Kyla
Aërendhyl
Bleus
La mer s’élèvent lorsque les yeux de Kyla se posent sur votre personne. Ses yeux célestes semblent percer votre âme tandis qu’elle vous analyse avec soin et curiosité. Étincelants lorsque la bonne humeur caresse le coeur de la jeune dame, mais plutôt grisâtres les jours de mélancolie.
Ténébreuse
Si sa chevelure n’est pas noire, elle s’en rapproche énormément. La tignasse de Kyla lui arrive environ à la moitié du dos. Elle l’attache, souvent d’une tresse, pour éviter d’avoir les cheveux dans le visage.
Pointues
Ses oreilles effilées qui percent sa chevelure d’ébène rappellent la race elfique à laquelle elle faisait partie. Ce n’est donc pas étonnant que Kyla possède cette beauté, cette grâce et cette force surnaturelles liées à ce peuple.
Petite
Ce qui lui fait défaut, c’est sa grandeur. Tandis qu’elle est de taille comparable à une humaine, du haut de son mètre soixante, Kyla a l’air toute petite parmi les elfes. À l’allure fragile, il en est tout le contraire en réalité.
Porcelaine
Sans être blafarde ni albinos, le teint de sa peau est naturellement pâle. Sa préférence du milieu forestier ne l’aide pas à ce qu’elle devienne davantage basanée.
Svelte
Le corps de Kyla est élancé et fin. Elle n’est pas très musclée pour soulever de lourdes charges, mais sa forme athlétique démontre bien son entraînement, particulièrement celui à l’arc. Elle est agile et souple.
Nywin
Autrefois elfe, elle est désormais une Sainnûr. Facile à manquer du premier regard puisque les veinules caractéristiques sont très pâles, voire quasi absentes de son visage. Ces arabesques cuivrées se dessinent majoritairement au niveau de son dos, de ses bras et de ses jambes.
Cicatrice
Au niveau de sa jambe gauche se trouve le vestige d’une blessure. Le long trait entre le genou et la cheville provient d’un coup de lame, souvenir d’une vieille bataille.
Pétillante
Kyla est une personne énergique dont la bonne humeur et le sourire sont contagieux. Extravertie, elle va vers les gens facilement. Elle ne se gêne pas à faire le premier contact pour emmener l’étranger dans une aventure rocambolesque ou l’inviter à faire la fête. Pleine de fougue, elle ne peut donner que son cent dix pourcent, jamais moins. Bienveillante, c’est une aura chaleureuse qui l’entoure. Tout le monde l’aime… ou presque.
Curieuse
Son plus grand désir est de découvrir le monde qui l’entoure. Kyla veut toucher à tout et veut comprendre tout ce qui lui échappe. Elle est fascinée rapidement par l’inconnu et n’a pas de gêne à le démontrer. Sa curiosité s’étend également aux gens et à leurs secrets.
Débrouillarde
Kyla n’a besoin d’un rien pour s’en sortir. Est-ce la chance qui lui a toujours souri? Ou son ingéniosité? Probablement un peu des deux.
Indépendante
La liberté est la valeur qui lui tient le plus à cœur. Jamais elle ne voudrait opprimer autrui et elle souhaite que ce soit réciproque. Kyla veut faire les choses à sa façon et elle désire aller où elle veut quand elle le veut. Libre comme l’air, c’est son plus grand désir.
Épanouie
On peut facilement dire que Kyla est bien dans sa peau. Son sourire est authentique, sa joie de vivre l’est tout autant.
Aime
Kyla aime la musique, le dessin et la danse, même si elle n’est pas toujours douée. Elle aime bouger en général. La nature et les animaux sont importants pour elle. Elle aime boire un p’tit coup et faire la fête.
Déteste
Kyla déteste les bateaux. Elle n’aime pas la monotonie. Les mensonges la contrarient et elle-même n’est pas capable de mentir. Elle a toujours peur de ne pas en avoir suffisamment, particulièrement en ce qui concerne l’eau et la nourriture. Elle n’aime pas décevoir autrui. Elle déteste la politique. Elle se choque lorsqu’on fait référence à sa petite taille.
On n’a qu’une vie.
C’est son motto. Cette phrase la suit partout, dans chaque action qu’elle pose.
Chapitre 1
1564 - 1752 : Petite Aërendhyl
Je suis née sur l’ancien continent dans la forêt elfique. À l’époque, la magie était à son plus faible, mais c’était tout ce que j’avais toujours connu bien que les histoires d’antan me fascinaient. Kyla Aërendhyl est le nom qu’on m’a donné et c’est dans la noblesse que j’ai eu la chance de grandir. Jamais je n’ai manqué de rien. Enfant, j’étais choyée comme le plus grand des trésors existant. J’ai grandi dans un cocon protecteur où nul danger ne pouvait m’atteindre.
Mon éducation était tout ce qu’il y a de plus normal, ou du moins ce qui était attendu d’une noble elfette. Comme mes confrères et mes consoeurs, j’ai appris à prendre soin des animaux, à monter à cheval et à tirer à l’arc.. Mais à l’époque c’était seulement un passe-temps pour m’occuper, un peu comme la danse, la lecture ou le dessin.
Merci à mes parents qui ont toujours donné une importance à mon opinion. Je ne voulais pas de mariage arrangé. Je peux vous dire que plusieurs étaient intéressés à ma personne (dont Lustiel mon ami d’enfance). Je voulais le rêve, le coup de foudre! J’ai, en effet, brisé de nombreux cœurs ainsi que les ambitions de d’autres familles de toucher à la noblesse. Par chance, c’est un privilège de porter le nom Aërendhyl et difficile est la quête d’entrer dans la noblesse. Je n’avais aucun besoin d’élever moi-même mon statut social.
Mon adolescence m’a menée à devenir Enwr où j’ai parfait mon éducation. Pourquoi les Baptistrels? Le récit de la rencontre entre mes parents m’a toujours marqué et c’est la curiosité qui m’a d’abord et avant tout mené vers l’Ordre. Honnêtement, j’ai aimé la vie là-bas. J’étais en harmonie avec les principes baptistraux. J’ai appris à jouer à plusieurs instruments, pas tous très bien, au plus grand déplaisir de mes maîtres et amis. J’avais une meilleure affinité avec les instruments à cordes que ceux à vent. J’ai appris notamment le langage commun, les soins et la botanique. J’avais espoir de visiter la ville humaine dont mon collègue Aldarien me parlait souvent.
1753 : Chamboulement chez les elfes
Cette date me marquera toujours. Non seulement la magie était revenue avec le retour des dragons, mais les effroyables vampires étaient sortis de leurs souterrains. Plusieurs éléments se produisirent cette année-là. J’ai fait la rencontre d’un chat fantomatique et depuis, nous sommes liés tous les deux.
Sur une note moins joyeuse, des êtres provenant d’ailleurs sont arrivés sur le continent. Le problème était qu’ils étaient fanatiques du Néant, un groupe d’humains oppresseurs qui vouaient une haine à la magie. Elfes et vampires étaient persécutés. C’est ce qu’il aura fallu pour qu’une alliance se forme entre le peuple elfique, humain et vampirique. J’étais aux premières loges des négociations menées par les Baptistrels. Durant ces nombreux jours, je ne me suis pas gênée d’aller voir humains et vampires dont j’avais entendu parlé depuis si longtemps!
Je ne m’étais pas mêlée à la Bataille des Bois Sombres. C’est seulement lorsqu’elle fut terminée que j’ai apporté support et soins.
1754 : Rébellion et Bataille de l’Aube Rouge
Pourquoi étaient-ils appelés les Perles? Il n’y avait rien de joli là-dedans! Ce n’est pas de cette façon que je voulais explorer le monde!!! Pas en perdant mon chez moi par l’apparition d’un miasme dans le Domaine. Nous, les elfes, nous avons tous fui notre demeure pour pouvoir survivre. Ce sont dans les souterrains de la ville d’Althaïa que nous avons pris refuge. J’étais tellement fâchée de m’être fait arracher ma maison, ma sécurité, mon ciel et mes arbres! La seule consolation était d’être entourée par ma famille et mes proches.
J’étais dans les souterrains lorsque la bataille a commencé, là où les civils étaient supposément en sécurité. La paroi rocheuse s’écroula et l’entrée des Almaréens causa la panique. Dans le chaos, je me rappelle avoir tenté de les arrêter. En vain, la magie n’était d’aucune utilité contre eux. Ils étaient sans pitié. Ils s’attaquaient à des gens qui n’avaient jamais touché à une arme de leur vie et qui n’avaient aucune chance. Le cri des enfants était agonisant. J’ai finalement perdu connaissance suite à mes nombreuses blessures et par miracle j’ai survécu à cet atroce événement. Physiquement, j’en garde la marque d’une longue cicatrice à ma jambe. Oui, je sais qu’on pourrait me la faire disparaître, mais j’en garde le souvenir que la vie est fragile. Après ma convalescence, combien de corps avons-nous brûlé? Trop.
1755 - 1758 : Un monde terrible
Je n’ai pas eu le choix. Ou plutôt, j’ai fait le choix de vivre et cela signifiait d’enlever la vie à mes supposés ennemis. Soldate théocrate, j’ai renié mes valeurs pacifiques. J’ai appris à me battre à la dague et j’ai peaufiné mon tir à l’arc. Tandis que jadis ce n'était qu’un sport, désormais les cibles étaient bien vivantes. J'ai chassé les Protégés. En apparence surtout parce que si je pouvais leur apporter discrètement mon aide, je le faisais. J’avais une peur terrible de Morneflamme! Il n’était pas question qu’on me remarque et risquer qu’on m’y jette.
Les jours étaient sombres et ma seule consolation était d’être avec mon père et ma mère. On s’inquiétait pour nos proches, mais au moins, on était ensemble. Mon père avait encore le tour de me faire sourire. Il ne perdait pas espoir en de jours meilleurs et je m’accrochais à ses mots comme une prophétie.
J’avais pris le poste d’éclaireuse pour l’indépendance que cela m’apportait. Mes flèches assommantes étaient très utiles quand je rencontrais des Protégés en dehors de leur zone. Ce n’était pas possible de les épargner lorsqu’on était plusieurs théocrates ensemble. Je ne pouvais pas leur faire confiance pour ne pas vendre ma peau. C’est durant une de mes expéditions dans les plaines de l’Est que j’ai fait une étonnante rencontre: un petit ocelot blessé. Sa mère, ses frères et sœurs avaient succombé à leur agresseur. Je l’ai pris sous mon aile, je l’ai soigné et nourri. Depuis, il ne quitte plus mes côtés même s’il n’en a pas l’obligation.
Lorsque les prisonniers de Morneflamme ont pu sortir de leur infâme cauchemar, je me suis mise en route pour les retrouver. Mon expertise du terrain fut pratique pour les ramener sains et saufs jusqu’au désert.
La fin d’un temps arriva finalement : défaite du Tyran Blanc et mort de Dieux. Je n’ai pas versé une larme. Cela faisait longtemps que je ne remettais plus mon destin dans les mains des grands êtres. J’ai accueilli la fin de cette ère avec grand soulagement.
1759 - 1762 : Au revoir Ambarhùna
J’en ai franchement assez des catastrophes. Je ne veux plus entendre parler des Chimères, ces créatures qui nous ont dérobé notre continent et qui nous ont forcé à prendre les flots! Je ne veux plus rien savoir des bateaux. La tempête a séparé notre navire des autres. On a vogué je-ne-sais-où pendant je-ne-sais-combien-de-temps. On n’avait plus de chansons à réciter tant on les avait toutes faites. L’ennui était mortel! Ça, c’est sans parler des provisions qui ont commencé à manquer. On a rationné au début. Les gens étaient encore plein d’espoir. Puis à la fin, ils en avaient assez des poissons qu’on parvenait à pêcher (Les ex-prisonniers de Morneflamme se consolaient en se disant qu’ils avaient mangé pire… Maigre consolation XD Mon ocelot était le seul qui appréciait réellement la nourriture). On a utilisé la magie pour s’approvisionner en eau. Je dansais de joie quand il pleuvait.
TERRE!!! TERRE!!! Le plus beau mot au monde. Je l’ai embrassée!!! Et Lustiel m’a embrassée!!! Le geste m’a surprise sur le coup. Mais ce n’était pas réellement surprenant. Je connais Lustiel depuis ma toute petite enfance et je savais qu’il avait un œil sur moi. On s’était rapproché durant le voyage en bateau, pas le choix vu la proximité. Il est gentil et j’ai dit oui à sa demande en mariage. On n’a qu’une seule vie après tout!
La vie était agréable sur le petit îlot que je parvenais à oublier les supplices à travers lesquels j’étais passée. Vous ai-je dit que j’ai fait la rencontre d’un petit animal tout mignon que j’ai apprivoisé au fil des jours avec des petits fruits? Je n’en avais jamais vu avant. Il ressemble à un raton laveur mélangé à un ours, mais de couleur rousse avec des pattes noires. Trop mignon! J’ai réussi à ce que l’ocelot ne le mange pas, j’avoue que ça n’a pas été facile de lui faire comprendre que c’était un ami.
Je pensais sincèrement qu’on finirait notre vie sur ce petit îlot de terre. Mais le destin voulut le contraire.
1763 : Explosion de lumière
Je ne savais pas ce que c’était, mais j’étais comme une luciole attirée par les flammes. Piquée par la curiosité, je voulais m’approcher de l’origine de cette vague de magie et je fus la première à énoncer mon désir lors du conseil. Elle n’était pas si loin en plus! Mon père était aussi excité que moi à l’idée d’aller explorer un continent inconnu. Ma mère suivrait aussi ainsi que plusieurs autres. Mais pas tous: une grande partie appréciait la sérénité de leur petite île. J’ai dû convaincre Lustiel avec un ultimatum: j’allais y aller qu’il me suive ou non!
J’ai bravé malgré le dégoût que j’avais gagné envers les navires. Nous atteignirent la nouvelle terre sans embûche!
Dire qu’il y avait eu de la civilisation non loin où nous nous étions accostés! Calastin était le nom de l’île où nous arrivâmes et c’est là que nous avons décidé de nous installer, Lustiel et moi. Honnêtement, je n’avais pas envie de prendre à nouveau les voies maritimes pour se rendre sur l’île elfique qui, selon les rumeurs, avaient été ravagées par une étrange maladie. D’ailleurs, je pensais que la maladie de corail m’avait frappé lorsque j’ai commencé à me sentir mal. Mais j’ai finalement appris que ça n’avait rien à voir et que c’était plutôt un procédé appelé ”’immaculation” où les elfes et vampires se transformaient sur Tiamaranta. Étrange…! Mais je suis en vie, c’est ce qui compte!
C’est qu’on en a manqué des événements! Et je vous avoue que je suis loin d’être à jour sur tous les événements passés sur Tiamaranta. Je m’étais d’abord concentrée sur le moment présent, c’est-à-dire s’assurer de notre subsistance. Lustiel a sorti ses talents de marchand et moi, d’archère et de guérisseuse. Contrairement à ma mère qui a rejoint l’armée sélénienne, j’ai tenu à garder mon indépendance. J’étais également heureuse que mes parents se soient installés à Sélénia. Je pouvais rendre visite à mon père tous les jours. Tout cela pour dire que nous vivons maintenant dans une modeste demeure qui sert également de boutique générale et d’apothicaire. Nous ne manquons de rien.
Je ne me gênais pas à emmener mon ocelot et mon panda roux partout où j’allais. Je crois que les gens ont commencé à me reconnaître facilement dans les rues grâce à eux. J’avoue être rarement à la boutique, préférant sortir au grand air et voulant visiter Calastin. Et puis, il faut bien que quelqu’un aille se procurer toutes les plantes que Lustiel a besoin pour ses concoctions!
1764 : De nouveaux soucis à l’horizon
Ce nouveau monde n’est pas épargné par la violence et la maladie. La peste, la famine, les maux et les flammes sillonnaient les rues de Sélénia. Les remèdes sont vendus en grande quantité et je sortais dans les rues pour porter assistance à mon entourage. Les temps étaient durs, mais on gardait espoir. Le moral était bas pour les Séléniens jusqu’à ce que Claudius Havremont s’élève en sauveur. Mais mon moral continue d’être sombre. Dans l’événement que l’on surnomme la bataille des cendre, mon père a disparu. Jamais je ne croirai qu’il est mort! Il a disparu, mais où? Comment? Je voulais en avoir le coeur net. Je voulais tellement le retrouver! Je suis donc partie à sa recherche.
Pendant les semaines suivantes, j’ai sillonné l’île à la recherche d'informations. Tout ce que je voulais c’était une simple piste à suivre! Pouvait-il être sur une des autres îles que j’avais entendu parler? Pour le découvrir, je me suis résignée qu’il faudrait que je rebrave les flots. Beurk! Comme guerrière libre, je me suis trouvée du travail ici et là dans le but de me payer un passage en bateau.
C’est en juin que ma mère m’a appris la mauvaise nouvelle : durant la bataille des cendres, mon père a été vampirisé. J’ai été longuement bouleversée, je le suis encore. Heureusement, Lustiel m’a épaulé et m’a supporté dans cette nouvelle. Siel est là : à Nyn-Tiamat. Ce n’est peut-être plus le même homme jovial que j’aimais tant, mais je dois le revoir. Je dois trouver les réponses à mes questions. Pourquoi? Comment est-ce arrivé? Mais surtout, se souvient-il de moi?
Questions générales
Questions de Faction Empire Sélénien
Aërendhyl
Identité et caractéristiques
- Race : Sainnûr
- Sexe : Féminin
- Surnom : Petite (mais ne l’appelez pas comme ça!)
- Date de naissance : 15 mai 1564
- Age réel : 200 ans
- Age en apparence : Début vingtaine
- Lieu de naissance : Forêt elfique de l’ancien continent
- Lieu de vie : Sélénia
- Rang social : Bourgeoisie (noble sur l’ancien continent)
- Poste/Emploi : Guerrière libre
- Force : Faible
- Endurance : Moyen
- Coordination (agilité/réflexe) : Bon
- Furtivité : Très bon
- Perception : Bon
Caractéristiques physiques
- Force mentale : Moyen
- Education : Moyen
- Charisme : Moyen
- Intuition : Moyen
- Espérance/chance : Bon
Caractéristiques mentales
- Résistance physique : Moyen
- Résistance magique : Moyen
Résistances
- Magie : Très bon
- Expertise :
- Arme 1 : Arc : Très bon
- Arme 2 : Dague : Moyen
- Habileté : Moyen
- Navigation : Médiocre
- Equitation : Moyen
- Dressage : Maître
Compétences
- Bonus : L'ethnie Nywim (Sainnûr issus d'elfe) : Résistance magique
Bonus
Équipements (Optionnel)
- Arc
- Carquois
Glyphe : Stockage - Soutien : L’objet est capable d’emmagasiner un nombre illimité de flèches. Le type de flèche est déterminé lors de son retrait du carquois. - Flèches standards
- Flèches assommantes
- Dague et son étui
- Couteau de chasse
- Vêtements
- Cape et capuche
- Armure légère
- Brassards en cuir
- Bottes
- Gants
- Bague de mariage
- Ceinture utilitaire
- Corde
- Outre
- Silex
- Flasque en acier contenant de l’alcool fort
- Panda roux (niveau 2)
- Ocelot (niveau 3)
Description physique
Bleus
La mer s’élèvent lorsque les yeux de Kyla se posent sur votre personne. Ses yeux célestes semblent percer votre âme tandis qu’elle vous analyse avec soin et curiosité. Étincelants lorsque la bonne humeur caresse le coeur de la jeune dame, mais plutôt grisâtres les jours de mélancolie.
Ténébreuse
Si sa chevelure n’est pas noire, elle s’en rapproche énormément. La tignasse de Kyla lui arrive environ à la moitié du dos. Elle l’attache, souvent d’une tresse, pour éviter d’avoir les cheveux dans le visage.
Pointues
Ses oreilles effilées qui percent sa chevelure d’ébène rappellent la race elfique à laquelle elle faisait partie. Ce n’est donc pas étonnant que Kyla possède cette beauté, cette grâce et cette force surnaturelles liées à ce peuple.
Petite
Ce qui lui fait défaut, c’est sa grandeur. Tandis qu’elle est de taille comparable à une humaine, du haut de son mètre soixante, Kyla a l’air toute petite parmi les elfes. À l’allure fragile, il en est tout le contraire en réalité.
Porcelaine
Sans être blafarde ni albinos, le teint de sa peau est naturellement pâle. Sa préférence du milieu forestier ne l’aide pas à ce qu’elle devienne davantage basanée.
Svelte
Le corps de Kyla est élancé et fin. Elle n’est pas très musclée pour soulever de lourdes charges, mais sa forme athlétique démontre bien son entraînement, particulièrement celui à l’arc. Elle est agile et souple.
Nywin
Autrefois elfe, elle est désormais une Sainnûr. Facile à manquer du premier regard puisque les veinules caractéristiques sont très pâles, voire quasi absentes de son visage. Ces arabesques cuivrées se dessinent majoritairement au niveau de son dos, de ses bras et de ses jambes.
Cicatrice
Au niveau de sa jambe gauche se trouve le vestige d’une blessure. Le long trait entre le genou et la cheville provient d’un coup de lame, souvenir d’une vieille bataille.
Description psychologique
Pétillante
Kyla est une personne énergique dont la bonne humeur et le sourire sont contagieux. Extravertie, elle va vers les gens facilement. Elle ne se gêne pas à faire le premier contact pour emmener l’étranger dans une aventure rocambolesque ou l’inviter à faire la fête. Pleine de fougue, elle ne peut donner que son cent dix pourcent, jamais moins. Bienveillante, c’est une aura chaleureuse qui l’entoure. Tout le monde l’aime… ou presque.
Curieuse
Son plus grand désir est de découvrir le monde qui l’entoure. Kyla veut toucher à tout et veut comprendre tout ce qui lui échappe. Elle est fascinée rapidement par l’inconnu et n’a pas de gêne à le démontrer. Sa curiosité s’étend également aux gens et à leurs secrets.
Débrouillarde
Kyla n’a besoin d’un rien pour s’en sortir. Est-ce la chance qui lui a toujours souri? Ou son ingéniosité? Probablement un peu des deux.
Indépendante
La liberté est la valeur qui lui tient le plus à cœur. Jamais elle ne voudrait opprimer autrui et elle souhaite que ce soit réciproque. Kyla veut faire les choses à sa façon et elle désire aller où elle veut quand elle le veut. Libre comme l’air, c’est son plus grand désir.
Épanouie
On peut facilement dire que Kyla est bien dans sa peau. Son sourire est authentique, sa joie de vivre l’est tout autant.
Aime
Kyla aime la musique, le dessin et la danse, même si elle n’est pas toujours douée. Elle aime bouger en général. La nature et les animaux sont importants pour elle. Elle aime boire un p’tit coup et faire la fête.
Déteste
Kyla déteste les bateaux. Elle n’aime pas la monotonie. Les mensonges la contrarient et elle-même n’est pas capable de mentir. Elle a toujours peur de ne pas en avoir suffisamment, particulièrement en ce qui concerne l’eau et la nourriture. Elle n’aime pas décevoir autrui. Elle déteste la politique. Elle se choque lorsqu’on fait référence à sa petite taille.
On n’a qu’une vie.
C’est son motto. Cette phrase la suit partout, dans chaque action qu’elle pose.
Histoire en Détails
Chapitre 1
1564 - 1752 : Petite Aërendhyl
Je suis née sur l’ancien continent dans la forêt elfique. À l’époque, la magie était à son plus faible, mais c’était tout ce que j’avais toujours connu bien que les histoires d’antan me fascinaient. Kyla Aërendhyl est le nom qu’on m’a donné et c’est dans la noblesse que j’ai eu la chance de grandir. Jamais je n’ai manqué de rien. Enfant, j’étais choyée comme le plus grand des trésors existant. J’ai grandi dans un cocon protecteur où nul danger ne pouvait m’atteindre.
Mon éducation était tout ce qu’il y a de plus normal, ou du moins ce qui était attendu d’une noble elfette. Comme mes confrères et mes consoeurs, j’ai appris à prendre soin des animaux, à monter à cheval et à tirer à l’arc.. Mais à l’époque c’était seulement un passe-temps pour m’occuper, un peu comme la danse, la lecture ou le dessin.
Merci à mes parents qui ont toujours donné une importance à mon opinion. Je ne voulais pas de mariage arrangé. Je peux vous dire que plusieurs étaient intéressés à ma personne (dont Lustiel mon ami d’enfance). Je voulais le rêve, le coup de foudre! J’ai, en effet, brisé de nombreux cœurs ainsi que les ambitions de d’autres familles de toucher à la noblesse. Par chance, c’est un privilège de porter le nom Aërendhyl et difficile est la quête d’entrer dans la noblesse. Je n’avais aucun besoin d’élever moi-même mon statut social.
Mon adolescence m’a menée à devenir Enwr où j’ai parfait mon éducation. Pourquoi les Baptistrels? Le récit de la rencontre entre mes parents m’a toujours marqué et c’est la curiosité qui m’a d’abord et avant tout mené vers l’Ordre. Honnêtement, j’ai aimé la vie là-bas. J’étais en harmonie avec les principes baptistraux. J’ai appris à jouer à plusieurs instruments, pas tous très bien, au plus grand déplaisir de mes maîtres et amis. J’avais une meilleure affinité avec les instruments à cordes que ceux à vent. J’ai appris notamment le langage commun, les soins et la botanique. J’avais espoir de visiter la ville humaine dont mon collègue Aldarien me parlait souvent.
1753 : Chamboulement chez les elfes
Cette date me marquera toujours. Non seulement la magie était revenue avec le retour des dragons, mais les effroyables vampires étaient sortis de leurs souterrains. Plusieurs éléments se produisirent cette année-là. J’ai fait la rencontre d’un chat fantomatique et depuis, nous sommes liés tous les deux.
Sur une note moins joyeuse, des êtres provenant d’ailleurs sont arrivés sur le continent. Le problème était qu’ils étaient fanatiques du Néant, un groupe d’humains oppresseurs qui vouaient une haine à la magie. Elfes et vampires étaient persécutés. C’est ce qu’il aura fallu pour qu’une alliance se forme entre le peuple elfique, humain et vampirique. J’étais aux premières loges des négociations menées par les Baptistrels. Durant ces nombreux jours, je ne me suis pas gênée d’aller voir humains et vampires dont j’avais entendu parlé depuis si longtemps!
Je ne m’étais pas mêlée à la Bataille des Bois Sombres. C’est seulement lorsqu’elle fut terminée que j’ai apporté support et soins.
1754 : Rébellion et Bataille de l’Aube Rouge
Pourquoi étaient-ils appelés les Perles? Il n’y avait rien de joli là-dedans! Ce n’est pas de cette façon que je voulais explorer le monde!!! Pas en perdant mon chez moi par l’apparition d’un miasme dans le Domaine. Nous, les elfes, nous avons tous fui notre demeure pour pouvoir survivre. Ce sont dans les souterrains de la ville d’Althaïa que nous avons pris refuge. J’étais tellement fâchée de m’être fait arracher ma maison, ma sécurité, mon ciel et mes arbres! La seule consolation était d’être entourée par ma famille et mes proches.
J’étais dans les souterrains lorsque la bataille a commencé, là où les civils étaient supposément en sécurité. La paroi rocheuse s’écroula et l’entrée des Almaréens causa la panique. Dans le chaos, je me rappelle avoir tenté de les arrêter. En vain, la magie n’était d’aucune utilité contre eux. Ils étaient sans pitié. Ils s’attaquaient à des gens qui n’avaient jamais touché à une arme de leur vie et qui n’avaient aucune chance. Le cri des enfants était agonisant. J’ai finalement perdu connaissance suite à mes nombreuses blessures et par miracle j’ai survécu à cet atroce événement. Physiquement, j’en garde la marque d’une longue cicatrice à ma jambe. Oui, je sais qu’on pourrait me la faire disparaître, mais j’en garde le souvenir que la vie est fragile. Après ma convalescence, combien de corps avons-nous brûlé? Trop.
1755 - 1758 : Un monde terrible
Je n’ai pas eu le choix. Ou plutôt, j’ai fait le choix de vivre et cela signifiait d’enlever la vie à mes supposés ennemis. Soldate théocrate, j’ai renié mes valeurs pacifiques. J’ai appris à me battre à la dague et j’ai peaufiné mon tir à l’arc. Tandis que jadis ce n'était qu’un sport, désormais les cibles étaient bien vivantes. J'ai chassé les Protégés. En apparence surtout parce que si je pouvais leur apporter discrètement mon aide, je le faisais. J’avais une peur terrible de Morneflamme! Il n’était pas question qu’on me remarque et risquer qu’on m’y jette.
Les jours étaient sombres et ma seule consolation était d’être avec mon père et ma mère. On s’inquiétait pour nos proches, mais au moins, on était ensemble. Mon père avait encore le tour de me faire sourire. Il ne perdait pas espoir en de jours meilleurs et je m’accrochais à ses mots comme une prophétie.
J’avais pris le poste d’éclaireuse pour l’indépendance que cela m’apportait. Mes flèches assommantes étaient très utiles quand je rencontrais des Protégés en dehors de leur zone. Ce n’était pas possible de les épargner lorsqu’on était plusieurs théocrates ensemble. Je ne pouvais pas leur faire confiance pour ne pas vendre ma peau. C’est durant une de mes expéditions dans les plaines de l’Est que j’ai fait une étonnante rencontre: un petit ocelot blessé. Sa mère, ses frères et sœurs avaient succombé à leur agresseur. Je l’ai pris sous mon aile, je l’ai soigné et nourri. Depuis, il ne quitte plus mes côtés même s’il n’en a pas l’obligation.
Lorsque les prisonniers de Morneflamme ont pu sortir de leur infâme cauchemar, je me suis mise en route pour les retrouver. Mon expertise du terrain fut pratique pour les ramener sains et saufs jusqu’au désert.
La fin d’un temps arriva finalement : défaite du Tyran Blanc et mort de Dieux. Je n’ai pas versé une larme. Cela faisait longtemps que je ne remettais plus mon destin dans les mains des grands êtres. J’ai accueilli la fin de cette ère avec grand soulagement.
1759 - 1762 : Au revoir Ambarhùna
J’en ai franchement assez des catastrophes. Je ne veux plus entendre parler des Chimères, ces créatures qui nous ont dérobé notre continent et qui nous ont forcé à prendre les flots! Je ne veux plus rien savoir des bateaux. La tempête a séparé notre navire des autres. On a vogué je-ne-sais-où pendant je-ne-sais-combien-de-temps. On n’avait plus de chansons à réciter tant on les avait toutes faites. L’ennui était mortel! Ça, c’est sans parler des provisions qui ont commencé à manquer. On a rationné au début. Les gens étaient encore plein d’espoir. Puis à la fin, ils en avaient assez des poissons qu’on parvenait à pêcher (Les ex-prisonniers de Morneflamme se consolaient en se disant qu’ils avaient mangé pire… Maigre consolation XD Mon ocelot était le seul qui appréciait réellement la nourriture). On a utilisé la magie pour s’approvisionner en eau. Je dansais de joie quand il pleuvait.
TERRE!!! TERRE!!! Le plus beau mot au monde. Je l’ai embrassée!!! Et Lustiel m’a embrassée!!! Le geste m’a surprise sur le coup. Mais ce n’était pas réellement surprenant. Je connais Lustiel depuis ma toute petite enfance et je savais qu’il avait un œil sur moi. On s’était rapproché durant le voyage en bateau, pas le choix vu la proximité. Il est gentil et j’ai dit oui à sa demande en mariage. On n’a qu’une seule vie après tout!
La vie était agréable sur le petit îlot que je parvenais à oublier les supplices à travers lesquels j’étais passée. Vous ai-je dit que j’ai fait la rencontre d’un petit animal tout mignon que j’ai apprivoisé au fil des jours avec des petits fruits? Je n’en avais jamais vu avant. Il ressemble à un raton laveur mélangé à un ours, mais de couleur rousse avec des pattes noires. Trop mignon! J’ai réussi à ce que l’ocelot ne le mange pas, j’avoue que ça n’a pas été facile de lui faire comprendre que c’était un ami.
Je pensais sincèrement qu’on finirait notre vie sur ce petit îlot de terre. Mais le destin voulut le contraire.
1763 : Explosion de lumière
Je ne savais pas ce que c’était, mais j’étais comme une luciole attirée par les flammes. Piquée par la curiosité, je voulais m’approcher de l’origine de cette vague de magie et je fus la première à énoncer mon désir lors du conseil. Elle n’était pas si loin en plus! Mon père était aussi excité que moi à l’idée d’aller explorer un continent inconnu. Ma mère suivrait aussi ainsi que plusieurs autres. Mais pas tous: une grande partie appréciait la sérénité de leur petite île. J’ai dû convaincre Lustiel avec un ultimatum: j’allais y aller qu’il me suive ou non!
J’ai bravé malgré le dégoût que j’avais gagné envers les navires. Nous atteignirent la nouvelle terre sans embûche!
Dire qu’il y avait eu de la civilisation non loin où nous nous étions accostés! Calastin était le nom de l’île où nous arrivâmes et c’est là que nous avons décidé de nous installer, Lustiel et moi. Honnêtement, je n’avais pas envie de prendre à nouveau les voies maritimes pour se rendre sur l’île elfique qui, selon les rumeurs, avaient été ravagées par une étrange maladie. D’ailleurs, je pensais que la maladie de corail m’avait frappé lorsque j’ai commencé à me sentir mal. Mais j’ai finalement appris que ça n’avait rien à voir et que c’était plutôt un procédé appelé ”’immaculation” où les elfes et vampires se transformaient sur Tiamaranta. Étrange…! Mais je suis en vie, c’est ce qui compte!
C’est qu’on en a manqué des événements! Et je vous avoue que je suis loin d’être à jour sur tous les événements passés sur Tiamaranta. Je m’étais d’abord concentrée sur le moment présent, c’est-à-dire s’assurer de notre subsistance. Lustiel a sorti ses talents de marchand et moi, d’archère et de guérisseuse. Contrairement à ma mère qui a rejoint l’armée sélénienne, j’ai tenu à garder mon indépendance. J’étais également heureuse que mes parents se soient installés à Sélénia. Je pouvais rendre visite à mon père tous les jours. Tout cela pour dire que nous vivons maintenant dans une modeste demeure qui sert également de boutique générale et d’apothicaire. Nous ne manquons de rien.
Je ne me gênais pas à emmener mon ocelot et mon panda roux partout où j’allais. Je crois que les gens ont commencé à me reconnaître facilement dans les rues grâce à eux. J’avoue être rarement à la boutique, préférant sortir au grand air et voulant visiter Calastin. Et puis, il faut bien que quelqu’un aille se procurer toutes les plantes que Lustiel a besoin pour ses concoctions!
1764 : De nouveaux soucis à l’horizon
Ce nouveau monde n’est pas épargné par la violence et la maladie. La peste, la famine, les maux et les flammes sillonnaient les rues de Sélénia. Les remèdes sont vendus en grande quantité et je sortais dans les rues pour porter assistance à mon entourage. Les temps étaient durs, mais on gardait espoir. Le moral était bas pour les Séléniens jusqu’à ce que Claudius Havremont s’élève en sauveur. Mais mon moral continue d’être sombre. Dans l’événement que l’on surnomme la bataille des cendre, mon père a disparu. Jamais je ne croirai qu’il est mort! Il a disparu, mais où? Comment? Je voulais en avoir le coeur net. Je voulais tellement le retrouver! Je suis donc partie à sa recherche.
Pendant les semaines suivantes, j’ai sillonné l’île à la recherche d'informations. Tout ce que je voulais c’était une simple piste à suivre! Pouvait-il être sur une des autres îles que j’avais entendu parler? Pour le découvrir, je me suis résignée qu’il faudrait que je rebrave les flots. Beurk! Comme guerrière libre, je me suis trouvée du travail ici et là dans le but de me payer un passage en bateau.
C’est en juin que ma mère m’a appris la mauvaise nouvelle : durant la bataille des cendres, mon père a été vampirisé. J’ai été longuement bouleversée, je le suis encore. Heureusement, Lustiel m’a épaulé et m’a supporté dans cette nouvelle. Siel est là : à Nyn-Tiamat. Ce n’est peut-être plus le même homme jovial que j’aimais tant, mais je dois le revoir. Je dois trouver les réponses à mes questions. Pourquoi? Comment est-ce arrivé? Mais surtout, se souvient-il de moi?
Histoire - Questionnaire
Questions générales
Elles se décomposent en questions concernant les événements du vieux continent, et d'autres concernant les événements sur l'archipel.
- Sur le vieux continent :
- Pro-vampire, elfe ou humain ?
Pro-elfe, étant elfe. Mais surtout pro-paix, bref en autant qu’il n’y ait de pas violence - Lors de l'invasion almaréenne, étiez vous dans l'Alliance Fabius Kohan & Almaréen ou dans la Rébellion ?
Dans la Rébellion - Face aux miasmes du Néant, avez-vous combattu ou fui ?
Fui - A l'ère du Tyran Blanc, Théocratie ou Protectorat ?
Théocratie - Avez-vous été à Morneflamme ?
Non. - Avez-vous été possédé par une chimère ?
Non.
- Pro-vampire, elfe ou humain ?
- Sur l'archipel :
- L'archipel est un endroit à la fois splendide et plein de dangers : au(x)quel(s) votre personnage a-t-il été confronté, de près ou de loin, volontairement ou non) ? (Couronne de Cendres, Licornes, Ékinoppyre, séisme, monstres marins, etc..):
Aucun - Pro ou anti-lien ?
Aucun… Tant et aussi longtemps que les deux groupes concernés me laissent hors de leur conflit - Lors de l'ultime bataille contre les chimère, vous étiez... :
Absente, perdue en mer - En quoi avez-vous la foi ? (Néant, les 7 déesses, les Esprits Liés, Origine, rien...) :
Rien, si ce n’est en la chance en elle-même. - Votre/vos ambition(s), votre/vos projet(s) ?
Retrouver mon père vampire, explorer le continent et découvrir ses secrets - Un avis sur la magie ?
C’est bien la magie! - Un avis sur les autres races ?
Pas d’avis particulier
- L'archipel est un endroit à la fois splendide et plein de dangers : au(x)quel(s) votre personnage a-t-il été confronté, de près ou de loin, volontairement ou non) ? (Couronne de Cendres, Licornes, Ékinoppyre, séisme, monstres marins, etc..):
Questions de Faction Empire Sélénien
Cette partie contient des questions spécifiques à votre faction. Pour rappel, toutes les informations sur les factions se trouvent dans la section Factions.
- Sur une jauge allant de 1 à 10, à quel point soutenez-vous l'Empire ?
5 (pas vraiment. Neutre surtout) - Lors du soulèvement contre la Couronne Kohan ou étiez-vous ?
Loin de la politique - Comment a vécu ou qu'a pensé votre personnage de la famine qui a sévi dans l'Empire ?
Cela m'a rappelé le périple en mer où on a manqué de vivres alors j'étais très empathique envers les Séléniens. Le manque de nourriture ne m'a pas trop affecté, heureusement. - Comment avez-vous vécu ou que pensez-vous des événements qui se sont produits à Cordont ?(Effondrement, Ékinoppyre, exploration...)
Je suis très peu au courant de ces événements... Donc, je n'ai pas d'avis sur le sujet. À venir. - Un avis sur les autres factions ?
Pas vraiment.
Liens
- Vex'Hylia Aërendhyl : Ma mère m’a toujours comprise et soutenue. Je l’en remercie pour cela. Je l’aime beaucoup et je ne pourrais m’imaginer un monde sans elle. Ces derniers événements nous ont beaucoup rapprochés, surtout depuis la disparition de mon père. C’est elle qui m’a annoncé la triste nouvelle de la vampirisation de Siel.
- Siel Aërendhyl : Vampirisé?! J’ai du mal à le croire. Je ne pouvais pas croire qu’il était mort durant la bataille des cendres, mais je ne m’attendais pas du tout à ça. Malgré tout, je dois le revoir. Il a peut-être une petite partie de lui qui se rappelle de sa famille?
- Lustiel Aërendhyl : Je connais Lustiel depuis ma tendre enfance, c’est un ami de longue date. Je me doutais qu’il avait des sentiments pour moi, mais dans le royaume elfique, il n’avait jamais demandé ma main. Heureusement, car j’aurais sûrement refusé… Il a trouvé le courage suite à notre long et terrible voyage en mer. Et j’ai accepté parce qu’on n’a qu’une vie à vivre! Je l’aime sincèrement. Lustiel est une bonne personne et je suis une meilleure personne grâce à lui. Néanmoins, je me dois de m’éloigner pour un temps puisque je veux revoir mon père.
- Claudius de Havremont : J’ai eu l’occasion de le croiser à la boutique de mon mari. Ses services d’apothicaire lui semblaient apprécier. On a discuté à quelques reprises et il m’apparait sympathique. Je n’oserais pas me mettre à dos l’empereur de Sélénia en tout cas!
- Belethar Espérancieux : C’est un ami de longue date du temps que j’étais Enwr. On a fait de nombreuses activités ensemble. D’ailleurs, c’est le premier visage que j’ai vu lorsque j’ai repris conscience suivant la Bataille de l’Aube Rouge. Ses soins sont toujours appréciés!
- Aldaron Elusis : Aldaron fait parti des évadés de Morneflamme que j’ai aidé à retourner sains et saufs au Protectorat. Actuellement, j’ignore son implication dans la vampirisation de mon père.
- Ilhan Avente : Il paye bien et respecte sa parole. Suivant la recherche de travail, il a pris mes services comme mercenaire protectrice lors d’un de ses déplacements.
- Autone Falkire : Autone fait partie des évadés de Morneflamme que j’ai aidé à retourner sains et saufs au Protectorat.
Derrière le clavier
- Petite présentation : J’aime les licornes! Et les pandas roux! J’aime pas tant me présenter sur fiche de présentation! =P
- Particularité RP ? Euh... je sais pas.
- Rythme RP ? Je suis une tortue.
- Comment as-tu découvert le forum ? J’étais là, à ses débuts =P
- As-tu signé le reglement ? Oui