marque de Niniël s’imposa au maitre des glyphes. Elle marqua profondément sa magie intérieure, même si les braises qui l’animaient encore étaient bien trop faibles pour influer d’une quelconque manière sur l’elfe.
Mais, dans le royaume des morts, une barrière s’était brisée, permettant à la flamme et à l’âme de Niniël de s’accrocher à son respectable salvateur. Il n’était pas de la volonté de l’ancienne Tarenth de mettre fin à son repos éternel, et elle se retrouva ainsi liée à un individu dont elle ignorait tout. Elle ne vit finalement qu’une destinée nouvelle à sa quête. L’ironie, les dieux, où quoique pouvait être cette force mystique, la ramenait vers une terre dont elle ne connaissait rien. De même, son âme était trop faible pour ne serait-ce qu’entrer en contact avec son hôte improvisé. Elle avait beau avoir été un mage extraordinaire dans son passé, elle ne comprenait pas encore bien la magie elfique, et, surtout elle n’était pas suffisamment forte pour pouvoir tenter de la comprendre.
Puis, vint l’immaculation pour l’elfe. Cette dernière changeait profondément la nature même de la magie de son hôte, et lui semblait plus familière. Mais même ainsi, il lui fallut attendre que le maitre des glyphes soit traversé de l’énergie colossale du cœur magique d’un golem titanesque pour parvenir à renforcer son âme, et, ainsi, apparaitre pour la première fois au Maitre des Glyphes
Description rapide : La marque originelle de Niniël, ou marque des cendres, se traduit physiquement par la présence d’une marque en forme d’anneau de braises au cœur abyssal situé dans la paume de la main droite de l’immaculé. Mais le détail de la nature du feu qu’il utilise est tout autre dès lors qu’il fait soit appel à sa magie, soit s’il est en présence d’énergie draconique. A ce moment-là, son corps prend une couleur noire, parsemée de braises, tout comme l’apparence de Niniël après qu’elle eut réussi à maitriser cette magie du feu.
En ce qui concerne les pouvoirs associés à cette magie, ils sont un peu particuliers.
- Il ne s’agit pas d’un nouveau sort ou d’un contrôle particulier, mais plus d’une modification fondamentale de la magie de l’immaculé, c’est-à-dire :
- Que tous les sorts lancés par l’immaculés seront liés au feu sombre, modifiant ainsi leur nature, et empêchant totalement l’elfe de pouvoir lancer des sorts de soins. De la même manière, la magie elfique visant à contrôler la nature sera toujours la même à ceci près que cette dernière sera consumée lorsque le sort prendra fin. Il faut voir cette magie comme totalement liée à la destruction par nature.
- Que la puissance de cette magie est totalement régie par la puissance magique du lanceur. De même, cette utilisation permet au lanceur de devenir, toujours en fonction de son niveau en magie, de devenir particulièrement résistant aux flammes.
- Que l'apparence du « feu noir » ne se libère qu’en présence de magie draconique, même si sa nature est différente. Aussi, c’est une magie visant à être particulièrement efficace et douloureuse contre les dragons exclusivement. La couleur trahit leur nature particulière, car les flammes noires ne sont pas du feu, elles n’en n’ont que la forme, ce qui explique qu’elles puissent blesser même un dragon ou un dragonnier.
- Que Seö est le seul à pouvoir voir et entendre l’esprit de Niniël. Il est important de préciser que celui-ci n’est pas son opposé, ni même néfaste de part la nature semblables qu’ils cultivent tous les deux. Mais il ne s’agit que d’un esprit pouvant partager ses connaissances avec l’immaculé si elle le souhaite, mais ne pouvant en rien interagir avec quelqu’un d’autre que lui.
Informations complémentaires : J'ai conscience que c'est un sort un peu particulier, et je suis ouvert à vos remarques. Il est à noter que, compte tenu de son niveau magique, Seö ne maitrise pas cette magie d'entrée de jeu, et qu'elle sera beaucoup, beaucoup, beaucoup moins puissante que celle d'un Tarenth (parce que sinon... voilà).