Nyana
Valthana
Nyana est une esclave, elle ne possède pas grand-chose mis à part des vêtements et une dague qu’elle a trouvé et qu’elle cache.
Nyana est une Graärh de taille moyenne, on remarque rapidement que c’est une femelle à cause de sa corpulence fine et que l’on peut croire délicate. Délicate ? Nyana n’est pas une Graärh fragile, elle est même tout l’opposé…
Esclave depuis qu’elle a quinze ans, son esprit s’est endurci, ainsi que son physique même si on ne le remarque pas directement lorsqu’on la voit. Élégante, Nyana est un vrai régal pour les yeux, elle tient son physique de sa mère qui était une magnifique Graärh rousse. Cependant, une chose attire tout de suite l’attention, l’épaisseur de sa pelisse… En effet, contrairement à ceux vivant à Néthéril , elle ne possédait pas un pelage chaleureux, elle porte fièrement les couleurs du nord, un pelage assez sombre au niveau du dos allant jusqu’au blanc sur le devant.
Étant un mélange entre le sud et le nord, Nyana possède un poil ni trop long, ni trop court. Cela lui permet de mieux résister aux froids comparés aux autres Graärh du Sud, mais pas autant que ceux vivant dans le nord. Avec le temps, son poil a légèrement perdu en épaisseur, mais durant les grosses chaleurs, elle a du mal à rester sous le soleil trop longtemps. Durant son enfance, elle a souvent fait des insolations à cause de sa pelisse trop épaisse.
Grâce à son pelage, on ne remarque pas tout de suite, les coups de fouets qu’elle a reçus, certaine sont caché par la fourrure, mais les plus profondes, on finit par lui arracher les poils faisant apparaître des cicatrices.
Le visage de Nyana est fin et de forme triangulaire, cette forme spécifique montre que c’est une femelle qui est très observatrice et curieuse. De couleur, charbon, au niveau de son front et sur le dessus de son museau, cette teinte se dégrade progressivement au niveau des joues pour donner, cette même texture nacrée jusqu’à son menton.
Sa mâchoire de petite taille abrite des canines vraiment destructrices. Comme les félins, ses dents de devant son plus petites que celles se trouvant à l’arrière, à cause de leur inutilité. La puissance de sa bouche est assez impressionnante, mais bien pittoresque par rapport au Graärh plus expérimenté et plus imposant.
Deux pierres brillent au milieu de cette figure si particulière. Dans l’obscurité, on aperçoit ces deux billes de zircon, ils vous observent dans un silence de mort, analyse chaque geste pour mieux apercevoir vos points faibles. Elle est déjà bien majestueuse et prédatrice, profitant par moments de son charme pour obtenir ce qu’elle désire.
Le nacre s’étend sur son cou jusqu’à son buste proportionné pour la séduction, mais aussi redoutable qu’une épine sur une rose. Son dos quant à lui à la même teinte que le charbon est parsemé de tâche beaucoup plus ténébreuse que sa couleur principale.
Actuellement, Nyana ne porte pas grand-chose. Une simple tunique au couleur monotone, légèrement petite et déchiré à certain endroit. Un anneau de teinte argenté, légèrement rouillé à cause de l’humidité et de son alliage pauvre, est visible autour de son poigné droit. Le bijou porte une inscription, le sceau de son maître. Il est le symbole de sa misérable vie en tant qu’esclave de Caladon.
Lorsqu’elle sera libre, elle portera un bustier beige très fin, assez léger pour que Nyana soit libre de sons mouvement sans que ce dernier ne tombe. Par-dessus son bustier, une veste sombre dans le même style que ceux des pirates ainsi que pour le reste de ses vêtements. En vérité, Nyana, l'a volé à l’un d’entre eux et là modifié pour qu’il lui convienne parfaitement.
De ses hanches jusqu’à ses membres arrière, elle est équipée d’un pantalon de la même texture et couleur que sa veste. Autour de sa taille et attaché un foulard rouge, assez vieux et miteux, mais précieux pour la jeune Graärh sans que personne en sache pourquoi.
Par-dessus ce pantalon, elle porte des guêtres plus épaisses que le tissu de son pantalon, renforçant sa protection au niveau des mollets et des genoux. Elle a su doser la composition de ses vêtements pour rester libre de ses mouvements.
Ses vêtements qu’elle à confectionner, elle les garde précieusement. Caché au même endroit où elle a dissimuler la dague, elle attend le jour propice pour les récupérer.
Que se soit de ses mains ou de ses membres inférieurs, Nyana possède des griffes vraiment dévastatrices pour son âge. Pour elle, se sont des armes redoutables qui peuvent lui sauver la vie à tout instant si elle perd sa dague.
Avant l’esclavage
Le début de la guerre
Loin de son foyer
Adieu Néthéril
Bonjour nouveau monde
Les monstres existent
Les jours se ressemble
Valthana
Identité et caractéristiques
- Race : Graärh
- Sexe : Femelle
- Surnom : Nya
- Date de naissance : 05/11/1746
- Age réel : 17 ans
- Age en apparence : Même si elle est jeune, à cause de ce qu’elle a vécu, Nyana paraît plus âgé de quelques années.
- Lieu de naissance : Néthéril
- Lieu de vie : Caladon
- Rang social :Pauvre
- Poste/Emploi : Esclave
- Force : Bon
- Endurance : Bon
- Coordination (agilité/réflexe) : Bon
- Furtivité : Moyen
- Perception : Très bon
Caractéristiques physiques
- Force mentale : Maître
- Education : Moyen
- Charisme : Moyen
- Intuition : Faible
- Espérance/chance : Très bon
Caractéristiques mentales
- Résistance physique : Bon
- Résistance magique : Faible
Résistances
- Magie : Médiocre
- Expertise :
- Arme 1 : Armes d'hast : Faible
- Arme 2 : Dague et poignard : Bon
- Arme 3 : Armes de trait : Moyen
- Arme 4 : Fouet : Très faible
- Habileté : Bon
- Navigation : Médiocre
- Equitation : Médiocre
- Dressage : Moyen
Compétences
- Bonus : Dressage
Bonus
Équipements
Nyana est une esclave, elle ne possède pas grand-chose mis à part des vêtements et une dague qu’elle a trouvé et qu’elle cache.
Description physique
Nyana est une Graärh de taille moyenne, on remarque rapidement que c’est une femelle à cause de sa corpulence fine et que l’on peut croire délicate. Délicate ? Nyana n’est pas une Graärh fragile, elle est même tout l’opposé…
Esclave depuis qu’elle a quinze ans, son esprit s’est endurci, ainsi que son physique même si on ne le remarque pas directement lorsqu’on la voit. Élégante, Nyana est un vrai régal pour les yeux, elle tient son physique de sa mère qui était une magnifique Graärh rousse. Cependant, une chose attire tout de suite l’attention, l’épaisseur de sa pelisse… En effet, contrairement à ceux vivant à Néthéril , elle ne possédait pas un pelage chaleureux, elle porte fièrement les couleurs du nord, un pelage assez sombre au niveau du dos allant jusqu’au blanc sur le devant.
Étant un mélange entre le sud et le nord, Nyana possède un poil ni trop long, ni trop court. Cela lui permet de mieux résister aux froids comparés aux autres Graärh du Sud, mais pas autant que ceux vivant dans le nord. Avec le temps, son poil a légèrement perdu en épaisseur, mais durant les grosses chaleurs, elle a du mal à rester sous le soleil trop longtemps. Durant son enfance, elle a souvent fait des insolations à cause de sa pelisse trop épaisse.
Grâce à son pelage, on ne remarque pas tout de suite, les coups de fouets qu’elle a reçus, certaine sont caché par la fourrure, mais les plus profondes, on finit par lui arracher les poils faisant apparaître des cicatrices.
Le visage de Nyana est fin et de forme triangulaire, cette forme spécifique montre que c’est une femelle qui est très observatrice et curieuse. De couleur, charbon, au niveau de son front et sur le dessus de son museau, cette teinte se dégrade progressivement au niveau des joues pour donner, cette même texture nacrée jusqu’à son menton.
Sa mâchoire de petite taille abrite des canines vraiment destructrices. Comme les félins, ses dents de devant son plus petites que celles se trouvant à l’arrière, à cause de leur inutilité. La puissance de sa bouche est assez impressionnante, mais bien pittoresque par rapport au Graärh plus expérimenté et plus imposant.
Deux pierres brillent au milieu de cette figure si particulière. Dans l’obscurité, on aperçoit ces deux billes de zircon, ils vous observent dans un silence de mort, analyse chaque geste pour mieux apercevoir vos points faibles. Elle est déjà bien majestueuse et prédatrice, profitant par moments de son charme pour obtenir ce qu’elle désire.
Le nacre s’étend sur son cou jusqu’à son buste proportionné pour la séduction, mais aussi redoutable qu’une épine sur une rose. Son dos quant à lui à la même teinte que le charbon est parsemé de tâche beaucoup plus ténébreuse que sa couleur principale.
Actuellement, Nyana ne porte pas grand-chose. Une simple tunique au couleur monotone, légèrement petite et déchiré à certain endroit. Un anneau de teinte argenté, légèrement rouillé à cause de l’humidité et de son alliage pauvre, est visible autour de son poigné droit. Le bijou porte une inscription, le sceau de son maître. Il est le symbole de sa misérable vie en tant qu’esclave de Caladon.
Lorsqu’elle sera libre, elle portera un bustier beige très fin, assez léger pour que Nyana soit libre de sons mouvement sans que ce dernier ne tombe. Par-dessus son bustier, une veste sombre dans le même style que ceux des pirates ainsi que pour le reste de ses vêtements. En vérité, Nyana, l'a volé à l’un d’entre eux et là modifié pour qu’il lui convienne parfaitement.
De ses hanches jusqu’à ses membres arrière, elle est équipée d’un pantalon de la même texture et couleur que sa veste. Autour de sa taille et attaché un foulard rouge, assez vieux et miteux, mais précieux pour la jeune Graärh sans que personne en sache pourquoi.
Par-dessus ce pantalon, elle porte des guêtres plus épaisses que le tissu de son pantalon, renforçant sa protection au niveau des mollets et des genoux. Elle a su doser la composition de ses vêtements pour rester libre de ses mouvements.
Ses vêtements qu’elle à confectionner, elle les garde précieusement. Caché au même endroit où elle a dissimuler la dague, elle attend le jour propice pour les récupérer.
Que se soit de ses mains ou de ses membres inférieurs, Nyana possède des griffes vraiment dévastatrices pour son âge. Pour elle, se sont des armes redoutables qui peuvent lui sauver la vie à tout instant si elle perd sa dague.
Description psychologique
Véritable mystère, son visage n’exprime rien. Elle est sauvage, que ce soit dans son comportement comme dans ses paroles. Rebelle, elle a beaucoup de mal à obéir aux ordres. Déjà enfant, elle n’écoutait pas vraiment ce qu’on lui disait, préférant vivre de son côté et découvrir les choses par elle-même.
Ce trait de caractère s’est accentué lorsqu’elle est devenue esclave, elle qui aimait la liberté et qui voulait découvrir le monde, elle venait d’être enfermé comme un oiseau en cage. Elle n’avait que huit ans à l’époque, mais déjà son esprit vif, cherchait à fuir et se libérer de cette emprise. Malheureusement, les années ont passé, et voilà qu’elle est toujours prisonnière de cette cage.
Heureusement pour elle, elle n’était pas seule, elle avait Reynagane, au début, ce n’était rien pour elle, une Graärh sans importance, qui était dans la même situation que Nyana. Mais rapidement, elle remarquait que la jeune féline était plus faible qu’elle. Jamais elle n’aurait pu croire qu’un être aussi différent d’elle pouvait l’intriguer autant. Doucement, sans sens rendre compte, Nyana, c’était mise à protéger Reynagane de leur maître, lorsque cette dernière était maladroite, elle prenait les coups à sa place. Un lien étrange s’est formé entre les deux êtres, Nyana cherche sans cesse à protéger la petite féline rousse qui est plus jeune de deux ans qu’elle. Elles ne peuvent pas beaucoup se parler à cause de leur statut d’esclave qui les oblige à rester silencieuses, mais lorsqu’elles ont la possibilité de chuchoter, même si cela ne dure que quelques secondes cela apaisait vraiment Nyana. Elle qui est généralement farouche que ce soit verbalement comme physiquement, Reynagane arrivait à calmer les pulsions de la Graärh des neiges, elle était comme une drogue, une drogue qui arrivait à contrôler la jeune femme.
Dans la maison, Nyana n’est pas la meilleure des esclaves, elle se fait très souvent punir par son incompétence. Nyana a toujours refusé de s’abaisser de la sorte, elle sait qu’elle vaut mieux que tout ça. Pour elle, obéir, s’abaisser, c’est synonyme de déshonneur. Ses maîtres pouvaient la frapper autant qu’ils le voulaient, jamais elle ne léchera le sol pour leur faire plaisir, jamais elle ne faiblira. Dans ses pupilles, on peut y voir des flammes qui prennent vie. Le vent est en train de changer, de tourner, elle le sent, bientôt elle sera libre, elle ne moisera pas dans ce taudis qui sert de maison a ceux qui l’on acheté pour vivre une belle vie. Elle les voit comme des insectes, des êtres inférieurs.
Au début, elle se trouvait bien différente de ses géniteurs, mais avec le temps qui est passé, elle a l’impression de ressembler davantage à son père. Il ne parlait jamais de son passé, il ne disait rien de l’endroit d’où il venait, il était fermé comme une huître. Puis lorsqu’il avait commencé leur entraînement, il était comme différent, absorbé par ce qu’il faisait, en fait, cela allait bien plus loin que ça, au début, elle ne le percevait pas, mais dans son regard brûlait quelque chose, cette même lueur qui l’animait aujourd’hui, celle de la vengeance…
Ce trait de caractère s’est accentué lorsqu’elle est devenue esclave, elle qui aimait la liberté et qui voulait découvrir le monde, elle venait d’être enfermé comme un oiseau en cage. Elle n’avait que huit ans à l’époque, mais déjà son esprit vif, cherchait à fuir et se libérer de cette emprise. Malheureusement, les années ont passé, et voilà qu’elle est toujours prisonnière de cette cage.
Heureusement pour elle, elle n’était pas seule, elle avait Reynagane, au début, ce n’était rien pour elle, une Graärh sans importance, qui était dans la même situation que Nyana. Mais rapidement, elle remarquait que la jeune féline était plus faible qu’elle. Jamais elle n’aurait pu croire qu’un être aussi différent d’elle pouvait l’intriguer autant. Doucement, sans sens rendre compte, Nyana, c’était mise à protéger Reynagane de leur maître, lorsque cette dernière était maladroite, elle prenait les coups à sa place. Un lien étrange s’est formé entre les deux êtres, Nyana cherche sans cesse à protéger la petite féline rousse qui est plus jeune de deux ans qu’elle. Elles ne peuvent pas beaucoup se parler à cause de leur statut d’esclave qui les oblige à rester silencieuses, mais lorsqu’elles ont la possibilité de chuchoter, même si cela ne dure que quelques secondes cela apaisait vraiment Nyana. Elle qui est généralement farouche que ce soit verbalement comme physiquement, Reynagane arrivait à calmer les pulsions de la Graärh des neiges, elle était comme une drogue, une drogue qui arrivait à contrôler la jeune femme.
Dans la maison, Nyana n’est pas la meilleure des esclaves, elle se fait très souvent punir par son incompétence. Nyana a toujours refusé de s’abaisser de la sorte, elle sait qu’elle vaut mieux que tout ça. Pour elle, obéir, s’abaisser, c’est synonyme de déshonneur. Ses maîtres pouvaient la frapper autant qu’ils le voulaient, jamais elle ne léchera le sol pour leur faire plaisir, jamais elle ne faiblira. Dans ses pupilles, on peut y voir des flammes qui prennent vie. Le vent est en train de changer, de tourner, elle le sent, bientôt elle sera libre, elle ne moisera pas dans ce taudis qui sert de maison a ceux qui l’on acheté pour vivre une belle vie. Elle les voit comme des insectes, des êtres inférieurs.
Au début, elle se trouvait bien différente de ses géniteurs, mais avec le temps qui est passé, elle a l’impression de ressembler davantage à son père. Il ne parlait jamais de son passé, il ne disait rien de l’endroit d’où il venait, il était fermé comme une huître. Puis lorsqu’il avait commencé leur entraînement, il était comme différent, absorbé par ce qu’il faisait, en fait, cela allait bien plus loin que ça, au début, elle ne le percevait pas, mais dans son regard brûlait quelque chose, cette même lueur qui l’animait aujourd’hui, celle de la vengeance…
Histoire
Avant la naissance de NyanaIl était une fois, un Graärh né sur l’île de Paadshail, il était grand et imposant. Il honorait son clan par sa force et son caractère. Une fourrure égale à celle des léopards, il pouvait résister aux températures les plus basse sans aucune difficulté. C’était un grand Graärh, il avait une belle vie devant lui, mais tout bascula le jour où il désirait prendre une autre Graärh pour compagne. Une femelle très convoitée qu’il désira impressionner, il défia en duel un mâle pour montrer sa force. Les deux combattant prêt à défendre leur honneur, Silvyr se lança le premier dans le combat pensant que l’attaque était la meilleure défense pour vaincre. Il n’avait pas froid aux yeux, mais au lieu de réfléchir à une tactique pour gagner ce duel et prouver sa vigueur à la divine Rina. Le sort en a choisi autrement, son rival lui brisa le bras, lui volant la victoire et la femelle qu’il désirait.
Humilié par cet affront, Silvyr partis de son clan, ne pouvant plus croiser le regard de ses congénères, pour lui tout était terminé. Il partit de son village, et traversa durant plusieurs années les terres de Paadshail.
Trois ans plus tard, il se retrouva sur l’île de Néthéril. Son errance a fini par le mener loin de sa terre natale, un endroit où personne n’aurait eu connaissance de son humiliation, mais cela serait rapidement visible, il ne passerait pas inaperçu parmi les autres Graärh au pelage de feux. Ces soupçons se fondèrent rapidement, il sentait les regards sur lui, et Silvyr n’eut pas le courage de les affronter, revoyant sans cesse sa défaite.
Caché comme un mal propre, c’est dans cette même village, Vat'Em'Medonis, qu’il fit la rencontre d’Aelua, une Graärh au pelage de sable. Ils se sont rapidement entendus et de leur union donna naissance à deux créatures tout à fait uniques.
Humilié par cet affront, Silvyr partis de son clan, ne pouvant plus croiser le regard de ses congénères, pour lui tout était terminé. Il partit de son village, et traversa durant plusieurs années les terres de Paadshail.
Trois ans plus tard, il se retrouva sur l’île de Néthéril. Son errance a fini par le mener loin de sa terre natale, un endroit où personne n’aurait eu connaissance de son humiliation, mais cela serait rapidement visible, il ne passerait pas inaperçu parmi les autres Graärh au pelage de feux. Ces soupçons se fondèrent rapidement, il sentait les regards sur lui, et Silvyr n’eut pas le courage de les affronter, revoyant sans cesse sa défaite.
Caché comme un mal propre, c’est dans cette même village, Vat'Em'Medonis, qu’il fit la rencontre d’Aelua, une Graärh au pelage de sable. Ils se sont rapidement entendus et de leur union donna naissance à deux créatures tout à fait uniques.
Avant l’esclavage
A sa naissance, Nyana n’était pas seule, elle avait un frère jumeau qui possédait le même pelage bicolore qu’elle. Alwin, tel était son nom. Durant leur premier pas, on ne pouvait pas dire qu’ils s’appréciaient énormément, leur relation était assez plate, sans trop de vie, tout comme elle, il était rempli d’énergie et très rebelle avec son père. Aucun des deux ne voulait obéir et passait le plus clair de leur temps à vouloir prouver leur force en se chamaillant.
Vivant dans un monde sans problème, en s’envoyant de la poussière dans les yeux. On vivait simplement, sans penser à ce que l’avenir pouvait nous réserver. Nyana n’avait pas de grand projet, elle ne savait pas vraiment ce qu’elle allait faire de sa vie, elle apprenait tout ce dont elle avait besoin de savoir sans aller plus loin dans le futur.
Lorsqu’elle obtient ses six ans, la coutume de son peuple veut qu’elle et son frère quittent le foyer familial pour qu’ils apprennent de leur propre expérience. Voilà que la liberté s’ouvrait enfin ses portes vers Nyana qui n’arrivait plus à tenir en place. Elle était devenue une jeune adolescente qui avait encore beaucoup de chose à apprendre. Elle voulait suivre la même voie que sa mère, pour elle, c’était le seul métier où elle n’avait pas à obéir aux autres. Ses débuts étaient assez pittoresques, mais en deux ans, la jeune Graärh devint une chasseuse assez talentueuse pour son âge. Il lui manquait encore de l’expérience, mais elle était sur la bonne voie.
Vivant dans un monde sans problème, en s’envoyant de la poussière dans les yeux. On vivait simplement, sans penser à ce que l’avenir pouvait nous réserver. Nyana n’avait pas de grand projet, elle ne savait pas vraiment ce qu’elle allait faire de sa vie, elle apprenait tout ce dont elle avait besoin de savoir sans aller plus loin dans le futur.
Lorsqu’elle obtient ses six ans, la coutume de son peuple veut qu’elle et son frère quittent le foyer familial pour qu’ils apprennent de leur propre expérience. Voilà que la liberté s’ouvrait enfin ses portes vers Nyana qui n’arrivait plus à tenir en place. Elle était devenue une jeune adolescente qui avait encore beaucoup de chose à apprendre. Elle voulait suivre la même voie que sa mère, pour elle, c’était le seul métier où elle n’avait pas à obéir aux autres. Ses débuts étaient assez pittoresques, mais en deux ans, la jeune Graärh devint une chasseuse assez talentueuse pour son âge. Il lui manquait encore de l’expérience, mais elle était sur la bonne voie.
Le début de la guerre
Les jours se succèdent doucement, dans la lenteur du temps. Plus le temps passait, plus le monde se noircissait. Nos terres, nos précieuses terres venait d’être dérobées. De ceux que nous croyons nos alliés, ils venaient de nous poignarder dans le dos. Comment cela était-il possible ? De douces rumeurs pénétraient jusqu’aux oreilles de tous. Une Graärh sauvage, aux ambitions dévastatrices faisait son apparition dans l’histoire du monde. Elle était déchaînée et savait ce qu’elle désirait. Sans que la tribu de Nyana ne puisse faire quoi que ce soit, une guerre débuta entre les deux tribus. Ce fut un véritable carnage, la Graärh au pelage de neige se souvenait d’absolument tout, du sang qui s’écoulait lentement sur le sol poussiéreux. C’était un véritable carnage, chaque corps finissait par s’écrouler sur le sol, ils étaient si nombreux qu’on ne savait plus où mettre les pattes sans marcher sur un cadavre commençant à pourrir. L’inévitable devait arriver, sous notre incompétence, la défaite écrasa entièrement la tribu. Humiliés, les survivants étaient remplis de rage et de haine. Kalza'ah Ashuddh, car tel était le nom de celle qui avait volé la vie de toute la tribu, était encore plus assoiffé. Dans son regard, on pouvait y lire une envie malsaine de conquérir encore plus de terre. Nyana l’avait compris, cette femelle, cette Graärh ne s’arrêterait pas en si bon chemin, non, elle partit de nouveau, cherchant à assouvir sa soif de pouvoir. Mais toute bonne chose possède une fin, alors qu’elle cherchait à s’emparer du soleil, voilà que cette dernière venait de lui brûler les poils en un éclair. Tout ce qu’elle avait dérobé, venait de lui être pris. Tout comme les survivants de la tribu de Nyana, elle avait perdu toute sa vie, toute sa dignité. Il ne lui restait plus que ses yeux pour pleurer et rien d’autre. Dans un silence de mort, son nom qui était censé être gravé dans la pierre venait de disparaître dans un nuage de poussière.
Loin de son foyer
Le monde en morceaux, tous croyaient en un future joyeux et doux, que tout ceci ferait partit d’un passé qui sera très vite oublié. Mais Nyana n’y croyait pas, non, elle sentait quelque chose. Le vent allait de nouveau tourner. La tribu était à son plus bas, faible et sans aucune défense potable, c’était le bon moment au contraire pour frapper. Mais peu semblait être de son avis, après tout, elle n’était qu’une adolescente.
Il était temps pour la tribu d’avoir un nouvel Aaleeshaan et renaître de ses cendres. L’événement réjouissait tout le monde, on pouvait voir que le soulagement était de retour, et que cette nuit serait la plus belle de leur vie, mais ce fût le contraire en réalité…
Au milieu de la nuit, sous le regard de la lune, le monde venait de sombrer à nouveau. Des hurlements retentirent sous la claire de lune. Il faisait chaud, bien plus chaud qu’en temps normal. Réveillé par toute cette agitation, Nyana sortit de sa cabane pour voir ce qui se passait à l’extérieur. C’est là qu’elle vit d’autres adolescents se faire emmener. Elle voulait fuir, ce n’était pas un acte très honorable, mais pour la première fois depuis bien longtemps, elle sentit la peur l’envahir. Elle commençait à courir lorsqu’elle sentit quelque chose lui attraper les cheveux. Elle chercha à se défendre en griffant la main de celui qui avait osé poser la main sur elle. Seulement, elle n’arriva qu’a enfoncer ses griffes dans le bras de son agresseur. Un second être lui attrapa les deux bras et l’assomma. Sa vue se brouille jusqu’à devenir complètement flou. Elle s’enfonce dans un sommeil sans rêve. Plus rien ne semblait l’atteindre, ni la fraicheur de la nuit, ni même la corde lui liant mains et jambes.
Elle finit par se réveiller quelques heures plus tard, ne sachant pas où elle se trouvait. Elle pouvait certifier une chose en tout cas, son frère ne semblait pas être ici. Elle était donc enfin libérée de cet être sans cervelle… Voilà ça première réaction… Elle n’était pas seule, mais personne ne savait où ils allaient, leur agresseur parlait une langue qu’elle ne connaissait pas. Nyana ne savait ni où elle était, ni où elle allait et ni même ce qu’elle allait devenir. Cette révélation l’angoissa fortement, mais elle ne désirait pas montrer ce sentiment de peur, non, elle devait être forte.
Il était temps pour la tribu d’avoir un nouvel Aaleeshaan et renaître de ses cendres. L’événement réjouissait tout le monde, on pouvait voir que le soulagement était de retour, et que cette nuit serait la plus belle de leur vie, mais ce fût le contraire en réalité…
Au milieu de la nuit, sous le regard de la lune, le monde venait de sombrer à nouveau. Des hurlements retentirent sous la claire de lune. Il faisait chaud, bien plus chaud qu’en temps normal. Réveillé par toute cette agitation, Nyana sortit de sa cabane pour voir ce qui se passait à l’extérieur. C’est là qu’elle vit d’autres adolescents se faire emmener. Elle voulait fuir, ce n’était pas un acte très honorable, mais pour la première fois depuis bien longtemps, elle sentit la peur l’envahir. Elle commençait à courir lorsqu’elle sentit quelque chose lui attraper les cheveux. Elle chercha à se défendre en griffant la main de celui qui avait osé poser la main sur elle. Seulement, elle n’arriva qu’a enfoncer ses griffes dans le bras de son agresseur. Un second être lui attrapa les deux bras et l’assomma. Sa vue se brouille jusqu’à devenir complètement flou. Elle s’enfonce dans un sommeil sans rêve. Plus rien ne semblait l’atteindre, ni la fraicheur de la nuit, ni même la corde lui liant mains et jambes.
Elle finit par se réveiller quelques heures plus tard, ne sachant pas où elle se trouvait. Elle pouvait certifier une chose en tout cas, son frère ne semblait pas être ici. Elle était donc enfin libérée de cet être sans cervelle… Voilà ça première réaction… Elle n’était pas seule, mais personne ne savait où ils allaient, leur agresseur parlait une langue qu’elle ne connaissait pas. Nyana ne savait ni où elle était, ni où elle allait et ni même ce qu’elle allait devenir. Cette révélation l’angoissa fortement, mais elle ne désirait pas montrer ce sentiment de peur, non, elle devait être forte.
Adieu Néthéril
Enfin sur la terre ferme, les assaillants faisaient sortir tous les Graärhs. Cette espèce sans poil était des plus étranges. Ils avaient un regard mauvais, remplit de malice. Enchaînées comme des animaux, tous les Graärhs étaient alignées comme des bons à rien. Ces êtres abominables observaient chaque personne qui étaient enchaînés. Allant jusqu’à les tripoter pour vérifier leur état musculaire, ainsi que leur dentition. Nyana n’était pas le genre à se laisser toucher sans rien répondre en retour. Elle essayait de les mordre, de se libérer, elle faisait partie de ceux qui se rebellait devant leur agresseur. Évidemment, ses actes était mal vu par leur kidnappeur, qui ne mirent pas longtemps avant de la punir sévèrement.
Ils en sélectionnèrent plusieurs, dont Nyana pour les emmener sur un navire. Après la correction qu’elle avait reçue, elle n’avait pas la force de riposter, elle entra dans la cale du bateau. Trébuchant sur une marche, elle finit par tomber, faisant volter la poussière qui y résidait. Elle est placée à côté des autres membres de son espèce, serré comme des sardines. Le navire prend le large, Nyana, épuisé par ses blessures, elle s’endort bercer par les vagues. Elle avait compris que plus jamais elle ne reverrait cette terre poussiéreuse, à la chaleur étouffante.
Les jours se succèdent, elle n’avait plus aucune notion du temps. La nourriture était extrêmement rare. Nyana parvenait tout de même à se battre pour avoir des petits morceaux et calmer son estomac qui criait famine. Sa musculature avait eu le temps de faiblir, elle était devenue si mince, si pathétique, qu’elle aurait préférait crever que plutôt d’être humilié de la sorte. Cependant, son instinct de survie était plus fort que tout. Les plus faibles s’endormir sans se réveiller, leur corps comme ceux qui c’était écroulé lors de la bataille. Ils commençaient à moisir, à se décomposer, l’odeur devenait insupportable, mais aux files des jours, tout le monde s’y était habitué.
Ils en sélectionnèrent plusieurs, dont Nyana pour les emmener sur un navire. Après la correction qu’elle avait reçue, elle n’avait pas la force de riposter, elle entra dans la cale du bateau. Trébuchant sur une marche, elle finit par tomber, faisant volter la poussière qui y résidait. Elle est placée à côté des autres membres de son espèce, serré comme des sardines. Le navire prend le large, Nyana, épuisé par ses blessures, elle s’endort bercer par les vagues. Elle avait compris que plus jamais elle ne reverrait cette terre poussiéreuse, à la chaleur étouffante.
Les jours se succèdent, elle n’avait plus aucune notion du temps. La nourriture était extrêmement rare. Nyana parvenait tout de même à se battre pour avoir des petits morceaux et calmer son estomac qui criait famine. Sa musculature avait eu le temps de faiblir, elle était devenue si mince, si pathétique, qu’elle aurait préférait crever que plutôt d’être humilié de la sorte. Cependant, son instinct de survie était plus fort que tout. Les plus faibles s’endormir sans se réveiller, leur corps comme ceux qui c’était écroulé lors de la bataille. Ils commençaient à moisir, à se décomposer, l’odeur devenait insupportable, mais aux files des jours, tout le monde s’y était habitué.
Bonjour nouveau monde
Un nouveau monde venait d’ouvrir ses portes. Le navire cessa sont avancé, des bruits étranges étaient perceptible. La porte donnant sur la cale s’ouvrit, chaque Graärh poussait des grognements devant la lumière qui y pénétrait. Les pupilles de Nyana, comme ceux des autres n’était plus habitué à tant de luminosité. Les kidnappeurs, ne leur laissèrent pas le temps de s’y habituer, qu’ils les forcèrent à sortir. La femelle au pelage de neige n’avait pas la force de résister, pour la première fois de sa vie, elle était docile, mais pas pour bien longtemps. Séparés en plusieurs groupes, ils étaient emmenés à divers endroits inconnus. Nyana suivait la troupe sans rien dire, le regard vide et sans vie, elle n’était plus qu’un pantin pour le moment. Ils étaient de nouveau transportés, puis poussaient contre un mur. Toujours attaché comme des animaux. Ces individus pales parlaient entre eux, le soleil semblait se coucher, c’est à ce moment que ces personnes étranges jetèrent des morceaux de nourriture à moitié digéré pour nourrir les esclaves. Comme les autres Graärh, Nyana se jeta sur ces morceaux de viande, elle était si affamée, qu’elle se fichait d’où provenait cette nourriture.
Lorsque le moment fut venu, que tous les être poilus était propre, on nous obliger à rester debout. D’autres choses sans poil venaient, observaient et ils finissaient par donner des sacs aux agresseurs, puis ils repartirent avec des Graärh. C’était la fin pour Nyana, elle qui rêvait de liberté, elle allait finir sa vie en cage, comme un moins-que-rien. Un sourire s’afficha sur son visage, en fin de compte, c’était son frère, Alwin qui avait gagné…
Le moment fut venu pour Nyana de rencontrer la nouvelle famille dans laquelle elle devait vivre, elle avait encore du mal à comprendre leur langue, mais elle retenue leur nom. Elle se promettait qu’un jour, oui, un jour, ils vont le regretter… Les Luytred…
Lorsque le moment fut venu, que tous les être poilus était propre, on nous obliger à rester debout. D’autres choses sans poil venaient, observaient et ils finissaient par donner des sacs aux agresseurs, puis ils repartirent avec des Graärh. C’était la fin pour Nyana, elle qui rêvait de liberté, elle allait finir sa vie en cage, comme un moins-que-rien. Un sourire s’afficha sur son visage, en fin de compte, c’était son frère, Alwin qui avait gagné…
Le moment fut venu pour Nyana de rencontrer la nouvelle famille dans laquelle elle devait vivre, elle avait encore du mal à comprendre leur langue, mais elle retenue leur nom. Elle se promettait qu’un jour, oui, un jour, ils vont le regretter… Les Luytred…
Les monstres existent
A la fin de la journée, Nyana se retrouva dans sa nouvelle demeure. Elle n’était pas seule, avec elle, il y avait une autre femelle. Elle l’avait déjà vu, la blanche ne se souvenait pas vraiment de son nom, mais elle savait qu’elle provenait de la même tribu qu’elle.
Les premiers jours furent difficiles, très durs même. La famille Luytred était des bourgeois, des personnes importantes. Le maître de maison, l’homme, était celui qui battait le plus souvent Nyana qui désirait protéger Rey. Elle la voyait comme un petit oiseau, et le fait que Rey soit avec elle, lui donna la force de résister et de retrouver son énergie passée. Elle était plus petite, qu’elle, plus fragile aussi, Nyana se sentait obligé de la protéger, elle était assez forte pour deux…
Le reste de la famille n’était pas un cadeau non plus, il y avait deux gamins, une progéniture inutile et la femelle, alors la femelle, Nyana se demandait bien son utilité… Elle était comme Nyana et Rey, si elle ne dormait pas dans le lit de leur maître, Nyana aurait crus qu’elle était une esclave elle aussi…
Les jours se succèdent et Nyana comprend que ces êtres sans pelage étaient dépourvus de toute émotion, qu’ils étaient des monstres envers la nature et leur propre espèce. Jamais elle n’aurait pensé rencontrer de tels spécimens.
Nyana essayait toujours les jours de s’enfuir avec Rey, elle cherchait une solution à leur malheur et de devenir enfin libre, mais chaque nouvel essai devenait un échec cuisant. Le soir, Nyana dormait auprès de Rey, elle ne voulait plus se séparer de cette petite Graärh, elle était devenue son pilier celle qui l’aidait à garder la tête froide. Ainsi, son esprit ne sombrait pas dans les abîmes. Nya ne le montrait pas, mais elle avait peur en réalité, elle se sentait vulnérable, mais avec Rey… C’était bien différent, c’était même magique, elle avait le courage de se lever le matin. D’affronter le regard de leur maître, de leur cracher dessus, elle se faisait punir certes, mais sa fougue ne l’abandonnait jamais.
Les premiers jours furent difficiles, très durs même. La famille Luytred était des bourgeois, des personnes importantes. Le maître de maison, l’homme, était celui qui battait le plus souvent Nyana qui désirait protéger Rey. Elle la voyait comme un petit oiseau, et le fait que Rey soit avec elle, lui donna la force de résister et de retrouver son énergie passée. Elle était plus petite, qu’elle, plus fragile aussi, Nyana se sentait obligé de la protéger, elle était assez forte pour deux…
Le reste de la famille n’était pas un cadeau non plus, il y avait deux gamins, une progéniture inutile et la femelle, alors la femelle, Nyana se demandait bien son utilité… Elle était comme Nyana et Rey, si elle ne dormait pas dans le lit de leur maître, Nyana aurait crus qu’elle était une esclave elle aussi…
Les jours se succèdent et Nyana comprend que ces êtres sans pelage étaient dépourvus de toute émotion, qu’ils étaient des monstres envers la nature et leur propre espèce. Jamais elle n’aurait pensé rencontrer de tels spécimens.
Nyana essayait toujours les jours de s’enfuir avec Rey, elle cherchait une solution à leur malheur et de devenir enfin libre, mais chaque nouvel essai devenait un échec cuisant. Le soir, Nyana dormait auprès de Rey, elle ne voulait plus se séparer de cette petite Graärh, elle était devenue son pilier celle qui l’aidait à garder la tête froide. Ainsi, son esprit ne sombrait pas dans les abîmes. Nya ne le montrait pas, mais elle avait peur en réalité, elle se sentait vulnérable, mais avec Rey… C’était bien différent, c’était même magique, elle avait le courage de se lever le matin. D’affronter le regard de leur maître, de leur cracher dessus, elle se faisait punir certes, mais sa fougue ne l’abandonnait jamais.
Les jours se ressemble
Un an ? Et bien non… Cela fait deux ans que Nyana est esclave avec Reynagane. Toutes ses évasions ont échoué, elle en a payé le prix bien évidemment. La langue de ce monde n’a plus de secrets pour elle, sa capacité d’adaptation lui a permis d’apprendre cette nouvelle langue avec facilité. Elle est devenue une magnifique Graärh, tout comme Rey malgré leur hygiène de vie qui est peu convenable. Elles mangent peu, travail en moyenne 17 heures par jour. Si elles n’ont pas flanché, c’est parce qu’elles se soutiennent mutuellement.
Nyana a réussi néanmoins à dérober des morceaux de vêtement qui traînait pour se les approprier. Elle les a modifiés de manière à ce qu’il lui convienne. Lorsqu’elle doit aller au marché, Nyana en profite pour prendre son temps et chercher des objets perdus pour les rapporter. C’est de cette manière qu’elle a obtenu la dague qu’elle possède. Ramenant l’arme sur son lieu de vie, elle a trouvé la cachette idéale pour que personne ne la trouve. Elle en prend soin et c’est entraîné avec pour pouvoir mieux se défendre. Elle a dû apprendre seule, en observant les pirates qui se battaient lorsqu’ils avaient trop picolé.
Elle sait qu’un jour elle et Rey seront libre, qu’elles réussiront à s’enfuir et qu’elles pourront rentrer chez elle. Mais pour le moment, ce n’est qu’un doux rêve que les deux femelles espèrent réaliser. Nyana n’oublie jamais de l’endroit d’où elle vient, comme Rey, elle prie les esprits-lié de temps en temps. Non pas qu’elle ne croit pas en leur existence, mais Nyana se focalise plus sur sa capacité à les délivrer. Jamais elle ne remettrait en question les croyances de son peuple, malgré le fait qu’elle pratique bien moins que Rey.
Nyana ne perd pas espoir, elle rêve de liberté, même si pour cela, elle devait devenir une meurtrière.
Nyana a réussi néanmoins à dérober des morceaux de vêtement qui traînait pour se les approprier. Elle les a modifiés de manière à ce qu’il lui convienne. Lorsqu’elle doit aller au marché, Nyana en profite pour prendre son temps et chercher des objets perdus pour les rapporter. C’est de cette manière qu’elle a obtenu la dague qu’elle possède. Ramenant l’arme sur son lieu de vie, elle a trouvé la cachette idéale pour que personne ne la trouve. Elle en prend soin et c’est entraîné avec pour pouvoir mieux se défendre. Elle a dû apprendre seule, en observant les pirates qui se battaient lorsqu’ils avaient trop picolé.
Elle sait qu’un jour elle et Rey seront libre, qu’elles réussiront à s’enfuir et qu’elles pourront rentrer chez elle. Mais pour le moment, ce n’est qu’un doux rêve que les deux femelles espèrent réaliser. Nyana n’oublie jamais de l’endroit d’où elle vient, comme Rey, elle prie les esprits-lié de temps en temps. Non pas qu’elle ne croit pas en leur existence, mais Nyana se focalise plus sur sa capacité à les délivrer. Jamais elle ne remettrait en question les croyances de son peuple, malgré le fait qu’elle pratique bien moins que Rey.
Nyana ne perd pas espoir, elle rêve de liberté, même si pour cela, elle devait devenir une meurtrière.
Liens
- Reynagane Shäa : Elle est bien plus qu’une simple amie, Nyana la considère comme une sœur de cœur, c’est sa protégée.
- Silvyr Wynvyre : Il est son père, il provient du nord, mais jamais il ne parle de son passé, ni même si qui la conduit à Néthéril. Il est assez distant avec les autres. Il est un excellent pêcheur.
- Aelua Yelphine: Sa mère, celle qui la mise au monde. Nyana a une bonne relation avec elle. Elle est chasseuse.
- Alwin Yinxina : Son frère jumeau, Nyana et lui on un lien de compétition, ils ne se haïssent pas, mais ils cherchent à savoir qui est le meilleur. Son frère est plus discipliné qu’elle en grandissant, il est maintenant soldat.
- Famille Luytred : La famille où Nyana est esclave. Très mauvaise relation.
Derrière le clavier
- Petite présentation : Mon pseudo est Nayu, j’ai 21 ans et je fais du rp depuis 4/5 ans environs. J’ai souvent été sur des forums lupin, et aujourd’hui je suis ici pour changer un peu d’air et découvrir d’autre univers.
- Particularité RP ? Je rp à la deuxième personne.
- Rythme RP ? En général, je réponds quelques heures après avoir lu le rp, mais quand mon travail m’en empêche, je réponds le week-end.
- Comment as-tu découvert le forum ? En cherchant sur internet
- As-tu signé le reglement ? Oui