PANAA
SANUNNOM
Panaa possède un anneau autour de son oreille droite à la base. L’anneau est assez épais, où est annoté une Glyphe de soutien. L’anneau à été crée à partir de la sève des arbres entourant son village natal. C’est une glyphe de soutien stoïcisme offert par son père.
Il possède aussi un collier, le collier des esclaves mais n’est plus attaché par des chaînes.
Panaa, est plus petit et moins musclé que beaucoup d’autre graarh. 2 ans d’asservissement ne l’ont pas aidé à grossir, néanmoins ses muscles se sont davantage dessiner sous son pelage. Son pelage est un camaïeux de beige, ressemblant à ceux des Puma, il a aussi des reflets dorés sur les extrémités de son corps, et des taches ressemblant à celle du léopard parcourent ses flans souvent caché par un simple maillot. Ses mains et ses pattes sont couvertes de petites cicatrices, dû au travail ou à des coups reçus de ses maîtres. Sur son bras gauche une cicatrice qui partait du haut de l’épaule au bas du coude. Il a des trais très fin qui rappelle ceux d’une femelle, par ailleurs depuis ses 6 ans on le considère comme une femelle et ne redit rien à cela. Il a des grand yeux vert avec de long cils qui vient renforcer son aspect androgyne. Il a deux petites cornes derrières ses oreilles légèrement doré au soleil/
Panaa, est un graarh qui puise beaucoup dans ses réserves. Il aime le travail bien fait, qu’on l’oblige à le faire ou non. C’est un garçons qui prend beaucoup sur lui et reste concentrer sur ce qu’il vit au moment donné. Il se dit très souvent que ce n’est qu’un mauvais moment à passé et que ça va bien finir un jour. Il sait que son physique n’est pas sa force, et n’essaye pas de désobéir. Il est très curieux de tout et aime découvrir de nouvelles choses, il apprend très vite mais garde ses acquis pour lui. Il n’est pas bavard et reste souvent dans ses pensées. C’est un grand observateur et aime espionner tout se qu’il se passe. Grace à ça il sait déduire pas mal d’information et évalué ses chances. Cependant ce penchant tend véritablement vers du voyeurisme. Il est aussi de nature patiente et très pieuse. Il porte très attention aux esprits et à son culte. Néanmoins Panaa a des troubles de la mémoire et peu oublié des éventements traumatisants qu’il a vécu, ou des semaines entières aléatoirement. Cela peut impacté des souvenirs important comme une taches qu'on lui avait demandé, ou une adresse, une conversation. Ses troubles ne semblent pas interférer avec sa mémoire à long terme. Il est aussi réservé et soumis à cause de son asservissement. On lit en lui comme dans un livre et ne sais pas cacher ses émotions. Bien que vivant chez les Pirates depuis 2 ans, il ne ment pas.
Chapitre 1
Les couleurs vives des fleurs, voilà mon premier souvenir. Lié à l’odeur du lait que je prenais sur les tétines de ma mère, une guerrière. Sa voix nous enveloppait lorsqu’elle nous contait récits et légende, mes poils beige se hérissèrent. J’aimais qu’elle nous décrive chaques détails des batailles. J’étais bien plus fasciné que mes autres frères. C’est à ce moment que prit conscience. J’étais Graarh sur la terre Néthéril. La pluie et le soleil si battaient l’année. Le vent fouettait mon visage poupin devant la mer. On m’appelait Anaitik. Cela voulait dire frêle, petit, fragile. Après tout je l’étais. Une boule aux grand yeux vert. Je tombais souvent en voulant suivre mes frères, mais je me relevais toujours. Je scrutais leur manière de faire, la joue dans le sable et je me redressais. persévérant je finissais toujours par réussir. Je recréais avec les autres jeunes les scènes des récits de nos mères. Je harcelais les autres avec ses histoires d’un ancien temps. Et puis un jour, vint la cérémonie des esprits. J’étais si fière d’y participer. Et puis lorsque j’ai vus, les couleurs, les glyphes dessiner, le rituel, j’ai su que j’étais destiné à servir les esprits. Ma deuxième cérémonie étaient celle des moussons. Toujours autant impatient d’observer les grands ramener les proies, voir resplendir le feu des sacrifices. Les yeux pleins de lumière, je restais des jours songeur, imaginant les cérémonies dans les grands village. Je sortais de mes songes quand mon père nous emmenait, mes frères et moi à la pèche. Sur le petit bateau ou à la rivière on apprenait, chacun son tours. Étonnement, j’étais assez agile sur le bout de bateau, mais le plus difficile était de de tirer les filets, alors mes frères prenaient le relais. J’observais mon père faire et j’imitais, j’écoutais ses conseilles et j’appliquais, c’était plaisant. A la rivière j’étais doué pour pêcher avec mes mains. J’observais à l’écart de tous, sans bouger, l’eau qui ondulait calmement et là ! Au moment où le poisson passait je plongeais. J’étais pas le meilleur non, ça serait mentir, mais cette fois je n’étais pas le dernier. Grace à l’observation j’avais enfin un avantage ! Néanmoins, il fallait aussi apprendre à combattre. Vous vous en doutez, ce ne fut point glorieux. A mains nue, j’étais peu doué, trouvé les bonnes prises pour renverser mon adversaire étaient difficile. J’appris surtout à recevoir et éviter les coups. Mon père n’était pas très fière, il essaya de m’apprendre l’art de la faux de combat et ce fut pas une surprise. Ce n’était pas mon truc le combat. Alors mon père perdit un peu espoir.
A ma Troisième année, Notre père nous emmena chez une vielle Graarh, à l’écart du village, plus dans la foret. Une vielle bâtisse, et ici il offrit à chacun un anneau avec une glyphe. Au moment de me donner le mien, il prit un anneau différent à la vielle dame. Il me dit que si je ne savais pas me battre, mais seulement esquiver, je devrais recevoir une glyphe qui pouvait m’être utile. On prit un aiguille de bambou et on me perça l’oreille pour apposer l’anneau. Ne bougeant pas, je sentis mon oreille chauffer. Ce n’était pas agréable et la vielle femme riait car un de mes frères avait versé une larme. Quand on partirent, j’en fut soulagé. Suite à ça on continua nos journées entre prières, pèche et combat, même si j’étais à l’écart . C’est un ami de mon père qui lui souffla l’idée de me faire combattre avec un bouclier. L’art de la faux ou du combat à main nue n’était pas à ma porter, mais celui du bouclier l’était un peu plus. Alors je pus enfin m’entraîner comme mes frères. Toujours en retard, mais toujours présent. Alors on me considéra un peu plus. Sauf que moi ce qui m’intéressais c’était d’observer les gens. Alors souvent j’arrivais en dernier à l’entraînement car j’avais trop longtemps observé les adultes du village. J’espionnais leurs conversations et leur venu. Parfois je regardais pas leurs fenêtres. C’était comme ça que j’apprenais, j’observais et puis j’imitais. Je prenais l’habitude de courir à mes cachettes après le travail et l’entraînement. C’était souvent des endroits reculés et j’espionnais les animaux ou les Graarh qui chassaient ou péchaient, certain s’éloignaient pour avoir de l’intimider, mais ils ne savaient pas que je pouvais les apercevoir. Un penchant un peu malsain si jeune.
J’avais 4 ans quand mon père m’apprit à écrire, passionné comparé à mes frères. C’était sommaire, mais cela m’allait. J’adorai apprendre des choses, et pour satisfaire cette envie je continuais d’espionner le village. Certains adultes me sermonnaient, et je remarquais que lorsque les adultes ne me connaissaient pas ils me parlaient comme à une fille. Ça ne me gênait pas, c’est vrais que j’avais des traits fin et mes grands yeux rappelaient ceux d’une fille. De plus en plus on me confondait avec une fille. Une fois une Graarh avait rapporté à mon père mon espionnage, mais étant donné qu’elle avait dit que c’était une petite femelle qui l’espionnait, mon père ne fit pas le rapprochement tout de suite et j’eus le temps de trouver des arguments. ça me plaisait.
Chapitre 2: L’apprentissage
A mes 5 ans j’allai espionner, je traquai une Graarh, imposante, intimidante. Elle se dirigea vers la maison de la vielle Graarh de ma glyphe. Intrigué je contournai la bâtisse pour les regarder par la fenêtre. Caché dans l’ombre, je vis la vielle dame préparer plein de choses, un rituel commençait. A nouveau j’étais sidéré devant un tel spectacle, C’était magique.Je restai tout du long, même quand la Graarh est sortis de là, des poils en moins, mais sublimée de glyphe. Penseur je ne remarquai pas la vielle dame qui ouvrit brusquement la fenêtre. Grognant, elle me parlait comme si elle parlait à une fille, et moi ignorant son grognement je demandai ce qu’elle faisait. Alors elle referma la fenêtre, fit le tour de la maison avec un balais et me chassa. La nuit, je rêvai de ce moment et plein de questions me venaient. Il fallait que j’y retourne, c’est alors que pendant 1 mois tout les jours j’y suis retourné. Je me cachais mieux cette fois. Plus discret. Et pendant 28 jours la vielle ne fit rien. Au 29 eme jour, elle sortit de la maison, sans balais, se dirigea vers mon tas de feuille où j’étais et donna un coup dedans. Un coup sec et dur qui me fit me redresser avec difficulté. Elle prit mon bras violemment et me tira jusqu’à l’intérieur. Mon cœur battait à la chamade. La même odeur d’épice et de fleurs séchées me rappela ma premiere venus, deux ans auparavant. Elle me fit asseoir dans un coin et elle continua sa journée. Alors le lendemain je revint, devant la porte j’attendis. Elle ouvrit, me toisa et me grogna que la vielle j’avais pas fait à manger, que c’était un irrespect pour elle et pour mon corps de mal se nourrir. Alors je courus à la rivière, pécher. Et je ramenai de quoi manger. Ainsi chaque jour, je pris l’habitude d’aller pêcher, puis d’aller chez elle, je posais le poisson. Me lavait les mains et elle me disait quoi faire. Parfois elle me laissait seul et je nettoyais la maison. Cette femme parlait peu, c’était génial à observer, je pouvais rester pour les rituels et peu à peu je participais. Je la suivais. Là bas je n’étais plus Anaitik. Je n’étais même pas le petit Graarh. J’étais juste moi. Pour la vielle femme j’étais, « toi », j’étais « elle », j’étais « la gamine ». Cela m’allait.
A mes 6 ans, je partis de chez mon père après un dernier entraînement au bouclier. Je pris un piège à poisson, un bouclier et un sac. J’allai jusqu’à chez la vielle dame pour demander à devenir son apprentis. Alors, j’étais devant sa porte, et quand je lui demanda elle ria. Le même rire moqueur qu’a mon frère 3 ans avant. Elle ria qu’elle n’avait pas de place où me coucher. Je posai mes affaires près de sa porte et partis chercher du bois, de quoi me faire une cabane, près de la maison, juste en face. Une habitation qui prenait l’eau, pas très droite et qui faisait pale mine devant la bâtisse. La vielle dame rigola et accepta. Je devins son apprentie et je pris un nouveau nom Pannaa Aankhen. Yeux émeraude. On m’appelait Pannaa. Mes trais restèrent fin et mes yeux trompaient les hommes. J’étais Pannaa l’apprentie de la vielle Sunahara, la vielle doré. Chaque jour, j’allais pécher, j’apprenais auprès de Sunahara. Je priais les esprits, et j’offrais mes meilleurs poissons. Les plus belle fleurs que je cueillais. Et lorsque j’avais un moment je refaisais ma cabane. J’allais même demander aux bâtisseurs de l’aide contre des petits soin que la vielle me laissai faire. Je passais 4 ans comme ça. J’avais 9 ans, l’an 1761. Des arrivants étaient apparut. Très différent de nous. Je me méfiais autant que j’étais intrigué par ses nouveaux peuples. Ils sont arrivé à l’ouest de Néhérie. Et ils se sont installés, voilà se qu’on disait. La communauté s’était tendu, mais pour le moment rien.
Chapitre 3: l’asservissement
En début 1762, j’allai à un village faire un soin d’un homme au pied tordu. C’était un village moyen, qui vivait surtout de la pèche. Il faisait chaud, c’était juste après le pic de chaleur. Sur le chemin qui longeai les côtes, j’aperçus énorme, immense. Un bateau avec une voilure démesuré. Deux autres plus petits étaient là aussi. Je me faufilais entre les branches, cacher dans la nature je voulais voir ça de plus près. Le mat montait si haut dans le ciel, et la coque ne semblait pas être du bois d’ici. J’avais jamais vus ça. L’équipage semblait revenir au bateau. C’est alors que je vus qu’il tenait au fer des Graarh. Des jeunes, des vieux, des femmes et des hommes Graarh, avec des collier et des chaînes. J’eus envie de m’enfuir, mais je sentis une mains sur mon dos et puis d’un coup ils étaient plusieurs autour de moi. Il fallait me débattre mais ils avaient des armes et moi mes quelques plantes, je savais que mon couteau à cueillette ne me servirait pas. Je lançai un regard vers les autre Graarh. Ceux qui se débattait était frapper, les autres on les emmenait dans le bateau, le grand. Je regardai alors mes ravisseurs sans poil. Il était étrange, On ne me les avait as décrit comme ça, ces nouveaux hommes. C’est avec une boule au ventre que je compris, qu’il était très organiser, il avait dû attaquer la village où j’allais pendant l’heure du repos. Peux être avait ils même piégé les guerrières et guerriers. Triste moment, quand à mon tour on me passa les fer. Je montai dans le bateau sans rien dire. Sans un coup, on m’insulta sur le passage, d’autre Graarh qui ne comprenait pas que je ne me défende pas. Mais à quoi bon, j’étais pas faite pour le combat. J’étais Pannaa, pas mes frères. Je savais ce que je risquais en me débâtant. Celui qui m’avait insulter se prit un coup sur le museau pour avoir grogné à mon égare, et la dernier image que j’eus de lui c’était son museau qui saignait légèrement. Je regardais droit devant moi tandis que je montai.
J’observai tout. Et puis après que tout le monde fut embarquer, plonger dans le noir d’une cave de bateau, une cale. On prit la mer. Il eu des pleures et des hurlements de désespoir. J’attendis que tout se passe. J’attendis que la lumière revienne. Tout les jours on fit sortir 3 personnes. A nous autre on jetait de la nourriture sur le sol. Lorsque je sortis, la lumière m’éblouis. Je vus deux Graarh une vielle et un autre qui nettoyait plus loin. On nous cria dessus en nous jetant un sceau. Les deux Graarh nous faisait signe discrètement de prendre le sceau. Je pris le sceau aussi vite que possible, une brosse était dedans. Je la pris dans la main et me mit à genoux pour nettoyer . Observer, imiter.
Le second se pris des coups de bâtons tant qu’il n’avait pas prit le sceau, tandis que le dernier nous insultait et grognait ses ravisseurs. Il fut prit par ces nouveaux hommes et poussé dans l’eau. Frémissant, nauséeux, je faillis vomir. J’étais l’un des premiers esclaves Graarh.
Je pris sur moi et frottai d’avantage. Me brûlant la patte avec la friction. Lorsque la nuit tomba, on allait dans un autre cale, sombre et humide. On dormi sur le sol. Et le lendemain il eu 3 autres Graarh de sortit. Se soumettre ou la mort. C’était simple. Je reconnus qu’il avait plusieurs sortes de ravisseurs, plusieurs races. C’était déroutant de les voir d’aussi près, ses hommes venues de l’océan, aux visages étranges. Tout était très encadrés sur le bateaux, surtout nos déplacements. Nous étions moins d’une dizaine quand ils ont arrêté d’en sortir de la grande cale. Parmi cette dizaine, il eu un malade puis un autre, en tout 4 sont mort jeté par dessus bords. Je ne connaissais pas les maux dont ils étaient prit. Nous étions 5 à frotter, certain s’occuper de tirer l’ancre ou d’aider à la voilure, s’occupaient de donner à manger à ceux rester dans l’obscurité. Je m’occupais des barrières et du sol, toujours propre. Je faisait de mon mieux avec mes pattes qui me brûlaient à force de frotter. Mes jambes qui fatiguaient et ma tête qui prenait le soleil de plein fouet. Le 6 éme jours, on s’arrêta, j’apercevais un autre village dans la brousse. La plage se rapprocha petit à petit et tout le monde se mit à bourdonner. Les ordres étaient difficile à suivre dans une langue que l’on ne connaissait pas. Je me souviens avoir prit un gros coup derrière la tête. Et le bateau se mit à tourner. Je tenais fort la barrière et puis toute a scène se déroula sous mes yeux troublés. Comme si on m’avait oublié devant un spectacle. Les nouveaux hommes accosta, il faisait très chaud. Dans un silence ils se séparèrent en plusieurs groupes armés. J’observais leur attaque sur le village, j’entendis à peine les cris des enfants au loin. Je ne sais plus si c’était la coup ou l’état de stupeur, mais je ne fis pas un geste. Je me souviens même pas de ce qu’il se passait autour de moi. Perdu devant le théâtre de violence. Le feu monta dans le ciel là où était le village, et traîné au sol les Graarh arrivaient aux bateaux. On ouvrit les portes de la cale, et on les poussèrent dedans. Je me souviens d’un visage, celui d’un ados comme moi. Ses trais étaient tirés et son visage tordu par la peur et la colère.
C’est une fois les portes refermés sur la vie des nouveaux passager que je réalisai ce qu’il venait d’arriver encore une fois. Fébrile je repris mon éponge, fit quelques pas et recommençai à nettoyer. Comme si rien ne c’était passé. Ce soir là, nous étions bercé par les hurlements et les pleures. Ce soir là je compris ce qu’il c’était passé sur le bateaux lors de l’attaque. Les autres avait été enfermé dans la cale, j’avais été oublié sur le pond, je ne réalisais pas tout de suite que le regard de colère du jeune Graarh m’était destiné, vus comme seul traître.
Ce soir là , la vielle Sunahara me manqua terriblement. L’odeur des herbes et des encens, la lumière tamisé de la battisse. Et les hurlements des nouveaux s’arrêtèrent.
Au bout d’une semaine on accosta de nouveau. Cette fois, on nous laissa sur le pond, mais on nous attachèrent aux barrières. Comme étendard de l’esclavage des Graarh. On reconnu l’ouest de Néhéril. Chacun se regardait, avec nos fer aux pattes qui se risqueraient à fuir ? Le coeur battant, les portes de la cale aux esclaves s’ouvrit. Et puis les premiers Graarh sortirent de la cale, pousser et frapper vers le ponds pour descendre du bateau. Je fermai mes yeux, c’était trop pour moi. Parcourus de tremblement, et pour le premier fois je ne voulais plus voir. De mes 10 ans, j’en avait trop vus.
Après que tout le monde fut en bas, On nous ordonna de nettoyer la cale. Là encore j’aurais aimé ne plus rien voir, ni sentir. J’eus plusieurs haut-de-coeur. Il y avait là dedans des corps. Ce fut mon dernier souvenir. Car après ça, je me rappelle de rien.
Pendant des mois nous avons du vivre encore et encore les mêmes moments. Mes compagnons changeaient, mort, emmener, vendu… Moi je restait sur ce bateau. Je commençais à connaître le fonctionnement. Je faisais machinalement ce qu’on me demandais. Et je répondais au nom de « Heytoi », « Machin ».
On voyage à travers l’archipel pour apporter les esclaves et moi je lavais, je portais, je tirais.
Chapitre 4: Le Maelstrom
Je repris conscience de moi, lorsqu’on me fit descendre à mon tour du bateau. Je fut surpris car je comprenais les ordres qu’on me disait. Et j’aperçus mon reflet dans une vitre d’une boutique en pierre. Il était celui d’un Grarh pas bien nourrit, mais je gardais mes trais féminins et la lueur dans mes yeux me donnèrent de l’espoir. Je me tournis vers les hommes qui me tenaient à peine. Il me disait d’avancer, alors j’avançai. J’obéis à chaque mot. On arrivâme devant un autre bateau. Lui aussi était beau, gravé de Glyphe en tout genre. Deux hommes parlaient, l’un dont la peau était grise semblait être le chef de se bateau. Je regardai attentivement. Je compris que j’étais donner en cadeau. Un bon esclave docile pour de la bonne main d’œuvre. Alors on enleva mes chaînes qui appartenaient à l’autre bateau. On voulus m’en remettre. On s’approcha de moi. Et le regard plonger dans celui qui voulait remettre des chaînes à mon collier, j’articulai avec difficultés.
-NoOn, Pa bezin, jeu obirr.( Non, pas besoin je vais obéir)
Leurs yeux devinrent rond, étonnés ils regardaient leur chef. Grace aux esprits, il avait à coté de moi, un homme qui pennait à porter une caisse. Je marchai avec aisance jusqu’à lui. Les têtes ahuris des hommes me jugeaient. Ils étaient tellement stupéfait qu’ils ne firent rien. Je pris la caisse et aidai l’homme. Le contenu n’était pas si lourd, mais peux être que pour un homme cela faisait de trop. Je fis mes premiers pas sur ce nouveau bateau. Je restais un esclave, mais je n’avais pas les fer des autres. Je continua à obéir et me taire. J’avais trouvé une carte : la parole. Le soir je m’entraînais un peu à parler, murmurant . 3 à 4 mois de navigation je compris que ce vaisseau là volait les autres. On avait souvent des cargaisons d’objet volé, il eu même des diamants. Ces pierres me rappelaient mon apprentissage, ici il avait une valeur d’argent. Oui, Ici c’était peu respectable, d’ailleurs peu de personne semblait l’être . Mais après tout je ne l’étais plus non plus, j’avais accepter mon statuts. Panaa l’esclave.
Je devais bien travailler car souvent on me laissai en paix dans mes tâches, seulement je n’avais pas la liberté de partir. C’est pour ça que jamais je ne pus partir. Je savais que ma tentatives seraient couronnés de la mort. J’étais toujours suivis de quelqu’un, j’avais toujours mon collier d’esclave bien que plus attaché à des chaînes. J’étais confronté à une nouvelle vie bien plus violente, ponctué de changement dans l’équipage. Je comprenais que le chef du bateau gravissait des échelons
Son nom était Nathaniel Eärendil.
A mes 11 ans, On fit la mauvaise rencontre des chimères, affreuse créature à tête d’oiseau. Je m’étais déjà un peu battus, mais j’avais extrêmement peur qu’ils arrivent jusqu’à nous. On perdis un bateau. Plus tard, me vint aux oreilles que la légion des cendres, celle de mon histoires de mon passé celui des Grand Graarh tombés en 7 nuits et 5 jours ; que cette légion revenait. Des morts étaient revenus à la vie, un portail avait apparus. J’aurais tant aimé être là bas, pouvoir revenir sur mon territoire et revenir auprès des miens. Mais j’étais rester sur le quais avec les cargaisons à ranger. Durant le début 1763, les attaques des chimères furent difficiles à supporter. J’avais toujours la peur au ventre malgré tout se que j’avais déjà vus. Il y avait des combats, il y avait des flottes qui se perdaient, il y avait une guerre de la peur avec des possessions. C’était incompréhensible et chaque nouvelles brides d’informations que j’avais n’avait pas de sens. Et lorsque la vrais bataille débuta, j’étais sur le bateau, un bouclier dans les mains. Je n’aie de cette bataille que des souvenirs incohérents. J’en suis sortis blesser au bras, un balafre du haut de l’épaule au coude. Je soignai mon bras avec les plantes de la cuisine. Au début 1764, après 2 ans de travail forcé et péripéties subis, vint une guerre déchirante. Graarh contre la grande ville Pirate Athgalan. Là encore je n’eus pas l’occasion de m’enfuir, de prendre les armes contres ses pirates qui m’avait asservis. On m’avait enfermé dans la cale du bateau où je dormais avec les autres esclaves, pour que nous puissions pas nous rebeller. La rage avait bouillis en moi pour la première fois. J’étais rester dans la frustration longtemps, même après la bataille. Les pirates finirent vaincu et partirent sur l’île des chimères et on ne fit plus d’attaque à mon Île natal.
J’ai maintenant 12 ans. Je suis Panaa sansunnom, mais on m’appelle « heytoi ». Je sais parlé comme l’homme, mais je le cache comme mes connaissances en soin et esprits et glyphe. J’aide grâce à ma bonne connaissance du bateau, et je porte, soulève, tire et trime au grès des humeurs de mes maîtres.
On me dit bonne esclave, je sers parfois les repas aux capitaines lorsque on est en mer.
Questions générales
Questions de Faction Pirates
SANUNNOM
Identité et caractéristiques
- Race : Graarh
- Sexe : M(Androgyne)
- Surnom : Hey toi
- Date de naissance : 13/06/1752
- Age réel : 12 ans
- Age en apparence : 12 ans
- Lieu de naissance :Néthéril
- Lieu de vie : Le maelstrom
- Rang social : Esclave
- Poste/Emploi : Esclave
- Force : Très faible (pour un graarh de son age)
- Endurance : Bon
- Coordination (agilité/réflexe) : Bon
- Furtivité : Moyen
- Perception : Très bon
Caractéristiques physiques
- Force mentale : Bon
- Education : bon
- Charisme : Faible
- Intuition : Bon
- Espérance/chance : Faible
Caractéristiques mentales
- Résistance physique : Bon
- Résistance magique : Moyen
Résistances
- Magie : Très faible
- Expertise :
- Arme 1 : mains nue : faible
- Arme 2 : faux de guerre : Très faible
- Arme 3 : bouclier : moyen
- Habileté : Bon
- Navigation : Bon
- Equitation : Médiocre
- Dressage : Moyen
Compétences
- Bonus : Dressage (Graarh)
Bonus
Équipements (Optionnel)
Panaa possède un anneau autour de son oreille droite à la base. L’anneau est assez épais, où est annoté une Glyphe de soutien. L’anneau à été crée à partir de la sève des arbres entourant son village natal. C’est une glyphe de soutien stoïcisme offert par son père.
Il possède aussi un collier, le collier des esclaves mais n’est plus attaché par des chaînes.
Description physique
Panaa, est plus petit et moins musclé que beaucoup d’autre graarh. 2 ans d’asservissement ne l’ont pas aidé à grossir, néanmoins ses muscles se sont davantage dessiner sous son pelage. Son pelage est un camaïeux de beige, ressemblant à ceux des Puma, il a aussi des reflets dorés sur les extrémités de son corps, et des taches ressemblant à celle du léopard parcourent ses flans souvent caché par un simple maillot. Ses mains et ses pattes sont couvertes de petites cicatrices, dû au travail ou à des coups reçus de ses maîtres. Sur son bras gauche une cicatrice qui partait du haut de l’épaule au bas du coude. Il a des trais très fin qui rappelle ceux d’une femelle, par ailleurs depuis ses 6 ans on le considère comme une femelle et ne redit rien à cela. Il a des grand yeux vert avec de long cils qui vient renforcer son aspect androgyne. Il a deux petites cornes derrières ses oreilles légèrement doré au soleil/
Description psychologique
Panaa, est un graarh qui puise beaucoup dans ses réserves. Il aime le travail bien fait, qu’on l’oblige à le faire ou non. C’est un garçons qui prend beaucoup sur lui et reste concentrer sur ce qu’il vit au moment donné. Il se dit très souvent que ce n’est qu’un mauvais moment à passé et que ça va bien finir un jour. Il sait que son physique n’est pas sa force, et n’essaye pas de désobéir. Il est très curieux de tout et aime découvrir de nouvelles choses, il apprend très vite mais garde ses acquis pour lui. Il n’est pas bavard et reste souvent dans ses pensées. C’est un grand observateur et aime espionner tout se qu’il se passe. Grace à ça il sait déduire pas mal d’information et évalué ses chances. Cependant ce penchant tend véritablement vers du voyeurisme. Il est aussi de nature patiente et très pieuse. Il porte très attention aux esprits et à son culte. Néanmoins Panaa a des troubles de la mémoire et peu oublié des éventements traumatisants qu’il a vécu, ou des semaines entières aléatoirement. Cela peut impacté des souvenirs important comme une taches qu'on lui avait demandé, ou une adresse, une conversation. Ses troubles ne semblent pas interférer avec sa mémoire à long terme. Il est aussi réservé et soumis à cause de son asservissement. On lit en lui comme dans un livre et ne sais pas cacher ses émotions. Bien que vivant chez les Pirates depuis 2 ans, il ne ment pas.
Histoire en Détails
Chapitre 1
Les couleurs vives des fleurs, voilà mon premier souvenir. Lié à l’odeur du lait que je prenais sur les tétines de ma mère, une guerrière. Sa voix nous enveloppait lorsqu’elle nous contait récits et légende, mes poils beige se hérissèrent. J’aimais qu’elle nous décrive chaques détails des batailles. J’étais bien plus fasciné que mes autres frères. C’est à ce moment que prit conscience. J’étais Graarh sur la terre Néthéril. La pluie et le soleil si battaient l’année. Le vent fouettait mon visage poupin devant la mer. On m’appelait Anaitik. Cela voulait dire frêle, petit, fragile. Après tout je l’étais. Une boule aux grand yeux vert. Je tombais souvent en voulant suivre mes frères, mais je me relevais toujours. Je scrutais leur manière de faire, la joue dans le sable et je me redressais. persévérant je finissais toujours par réussir. Je recréais avec les autres jeunes les scènes des récits de nos mères. Je harcelais les autres avec ses histoires d’un ancien temps. Et puis un jour, vint la cérémonie des esprits. J’étais si fière d’y participer. Et puis lorsque j’ai vus, les couleurs, les glyphes dessiner, le rituel, j’ai su que j’étais destiné à servir les esprits. Ma deuxième cérémonie étaient celle des moussons. Toujours autant impatient d’observer les grands ramener les proies, voir resplendir le feu des sacrifices. Les yeux pleins de lumière, je restais des jours songeur, imaginant les cérémonies dans les grands village. Je sortais de mes songes quand mon père nous emmenait, mes frères et moi à la pèche. Sur le petit bateau ou à la rivière on apprenait, chacun son tours. Étonnement, j’étais assez agile sur le bout de bateau, mais le plus difficile était de de tirer les filets, alors mes frères prenaient le relais. J’observais mon père faire et j’imitais, j’écoutais ses conseilles et j’appliquais, c’était plaisant. A la rivière j’étais doué pour pêcher avec mes mains. J’observais à l’écart de tous, sans bouger, l’eau qui ondulait calmement et là ! Au moment où le poisson passait je plongeais. J’étais pas le meilleur non, ça serait mentir, mais cette fois je n’étais pas le dernier. Grace à l’observation j’avais enfin un avantage ! Néanmoins, il fallait aussi apprendre à combattre. Vous vous en doutez, ce ne fut point glorieux. A mains nue, j’étais peu doué, trouvé les bonnes prises pour renverser mon adversaire étaient difficile. J’appris surtout à recevoir et éviter les coups. Mon père n’était pas très fière, il essaya de m’apprendre l’art de la faux de combat et ce fut pas une surprise. Ce n’était pas mon truc le combat. Alors mon père perdit un peu espoir.
A ma Troisième année, Notre père nous emmena chez une vielle Graarh, à l’écart du village, plus dans la foret. Une vielle bâtisse, et ici il offrit à chacun un anneau avec une glyphe. Au moment de me donner le mien, il prit un anneau différent à la vielle dame. Il me dit que si je ne savais pas me battre, mais seulement esquiver, je devrais recevoir une glyphe qui pouvait m’être utile. On prit un aiguille de bambou et on me perça l’oreille pour apposer l’anneau. Ne bougeant pas, je sentis mon oreille chauffer. Ce n’était pas agréable et la vielle femme riait car un de mes frères avait versé une larme. Quand on partirent, j’en fut soulagé. Suite à ça on continua nos journées entre prières, pèche et combat, même si j’étais à l’écart . C’est un ami de mon père qui lui souffla l’idée de me faire combattre avec un bouclier. L’art de la faux ou du combat à main nue n’était pas à ma porter, mais celui du bouclier l’était un peu plus. Alors je pus enfin m’entraîner comme mes frères. Toujours en retard, mais toujours présent. Alors on me considéra un peu plus. Sauf que moi ce qui m’intéressais c’était d’observer les gens. Alors souvent j’arrivais en dernier à l’entraînement car j’avais trop longtemps observé les adultes du village. J’espionnais leurs conversations et leur venu. Parfois je regardais pas leurs fenêtres. C’était comme ça que j’apprenais, j’observais et puis j’imitais. Je prenais l’habitude de courir à mes cachettes après le travail et l’entraînement. C’était souvent des endroits reculés et j’espionnais les animaux ou les Graarh qui chassaient ou péchaient, certain s’éloignaient pour avoir de l’intimider, mais ils ne savaient pas que je pouvais les apercevoir. Un penchant un peu malsain si jeune.
J’avais 4 ans quand mon père m’apprit à écrire, passionné comparé à mes frères. C’était sommaire, mais cela m’allait. J’adorai apprendre des choses, et pour satisfaire cette envie je continuais d’espionner le village. Certains adultes me sermonnaient, et je remarquais que lorsque les adultes ne me connaissaient pas ils me parlaient comme à une fille. Ça ne me gênait pas, c’est vrais que j’avais des traits fin et mes grands yeux rappelaient ceux d’une fille. De plus en plus on me confondait avec une fille. Une fois une Graarh avait rapporté à mon père mon espionnage, mais étant donné qu’elle avait dit que c’était une petite femelle qui l’espionnait, mon père ne fit pas le rapprochement tout de suite et j’eus le temps de trouver des arguments. ça me plaisait.
Chapitre 2: L’apprentissage
A mes 5 ans j’allai espionner, je traquai une Graarh, imposante, intimidante. Elle se dirigea vers la maison de la vielle Graarh de ma glyphe. Intrigué je contournai la bâtisse pour les regarder par la fenêtre. Caché dans l’ombre, je vis la vielle dame préparer plein de choses, un rituel commençait. A nouveau j’étais sidéré devant un tel spectacle, C’était magique.Je restai tout du long, même quand la Graarh est sortis de là, des poils en moins, mais sublimée de glyphe. Penseur je ne remarquai pas la vielle dame qui ouvrit brusquement la fenêtre. Grognant, elle me parlait comme si elle parlait à une fille, et moi ignorant son grognement je demandai ce qu’elle faisait. Alors elle referma la fenêtre, fit le tour de la maison avec un balais et me chassa. La nuit, je rêvai de ce moment et plein de questions me venaient. Il fallait que j’y retourne, c’est alors que pendant 1 mois tout les jours j’y suis retourné. Je me cachais mieux cette fois. Plus discret. Et pendant 28 jours la vielle ne fit rien. Au 29 eme jour, elle sortit de la maison, sans balais, se dirigea vers mon tas de feuille où j’étais et donna un coup dedans. Un coup sec et dur qui me fit me redresser avec difficulté. Elle prit mon bras violemment et me tira jusqu’à l’intérieur. Mon cœur battait à la chamade. La même odeur d’épice et de fleurs séchées me rappela ma premiere venus, deux ans auparavant. Elle me fit asseoir dans un coin et elle continua sa journée. Alors le lendemain je revint, devant la porte j’attendis. Elle ouvrit, me toisa et me grogna que la vielle j’avais pas fait à manger, que c’était un irrespect pour elle et pour mon corps de mal se nourrir. Alors je courus à la rivière, pécher. Et je ramenai de quoi manger. Ainsi chaque jour, je pris l’habitude d’aller pêcher, puis d’aller chez elle, je posais le poisson. Me lavait les mains et elle me disait quoi faire. Parfois elle me laissait seul et je nettoyais la maison. Cette femme parlait peu, c’était génial à observer, je pouvais rester pour les rituels et peu à peu je participais. Je la suivais. Là bas je n’étais plus Anaitik. Je n’étais même pas le petit Graarh. J’étais juste moi. Pour la vielle femme j’étais, « toi », j’étais « elle », j’étais « la gamine ». Cela m’allait.
A mes 6 ans, je partis de chez mon père après un dernier entraînement au bouclier. Je pris un piège à poisson, un bouclier et un sac. J’allai jusqu’à chez la vielle dame pour demander à devenir son apprentis. Alors, j’étais devant sa porte, et quand je lui demanda elle ria. Le même rire moqueur qu’a mon frère 3 ans avant. Elle ria qu’elle n’avait pas de place où me coucher. Je posai mes affaires près de sa porte et partis chercher du bois, de quoi me faire une cabane, près de la maison, juste en face. Une habitation qui prenait l’eau, pas très droite et qui faisait pale mine devant la bâtisse. La vielle dame rigola et accepta. Je devins son apprentie et je pris un nouveau nom Pannaa Aankhen. Yeux émeraude. On m’appelait Pannaa. Mes trais restèrent fin et mes yeux trompaient les hommes. J’étais Pannaa l’apprentie de la vielle Sunahara, la vielle doré. Chaque jour, j’allais pécher, j’apprenais auprès de Sunahara. Je priais les esprits, et j’offrais mes meilleurs poissons. Les plus belle fleurs que je cueillais. Et lorsque j’avais un moment je refaisais ma cabane. J’allais même demander aux bâtisseurs de l’aide contre des petits soin que la vielle me laissai faire. Je passais 4 ans comme ça. J’avais 9 ans, l’an 1761. Des arrivants étaient apparut. Très différent de nous. Je me méfiais autant que j’étais intrigué par ses nouveaux peuples. Ils sont arrivé à l’ouest de Néhérie. Et ils se sont installés, voilà se qu’on disait. La communauté s’était tendu, mais pour le moment rien.
Chapitre 3: l’asservissement
En début 1762, j’allai à un village faire un soin d’un homme au pied tordu. C’était un village moyen, qui vivait surtout de la pèche. Il faisait chaud, c’était juste après le pic de chaleur. Sur le chemin qui longeai les côtes, j’aperçus énorme, immense. Un bateau avec une voilure démesuré. Deux autres plus petits étaient là aussi. Je me faufilais entre les branches, cacher dans la nature je voulais voir ça de plus près. Le mat montait si haut dans le ciel, et la coque ne semblait pas être du bois d’ici. J’avais jamais vus ça. L’équipage semblait revenir au bateau. C’est alors que je vus qu’il tenait au fer des Graarh. Des jeunes, des vieux, des femmes et des hommes Graarh, avec des collier et des chaînes. J’eus envie de m’enfuir, mais je sentis une mains sur mon dos et puis d’un coup ils étaient plusieurs autour de moi. Il fallait me débattre mais ils avaient des armes et moi mes quelques plantes, je savais que mon couteau à cueillette ne me servirait pas. Je lançai un regard vers les autre Graarh. Ceux qui se débattait était frapper, les autres on les emmenait dans le bateau, le grand. Je regardai alors mes ravisseurs sans poil. Il était étrange, On ne me les avait as décrit comme ça, ces nouveaux hommes. C’est avec une boule au ventre que je compris, qu’il était très organiser, il avait dû attaquer la village où j’allais pendant l’heure du repos. Peux être avait ils même piégé les guerrières et guerriers. Triste moment, quand à mon tour on me passa les fer. Je montai dans le bateau sans rien dire. Sans un coup, on m’insulta sur le passage, d’autre Graarh qui ne comprenait pas que je ne me défende pas. Mais à quoi bon, j’étais pas faite pour le combat. J’étais Pannaa, pas mes frères. Je savais ce que je risquais en me débâtant. Celui qui m’avait insulter se prit un coup sur le museau pour avoir grogné à mon égare, et la dernier image que j’eus de lui c’était son museau qui saignait légèrement. Je regardais droit devant moi tandis que je montai.
J’observai tout. Et puis après que tout le monde fut embarquer, plonger dans le noir d’une cave de bateau, une cale. On prit la mer. Il eu des pleures et des hurlements de désespoir. J’attendis que tout se passe. J’attendis que la lumière revienne. Tout les jours on fit sortir 3 personnes. A nous autre on jetait de la nourriture sur le sol. Lorsque je sortis, la lumière m’éblouis. Je vus deux Graarh une vielle et un autre qui nettoyait plus loin. On nous cria dessus en nous jetant un sceau. Les deux Graarh nous faisait signe discrètement de prendre le sceau. Je pris le sceau aussi vite que possible, une brosse était dedans. Je la pris dans la main et me mit à genoux pour nettoyer . Observer, imiter.
Le second se pris des coups de bâtons tant qu’il n’avait pas prit le sceau, tandis que le dernier nous insultait et grognait ses ravisseurs. Il fut prit par ces nouveaux hommes et poussé dans l’eau. Frémissant, nauséeux, je faillis vomir. J’étais l’un des premiers esclaves Graarh.
Je pris sur moi et frottai d’avantage. Me brûlant la patte avec la friction. Lorsque la nuit tomba, on allait dans un autre cale, sombre et humide. On dormi sur le sol. Et le lendemain il eu 3 autres Graarh de sortit. Se soumettre ou la mort. C’était simple. Je reconnus qu’il avait plusieurs sortes de ravisseurs, plusieurs races. C’était déroutant de les voir d’aussi près, ses hommes venues de l’océan, aux visages étranges. Tout était très encadrés sur le bateaux, surtout nos déplacements. Nous étions moins d’une dizaine quand ils ont arrêté d’en sortir de la grande cale. Parmi cette dizaine, il eu un malade puis un autre, en tout 4 sont mort jeté par dessus bords. Je ne connaissais pas les maux dont ils étaient prit. Nous étions 5 à frotter, certain s’occuper de tirer l’ancre ou d’aider à la voilure, s’occupaient de donner à manger à ceux rester dans l’obscurité. Je m’occupais des barrières et du sol, toujours propre. Je faisait de mon mieux avec mes pattes qui me brûlaient à force de frotter. Mes jambes qui fatiguaient et ma tête qui prenait le soleil de plein fouet. Le 6 éme jours, on s’arrêta, j’apercevais un autre village dans la brousse. La plage se rapprocha petit à petit et tout le monde se mit à bourdonner. Les ordres étaient difficile à suivre dans une langue que l’on ne connaissait pas. Je me souviens avoir prit un gros coup derrière la tête. Et le bateau se mit à tourner. Je tenais fort la barrière et puis toute a scène se déroula sous mes yeux troublés. Comme si on m’avait oublié devant un spectacle. Les nouveaux hommes accosta, il faisait très chaud. Dans un silence ils se séparèrent en plusieurs groupes armés. J’observais leur attaque sur le village, j’entendis à peine les cris des enfants au loin. Je ne sais plus si c’était la coup ou l’état de stupeur, mais je ne fis pas un geste. Je me souviens même pas de ce qu’il se passait autour de moi. Perdu devant le théâtre de violence. Le feu monta dans le ciel là où était le village, et traîné au sol les Graarh arrivaient aux bateaux. On ouvrit les portes de la cale, et on les poussèrent dedans. Je me souviens d’un visage, celui d’un ados comme moi. Ses trais étaient tirés et son visage tordu par la peur et la colère.
C’est une fois les portes refermés sur la vie des nouveaux passager que je réalisai ce qu’il venait d’arriver encore une fois. Fébrile je repris mon éponge, fit quelques pas et recommençai à nettoyer. Comme si rien ne c’était passé. Ce soir là, nous étions bercé par les hurlements et les pleures. Ce soir là je compris ce qu’il c’était passé sur le bateaux lors de l’attaque. Les autres avait été enfermé dans la cale, j’avais été oublié sur le pond, je ne réalisais pas tout de suite que le regard de colère du jeune Graarh m’était destiné, vus comme seul traître.
Ce soir là , la vielle Sunahara me manqua terriblement. L’odeur des herbes et des encens, la lumière tamisé de la battisse. Et les hurlements des nouveaux s’arrêtèrent.
Au bout d’une semaine on accosta de nouveau. Cette fois, on nous laissa sur le pond, mais on nous attachèrent aux barrières. Comme étendard de l’esclavage des Graarh. On reconnu l’ouest de Néhéril. Chacun se regardait, avec nos fer aux pattes qui se risqueraient à fuir ? Le coeur battant, les portes de la cale aux esclaves s’ouvrit. Et puis les premiers Graarh sortirent de la cale, pousser et frapper vers le ponds pour descendre du bateau. Je fermai mes yeux, c’était trop pour moi. Parcourus de tremblement, et pour le premier fois je ne voulais plus voir. De mes 10 ans, j’en avait trop vus.
Après que tout le monde fut en bas, On nous ordonna de nettoyer la cale. Là encore j’aurais aimé ne plus rien voir, ni sentir. J’eus plusieurs haut-de-coeur. Il y avait là dedans des corps. Ce fut mon dernier souvenir. Car après ça, je me rappelle de rien.
Pendant des mois nous avons du vivre encore et encore les mêmes moments. Mes compagnons changeaient, mort, emmener, vendu… Moi je restait sur ce bateau. Je commençais à connaître le fonctionnement. Je faisais machinalement ce qu’on me demandais. Et je répondais au nom de « Heytoi », « Machin ».
On voyage à travers l’archipel pour apporter les esclaves et moi je lavais, je portais, je tirais.
Chapitre 4: Le Maelstrom
Je repris conscience de moi, lorsqu’on me fit descendre à mon tour du bateau. Je fut surpris car je comprenais les ordres qu’on me disait. Et j’aperçus mon reflet dans une vitre d’une boutique en pierre. Il était celui d’un Grarh pas bien nourrit, mais je gardais mes trais féminins et la lueur dans mes yeux me donnèrent de l’espoir. Je me tournis vers les hommes qui me tenaient à peine. Il me disait d’avancer, alors j’avançai. J’obéis à chaque mot. On arrivâme devant un autre bateau. Lui aussi était beau, gravé de Glyphe en tout genre. Deux hommes parlaient, l’un dont la peau était grise semblait être le chef de se bateau. Je regardai attentivement. Je compris que j’étais donner en cadeau. Un bon esclave docile pour de la bonne main d’œuvre. Alors on enleva mes chaînes qui appartenaient à l’autre bateau. On voulus m’en remettre. On s’approcha de moi. Et le regard plonger dans celui qui voulait remettre des chaînes à mon collier, j’articulai avec difficultés.
-NoOn, Pa bezin, jeu obirr.( Non, pas besoin je vais obéir)
Leurs yeux devinrent rond, étonnés ils regardaient leur chef. Grace aux esprits, il avait à coté de moi, un homme qui pennait à porter une caisse. Je marchai avec aisance jusqu’à lui. Les têtes ahuris des hommes me jugeaient. Ils étaient tellement stupéfait qu’ils ne firent rien. Je pris la caisse et aidai l’homme. Le contenu n’était pas si lourd, mais peux être que pour un homme cela faisait de trop. Je fis mes premiers pas sur ce nouveau bateau. Je restais un esclave, mais je n’avais pas les fer des autres. Je continua à obéir et me taire. J’avais trouvé une carte : la parole. Le soir je m’entraînais un peu à parler, murmurant . 3 à 4 mois de navigation je compris que ce vaisseau là volait les autres. On avait souvent des cargaisons d’objet volé, il eu même des diamants. Ces pierres me rappelaient mon apprentissage, ici il avait une valeur d’argent. Oui, Ici c’était peu respectable, d’ailleurs peu de personne semblait l’être . Mais après tout je ne l’étais plus non plus, j’avais accepter mon statuts. Panaa l’esclave.
Je devais bien travailler car souvent on me laissai en paix dans mes tâches, seulement je n’avais pas la liberté de partir. C’est pour ça que jamais je ne pus partir. Je savais que ma tentatives seraient couronnés de la mort. J’étais toujours suivis de quelqu’un, j’avais toujours mon collier d’esclave bien que plus attaché à des chaînes. J’étais confronté à une nouvelle vie bien plus violente, ponctué de changement dans l’équipage. Je comprenais que le chef du bateau gravissait des échelons
Son nom était Nathaniel Eärendil.
A mes 11 ans, On fit la mauvaise rencontre des chimères, affreuse créature à tête d’oiseau. Je m’étais déjà un peu battus, mais j’avais extrêmement peur qu’ils arrivent jusqu’à nous. On perdis un bateau. Plus tard, me vint aux oreilles que la légion des cendres, celle de mon histoires de mon passé celui des Grand Graarh tombés en 7 nuits et 5 jours ; que cette légion revenait. Des morts étaient revenus à la vie, un portail avait apparus. J’aurais tant aimé être là bas, pouvoir revenir sur mon territoire et revenir auprès des miens. Mais j’étais rester sur le quais avec les cargaisons à ranger. Durant le début 1763, les attaques des chimères furent difficiles à supporter. J’avais toujours la peur au ventre malgré tout se que j’avais déjà vus. Il y avait des combats, il y avait des flottes qui se perdaient, il y avait une guerre de la peur avec des possessions. C’était incompréhensible et chaque nouvelles brides d’informations que j’avais n’avait pas de sens. Et lorsque la vrais bataille débuta, j’étais sur le bateau, un bouclier dans les mains. Je n’aie de cette bataille que des souvenirs incohérents. J’en suis sortis blesser au bras, un balafre du haut de l’épaule au coude. Je soignai mon bras avec les plantes de la cuisine. Au début 1764, après 2 ans de travail forcé et péripéties subis, vint une guerre déchirante. Graarh contre la grande ville Pirate Athgalan. Là encore je n’eus pas l’occasion de m’enfuir, de prendre les armes contres ses pirates qui m’avait asservis. On m’avait enfermé dans la cale du bateau où je dormais avec les autres esclaves, pour que nous puissions pas nous rebeller. La rage avait bouillis en moi pour la première fois. J’étais rester dans la frustration longtemps, même après la bataille. Les pirates finirent vaincu et partirent sur l’île des chimères et on ne fit plus d’attaque à mon Île natal.
J’ai maintenant 12 ans. Je suis Panaa sansunnom, mais on m’appelle « heytoi ». Je sais parlé comme l’homme, mais je le cache comme mes connaissances en soin et esprits et glyphe. J’aide grâce à ma bonne connaissance du bateau, et je porte, soulève, tire et trime au grès des humeurs de mes maîtres.
On me dit bonne esclave, je sers parfois les repas aux capitaines lorsque on est en mer.
Histoire - Questionnaire
Questions générales
Elles se décomposent en questions concernant les événements du vieux continent, et d'autres concernant les événements sur l'archipel.
Sur l'archipel :
- L'archipel est un endroit à la fois splendide et plein de dangers : au(x)quel(s) votre personnage a-t-il été confronté, de près ou de loin, volontairement ou non) ? (Couronne de Cendres, Licornes, Ekkynopyre, séisme, monstres marins, etc..):
Mon personnage à vecu a Néhéris près de la mer jusqu’en 1762, puis dans les confréries pirates, Il vécu plusieurs tempètes. sur terre ou sur les eaux. - Pro ou anti-lien ?
Pas d'avis - Lors de l'ultime bataille contre les chimère, vous étiez... :
Sur le maelstom. - En quoi avez-vous la foi ? (Néant, les 7 déesses, les Esprits Liés, Origine, rien...) :
Les esprits-liés - Votre/vos ambition(s), votre/vos projet(s) ?
De retrouver sa liberté, de retrouver sa vie d'avant - Un avis sur la magie ?
Il est fasciné - Un avis sur les autres races ?
Elles sont étranges, mais ne fait pas de distinction entre les races. Il y a les bon maître et ceux qui fait grincer les dents.
Questions de Faction Pirates
Cette partie contient des questions spécifiques à votre faction. Pour rappel, toutes les informations sur les factions se trouvent dans la section Factions.
- Mon capitaine, c'est...
Nathaniel Eärendil - Pro ou anti-Nathaniel ?
Aucun avis - Votre vice ?
Voyeurisme - Sur la terre ou sur les mers ?
Sur les mers principalement - Comment avez-vous vécu ou qu'avez-vous pensé de la bataille contre les Graärh de Néthéril ?
Extrement mal, il était sur le Maelstom enfermé et ne pouvait pas s'enfuir rejoindre les siens - Un avis sur les autres factions ?
Il s'en fou et ne comprend pas tout
Liens
- Maitre/esclave :Panaa connaît Nathaniel Eärendil car il le sert et lui apporte parfois à manger lorsqu’il est sur le bateau. Le servir ne lui déplait pas, car il pouvait l'entendre parler navigation et la manière dont on se déplace sur de grande distance avec un bateaux de cette taille. Cependant Panaa reste discret, il sait que son maître peux être instable et qu'après tout sa vie lui appartiens.
- Dragon du maître : Kaiikathal la Dragonne du maître. Premier dragon qu'il voit de près.
Il la aperçus, même approché lorsqu'il servait le maitre ou quand il était sur le bateau à naviguer. Il la trouve magnifique et envie la liberté qu'elle a. Il pourrait en avoir peur ou se méfier, mais il sait très bien qu'elle obéis à son maître. Quand il sait qu'elle est auprès de son maître il essaye toujours de penser à elle avec un morceau de poisson. - Petite présentation : Je suis Ay, j’ai 21 ans, j’habite bordeaux j’ai commencé le rp à mes 12 avec des forum lupins.
- Particularité RP ? J'écoute une playlist pour chaque personnage que je joues !
- Rythme RP ? toutes les deux semaines
- Comment as-tu découvert le forum ? Grace à une joueuse Reynagane
- As-tu signé le reglement ? OUI ou sinon allez-y vite.
Derrière le clavier