Nom du joueur : Naal du Néant
Objectif atteint : Faire un RP dans lequel votre personnage agit activement sur une trame personnelle du forum qui n’est pas la sienne => Même si Naal est très intéressé, il s'agit de la trame personnelle de Kehlvehan, l'histoire de ce personnage qui semble destiné à devenir un ChanteVide
Lien vers le RP : La balance du NéantCitation pertinente du RP : Tout le RP
Gain de PC : 10
Nom du joueur : Naal du Néant
Objectif atteint : Faire un RP mettant en scène la foi du personnage => Néant
Lien vers le RP : La balance du NéantCitation pertinente du RP : Sa tête tombait lentement en arrière, regard aveugle vers les cieux, alors que ses lèvres s’entrouvraient de félicité. Comme il aimait son Dieu, cette sensation de vide absolu où tout pouvait naître, où tout pouvait être créé. Sensible, il se délectait de toutes ses saveurs, comme amouraché par toutes ces valeurs. Il succombait à son adoration, vivante et viscérale. Le Néant n'était pas mort, il était toujours là. Les chimères lui avait odieusement prouvé, mais ce chant, ces vibrations-là, c’était la certitude que Néant n'avait pas nécessairement besoin d'être corrompu. Il pouvait rester pur et honnête avec lui-même et c'était cette transcendance qu'il aimait. Il vénérait l'instant, plein d'une affection tendre, sincère et séculaire. Son culte ne s'éteindrait jamais. De la petite flamme étouffée, il se faisait à nouveau brasier fervent, un fanatisme à son paroxysme. Il était le dévot des plus belles croyances, prosterné et si plein de piété et lorsqu'il se recueillait, ce n'était dans prière empruntes d'idolâtrie et de respect.
Gain de PC : 10
Nom du joueur : Naal du Néant
Objectif atteint : Faire apprendre une discipline totalement nouvelle à votre personnage au cours d’un RP => Totale découverte des vibrations baptistrale.
Lien vers le RP : La balance du NéantCitation pertinente du RP : Tout le RP, je mets quand même un passage parlant
L'accès aux vibrations le conduisit dans un monde inconnu et terrifiant. C'était comme plonger dans un lac d'eau gelée, tout en étant perdu au beau milieu d'une foule cacophonique. Le bruit était assourdissant, pour son oreille qui n'avait rien d'habituée à la saveur de tout cela. La Nature lui avait toujours parue insipide, dénuée de tout intérêt, et en cet instant, elle lui hurlait son existence avec une véhémence presque hystérique... Pour toutes les fois où il l'avait ignorée. Il sursauta et trembla. Il eut l'envie de se boucher les oreilles, mais aussitôt en eut-il l'intention que son corps s'était raidi, tétanisé. Les sons venaient de partout et de nulle part. Sa main se crispa sur les vêtements de son hôte alors qu'il avait inspiré l'air et bloqué sa respiration... Comme si cela pouvait apaiser tout cela. Il n'avait jamais aimé la magie par le passé, tout simplement parce que son usage aveugle rendait les dragons indispensables. Mais maintenant que ce n'était plus le cas, qu'il y avait un autre moyen, il s'y accordait avec parcimonie. Être sous le joug de la force de la trame l'effrayait... Jadis, dans son corps de Serviteur du Néant, il était immunisé. Il n'aurait pu sentir cette vague déferlante qui le balayait sauvagement, lui, l'étranger.
Gain de PC : 10
Nom du joueur : Naal du Néant
Objectif atteint : Faire un RP dans lequel l’un des 5 sens est mis en avant => J'aurais pu faire l'ouïe aussi avec ce RP mais je trouvais cea fun de partir plus sur quelque chose d'exotique : le toucher, renforcé par l'obscurité qui prive de la vue
Lien vers le RP : La balance du NéantCitation pertinente du RP : Je ne mets que des morceau car c'est éparpillé dans tout le rp :
[...]Ses pouces caressaient les mains qu'il tenait, pour lui transmettre son soutien et sa tendresse dans le geste presque anodin et pourtant sensible. [...] Il aimait caresser cette peau, dans le noir. Elle était si froide que cela lui semblait inquiétant. Cela ne l'étonnait guère que Kehlvehan se sente mourir s'il ne veillait pas au soin de son propre état. La caresse servait alors aussi, à le réchauffer, à transmettre un peu de son âtre comme on réanime un être sur le point de périr. La peau était douce à ses sens, probablement que la perfection elfique ne s'arrêtait pas à la magnificence de ce qu'on effleurait avec les yeux. Il savourait sa contemplation kinesthésique, la douceur d'un délicat vélin, épargné par le maniement rude des armes et des outils de champs. [...]La tension se montrait ardente, sur ses propres doigts humains quand la force surnaturelle de l'elfe vint à le réclamer en soutien. Ses phalanges crispée dans une étreinte étroite, blanchissaient par le manque de l’afflux de sang mais il n'en souffrait pas... Et plus encore, il ne se retirait pas. [...] Ses doigts reposaient sur sa gorge. Il sentait les perles, uniques en leur genre... Un peu comme Odrikatas. Rondes et vibrantes[...] Son pouce caressait son torse à présent, au travers du tissu délicat de ses vêtements. La texture était lisse, et perlait de raffinement. Sous ses doigts, il discernait presque le cœur de Kehlvehan battre dans un rythme chaotique. Son buste se gonflait à chaque respiration haletante.[...] Il ancrait ses pieds dans le sol, au contact de la roche rugueuse comme un arbre enfoncerait ses racines dans la terre, pour tenir droit. Il épousait les formes rocailleuses, dans une stabilité à toute épreuve. [...] C'était comme plonger dans un lac d'eau gelée [...] Il sursauta et trembla. Il eut l'envie de se boucher les oreilles, mais aussitôt en eut-il l'intention que son corps s'était raidi, tétanisé. [...] Puis il sentit ses mains être soulevées par une respiration plus contrôlée, plus orientée. Un chant, à n'en pas douter par les longues expirations d'air. Ses doigts vibraient sur la gorge du Gardien, mue par le travail minutieux des cordes vocales. Il vint à rétrécir à nouveau son écoute sur les sons qui sortaient de cette bouche bien faite. Cette voix grave à la tonalité si juste, si équilibrée. Le son servit à lui faire perdre toute sa raideur et au travers des larmes tracées sur son visage, son sourire s'était étiré d'une joie indicible.[...] C'était chaud, dans sa gorge. Le travail l'ornait d'une balbutiante flamme, lascive mais dont le foyer ardent l’entraînait vers une langoureuse tiédeur. Les vibrations dans sa gorge s'étendait comme un ras de marrée, dans ses doigts, sa main et son bras, noyant tout sur son passage d'un engourdissement euphorique. Jusqu'à le secouer tout entier, jusqu'à le perturber d'un soulagement sincère à l'égard de l'elfe. [...] le nez rendu dans son cou alors qu'il remontait une de ses mains dans son dos, jusqu'à son épaule pour la masser brièvement. [...] Il suivait le tracé osseux de sa colonne vertébrale qu'il percevait à travers ses habits, l'apaisant directement à la source de son système nerveux, puis remontait dans sa nuque.
Alors euh... Je décline toute impression érotique que laisse ce RP raccourci aux seules sensations tactiles. Il ne s'est RIEN passé !
Gain de PC : 10
Nom du joueur : Naal du Néant
Objectif atteint : Mettre votre partenaire à l’honneur dans un RP => Vénéré par Naal pour être son nouveau frère
Lien vers le RP : La balance du NéantCitation pertinente du RP : Jusqu'à le secouer tout entier, jusqu'à le perturber d'un soulagement sincère à l'égard de l'elfe. C'était une consécration, une page qui se tournait par cette révélation pleine de superbe. Il chantait le Néant parce qu'il y était destiné. Il avait à présent la réponse à sa question, une direction dans laquelle marcher qui lui était connue alors que jusqu'alors, il avançait par volonté divine sans en connaître le terme. Cela ne changeait pas sa route, cela changeait sa conscience. Cela avait toujours été un honneur pour lui, Roi d'Almara, Oracle de Néant, d'aller à la rencontre de ceux que l'Unique lui désignait pour les voir s'éveiller à la certitude de servir cet équilibre créatif, sincère.Tous les enfants du Néant, tous ses frères, avaient commencé par lui... Et après la chute de son empire, il se relevait d'entre les cendres pour tendre la main à ceux qui lui survivrait et répandraient la parole de l'Unique. [...] . Il suivait le tracé osseux de sa colonne vertébrale qu'il percevait à travers ses habits, l'apaisant directement à la source de son système nerveux, puis remontait dans sa nuque : « Vous avez réussi. » souffla-t-il à son oreille. Voyait-il maintenant le chemin qu'il n'avait cru voir. « Vous être un enfant prodigue. » Touché par la grâce de néant. Il était illuminé de toute sa gloire, joyau splendide à son diapason. Il posa sa main sur sa tête, tant pour l'étreindre que pour le glorifier dans un baptême sommaire mais sacré : « Et je vous bénis, Elēni du Néant. » La seconde syllabe du prénom était plus appuyée ; il signifiait voix, parole et musique en Almaréen. Et il était son frère à présent.
Gain de PC : 15
Nom du joueur : Naal du Néant
Objectif atteint : Passer par 4 sentiments différents, de façon logique, tout le long d’un RP : Peur, tristesse, joie, amour (adoration)
Lien vers le RP : La balance du NéantCitation pertinente du RP : L'accès aux vibrations le conduisit dans un monde inconnu et terrifiant. C'était comme plonger dans un lac d'eau gelée, tout en étant perdu au beau milieu d'une foule cacophonique. Le bruit était assourdissant, pour son oreille qui n'avait rien d'habituée à la saveur de tout cela. La Nature lui avait toujours parue insipide, dénuée de tout intérêt, et en cet instant, elle lui hurlait son existence avec une véhémence presque hystérique... Pour toutes les fois où il l'avait ignorée. Il sursauta et trembla. Il eut l'envie de se boucher les oreilles, mais aussitôt en eut-il l'intention que son corps s'était raidi, tétanisé. Les sons venaient de partout et de nulle part. Sa main se crispa sur les vêtements de son hôte alors qu'il avait inspiré l'air et bloqué sa respiration... Comme si cela pouvait apaiser tout cela. Il n'avait jamais aimé la magie par le passé, tout simplement parce que son usage aveugle rendait les dragons indispensables. Mais maintenant que ce n'était plus le cas, qu'il y avait un autre moyen, il s'y accordait avec parcimonie. Être sous le joug de la force de la trame l'effrayait... Jadis, dans son corps de Serviteur du Néant, il était immunisé. Il n'aurait pu sentir cette vague déferlante qui le balayait sauvagement, lui, l'étranger. Il tâcha de vider l'air de ses poumons, en quatre temps. Il expirait une première fois sèchement, puis relâchait la tension sur la seconde, jusqu'à ce que la quatrième soit lente et contrôler. Dompter sa peur était un petit pas salvateur.
Le second pas fut celui de sa volonté qui dirigea le flux de cette cacophonie vers une seule source : le Gardien. Il l'écoutait lui et uniquement lui. Les vibrations entonnaient son chant-nom à ses oreilles qui comprenaient, à présent. Il contemplait cet homme mis à nu avec une profonde tristesse. Kehlvehan lui avait tant et tant accordé mais même dans la sincérité de ce qu'il lui avait dévoilé, ses paroles poignantes ne l'étaient pas autant que ce chant là. C'était un crève-cœur que d'entendre une pareille biographie comme on suit la chute lente d'une agonie programmée depuis l'enfance. Pourquoi ne l'avait-il trouvé plus tôt ? Il l'aurait aidé, il lui aurait montré le chemin du Néant. Il l'aurait éduqué pour qu'aujourd'hui il soit prêt... Pour que dans le Baôli, le Chante-Vide ait pu se consacrer et balayer Vehasiel... Car Véhasiel n'avait rien compris au Néant. Il utilisait cette force en lui donnant des ordres, en la tordant contre son gré, en la bafouant... Là où Kehlvehan l'aurait accompagné de toute sa tendresse et de sa sublime compréhension. S'il avait été là pour lui, Vehasiel ne serait plus et Kehlvehan ne souffrirait plus aujourd'hui. Il se sentait affligé et coupable... Tout comme il se sentait coupable de bien des maux. Il y avait tant d'endroits où il aurait du se trouver à un moment précis... Mais il avait préféré écouter sa vengeance. Il avait été humain dans ses intérêts personnels... Mais il avait trahi tous les autres. Il aurait voulu implorer son pardon, mais il n'étouffa qu'un sanglot, le retenant dans sa gorge alors que les larmes avaient déjà tracé leur chemin sur ses joues ambrées, camouflées par l'obscurité de l'endroit.
Puis il sentit ses mains être soulevées par une respiration plus contrôlée, plus orientée. Un chant, à n'en pas douter par les longues expirations d'air. Ses doigts vibraient sur la gorge du Gardien, mue par le travail minutieux des cordes vocales. Il vint à rétrécir à nouveau son écoute sur les sons qui sortaient de cette bouche bien faite. Cette voix grave à la tonalité si juste, si équilibrée. Le son servit à lui faire perdre toute sa raideur et au travers des larmes tracées sur son visage, son sourire s'était étiré d'une joie indicible. Il y arrivait. Il y parvenait. Ce chant des plus somptueux vivait, incarné dans le lyrisme d'une harmonie travaillée, telle l'aube qui se levait pour baigner le monde d'une lumière salutaire. C'était chaud, dans sa gorge. Le travail l'ornait d'une balbutiante flamme, lascive mais dont le foyer ardent l’entraînait vers une langoureuse tiédeur. Les vibrations dans sa gorge s'étendait comme un ras de marrée, dans ses doigts, sa main et son bras, noyant tout sur son passage d'un engourdissement euphorique. Jusqu'à le secouer tout entier, jusqu'à le perturber d'un soulagement sincère à l'égard de l'elfe. C'était une consécration, une page qui se tournait par cette révélation pleine de superbe. Il chantait le Néant parce qu'il y était destiné. Il avait à présent la réponse à sa question, une direction dans laquelle marcher qui lui était connue alors que jusqu'alors, il avançait par volonté divine sans en connaître le terme. Cela ne changeait pas sa route, cela changeait sa conscience. Cela avait toujours été un honneur pour lui, Roi d'Almara, Oracle de Néant, d'aller à la rencontre de ceux que l'Unique lui désignait pour les voir s'éveiller à la certitude de servir cet équilibre créatif, sincère.Tous les enfants du Néant, tous ses frères, avaient commencé par lui... Et après la chute de son empire, il se relevait d'entre les cendres pour tendre la main à ceux qui lui survivrait et répandraient la parole de l'Unique.
Auréolé de la victoire de cette réponse, Naal s'accorda la satisfaction d'écouter ces vibrations si chères à son cœur. Plus égoïstement, maintenant qu'il était assuré du contentement de Kehlvehan, il savourait l'instant de félicité. Ce chant faisait tout disparaître à ses sens. Il n' avait plus un bruit, plus une lumière. Seule la perfection du Néant demeurait. Ses mains s'accrochaient au Cawr et son souffle s'allongeait. Ses battements de cœur ralentissaient jusqu'à l'apaisement, comme plongé dans une stase, une bulle hors du temps. Sa tête tombait lentement en arrière, regard aveugle vers les cieux, alors que ses lèvres s’entrouvraient de félicité. Comme il aimait son Dieu, cette sensation de vide absolu où tout pouvait naître, où tout pouvait être créé. Sensible, il se délectait de toutes ses saveurs, comme amouraché par toutes ces valeurs. Il succombait à son adoration, vivante et viscérale. Le Néant n'était pas mort, il était toujours là. Les chimères lui avait odieusement prouvé, mais ce chant, ces vibrations-là, c’était la certitude que Néant n'avait pas nécessairement besoin d'être corrompu. Il pouvait rester pur et honnête avec lui-même et c'était cette transcendance qu'il aimait. Il vénérait l'instant, plein d'une affection tendre, sincère et séculaire. Son culte ne s'éteindrait jamais. De la petite flamme étouffée, il se faisait à nouveau brasier fervent, un fanatisme à son paroxysme. Il était le dévot des plus belles croyances, prosterné et si plein de piété et lorsqu'il se recueillait, ce n'était dans prière empruntes d'idolâtrie et de respect.
Gain de PC : 15
Validation poulpesque